France et politique française - Page 1831
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Selon un sondage, les Français soutiennent la préférence nationale pour l'emploi en temps de crise
Selon une étude intitulée Sentiment populiste et nativiste en 2019, publiée le 5 septembre par l'institut Ipsos, 54% des Français seraient favorables à ce que les entreprises embauchent en priorité des citoyens français «natifs», plutôt que des personnes immigrées, lorsque les offres d'emploi se raréfient (contre 19% qui ne sont pas d'accord avec cette proposition).En 2019, la préférence nationale française en matière d'emploi, lorsque celui-ci se raréfie, serait en outre en légère hausse, puisque cette mesure recueillait l'approbation de 51% des Français en 2016, comme le rapporte ce 9 septembre Le Figaro après s'être entretenu avec un chef de projet chez Ipsos.[...]En savoir plus sur francais.rt.comLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, l'emploi, social 0 commentaire -
Cancers dans le monde agricole : des chiffres qui ne font pas l’affaire des marchands de peur
Suite à différentes plaintes déposée par des maires inquiets de la santé de leur concitoyens, une polémique s’est développée sur la mise en place de limites autour des zones d’épandage agricole. Le gouvernement voudrait une limite entre 5 et 10 mètres, d’autres voudraient 150 mètres – autant dire un arrêt de l’agriculture intensive. Les reportages n’ont pas manqué, montrant des agriculteurs bio (comme par hasard) se plaindre de retrouver des résidus de pesticides sur leurs cultures. Mais quels sont exactement les risques identifiés ? Les reportages se sont montrés plus discrets à ce sujet.
Si risques il y a, les agriculteurs traditionnels devraient être les premiers concernés car ils manipulent, respirent et sont, d’une façon générale, en contact direct avec les produits qu’ils épandent. De plus, leurs habitations sont très souvent au milieu des champs et des zones d’épandage. On pourrait donc s’attendre à ce qu’ils développent plus de cancers, de leucémies et autres maladies tant redoutées. Ce sont, bizarrement (ou pas), des informations sur lesquelles la presse traditionnelle s’est peu étendue.
Or, il existe une étude, menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et l’université de Caen, parue en 2014, et dont on peut facilement se procurer la synthèse sur Internet. Elle s’intitule « Enquête AGRICAN, agriculture et cancer ». On peut y lire : « La cohorte Agrican est l’une des plus grandes au monde à se pencher sur la santé du milieu agricole, et une des seules à avoir pris en considération les actifs comme les retraités, les salariés et les exploitants, les femmes aussi bien que les hommes. » Elle a été créée en 2005 et elle étudie plus de 40 cancers différents ainsi que des maladies respiratoires ou neurodégénératives. Les personnes qui en font partie sont interrogées régulièrement, ce qui permet de mesurer l’évolution des expositions.Que disait, en 2014, l’étude AGRICAN ? Eh bien, à celui de la population française dans son ensemble, le taux de mortalité par tumeur y est inférieur de 30 % chez les hommes et 24 % chez les femmes. Si l’on rentre dans le détail, les cancers des voies respiratoires y sont inférieurs de 49 % pour les hommes, 41 % pour les femmes, ceux des voies aérodigestives, de 42 % et 51 %, quant aux cancers hématologiques (leucémies, lymphomes…), les chiffres sont équivalents à ceux de la population totale pour les femmes et inférieurs de 11 % pour les hommes. Seuls les mélanomes et myélomes sont plus élevés dans le monde agricole (+26 %) du fait, probablement, de l’exposition plus fréquente au soleil.
Même si le document de 2014 reconnaît que cette étude n’est pas parfaite, et qu’après trente années de recherche, le risque de cancer en milieu agricole n’est pas encore pleinement connu, ces chiffres parlent d’eux-mêmes : les écarts trouvés entre la population agricole et l’ensemble de la population sont significatifs et hors des zones d’incertitude des sondages. Alors, ne faudrait-il pas aussi les prendre en considération, plutôt que d’écouter aveuglément les marchands de peur ?
