France et politique française - Page 1873
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Pour le principe de Société Inter-Nationaliste (Florian Rouanet)
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Jean Messiha : «Le logiciel du macronisme, c’est un logiciel de déracinement»
Jean Messiha, membre du Bureau national du Rassemblement national (RN), était l’invité politique de l’Info de Stéphanie De Muru.Sur le plateau de RT France, il évoque la rentrée politique du Rassemblement national avec, en ligne de mire, les élections municipales de mars 2020.
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Politique & éco n°227 – Alstom : scandale d’Etat, gâchis financier et trahison au sommet !
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Claude Rochet, professeur émérite et ancien haut fonctionnaire à Bercy.
1) Genèse d’un scandale : l’Amérique prédatrice
– Une longue histoire industrielle, une technologie unique, les turbines « Arabelle »
– Un savoir faire stratégique
– Le rôle des investissements publics, utilité stratégique contre rentabilité
– Ces hauts fonctionnaires qui ont peur des mots, stratégie, patriotisme, couardise et idéologie
– L’affaire Pierucci, le piège américain
– Arrestation à New York (JFK) par le FBI, proposition de servir les intérêts US2) Un véritable roman policier, la réalité dépasse ici la fiction
– Où l’on découvre l’arme juridique du FCPA
– La clause de rattachement au territoire américain, le dollar certes mais aussi le simple usage d’un site internet
– FCPA, un business : 15 milliards de $ de CA
– Soumission française
– Jurisprudence Al Capone
– Soft Power et soft skill
– Un enjeu économique mais aussi culturel !
– Alstom abandonne Pierucci
– Le terrifiant témoignage sur la justice(DOJ) et de la prison américaine3) Les responsabilités françaises
– Montebourg fait, seul, preuve de courage, Macron mis en cause
– Hollande égal à lui même, indolent il ne s’intéresse pas à l’affaire
– L’enquête parlementaire est en marche : O. Marleix, J. Myard et d’autres
– Les mensonges de Kron, PDG d’Alstom
– Les Américains font ce qu’ils veulent !
– Le licenciement de Pierucci en procès
– Le livre de Pierucci publié avec M. Aron, cambriolage de l’ordinateur du journaliste
– A qui profite le crime ?
– Le parquet national financier plus prompt sur les costumes de Fillon que sur l’affaire Alstom
– Une oligarchie de mèche
– Hugh Bailey, conseiller d’Emmanuel Macron, nommé directeur de GE France : conflit d’intérêt caractérisé !
– Les suppressions d’emplois !
– La France vendue à la découpe !
– Pierucci veut faire racheter Alstom
– Haute trahison de Macron au titre des articles 67 & 68 de la Constitution (abolis par Sarkozy) -
Des « circonstances atténuantes » à la tuerie de Villeurbanne ?
Bernard Plouvier
Pour la énième fois depuis 2014, un « réfugié » mahométan tue et blesse avec un poignard d’honnêtes passants, par le simple fait qu’ils ne sont pas de sa race et de sa religion.
Le fait est patent. Néanmoins, voilà-t-il pas qu’au lieu de se pencher sur le caractère multi-récurrent du phénomène depuis cinq longues années, meurtrières à souhait, les journalistes des chaînes télévisées et radiophoniques cherchent et trouvent (!) des excuses au meurtrier, comme ils le font avec les violeurs et les pédophiles, sauf s’ils sont européens de souche et/ou (de mauvais) chrétiens.
Pourtant, les choses sont simples : chaque mois, on tue du « Souchien », du non barbu - un mahométan y regarde à deux fois avant d’expédier un barbu puisque cet artifice pileux est fort « tendance » chez ses coreligionnaires. L’évidence du crime sélectif et gratuit devrait être constatée par nos « chers journalistes ». Que non pas !
Tout le monde connaît le déchaînement de haine envers ceux qui nient la réalité de tel ou tel génocide. Or, le négationnisme se porte bien, s’il a pour but de renforcer la politique immigrationniste de nos princes, toutes tendances confondues, depuis la funeste année 1976 et le décret de regroupement familial des travailleurs immigrés décidé par le couple maudit Giscard-Chirac.
Crevez, Français de souche européenne, vous n’intéressez pas nos princes et leurs valets du monde merveilleux des média, au service de la méga-consommation.
Après tout, si vos enfants meurent, s’ils sont rackettés, tabassés, violés, c’est peut-être parce que, depuis un demi-siècle, vous votez pour les candidats d’une mafia au service, non pas de la Nation, non pas du « peuple souverain », mais au service des superbénéfices des producteurs et des négociants… qui n’ont pas toujours une quelconque attache française ni même européenne.
Électeurs, vous avez gravement péché contre la Nation et l’État. Vos enfants et petits-enfants en subiront toutes les conséquences… à moins d’un sursaut d’honneur et d’orgueil national, de moins en moins probable, s’agissant d’un « peuple de veaux », comme disait ouvertement le sieur de Gaulle.
