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France et politique française - Page 1874

  • 7 (BONNES) RAISONS DE SIGNER POUR UN RÉFÉRENDUM SUR ADP

  • Immigration : comment « la carpe et le lapin » est devenu « le loup dans la bergerie »

    Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »

    Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.

    Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.

    Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.

    Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.

    Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.

    Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.

     La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le  premier quinquennat de François Mitterrand.

    Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.

    Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

    https://www.dreuz.info/2019/09/10/immigration-comment-la-carpe-et-le-lapin-est-devenu-le-loup-dans-la-bergerie/

  • Les moteurs des populismes restent forts dans la plupart des pays

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    Par Henri Wallard *

    Une nouvelle étude réalisée par Ipsos dans 27 pays montre que le sentiment que le « système » est cassé reste majoritaire (54 %) et que le fait qu’il avantage les riches et les puissants est largement partagé (70 %). Ces résultats confirment que certains moteurs des forces dites « populistes » restent globalement actifs même si leur importance respective peut varier selon des particularités nationales : enjeux sociaux et économiques (peur du chômage et des inégalités), confiance érodée dans les dirigeants et institutions, sentiment de déclassement et d’abandon, crainte ou rejet de l’immigration, voire peur du terrorisme. Plusieurs évolutions se dégagent.

    En premier lieu, le changement politique peut améliorer la perception du « système ». L’idée que « the society is broken » a reculé entre 2016 et 2019 dans des pays qui ont vu un change- ment politique majeur : Corée du Sud (–29 %) et Italie (–19 %) mais aussi en Espagne (–9 %) et en France (–6 %). En revanche, il a augmenté au Royaume- Uni (+7 %) en liaison avec le Brexit. Même si l’alternance politique ne per- met pas de venir à bout de toutes les cri- tiques dont le « système » fait l’objet ; le changement reste un puissant levier d’amélioration des perceptions.

    Deuxième enseignement majeur de cette étude : alors que, dans de nom- breux pays, la reprise économique semble s’être affirmée entre 2016 et 2019, le sentiment que « l’économie avantage les riches et les puissants » n’a reculé dans presque aucun de la trentaine de peuples interrogés. La dynamique intervenue juste après des changements politiques est également illustrative. Ainsi l’Italie a connu une baisse spectaculaire de ce sentiment entre 2016 et 2018 (–19 %) puis une forte remontée en 2019 (+16 %). En 2019, près des trois quarts des Italiens comme des Français pensent que le système avantage les riches et les puissants. A 69 %, l’Allemagne n’est pas loin derrière. Ainsi l’inquiétude sociale peut s’estomper à l’occasion d’un changement politique associé à des forces populistes sans pour autant rester stable durablement.

    Troisième enseignement : l’idée que l’on a besoin « d’un leader fort, capable de contourner/briser les règles », si nécessaire, reste très répandue dans de nombreux pays et particulièrement forte en France (77 %), qui est en tête des pays interrogés et a pratiquement retrouvé le niveau de 2016 après une baisse de 19 % entre 2016 et 2017. En Suède, cette appétence pour un leader fort progresse de 23 %, en 2016, à 36 % en 2019. Seules l’Allemagne, l’Espagne et la Serbie se situent en dessous du seuil de 33 %.

    Ces résultats peuvent éclairer les traductions politiques potentielles de ces tendances d’opinion à court et moyen terme. Les moteurs des partis dits populistes restent forts dans les appréciations liées aux aspects sociaux, institutionnels et relatifs aux inégalités. Conjugués aux préoccupations liées à l’immigration variables selon les pays et leurs histoires, il n’y a guère de doute que la progression de ces forces reste complètement à l’ordre du jour, pour peu qu’elles soient incarnées par une offre politique nationale crédible.

    (*) président d’Ipsos Public Affairs

    Source : Les Echos 06/09/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/06/les-moteurs-des-populismes-restent-forts-dans-la-plupart-des-6174175.html

  • Appel à la mobilisation sur les routes de France

    Appel à la mobilisation sur les routes de France
    La Manif pour Tous92@manifpourtous92

    Grosse ambiance sur les autoroutes franciliennes ce soir.
    Les automobilistes apprécient la défense de la paternité.
    Un avant goût de la forte mobilisation qui s'annonce

    Vidéo intégrée
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  • Macron l’imposteur : version politique étrangère

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    Après avoir gesticulé pour rien lors de la réunion de Biarritz, dont, je l’ai souligné, les résultats sont nuls, sur tous les plans (qui pourrait sérieusement citer un domaine où quoi que ce soit a été changé à Biarritz ?),

    Macron a réuni voici peu les ambassadeurs français à Paris pour, disent les journalistes qui cirent ses souliers à longueur de temps, faire souffler un “vent diplomatique nouveau”

    Ce vent diplomatique nouveau à la consistance du vide, et en écoutant Macron, on n’y discerne strictement rien de nouveau.

