
Le 29 novembre, Jean-Paul Delevoye, alors haut-commissaire à la réforme des retraites, appelait de ses vœux l’arrivée de « 50 millions de populations entre guillemets ‘étrangères’ (sic) pour équilibrer la population active en 2050 en Europe ». Son propos se basait sur un rapport de l’ONU datant de l’an 2000, qui chiffre à 47,4 millions « le nombre d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population » de l’Union européenne, préconisant des « migrations de remplacement » pour faire face au vieillissement des populations.
Dans un entretien accordé à Catholic News Agency le 5 décembre, le ministre de la famille hongroise a justifié les nombreux efforts consentis par le gouvernement de Viktor Orban envers les familles, au nom de la survie de l’identité chrétienne du pays, et aussi de l’Europe. Katalin Novak, ministre hongrois de la famille, déclare :