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France et politique française - Page 2276

  • Jean-Yves Le Gallou présente le 4ème Forum de la Dissidence

    Le 4e Forum de la Dissidence aura lieu le samedi 17 novembre prochain, de 14h à 19h à Paris. Le thème de ce rendez-vous incontournable sera « Face à la censure, tous dissidents ! » Jeudi 18 octobre, Jean-Yves Le Gallou était interrogé par TV Libertés sur cet événement.

    https://fr.novopress.info/212372/jean-yves-le-gallou-presente-le-4eme-forum-de-la-dissidence/

  • Un élève braque sa prof avec une arme factice : Castaner crée un comité stratégique !

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    Merci à Catherine Rouvier d'avoir écrit cet excellent billet ! 

    Dans notre civilisation du spectacle, il ne faut pas moins qu’un coup de théâtre pour qu’on s’aperçoive, soudain, de ce qui crève les yeux depuis pas mal de temps.

    Le 21 mars dernier, le proviseur du lycée Saint-Exupéry, à Créteil, était hospitalisé. Il avait reçu un coup de tête de l’un de ses élèves qui fut placé en garde à vue.

    Cette fois, c’est au lycée Branly de la même ville qu’à la fin d’un cours de première en « prévention santé environnement » (!), un lycéen a pointé une arme sur son enseignante pendant qu’un de ses camarades filmait, en lui intimant l’ordre de le noter « présent ».

    La vidéo, vue des milliers de fois sur les réseaux sociaux, a semblé réveiller le château étatique endormi.

    Le premier étonnement, après avoir vu la vidéo, c’est de lire : l’agresseur sera déféré dimanche au juge des enfants. Tu parles d’un enfant ! On ne serait pas un peu en décalage avec la réalité ?

    2054691781.pngAutre sujet d’étonnement : celui qui aurait introduit l’arme dans la classe a été interpellé, placé en garde à vue mais remis en liberté sans poursuites, l’arme, un pistolet à billes « de type airsoft » n’étant, aux yeux de parquet de Créteil, « qu’un jouet ». La consultation rapide d’un catalogue d’armurier nous apprend que l’objet en question est la réplique exacte d’une arme – un colt, en l’espèce. L’intention de terroriser est donc évidente. Mais on nous rassure : l’arme et les billes ont été détruites.

    Ce qui stupéfie, enfin, c’est la réaction des « autorités ».

    Le président du syndicat des collèges déclare : « On ne peut pas gérer tous les problèmes socio-économiques du pays. » Sous-entendu : c’est un « jeune » de banlieue, donc, c’est « la faute à la société ».

    Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, en charge des lycées, se dit « aux côtés des communautés éducatives » pour financer « tous les équipements de sécurité ». L’argent, toujours l’argent !

    Le président de la République a, lui, réagi en fin de soirée. « J’ai demandé au ministre de l’Éducation nationale et au ministre de l’Intérieur de prendre toutes les mesures pour que ces faits soient punis et définitivement proscrits de nos écoles. »

    Il manque un mot, non ? On ne proscrit pas un fait mais une personne… Mais personne ne semble l’envisager.

    Le directeur de l’établissement l’a dit : il est surpris de cet acte car il font au lycée des « séances de sensibilisation au respect ». Va-t-il virer les trois élèves ? Mais non, c’est les vacances ! « Alors, à la rentrée, on réunira un conseil de discipline. » Le 5 novembre, dans quinze jours !

    Le conseil ramolli par les vacances et ayant déjà oublié « l’incident » dira sans doute que c’était le dernier jour d’école et que, donc, c’était sûrement juste pour « rigoler », comme l’a déclaré le braqueur.

    La réponse de Castaner ne dénote pas, non plus, un désir farouche d’en découdre. Il va mettre en œuvre un « comité stratégique pour un plan d’actions ambitieux contre les violences visant les enseignants ».

    Quatorze mots pour ne rien dire.

    Par comparaison, un internat digne de ce nom a renvoyé un élève pour trois jours dans la minute où il avait fait « quelque chose de très grave ». Il avait « mis son doigt sur sa tempe et, en regardant la prof d’allemand bien en face, il avait tourné ». Sous-entendre que la prof est folle : trois jours immédiats d’exclusion.