Faudra-t-il attendre un salut de l’Est ?
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Isabelle Surply : « Le meilleur moyen d’aimer la France c’est d’être patriote et non antiraciste »
Nouvelle polémique au sujet du racisme anti-Blanc après les propos du journaliste Pierre Ménès ; selon lui, le racisme anti-Blanc est bien présent dans les stades de football.
Boulevard Voltaire a recueilli la réaction d’Isabelle Surply
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Urgences ? Immigration stop !
Eteindre les incendies tout en laissant se développer les départs de feu sans jamais s'opposer aux pyromanes, telle est, on le sait, la doctrine nouvelle d'un Emmanuel Macron en pleine chiraquisation, doctrine à laquelle tous les acteurs de l'Exécutif sont désormais priés de se soumettre.Agnès Buzyn, ministre de la santé n'échappera pas à cette règle. En annonçant un plan global en faveur des hôpitaux et plus particulièrement des Urgences en crise depuis des mois, la ministre tente donc de verser du sable sur les braises pour essayer de les réduire. Avec six cent millions injectés dans le système hospitalier destinés à restructurer les services, améliorer les traitements du personnel médical, mettre fin aux fermetures de lits et peut être même en rouvrir, la ministre espère apaiser la colère et gagner quelques précieuses années de calme jusqu'à la réélection en 2022 de l'actuel locataire de l'Elysée.Une fois de plus, la République des illusions, des artifices et du grand camouflage est à l'œuvre.Le vrai problème des Urgences n'est pas seulement financier même si la santé publique est un devoir d'Etat qui impose aux gouvernants de consentir les efforts budgétaires nécessaires.Le vrai problème des Urgences n'est pas l'incivisme supposé de nos compatriotes qui les pousserait à consulter en service hospitalier pour tout bobo subalterne.Le vrai problème des Urgences a un nom, une réalité et une exponentialité : IMMIGRATION!Seule une politique sans faiblesse d'arrêt total de l'immigration suivie d'un vaste plan de retour au pays rendra aux Français la qualité des soins auxquels ils ont droit dans la sécurité, et l'environnement paisible retrouvés de nos hôpitaux. -
Selon un sondage, les Français soutiennent la préférence nationale pour l'emploi en temps de crise
Selon une étude réalisée par l'institut Ipsos, lorsque l'emploi est rare dans un pays, la population de celui-ci souhaiterait que les entreprises favorisent les citoyens natifs. C'est notamment le cas en France.
Selon une étude intitulée Sentiment populiste et nativiste en 2019, publiée le 5 septembre par l'institut Ipsos, 54% des Français seraient favorables à ce que les entreprises embauchent en priorité des citoyens français «natifs», plutôt que des personnes immigrées, lorsque les offres d'emploi se raréfient (contre 19% qui ne sont pas d'accord avec cette proposition).En 2019, la préférence nationale française en matière d'emploi, lorsque celui-ci se raréfie, serait en outre en légère hausse, puisque cette mesure recueillait l'approbation de 51% des Français en 2016, comme le rapporte ce 9 septembre Le Figaro après s'être entretenu avec un chef de projet chez Ipsos.[...]En savoir plus sur francais.rt.comLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, l'emploi, social 0 commentaire -
Cancers dans le monde agricole : des chiffres qui ne font pas l’affaire des marchands de peur
Suite à différentes plaintes déposée par des maires inquiets de la santé de leur concitoyens, une polémique s’est développée sur la mise en place de limites autour des zones d’épandage agricole. Le gouvernement voudrait une limite entre 5 et 10 mètres, d’autres voudraient 150 mètres – autant dire un arrêt de l’agriculture intensive. Les reportages n’ont pas manqué, montrant des agriculteurs bio (comme par hasard) se plaindre de retrouver des résidus de pesticides sur leurs cultures. Mais quels sont exactement les risques identifiés ? Les reportages se sont montrés plus discrets à ce sujet.
Si risques il y a, les agriculteurs traditionnels devraient être les premiers concernés car ils manipulent, respirent et sont, d’une façon générale, en contact direct avec les produits qu’ils épandent. De plus, leurs habitations sont très souvent au milieu des champs et des zones d’épandage. On pourrait donc s’attendre à ce qu’ils développent plus de cancers, de leucémies et autres maladies tant redoutées. Ce sont, bizarrement (ou pas), des informations sur lesquelles la presse traditionnelle s’est peu étendue.