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« Foulards de Creil », 30 ans après, par Franck Deletraz
Il est des anniversaires qui montrent à quel point le mal s’est aggravé et a répandu ses métastases dans l’ensemble de ce corps malade qu’est la France. Ainsi, le trentenaire de la fameuse affaire des « foulards de Creil » : partie de l’exclusion en septembre 1989 de trois collégiennes musulmanes qui refusaient d’ôter leur voile en classe, cette affaire – dont seuls quelques rares élus ont compris à l’époque qu’elle constituait un premier pas vers une organisation islamique des quartiers ethniques – allait susciter une vive polémique, au terme de laquelle le gouvernement socialiste, avec une pleutrerie incroyable, rejetait la responsabilité sur les chefs d’établissements d’accepter d’accueillir ou non les élèves voilées. Trente ans plus tard, et après l’adoption de multiples lois, les voiles et autres hijabsont complètement envahi l’espace public français, soulignant ainsi les progrès fulgurants de l’islamisation de notre pays.
A l’époque déjà, les grands médias, les professionnels de l’antiracisme et autres « bonnes consciences » s’étaient bien sûr immédiatement indignés du renvoi de ces trois élèves musulmanes. Malek Boutih, alors vice-président de SOS Racisme, jugeant « scandaleux que l’on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens », avait exigé leur réintégration immédiate. Tout comme Danielle Mitterrand, qui avait appelé au… « respect des traditions » (islamiques seulement). Quant à Jospin, alors ministre de l’Education, après avoir déclaré qu’il fallait respecter « la laïcité de l’école », il s’était empressé d’ajouter que « l’école est faite pour accueillir les enfants et pas pour les exclure ». A la suite d’un « accord » avec les parents, l’établissement avait donc accepté en octobre de reprendre les trois élèves, en exigeant d’elles qu’elles cessent « tout prosélytisme religieux à l’intérieur du collège » et mettent « un frein à leur comportement agressif, notamment à l’encontre des élèves musulmans moins stricts qu’elles dans l’application de la loi coranique ». Or, dès le 19 octobre, les trois collégiennes revenaient avec leur voile en classe…
L’instrument de conquête
Cette affaire a été la première vraie « rébellion » contre l’autorité française d’une partie de la communauté musulmane vivant sur notre sol. Sur le modèle de Creil, les cas vont ainsi se multiplier un peu partout en France. Sans la moindre réponse ferme de la part de l’Etat. C’est ainsi qu’en novembre 1989, le Conseil d’Etat, saisi par Jospin, affirmera que tant qu’elle ne constitue pas « un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande » (ce qui est pourtant le cas), « l’expression des convictions religieuses ne peut être interdite à l’école ». Dans la foulée, les enseignants recevront une directive les abandonnant à leur sort et, surtout, à la pression énorme (y compris physique) des familles musulmanes…
Depuis, l’Etat a bien sûr multiplié les lois : circulaire « Bayrou » de 1994, loi de 2004 proscrivant les signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires, loi de 2010 interdisant de se « dissimuler le visage » dans les lieux publics, Charte de la laïcité à l’école de 2013… Avec une inefficacité totale, et largement prévisible puisque, à aucun moment lors de l’élaboration de ces textes, l’Etat n’aura eu le courage de désigner l’ennemi.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 9 septembre 2019
https://fr.novopress.info/215421/foulards-de-creil-30-ans-apres-par-franck-deletraz/
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Le Rassemblement National est opposé à l’extension de la PMA
C’est la position officielle du mouvement selon Nicolas Bay :
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby, magouille et compagnie, santé et médecine 0 commentaire7 (BONNES) RAISONS DE SIGNER POUR UN RÉFÉRENDUM SUR ADP
Immigration : comment « la carpe et le lapin » est devenu « le loup dans la bergerie »
Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »
Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.
Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.
Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.
Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.
Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.
Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.
La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le premier quinquennat de François Mitterrand.
Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.
Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, immigration, l'emploi, lobby, social 0 commentaireLes moteurs des populismes restent forts dans la plupart des pays
Par Henri Wallard *
Une nouvelle étude réalisée par Ipsos dans 27 pays montre que le sentiment que le « système » est cassé reste majoritaire (54 %) et que le fait qu’il avantage les riches et les puissants est largement partagé (70 %). Ces résultats confirment que certains moteurs des forces dites « populistes » restent globalement actifs même si leur importance respective peut varier selon des particularités nationales : enjeux sociaux et économiques (peur du chômage et des inégalités), confiance érodée dans les dirigeants et institutions, sentiment de déclassement et d’abandon, crainte ou rejet de l’immigration, voire peur du terrorisme. Plusieurs évolutions se dégagent.
