France et politique française - Page 1604
-
Macron et tous ses tocards nuisibles: coupables, dehors!
-
Cymes, Ndiaye, Dombasle, Goldman, Bruel : les grossistes de la bonne conscience
Selon le réac François-René de Chateaubriand, « l’aristocratie a trois âges successifs : l’âge des supériorités, l’âge des privilèges et l’âge des vanités. Sortie du premier, elle dégénère dans le second et s’éteint dans le dernier. » En cette période de confinement, voici la question qui se pose à la piétaille que nous sommes : à quelle époque se situe notre aristocratie républicaine ?
En république heureuse, moult catégories d’aristocraties cohabitent et collaborent sereinement : un vivre ensemble qui, contrairement à d’autres, a assez bien réussi. L’exception qui confirme la règle, peut-être. Parmi celles-là se distinguent l’aristocratie officielle, celle des élus, des experts et des courtiers accrédités des valeurs républicaines et, plus officieuse, celles des faux-semblants et des concessionnaires de la bonne conscience collective.
-
666 – Jour de Satan ou bilan de 4 mois de pandémie ?
Bernard Plouvier
Durant la nuit du 28 au 29 mars 2020, le cap des 666 000 cas officiellement prouvés de coronavirose au virus 2019 (le Covid 19) a été franchi... nul doute que cela ait fait frémir les âmes sensibles au Satan perse, passé chez les juifs puis les chrétiens.
De façon plus sérieuse, il faut quelque peu se méfier des statistiques planétaires, admirablement réactualisées plusieurs fois par jour par les épidémiologistes du Johns Hopkins Hospital and University (Baltimore – Maryland) : les statistiques chinoises et sud-coréennes sont bloquées depuis dix jours, aussi bien pour le nombre de cas prouvés que pour celui des morts... on a beaucoup de mal à y croire !
-
Coronavirus dans les banlieues : cris d’alerte de policiers, de médecins et… de Michel Onfray
Le syndicat Synergie-Officiers a mis, vendredi, en ligne, sur Twitter, une courte vidéo d’une violence inouïe. Une attaque à la diligence, sauf que la diligence, c’était une voiture de police, et que les flèches indiennes étaient remplacées par des mortiers, des explosifs qui, dans un épouvantable bruit de guerre et de feux d’artifice, ont transformé la voiture en piège brûlant. En pleine cité des Francs-Moisins, à Saint-Denis (93).
Mais ce n’est pas la seule vidéo qui circule. Dans une autre banlieue, on voit une voiture de police entourée de jeunes gens dont l’un n’hésite pas à danser sur le capot sans que les occupants n’osent intervenir. Et que dire de ces banlieues ou quartiers de grandes villes devenus, depuis belle lurette, des zones de non-droit où tous ces jeunes et moins jeunes se rassemblent en toute impunité, diffusant à qui mieux mieux l’invisible virus. Résultat : les hôpitaux du 93 sont débordés et sont obligés de faire appel aux autres services d’urgence pour les aider à accueillir le maximum de ces abrutis.
-
Confinés et cons finis
Par Philippe David
Le moins qu’on puisse dire est que le drame du coronavirus aura au moins eu le mérite de mettre en avant nombre d’incuries françaises qui durent et perdurent au fil des années et que le fameux « nouveau monde » n’aura pas fait disparaître.
Charles Buzyn et Agnès Pasqua
Commençons par le commencement, lorsque le 21 janvier Agnès Buzyn a affirmé que « le risque d’introduction en France – du virus – est faible mais ne peut pas être exclu, d’autant qu’il y a des lignes directes avec Wuhan » (épicentre de l’épidémie à l’époque). Charles Pasqua, sors de ce corps ! Ce bis repetita du nuage de Tchernobyl s’arrêtant à la frontière française faute de visa pouvait amuser venant d’un ancien directeur commercial chez Ricard. Il est totalement pathétique venant d’un médecin.
-
Crise sanitaire, crise civilisationnelle (1), par Michel Maffesoli.
Au-delà de nos humeurs, craintes, convictions, réactions, consentement, toutes choses étant de l’ordre de l’opinion, il convient d’aller à l’essentiel. C’est-à-dire au-delà des apparences, ce que le poète nomme bellement « le clapotis des causes secondes », revenir à l’être des choses. En deçà des « médiations », de ces évidences déversées ad nauseam par l’intelligentsia, revenir à ce qui est immédiatement évident. Ce que la sagesse populaire a su formuler d’une manière lapidaire : tout passe, tout casse, tout lasse
En la matière, fin d’une modernité en bout de course. Saturation d’un ensemble de valeurs de plus en plus désuètes.
Rappelons-nous, ici, une des étymologies du terme crise : krisis, comme le jugement porté par ce qui est en train de naître sur ce qui est en train de mourir. Cela, on l’oublie trop souvent, en réduisant la crise à son aspect économique. Simple dysfonctionnement de ce que mon regretté ami, Jean Baudrillard, nommait « la société de consommation », que quelques ajustements d’ordre politique ne manqueraient pas de corriger pour le plus grand bien de tous.