Or, il existe une étude, menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et l’université de Caen, parue en 2014, et dont on peut facilement se procurer la synthèse sur Internet. Elle s’intitule « Enquête AGRICAN, agriculture et cancer ». On peut y lire : « La cohorte Agrican est l’une des plus grandes au monde à se pencher sur la santé du milieu agricole, et une des seules à avoir pris en considération les actifs comme les retraités, les salariés et les exploitants, les femmes aussi bien que les hommes. » Elle a été créée en 2005 et elle étudie plus de 40 cancers différents ainsi que des maladies respiratoires ou neurodégénératives. Les personnes qui en font partie sont interrogées régulièrement, ce qui permet de mesurer l’évolution des expositions.Que disait, en 2014, l’étude AGRICAN ? Eh bien, à celui de la population française dans son ensemble, le taux de mortalité par tumeur y est inférieur de 30 % chez les hommes et 24 % chez les femmes. Si l’on rentre dans le détail, les cancers des voies respiratoires y sont inférieurs de 49 % pour les hommes, 41 % pour les femmes, ceux des voies aérodigestives, de 42 % et 51 %, quant aux cancers hématologiques (leucémies, lymphomes…), les chiffres sont équivalents à ceux de la population totale pour les femmes et inférieurs de 11 % pour les hommes. Seuls les mélanomes et myélomes sont plus élevés dans le monde agricole (+26 %) du fait, probablement, de l’exposition plus fréquente au soleil.
Même si le document de 2014 reconnaît que cette étude n’est pas parfaite, et qu’après trente années de recherche, le risque de cancer en milieu agricole n’est pas encore pleinement connu, ces chiffres parlent d’eux-mêmes : les écarts trouvés entre la population agricole et l’ensemble de la population sont significatifs et hors des zones d’incertitude des sondages. Alors, ne faudrait-il pas aussi les prendre en considération, plutôt que d’écouter aveuglément les marchands de peur ?
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« Foulards de Creil », 30 ans après, par Franck Deletraz
Il est des anniversaires qui montrent à quel point le mal s’est aggravé et a répandu ses métastases dans l’ensemble de ce corps malade qu’est la France. Ainsi, le trentenaire de la fameuse affaire des « foulards de Creil » : partie de l’exclusion en septembre 1989 de trois collégiennes musulmanes qui refusaient d’ôter leur voile en classe, cette affaire – dont seuls quelques rares élus ont compris à l’époque qu’elle constituait un premier pas vers une organisation islamique des quartiers ethniques – allait susciter une vive polémique, au terme de laquelle le gouvernement socialiste, avec une pleutrerie incroyable, rejetait la responsabilité sur les chefs d’établissements d’accepter d’accueillir ou non les élèves voilées. Trente ans plus tard, et après l’adoption de multiples lois, les voiles et autres hijabsont complètement envahi l’espace public français, soulignant ainsi les progrès fulgurants de l’islamisation de notre pays.
A l’époque déjà, les grands médias, les professionnels de l’antiracisme et autres « bonnes consciences » s’étaient bien sûr immédiatement indignés du renvoi de ces trois élèves musulmanes. Malek Boutih, alors vice-président de SOS Racisme, jugeant « scandaleux que l’on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens », avait exigé leur réintégration immédiate. Tout comme Danielle Mitterrand, qui avait appelé au… « respect des traditions » (islamiques seulement). Quant à Jospin, alors ministre de l’Education, après avoir déclaré qu’il fallait respecter « la laïcité de l’école », il s’était empressé d’ajouter que « l’école est faite pour accueillir les enfants et pas pour les exclure ». A la suite d’un « accord » avec les parents, l’établissement avait donc accepté en octobre de reprendre les trois élèves, en exigeant d’elles qu’elles cessent « tout prosélytisme religieux à l’intérieur du collège » et mettent « un frein à leur comportement agressif, notamment à l’encontre des élèves musulmans moins stricts qu’elles dans l’application de la loi coranique ». Or, dès le 19 octobre, les trois collégiennes revenaient avec leur voile en classe…
L’instrument de conquête
Cette affaire a été la première vraie « rébellion » contre l’autorité française d’une partie de la communauté musulmane vivant sur notre sol. Sur le modèle de Creil, les cas vont ainsi se multiplier un peu partout en France. Sans la moindre réponse ferme de la part de l’Etat. C’est ainsi qu’en novembre 1989, le Conseil d’Etat, saisi par Jospin, affirmera que tant qu’elle ne constitue pas « un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande » (ce qui est pourtant le cas), « l’expression des convictions religieuses ne peut être interdite à l’école ». Dans la foulée, les enseignants recevront une directive les abandonnant à leur sort et, surtout, à la pression énorme (y compris physique) des familles musulmanes…
Depuis, l’Etat a bien sûr multiplié les lois : circulaire « Bayrou » de 1994, loi de 2004 proscrivant les signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires, loi de 2010 interdisant de se « dissimuler le visage » dans les lieux publics, Charte de la laïcité à l’école de 2013… Avec une inefficacité totale, et largement prévisible puisque, à aucun moment lors de l’élaboration de ces textes, l’Etat n’aura eu le courage de désigner l’ennemi.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 9 septembre 2019
https://fr.novopress.info/215421/foulards-de-creil-30-ans-apres-par-franck-deletraz/
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Le Rassemblement National est opposé à l’extension de la PMA
C’est la position officielle du mouvement selon Nicolas Bay :