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Plusieurs milliers de manifestants, dont « plusieurs centaines d’individus radicaux » selon la police, se sont dirigés samedi vers le port maritime de La Rochelle, dans le cadre de la mobilisation contre les mégabassines, soutenu par le mouvement écologiste Les Soulèvements de la Terre.
L’image a fait la une du magazine Time et le tour du monde par la même occasion. On y voit Donald Trump se relevant de son attentat, le visage en sang et levant le poing en signe de défi, sur fond de bannière étoilée. L’image est un chef-d’œuvre du genre, mais elle contient aussi un message politique fort. Le poing levé a ainsi été repris lors de la convention républicaine qui a suivi, accompagné du slogan « Fight » : lutte, combat, bataille en français. Un cri qui horrifie les journalistes français, ce qui est bon signe.
Fight ! La politique est un combat
Car ce poing levé n’est pas le poing de la gauche qui symbolise depuis le XIXe siècle l’appel à la haine sociale et à la lutte des classes.
A Fleury-sur-Orne, le 9 mai dernier, une septuagénaire se rend au supermarché. Lorsqu’elle en sort, deux hommes se placent l’un devant son caddie, l’autre derrière elle.
François-Xavier Bellamy, chef de file des eurodéputés conservateurs français, a plaidé en faveur de Ursula Von Der Leyen lors d’une réunion à huis clos du groupe PPE.
Vous vouliez que tout change ? Grâce aux LR, ce sera NON. Avec la complicité des rescapés LR et des 17 ministres démissionnaires, mais également députés, Yael Braun-Pivet est restée au perchoir avec 13 voix d’avance. Une fois de plus les tambouilles auront eu raison de l’avis du peuple, et c’est ainsi que cette clique au pouvoir convertit le vote des Français en un amusement de cour d’école, une presque saine récréation pour permettre à ce peuple fatigué, épuisé, en colère, de se défouler un peu, histoire de lui faire croire qu’il dirige encore son destin et qu’il a une prise sur le politique. En réalité, sauf à donner la majorité absolue à une formation au premier tour, on se rend compte qu’il n’en est rien, et que les barons de la politique refusent ostensiblement tout changement que lui demandent les urnes, transformant, à l’instar de Macron, une défaite en victoire… pour le moment. Le peuple paillasson peut donc se réjouir, il a voté mais rien ne se verra dans les faits. Macron renommera un copain à lui, et nous aurons probablement les mêmes ministres. Quant à la fameuse menace de la chambre ingouvernable, nous avons eu hier soir l’illustration que ce n’était, comme nous le sous-entendions dans nos colonnes, qu’une vaste plaisanterie.
Si vous voulez savoir qui détient la dette de la France, vous serez confronté à une omerta digne d’une structure mafieuse. De ce que nous savons, la moitié de la dette française est possédée par des entités étrangères qui influencent notre politique nationale. Certaines lois, comme celle de la réforme des retraites, ont été imposées par des organismes étrangers tel BlackRock. Ceux qui possèdent la dette française ont plus d’influence que notre propre gouvernement.
Prenons l’exemple de l’aide militaire à l’Ukraine, cette dette va dans le fond spéculatif de l’OTAN pour financer les entreprises du complexe militaro industriel.
Ce sont nos impôts et nos dettes qui font vivre les mondialistes au détriment des investissements dans nos infrastructures et du remboursement de la dette.
Après l'élection du président de l'Assemblée nationale, ce vendredi après-midi avait lieu l'élection d'une vingtaine de postes clefs (six vice-présidents, trois questeurs, douze secrétaires). Les présidents de groupe n'ayant pas réussi à se mettre d'accord le matin, un vote à bulletins secrets était organisé à partir de 15 heures.
(…) Ce fils d’un père charcutier et chef d’entreprise et d’une mère assistante familiale est né à Lorient et a grandi dans le Morbihan, indique France bleu Champagne-Ardenne. Ce n’est qu’en 2023, qu’il gagne les contrées ardennaises pour s’installer à Rethel, dans la sous-préfecture de l’ouest du département. Le jeune homme se dit issu “de la classe moyenne qui souffre”.