    Macron veut dialoguer avec la Russie ? Il a rencontré Vladimir Poutine récemment et lui a fait des remontrances qui ont conduit le Président russe à lui dire qu’il ferait mieux de s’occuper des affaires de la France et à lui rappeler qu’en matière de brutalité policière, la France, où la répression exercée contre les gilets jaunes a laissé des dizaines de gens mutilés ou éborgnés, n’a de leçon à donner à personne.

    Macron veut régler le dossier ukrainien ? Il ne peut rien tout seul, l’Union Européenne ne peut rien non plus, et ce n’est pas en faisant des remontrances à Poutine que Macron arrivera à quoi que ce soit.

    Plus adepte du multiculturalisme et du relativisme que jamais, Macron évoque l’émergence de nouvelles puissances, sans dire lesquelles, et parlé de la “fin de l’hégémonie occidentale sur le monde”.

    Il donne, là, l’impression de divaguer : nul ne peut voir de quelles puissances il parle (la Chine ? l’Iran ?), et nul ne peut voir non plus de “nouvelles puissances” à même de changer l’ordre du monde, et tout comme Macron a dit voici peu n’importe quoi sur les incendies en Amazonie, pour le simple plaisir de s’en prendre au Président brésilien, qu’il déteste visiblement, il dit à nouveau n’importe quoi.

    La Chine (s’il s’agit d’elle) ne semble forte qu’aux yeux de qui se montre faible face à elle et est en réalité fragile, instable, confrontée à des problèmes démographiques et financiers, vraisemblablement en récession, incapable d’intimider les Etats-Unis sous Donald Trump, confrontée à un soulèvement à Hong Kong qu’elle ne sait comment résoudre et dont elle discerne qu’il peut faire tache d’huile.

    L’Iran (s’agit-il de lui ?) est un pays du tiers-monde soumis à un régime fanatique, raciste, tyrannique, antisémite, terroriste, exsangue financièrement, essentiellement délétère, mais au bord de l’écroulement économique.

    Y a-t-il d’autres “puissances” auxquelles Macron peut songer ? Il ne songe pas au Brésil à l’évidence. Alors ? Le Venezuela de Maduro ? Hypothèse risible.

    L’hégémonie occidentale n’est aucunement menacée et ceux qui imaginent sa fin prennent leurs désirs pour des réalités.

    L’Europe se porte mal, c’est exact. Les données économiques le montrent et indiquent que les pays qui la composent sont tous, sous des formes et à des degrés divers, confrontés à un vieillissement accéléré, à un changement de population, à une islamisation croissante, à une stagnation économique, à des systèmes d’Etat providence à bout de souffle, et il y a donc une dimension crépusculaire dans l’Europe d’aujourd’hui. Mais l’Europe n’est pas l’Occident tout entier.

    Macron ne cite pas les Etats-Unis qui, eux, se portent très bien.

    Dans son discours d’imposteur arrogant, Macron, tout en brassant beaucoup d’air (ce qui est logique, il se veut champion de l’écologie et des éoliennes), oublie quasiment tout ce qui constitue la réalité.

    Dans son discours d’imposteur arrogant, Macron, tout en brassant beaucoup d’air (ce qui est logique, il se veut champion de l’écologie et des éoliennes), oublie quasiment tout ce qui constitue la réalité.

    Et il oublie ainsi des données essentielles.

    Nulle part il ne parle de ce qui permet le dynamisme économique. Nulle part il ne mentionne les régimes politiques, et ce qui fait la différence entre une démocratie et une dictature, entre un pays qui respecte les libertés économiques, politiques et culturelles et un pays qui ne les respecte pas.

    Il n’est, je sais, pas le seul dans ce cas.

    Quasiment tous ceux qui en France traitent de stratégie et de géopolitique parlent comme Macron, ce qui rend leurs propos vides et leurs écrits illisibles.

    Macron parle de “repenser l’ordre et l’imaginaire politique”, et de la nécessité de “rebattre les cartes” : il ne repense rien, car avec des mots creux on ne repense rien, et il ne rebat aucunement les cartes.

    Des journalistes cireurs de souliers voient un “vent diplomatique nouveau”. Vraiment ? Ils sont payés pour écrire ce qu’ils écrivent, je sais. Il faut bien qu’ils gagnent leur vie, je sais.