    Lui, braquer une arme sur la tempe… rien.

    « Rien », comme notait Louis XVI le 14 juillet 1789… Juste la Révolution, au sens propre : la mise sens dessus dessous de la société.  


    Docteur d'Etat en droit public, avocat, maître de conférences des Universités

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/22/un-eleve-braque-sa-prof-avec-une-arme-factice-castaner-cree-6098833.html

  • #PasDeVague : la vérité par des profs victimes de violence et lâchés par leur hiérarchie

    #PasDeVague : la vérité par des profs victimes de violence et lâchés par leur hiérarchie

    Lu ici :

    “C’est le #MeToo des enseignants. Depuis quelques jours, le hashtag #Pas de vague a été relayé par des centaines de professeurs sur Twitter, dénonçant les violences dans les établissements et le manque de soutien de leur hiérarchie. Cet élan de protestation intervient après la diffusion d’une vidéo montrant un lycéen de Créteil braquant en pleine classe une arme sur son enseignante. Une arme qui était en réalité un pistolet à billes. Cette vidéo avait provoqué de nombreuses réactions politiques, et notamment celle du ministre de l’Éducation nationale dans un interviewdonné au Parisien”.

    Exemples sur Twitter :

    “Sortie en plein cours pour aller chez le proviseur pour un 0 mis à un élève qui avait triché. L’élève, qui s’était plaint, était là et j’ai été sommée de m’expliquer. J’ai du “prouver” qu’il avait réellement triché. Sanction ? Aucune. 

    “Ma collègue insultée de “sale pute” par un élève et qui demande une sanction auprès du principal, réponse de ce dernier : “Oh ! Vous êtes susceptible aussi !” 

    “On m’a crache dessus et on m’a menacé de me “castagner A la sortie”. Punition : aucune. Je porte plainte. CDE: “bon j’ai posé 3 jours d’exclusion, mais vous êtes dans le répressif, pas dans l’éducatif…” 

    “J’aurais aimé être soutenue lorsqu’une élève, il y a qqs années, m’a tapé dessus dans un couloir de mon établissement. Mais le conseil de discipline ne l’a pas même exclue. Et on m’a expliqué qu’il fallait prendre les choses moins à coeur. Voilà la réalité du terrain.

    “Une élève m’insulte et me menace. Je fais un rapport à la principale. Elle me convoque pour une confrontation (sic) avec l’élève. Elle commence : « Alors Mme Lapnyx, cette élève se plaint que vous ne l’aimez pas… » Bref, c’était à moi de me justifier !!! 

    https://www.lesalonbeige.fr/pasdevague-la-verite-par-des-profs-victimes-de-violence-et-laches-par-leur-hierarchie/

  • Commandant Aubenas était à la 12e Journée de Synthèse nationale

    La Chaine du Commandant Aubenas cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des crédits d’impôts pour encourager l’immigration clandestine

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Contre l’avis du gouvernement, les députés de la majorité La République En Marche ont voté, mercredi dernier, un amendement permettant l’instauration d’un crédit d’impôt pour les foyers accueillant des réfugiés. D’un montant de 5 euros par nuit, dans la limite de 1500 euros par an, cette mesure est censée permettre aux immigrés arrivés en France, de mieux s’imprégner de la culture et de la langue françaises en vivant auprès d’une famille, plutôt qu’ en centre d’accueil. D’une pierre, deux coups : l’État pourrait ainsi se décharger partiellement du financement de l’hébergement des réfugiés, actuellement estimée à 17 € par nuit et par personne, tout en poursuivant sa politique d’accueil des clandestins.

    Le député La République en Marche du Val d’Oise, Aurélien Taché, a justifié cette mesure en déclarant « Les Français qui sont d’accord pour s’engager dans une démarche de solidarité, il faut qu’il y ait une reconnaissance de cet engagement-là ».

    https://fr.novopress.info/

  • Ces fâchés avec ces fâcheux chiffres sur l’immigration…

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    Même le journal Libération a été forcé de le reconnaître, sûrement la mort dans l’âme : le très vertueux Clément Viktorovitch a laissé paraître un défaut à sa cuirasse étincelante ! Panique à bord chez les disciples de la religion du vivre ensemble : leur porte-étendard favori a dit un mensonge, sur le plateau de l’émission « Punchline » de CNews. De surcroît, sur un sujet qu’il affectionne tout particulièrement : les chiffres de l’immigration, qu’il brandit et manipule toujours avec l’exaltation de celui qui, seul, croit détenir la vérité.

