Ce qui était une option paraît être devenue une nécessité impérieuse.
On insiste souvent sur le caractère insulaire du Royaume-Uni.
Il faudrait peut-être s’interroger sur l’insularité idéologique de notre France malgré sa géographie continentale.
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Pauvre Ségolène Royal ! Le père Noël ne lui a pas fait de cadeau ! Ou, plutôt, il lui en a laissé un qui mettra à l’épreuve sa légendaire « bravitude ». La presse nous apprend les déboires de l’ancien ministre de l’Environnement, nommé par Emmanuel Macron, le 28 juillet 2017, « ambassadrice de France chargée de la négociation internationale pour les pôles Arctique et Antarctique ». De quoi attraper un coup de froid ! Mais notre ambassadrice serait restée bien au chaud pour organiser sa propre publicité.
Jérôme Besnard est élu local et conseiller national du parti les Républicains.Il a travaillé comme collaborateur d'élus dans plusieurs villes concernées par une forte activité islamique. Il a également été chargé d'enseignement en droit constitutionnel à l’Université Paris V.
Si toutes les religions se valent, pourquoi accorder une place particulière à l'islam dans l'organisation religieuse de la France ?
Parce que justement toutes les religions ne sont pas égales dans notre pays, du moment que l'on fait un minimum abstraction du droit. Elles n’ont ni la même Histoire, ni le même poids, elles ne posent pas les mêmes problèmes au pouvoir temporel. Le christianisme s’accorde très bien de la laïcité envisagée comme distinction du temporel et du spirituel. Minorité se pensant comme une minorité, le judaïsme a accepté il y a déjà plus de deux siècles de se plier aux règles concordataires imposées par Napoléon. Religion qui a été la matrice de l'unité française à côté de l'œuvre politique des rois de France, le catholicisme continue de modeler le paysage français par ses églises et ses cathédrales. Il n'a cédé ses prérogatives que devant la force déployée par l'idéologie radical-socialiste sous la IIIe République. L'Islam lui, à la différence des deux autres est une religion d'importation et d'implantation récente liée un phénomène politique et économique l'immigration de masse.
Le président Macron n’a pas twitté depuis le 23 décembre.A-t-il été kidnappé comme le laisse croire la photo ci-dessus ?
Sur Twitter, les internautes s’interrogent : le président n’a pas souhaité de Joyeux Noël aux Français, alors que pour l’Iftar, il avait été bavard :
Pourtant les autres chefs d’Etat n’ont pas eu de complexe :
Grèves à Noël : La macronie s’en fout !
Alors que l’on vient de dépasser les 22 jours de grèves et de paralysie dans les transports en commun, le ministre Elisabeth Borne s’offre un Noël à Marrakech. Une belle démonstration de la vie dans le monde Macron.
Gilets Jaunes : retour sur une révolte sanglante
Les Gilets Jaunes auront indéniablement marqué le quinquennat d’Emmanuel Macron. Face à l’exécutif, la spontanéité et la ténacité du mouvement auront été mise à rude épreuve… Retour sur ces gilets jaunes marqués à vie par leur engagement.
La fenêtre d’Overton : rendre acceptable ce qui ne l’est pas
Fixer un cadre à ce qui est acceptable par la société : La fenêtre d’Overton n’était initialement pas destinée à devenir une véritable technique de manipulation… et pourtant…
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/greves-a-noel-la-macronie-sen-fout-journal-du-jeudi-26-decembre-2019
Nous venons de fêter les soixante ans de la Vème République. À son sujet une opinion fait consensus parmi constitutionnalistes et politistes. Depuis 1962, année où celle-ci fut réformée en profondeur avec le changement du mode de désignation du président de la République, lʼélection présidentielle est la « clef de voûte » de système politique français.
En témoigne le passionnant ouvrage La quadrature des classes de Thibault Muzergues, publié en mai 2018 chez Au bord de lʼeau et Marque belge. Cʼest à partir des résultats électoraux du dernier scrutin présidentiel quʼil détermine la nouvelle configuration sociologique, non seulement de la France mais aussi de lʼOccident dans son ensemble. En réalité il applique aux sociétés des États-Unis et dʼEurope les enseignements quʼil tire du rapport de force entre les sensibilités partisanes sorti des urnes hexagonales au soir du 18 avril 2017. Ce qui nous rappelle, comme le fit remarquer Schopenhauer, quʼil nʼy a pas de faits mais uniquement des interprétations.
Les contribuables français (pour qui il n’y a plus d’argent) qui respectent les règles continueront, eux, à tout payer au prix fort !
Lors de ses voeux à la presse, le 3 janvier dernier (2018), le président Macron a annoncé une nouvelle loi contre les Fake News. Elle risque de se retourner contre ceux qu’officiellement il entend protéger les journalistes accrédités et le personnel politique.
Qui a écrit « la publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler sera punie d'une amende de 45 000 euros » ? S'agit-il du futur projet de loi sur les fake news ? Non. La disposition en question figure tout simplement dans la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881. L'attirail juridique qui permet d'intervenir pour corriger une information existe bien. Pourquoi en demander plus ? Il faudrait alors s'interroger sur les réelles motivations du président de la République.
Une annonce symbolique. Samedi 21 décembre, l’Élysée a annoncé qu’Emmanuel Macron renonçait à sa retraite de président de la République. «Il n’y a pas de volonté d’affichage», seulement «une volonté de cohérence» de sa part, commente l’Élysée. Il renonce ainsi à 6220 euros bruts mensuels, une somme inscrite dans la loi depuis 1955, que touchent les présidents à la retraite dès la fin de leur mandat.
On présente aujourd’hui l’abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? Pour Jean-Louis Harouel, agrégé de droit et professeur émérite de l’université Panthéon-Assas, elle est un des effets de la « religion des droits de l’homme », continuatrice de vieilles hérésies oubliées. La suppression de la peine capitale a en réalité a ouvert la voie à une perversion de la justice au profit des criminels et au détriment de la sécurité des innocents. S’inscrivant en faux, Jean-Louis Harouel propose une autre lecture, dénonçant les manipulations des abolitionnistes de Hugo à Robert Badinter.