    Guy Millière

    Adapté d’un article publié sur les4verites.com

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/08/macron-limposteur-version-politique-etrangere/

  • La France ? 84 millions d'habitants et 3 millions de centenaires ! Le Système, c'est le grand foutoir généralisé...

    https://www.francetvinfo.fr/economie/fraude/fraude-sociale-pour-l-administration-nous-sommes-84-millions-d-habitants_3602027.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/06/la-france-84-millions-d-habitants-et-3-millions-de-centenair-6173736.html

  • Pierre Ménès et Cédric Villani dans le collimateur des ligues de vertu antiracistes !

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    Peut-on imaginer plus dissemblables que Cédric Villani et Pierre Ménès ? Pourtant, ces deux personnalités, l’un député macroniste de l’Essonne, candidat dissident à la mairie de Paris, et l’autre commentateur sportif, ont ceci de commun : une certaine liberté de ton devenue rare, en ces temps de sourcilleuse « bienveillance ».

    Le premier semble être le seul à pouvoir mettre Anne Hidalgo en danger dans la capitale, la candidature, même estampillée LREM, d’un Benjamin Griveaux demeurant une erreur de casting à peu près aussi cataclysmique que celle d’une Nathalie Loiseau lors des dernières élections européennes. Du coup, Ian Brossat, adjoint au Logement, à l’Habitat durable et à l’Hébergement d’urgence de la mairie de Paris, tente de coincer l’homme à l’araignée sur le prix du mètre carré local, histoire de voir s’il est homme de terrain ou non.

    Pour l’édile, Cédric Villani se serait emberlificoté dans ses chiffres et ses calculs. Pour ce dernier, ses déclarations auraient été tronquées. Ces deux informations doivent sûrement être plus ou moins fondées.

    Mais ensuite, quoi de mieux, pour mettre ce candidat fantasque à la peine qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ? Soit le très opportun rappel d’un entretien accordé en 2017, à RTL, à l’occasion duquel Cédric Villani affirmait : « On ne peut pas comparer directement les résultats du système éducatif français aux systèmes étrangers. Le système français est l’un de ceux dans lesquels il y a le plus de complexité, parce que la France est une terre d’immigration. Ça a fait partie aussi de la force de la science française, mais il y a des difficultés, des questions d’assimilation qui sont à gérer. La France est une société qui est très chamarrée, très colorée. » Le voilà donc lepénisé pour la campagne municipale à venir.

    De l’autre côté de la galaxie médiatique, Pierre Ménès, qui, dans le même temps, a le malheur de répondre à Lilian Thuram, héros national en 1998 qui, ayant stigmatisé « le sentiment de supériorité des Blancs sur les Noirs », se fait tacler de la sorte : « Le vrai problème, en tout cas en France et dans le foot, c’est le racisme anti-Blancs. J’incite les gens à prendre leur voiture et à aller faire le tour des matchs en région parisienne, le week-end. Allez voir ces matchs-là et comptez les Blancs sur le terrain. En général, il y a le gardien de but et l’arrière-droit. »

    Mieux, ou pis, comme toujours, c’est question de point de vue, le même en appelle à son expérience personnelle, ayant voulu inscrire son fils, même « s’il n’avait aucun talent », à un club de football : « Il y est allé et, au bout de deux fois, il a dit : “Papa, je n’y vais plus”. Et quand j’ai demandé pourquoi, il a répondu : “On ne me parle pas, on ne me dit pas bonjour, on ne me passe pas la balle, on ne prend pas la douche avec moi”. »

    Ce à quoi l’inénarrable Rokhaya Diallo a cru bon de tweeter en retour : « Mdr il reconnaît lui-même que son fils n’a aucun talent en foot et s’étonne que personne ne lui passe le ballon ? C’est ça le racisme anti-Blancs ? » Certes, que Ménès junior ne soit pas un futur dieu du stade, on peut l’entendre. Mais que personne ne lui dise bonjour à l’entrée ou à la sortie du terrain, c’est une tout autre affaire, susceptible de s’apparenter à une sorte de « racisme anti-Blancs ». Un peu comme si Rokhaya Diallo n’était gratifiée ni d’un bonjour ni d’un au revoir, à l’entrée et à la sortie de ces médias d’État dans lesquels elle possède, manifestement et de longue date, son rond de serviette.