    C’était le 20 septembre dernier, face à Charlotte d’Ornellas – qu’il se vantait pourtant d’avoir mouchée sur Twitter quelques heures après sa passe d’armes, ce qui lui avait valu les louanges de l’intelligentsia parisienne : « Bizarrement, les débats sur “l’immigration massive” changent de tonalité quand on commence à déconstruire les “fake news” et à demander des chiffres précis… »Seulement voilà, pris à son propre jeu, le jeune chroniqueur a fait preuve d’une très grande désinvolture à l’endroit de ces mêmes chiffres censés disqualifier Charlotte d’Ornellas, en affirmant qu’un tiers des entrées légales sur le sol français concernait les étudiants Erasmus, originaires des pays membres de l’Union européenne. Jean-Yves Le Gallou est monté au créneau sur TV Libertés en pointant les mystifications et les errements de Clément Viktorovitch concernant les chiffres réels de l’immigration légale. Et Libération a dû donner raison à Jean-Yves Le Gallou : « Seuls les ressortissants de pays tiers (extra-européens) sont concernés par les titres étudiants. » En substance, ces 80.000 étudiants (c’est leur nombre) ne sont pas des Erasmus (qui, eux, n’ont pas besoin de titre de séjour puisque appartenant à l’Union européenne), mais des jeunes gens en provenance du reste du monde…

    Nous voilà donc rassurés : Clément Viktorovitch n’est pas un archange descendu d’un ciel afin de sabrer la foule des affabulateurs terrestres. Bien que pleine de précautions oratoires et d’affectation chevrotante, sa parole n’est pas d’évangile. N’en déplaise au parterre de ses fidèles et aux partisans du sans-frontiérisme, le vicaire à la voix doucereuse peut, lui aussi, commettre une bévue – ou dire un gros mensonge. Lui qui semblait très désireux de se bâtir une iconographie immaculée, vouant un culte à la pure argumentation et à la précision des chiffres, voilà qu’il s’est emmêlé les pinceaux dans son entreprise préférée : parer la Vertu des couleurs de la Vérité. Hélas, le vernis a craqué.

    Dorénavant, gageons que notre père la morale mettra un peu d’eau dans son venin lorsqu’il prendra la parole sur les plateaux de télévision. On ne peut pas toujours avoir raison sur tout. Même quand on enseigne la sophistique – pardon, la rhétorique ! – à Sciences Po Paris.

    Thomas Clavel

    http://www.bvoltaire.fr/ces-faches-avec-ces-facheux-chiffres-sur-limmigration/

  • "Interdit d'interdire : montée des nationalismes" avec François Bousquet

  • Sympathiques juges… un trafiquant de drogue remis en liberté

    Sympathiques juges… un trafiquant de drogue remis en liberté

    Qui jugera les juges défaillants ?

    Un homme, condamné en première instance au mois de juin dernier à 6 ans de prison ferme assortis d’une période de sûreté des deux tiers, a finalement été remis en liberté sine die le 7 octobre dernier. Le détenu a ainsi pu recouvrer la liberté de manière inespérée après un « oubli  » des juges de la cour d’appel de Paris.

    Ces derniers devaient statuer sur son sort dans un délai de quatre mois après l’appel déposé par son avocat, Me Yves Levano, le jour de la condamnation en première instance de son client, intervenue le 7 juin dernier devant le tribunal correctionnel de Créteil (Val-de-Marne). Finalement rejugé le 3 octobre, Lamin M., né en Gambie, a vu les juges de la cour d’appel mettre leur décision en délibéré à la date du 7 novembre prochain. Soit au-delà du délai de quatre mois impartis… […]

    https://www.lesalonbeige.fr/sympathiques-juges-un-trafiquant-de-drogue-remis-en-liberte/

  • De la France Interdite à l’islamisation des banlieues, le fantasme devenu réalité décrit par des journalistes

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    Le 17 octobre 2018, sort un livre écrit par des étudiants en journalisme, traitant de l’islamisation d’une partie des habitants du département de Seine-Saint-Denis. Si les constats réalisés sur le terrain par les apprentis journalistes sont intéressants et argumentés, ils ne viennent que confirmer de nombreuses investigations réalisées ces dernières années. Illustration.