En premier lieu, le changement politique peut améliorer la perception du « système ». L’idée que « the society is broken » a reculé entre 2016 et 2019 dans des pays qui ont vu un change- ment politique majeur : Corée du Sud (–29 %) et Italie (–19 %) mais aussi en Espagne (–9 %) et en France (–6 %). En revanche, il a augmenté au Royaume- Uni (+7 %) en liaison avec le Brexit. Même si l’alternance politique ne per- met pas de venir à bout de toutes les cri- tiques dont le « système » fait l’objet ; le changement reste un puissant levier d’amélioration des perceptions.
Deuxième enseignement majeur de cette étude : alors que, dans de nom- breux pays, la reprise économique semble s’être affirmée entre 2016 et 2019, le sentiment que « l’économie avantage les riches et les puissants » n’a reculé dans presque aucun de la trentaine de peuples interrogés. La dynamique intervenue juste après des changements politiques est également illustrative. Ainsi l’Italie a connu une baisse spectaculaire de ce sentiment entre 2016 et 2018 (–19 %) puis une forte remontée en 2019 (+16 %). En 2019, près des trois quarts des Italiens comme des Français pensent que le système avantage les riches et les puissants. A 69 %, l’Allemagne n’est pas loin derrière. Ainsi l’inquiétude sociale peut s’estomper à l’occasion d’un changement politique associé à des forces populistes sans pour autant rester stable durablement.
Troisième enseignement : l’idée que l’on a besoin « d’un leader fort, capable de contourner/briser les règles », si nécessaire, reste très répandue dans de nombreux pays et particulièrement forte en France (77 %), qui est en tête des pays interrogés et a pratiquement retrouvé le niveau de 2016 après une baisse de 19 % entre 2016 et 2017. En Suède, cette appétence pour un leader fort progresse de 23 %, en 2016, à 36 % en 2019. Seules l’Allemagne, l’Espagne et la Serbie se situent en dessous du seuil de 33 %.
Ces résultats peuvent éclairer les traductions politiques potentielles de ces tendances d’opinion à court et moyen terme. Les moteurs des partis dits populistes restent forts dans les appréciations liées aux aspects sociaux, institutionnels et relatifs aux inégalités. Conjugués aux préoccupations liées à l’immigration variables selon les pays et leurs histoires, il n’y a guère de doute que la progression de ces forces reste complètement à l’ordre du jour, pour peu qu’elles soient incarnées par une offre politique nationale crédible.
(*) président d’Ipsos Public Affairs
Source : Les Echos 06/09/2019
Appel à la mobilisation sur les routes de France
Grosse ambiance sur les autoroutes franciliennes ce soir.
Les automobilistes apprécient la défense de la paternité.
Un avant goût de la forte mobilisation qui s'annonce #MarchonsEnfants#6octobre147 personnes parlent à ce sujetMacron l’imposteur : version politique étrangère
Après avoir gesticulé pour rien lors de la réunion de Biarritz, dont, je l’ai souligné, les résultats sont nuls, sur tous les plans (qui pourrait sérieusement citer un domaine où quoi que ce soit a été changé à Biarritz ?),
Macron a réuni voici peu les ambassadeurs français à Paris pour, disent les journalistes qui cirent ses souliers à longueur de temps, faire souffler un “vent diplomatique nouveau”
Ce vent diplomatique nouveau à la consistance du vide, et en écoutant Macron, on n’y discerne strictement rien de nouveau.
Macron veut dialoguer avec la Russie ? Il a rencontré Vladimir Poutine récemment et lui a fait des remontrances qui ont conduit le Président russe à lui dire qu’il ferait mieux de s’occuper des affaires de la France et à lui rappeler qu’en matière de brutalité policière, la France, où la répression exercée contre les gilets jaunes a laissé des dizaines de gens mutilés ou éborgnés, n’a de leçon à donner à personne.