    D’ailleurs (simple hypothèse d’école), si un Bernard Ménès affirmait publiquement refuser de prendre sa douche avec une Rokhaya Diallo, s’agirait-il de « racisme anti-Noirs » ? Il serait intéressant de connaître la réponse de l’animatrice du blog Kiffe ta race dans lequel elle s’interroge, non sans raison, sur le fait que le terme de « race » soit aujourd’hui devenu « tabou ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/pierre-menes-et-cedric-villani-dans-le-collimateur-des-ligues-de-vertu-antiracistes/

  • Eric Zemmour : « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros »

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    « Dans l’ancien monde, les jeunes gens qui défendaient leur frontière contre les envahisseurs étaient des héros. Nos monuments aux morts en sont pleins. Aujourd’hui, on les insulte, on les traite de racistes et on les met en prison ».Telles sont les déclarations d’Eric Zemmour, qui signe là sa rentrée politique et médiatique en référence à la condamnation à de la prison ferme de militants de Génération Identitaire par rapport à leur action menée sur le col de l’Echelle.
    Il s’agit d’une tribune publiée par Le Figaro, dans laquelle on peut lire également : 
    « Le Conseil constitutionnel lui-même bénit celui qui ouvre les frontières, le passeur qui transgresse la loi française, met en danger ses compatriotes, au nom du concept fumeux de «fraternité». Dans l’ancien monde, les fous se prenaient pour Napoléon et posaient leur main sur le ventre: dans le nouveau, ils crient «Allah Akbar» et plantent un couteau dans le ventre des passants.»
    Et de conclure, incisif comme à l’accoutumée :
    « Dans l’ancien monde, l’État avait pour mission de protéger les citoyens français à n’importe quel prix. C’était sa légitimité. D’ailleurs, la justice rend ses jugements au nom du peuple français. Aujourd’hui, l’essentiel pour l’État est d’éviter tout «amalgame». De protéger l’étranger des persécutions imaginaires des Français. De protéger l’islam de toute «stigmatisation» même si nos compatriotes sont massacrés en son nom »
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/eric-zemmour-dans-lancien-monde-les.html

  • Charlie Hebdo apôtre de la Terreur

    3820354286.jpgEric Delcroix
    Charlie Hebdo, livraison du 21 août, page 3, dans un éditorial signé Riss, exprimant son indifférence au sort des djihadistes soi-disant français qui risquent la peine de mort en Syrie ou en Irak, a trouvé le moyen d’insulter la mémoire de Brasillach.
    Selon l’éditorialiste, « La peine de mort en temps de guerre prononcée contre les serviteurs d’un régime de terreur n’a rien à voir avec la peine de mort en temps de paix prononcée contre les criminels de droit commun. Car en temps de paix, parce que précisément règne la paix, la violence doit être prohibée ».
    Rien de neuf sous le soleil, Riss reprend pour le compte de son périodique l’antienne soviétique selon laquelle les criminels politiques devaient être maltraités sans pitié et éliminés, à l’inverse des criminels de droit commun, par hypothèse victimes, de la Société (cf. Rousseau). A l’inverse, la France du XIXe siècle s’était efforcée de réserver la peine de mort aux seuls criminels de droit commun, doctrine qui a commencé à se dissoudre avec la condamnation à mort et l’exécution de Gorgulov, l’assassin du président Paul Doumer (1932). Contre l’OAS, Edmond Michelet, ce chrétien confit en dévotion, avait fait rétablir la peine de mort pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État, mettant définitivement fin à cette doctrine fort civilisée, même si le mode d’exécution différait encore : aux politiques la fusillade, aux droits communs la guillotine.
    À cette aune, l’assassin et vraisemblable violeur de la petite Maélis, s’il est confondu, ne saurait être considéré aussi impitoyablement qu’un Brasillach ou que n’importe quel Salaud, selon le seul concept philosophique dû à Sartre…
    Cela dit, quand est-on en temps de guerre ? À tout moment. Pour la Terreur (1792 - 1794), c’était la guerre contre la tyrannie ; pour les djihadistes, c’est en permanence, jusqu’au triomphe définitif et mondial de l’islam. La guerre, selon Clausewitz, ce n’est jamais que la politique par d’autres moyens. Le procureur Jackson, au grand procès de Nuremberg, avait déclaré qu’après la capitulation du 8 mai 1945, « Les alliés sont encore techniquement en état de guerre contre l’Allemagne ... » (26 juillet 1946). De nos jours, d’ailleurs, les guerres ne se déclarent même plus...
    Paradoxalement, en se félicitant de l’exécution de Brasillach, pour crime d’opinion, Riss légitime les frères Kouachi, qui l’ont gravement blessé lors du massacre du 7 janvier 2015, là aussi pour crime d’opinion (blasphème).
    D’un point de vue hostile à tout délit ou crime d’opinion, il n’y a pas, n’en déplaise à Riss, d’  « idéologie mortifère ». En revanche, il y a trop de gens qui cèdent à la passion, à l’hybris. Et c’est ainsi que  l’excitation antifasciste, à l’instar de l’islamisme, rend fou : « Le délire de mentir et croire s’attrape comme la gale » (Céline). Ce n’est pas autrement que l’on accède à la Vérité, le Bien, si mortifères...
    Source NSP cliquez là

  • Les Gilets jaunes face à la répression