    « No go zones »

    En 2015, la chaine américaine Fox News consacrait un reportage aux « no go-zones » à Paris. Ce reportage était en de nombreux points caricatural et s’appuyait sur des données inexactes. Cela a amené nombre de médias français à écarter le sujet d’un revers de main dédaigneux. Il aura cependant eu au moins un mérite : celui de s’interroger sur l’existence de parties du territoire français sous l’emprise de l’islamisme, ces « endroits où l’on ne va pas », traduction littérale de « no go zones ».

    D’autres travaux d’investigation de terrain plus rigoureux ont été réalisés depuis plusieurs années. Nous en présentons quelques uns.

    En 2002 parait chez Pluriel l’ouvrage collectif « Les territoires perdus de la République ». A partir de l’exercice quotidien de leur métier, des professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne dressent le constat d’une décrépitude des valeurs républicaines et d’une offensive islamiste dans certains quartiers.

    En 2016, Géraldine Smith publie chez Stock le livre « Rue Jean Pierre Timbaud, une vie de famille entre bobos et barbus ». Son auteur, une journaliste, a selon Marianne enquêté « sur l’islamisation du quartier où elle a habité, celui de la rue Jean-Pierre-Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris ». Un récit au quotidien tout en nuance sur la confrontation d’idéaux libéraux-libertaires à la réalité d’un quartier en pleine transformation. Le livre se termine par un constat d’échec et le départ de la famille du quartier.

    Trappes, Saint-Denis, Sevran

    En 2017 aux éditions du Toucan, le journaliste Alexandre Mendel publie une enquête intitulée « Partition », un livre accréditant « l’émergence de frontières invisibles qui divisent le territoire, géographiquement et culturellement ». Il écrit notamment : « À Trappes, Saint-Denis, ou encore Sevran, la mixité n’est plus la règle, elle est l’exception. On enferme ses enfants dans des écoles coraniques, où on leur apprend, à coups de hadiths, à haïr l’Occident et à ne vénérer que l’islam des ancêtres. On ne se marie plus que religieusement, on vit sa polygamie, on répudie les femmes, dans le dos de la République. La présentation de ce livre lors de sa sortie n’a pas dépassé le cercle des médias dits de droite, à l’image du sort réservé à « La France interdite », véritablement ostracisé par les médias mainstream malgré des ventes déjà conséquentes.

    La même année parait chez Albin Michel, un ouvrage collectif intitulé « Une France soumise ». Alors que « Les Territoires perdus de la République » pointait le communautarisme dans des écoles de banlieue, les auteurs du livre font le constat que ce sont maintenant de véritables territoires qui vivent en circuit fermé. « Cette enquête révèle le fossé existant entre une partie des élites médiatiques et la masse du peuple français, classes moyennes et populaires confondues. Le discours formaté des élites apparait de moins en moins audible » affirme un de ses auteurs.

    Le Monde comme Le Figaro

    En février 2018, deux journalistes du Monde, Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, font selon L’Express, dans le livre « La communauté » (Albin Michel), « un récit implacable de la manière dont la commune de Trappes (Yvelines) est passée en un demi-siècle des “cocos” aux “barbus” ».

    En mars 2018, un reporter du Figaro, Manon Quérouil-Bruneel, raconte dans « La Part du ghetto » (Fayard) le quotidien d’une cité de Seine Saint Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme, immigration continue, les aspects les plus sombres de la banlieue sont passés en revue. Au tournant des années 1990, « le mythe du bon immigré a fait long feu. La religion est progressivement devenue un étendard, une cuirasse identitaire qui a fait voler en éclats le « vivre-ensemble ».

    En juillet 2018, un rapport sénatorial pointe le développement du salafisme en France. Le nombre d’adeptes de ce courant rigoriste de l’islam – 40 à 60 000 – ne ferait qu’augmenter. Des sénateurs relèvent l’existence de « zones ghettoïsées», nous apprend RT France.