Macron veut régler le dossier ukrainien ? Il ne peut rien tout seul, l’Union Européenne ne peut rien non plus, et ce n’est pas en faisant des remontrances à Poutine que Macron arrivera à quoi que ce soit.
Plus adepte du multiculturalisme et du relativisme que jamais, Macron évoque l’émergence de nouvelles puissances, sans dire lesquelles, et parlé de la “fin de l’hégémonie occidentale sur le monde”.
Il donne, là, l’impression de divaguer : nul ne peut voir de quelles puissances il parle (la Chine ? l’Iran ?), et nul ne peut voir non plus de “nouvelles puissances” à même de changer l’ordre du monde, et tout comme Macron a dit voici peu n’importe quoi sur les incendies en Amazonie, pour le simple plaisir de s’en prendre au Président brésilien, qu’il déteste visiblement, il dit à nouveau n’importe quoi.
La Chine (s’il s’agit d’elle) ne semble forte qu’aux yeux de qui se montre faible face à elle et est en réalité fragile, instable, confrontée à des problèmes démographiques et financiers, vraisemblablement en récession, incapable d’intimider les Etats-Unis sous Donald Trump, confrontée à un soulèvement à Hong Kong qu’elle ne sait comment résoudre et dont elle discerne qu’il peut faire tache d’huile.
L’Iran (s’agit-il de lui ?) est un pays du tiers-monde soumis à un régime fanatique, raciste, tyrannique, antisémite, terroriste, exsangue financièrement, essentiellement délétère, mais au bord de l’écroulement économique.
Y a-t-il d’autres “puissances” auxquelles Macron peut songer ? Il ne songe pas au Brésil à l’évidence. Alors ? Le Venezuela de Maduro ? Hypothèse risible.
L’hégémonie occidentale n’est aucunement menacée et ceux qui imaginent sa fin prennent leurs désirs pour des réalités.
L’Europe se porte mal, c’est exact. Les données économiques le montrent et indiquent que les pays qui la composent sont tous, sous des formes et à des degrés divers, confrontés à un vieillissement accéléré, à un changement de population, à une islamisation croissante, à une stagnation économique, à des systèmes d’Etat providence à bout de souffle, et il y a donc une dimension crépusculaire dans l’Europe d’aujourd’hui. Mais l’Europe n’est pas l’Occident tout entier.
Macron ne cite pas les Etats-Unis qui, eux, se portent très bien.
Dans son discours d’imposteur arrogant, Macron, tout en brassant beaucoup d’air (ce qui est logique, il se veut champion de l’écologie et des éoliennes), oublie quasiment tout ce qui constitue la réalité.
Dans son discours d’imposteur arrogant, Macron, tout en brassant beaucoup d’air (ce qui est logique, il se veut champion de l’écologie et des éoliennes), oublie quasiment tout ce qui constitue la réalité.
Et il oublie ainsi des données essentielles.
Nulle part il ne parle de ce qui permet le dynamisme économique. Nulle part il ne mentionne les régimes politiques, et ce qui fait la différence entre une démocratie et une dictature, entre un pays qui respecte les libertés économiques, politiques et culturelles et un pays qui ne les respecte pas.
Il n’est, je sais, pas le seul dans ce cas.
Quasiment tous ceux qui en France traitent de stratégie et de géopolitique parlent comme Macron, ce qui rend leurs propos vides et leurs écrits illisibles.
Macron parle de “repenser l’ordre et l’imaginaire politique”, et de la nécessité de “rebattre les cartes” : il ne repense rien, car avec des mots creux on ne repense rien, et il ne rebat aucunement les cartes.
Des journalistes cireurs de souliers voient un “vent diplomatique nouveau”. Vraiment ? Ils sont payés pour écrire ce qu’ils écrivent, je sais. Il faut bien qu’ils gagnent leur vie, je sais.
Adapté d’un article publié sur les4verites.com
https://www.alterinfo.ch/2019/09/08/macron-limposteur-version-politique-etrangere/
La France ? 84 millions d'habitants et 3 millions de centenaires ! Le Système, c'est le grand foutoir généralisé...