-
“Entre salafisme et transhumanisme : les idées humanistes devenues folles”, par Henri Feng
Le 15 octobre, le palais Bourbon a adopté, sans difficulté, la loi de bioéthique autorisant la Procréation Médicalement Assistée, et ce, an dépit de la manifestation anti-PMA/anti-GPA, in fine anti-transhumaniste, du dimanche 6 octobre. Au même moment, on a assisté à l’énième retour de la polémique sur le voile islamique (la première date de 1989 et concernait trois collégiennes musulmanes de Creil), cette dernière provoquée par Julien Odoul, conseiller régional RN en Bourgogne Franche-Comté : le vendredi 11 octobre, celui-ci avait interpellé sa présidente de séance à cause de la présence d’une mère voilée, quasi-intégralement, en noir (sauf le visage), dans le cadre d’une sortie scolaire. Odoul avait signifié, en substance, qu’un tel habillement contrevenait, non pas sur la forme mais sur le fond, à la loi Savary de 1984, loi garantissant la neutralité religieuse dans le cadre républicain. Il s’agissait surtout de faire la démonstration de l’allégeance de cette femme au salafisme ; le tout filmé par les équipes de l’élu RN, mais ce qui n’a pas manqué d’agacer son propre camp politique. Depuis lors, Odoul est dépeint par, entre autres, le journaliste Hugo Domenach du Point (article du 17 octobre), en pur opportuniste car étant passé successivement du PS à l’UDI, sans compter ses apparitions dans des magazines gay, à 21 ans.
-
Eric Zemmour : “Jérôme Salomon veut dissimuler l’incompétence du pouvoir”
Dans l’émission “Face à l’info” (CNews) du 26 mars 2020, Eric Zemmour a pointé du doigt Jérôme Salomon qui “veut dissimuler l’incompétence du pouvoir“.
Par ailleurs, une plainte va être adressée au parquet de Paris. Elle est déposée par trois médecins qui reprochent au directeur général de la Santé des manquements dans la gestion de la crise sanitaire.
Selon les plaignants, des mesures plus strictes auraient dû être prises “avant le 13 mars 2020“, ce qui “aurait sans nul doute permis de juguler l’épidémie en réduisant le nombre de personnes contaminées, et donc de personnes susceptibles de contaminer les autres“.
-
L’insécurité juridique va monter d’un cran
Muriel Pénicaud, ministre du Travail, était l’invitée du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, ce dimanche. Elle est revenue abondamment sur le dispositif de chômage partiel que le gouvernement met en place – et qui semble, a priori, une bonne idée:
Je redis aux entreprises : ne licenciez pas, utilisez le chômage partiel. Vous garderez vos compétences et vous ne mettrez pas vos salariés au chômage. Même pour un seul salarié, le chômage partiel marche.
Mais “en même temps”, elle ajoute ceci, qui fait peser une épée de Damoclès sur la tête des entrepreneurs:
Toutes les demandes qui n’ont pas eu de réponse en 48 heures sont réputées acquises et on fera les contrôles a posteriori.
Si l’on comprend bien, cela signifie que l’on peut avoir la double peine: être contraint à arrêter son activité aujourd’hui, et devoir rembourser demain. Il semble que la ministre ait dit cela pour rassurer les Français. C’est en effet très rassurant!…
https://www.lesalonbeige.fr/linsecurite-juridique-va-monter-dun-cran/
-
Mécanisme européen de stabilité : la France ne doit pas accepter le “pacte faustien” de l’Union européenne !
Bernard Monot Valeurs actuelles cliquez là
Ancien député européen de Debout La France, stratégiste économique, Bernard Monot tire la sonnette d’alarme : alors que l’on pensait la France libérée du joug budgétaire de la Commission européenne à la suite de l’annonce récente de la présidente Ursula von der Leyen de l’activation de “la clause de souplesse budgétaire”, notre pays s’apprête à passer sous tutelle budgétaire totale du funeste Mécanisme européen de stabilité (MES). Tribune.
Pendant que l’opinion publique est très préoccupée, à juste titre, par la catastrophe sanitaire du coronavirus, il règne au plus niveau de l’Etat comme un esprit de piraterie contre les Français. Certes, en apparence le gouvernement d’Edouard Philippe semble faire preuve de bienveillance pour endiguer à court terme, l’aggravation de la crise économique, avec une garantie bancaire de l’Etat de 300 milliards d’euros pour répondre aux demandes de crédits des agents économiques aux difficultés de trésorerie préjudiciable à l’activité et à l’emploi et les 45 milliards d’euros de mesures de soutien budgétaire à l’économie réelle par reports de charges fiscales/sociales et de refinancement des stabilisateurs automatiques pour soutenir la demande/ consommation (les revenus des ménages) et l’offre /production (la main-d’oeuvre).