    En septembre 2018, un rapport de 617 pages de l’Institut Montaigne dresse le constat de l’expansion de l’islamisme en France. L’auteur du rapport publié par le think tank libéral estime que « la séparation devient viable ». « C’est toute la vie quotidienne qui est peut être « halalisée », et qui connaît une progressive codification : des normes religieuses sont appliquées à l’alimentation, aux vêtements et à toutes les pratiques sociales, qui ont pour objectif une coupure nette avec le reste du monde ».

    La grande frayeur de Gérard Davet : « donner raison à Zemmour »

    Le 17 octobre 2018 paraît chez Fayard le livre « Inch’allah, l’islamisation à visage découvert », écrit par 5 étudiants au Centre de Formation du Journalisme et « coordonné » par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Le 15 octobre, les reporters du Monde viennent présenter sur France Inter leur livre sur « l’islamisation de la banlieue».

    Interrogé par Nicolas Demorand et Léa Salamé, Fabrice Lhomme affirme : « il y a une volonté dans une petite partie des musulmans (…) pour que l’islam en Seine Saint Denis et ailleurs, devienne la norme sociale dans la vie publique ».

    En réaction à un auditeur en ligne qui affirme : « J’ai l’impression d’entendre Zemmour », Gérard Davet estime que « c’est effectivement le danger, nous on amène des faits, rien que des faits ». Léa Salamé commente : « des faits qui ressemblent aussi à ceux que relate Eric Zemmour quand on lit le suicide français ». Gérard Davet perd pied et botte rapidement en touche en indiquant que « le livre fourmille de révélations, de chiffres importants qui montrent que quelque chose se passe ».

    Une préoccupation des deux coordonnateurs de l’enquête constitue le sous-titre de l’émission sur le site de France Inter : « il ne faut pas laisser ces questions [de l’islamisation] aux extrêmes ».

    Gérard Davet ajoute : « Le sujet est complétement pollué par les batailles idéologiques. Vous avez des gens qui parlent de ça sans arrêt (…). Ils se saisissent de ce sujet Ils vous balancent des choses avec des clichés incroyables. Ils ne connaissent pas le terrain ».

    Si effectivement, « quelque chose se passe », nos deux reporters n’en oublient pas pour autant de décerner des labels d’honorabilité. Il y aurait d’une part les enquêteurs de terrain, dotés d’une légitimité que leur conférerait leur statut, et de l’autre les politiciens « des extrêmes », qui n’auraient aucune légitimité à parler de ce phénomène en pleine expansion, et encore moins à vouloir le traiter.

    Pourtant, l’abondante production éditoriale à ce sujet ne semble en rien freiner l’expansion du radicalisme islamique et du séparatisme religieux. Ce qui rappelle humblement que les journalistes sont là avant tout pour rapporter la réalité comme l’a fait Laurent Obertone dans son ouvrage La France Interdite (Ring), largement boycotté par les médias.

    Article paru sur le site Ojim daté du 19 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212379/de-la-france-interdite-a-lislamisation-des-banlieues-le-fantasme-devenu-realite-decrit-par-des-journalistes/#more-212379

  • Education / Le naufrage de l’école – Journal du lundi 22 octobre 2018

    Education / Le naufrage de l’école
    C’est une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit un élève d’origine étrangère pointer une arme sur son professeur, en classe, dans une école de Créteil dans le Val-de-Marne… Face à cela, le ministre de l’éducation nationale plaide pour l’interdiction du téléphone portable dans les établissements scolaires !

    Société / En Marche vers la PMA (et la GPA)
    Grande offensive médiatique et politique en faveur de la PMA et de la GPA. Dans l’impasse politique, le gouvernement pourrait bien se rabattre sur les questions dites sociétales… au risque de faire renaître les oppositions du quinquennat précédent.

    International / Immigration : Trump à l’épreuve de la réalité
    Alors que des milliers de Honduriens tentent de gagner les Etats-Unis, Donald Trump tente de faire face à une vague migratoire sans précédent. Un enjeu de taille à deux semaines des élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref

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