Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 2292

  • Patrimoine • Refuser l'interdit jeté sur Maurras et sur sa maison à Martigues ! Suite ...

    3674914905.jpg

    « Nous ce qu'on dit, c'est que cette maison elle n'est rien. Ce n'est pas un musée. C'est quatre murs où a vécu Charles Maurras. Rien d'autre. Eh oui ! C'est tout. »

    Le vendredi 9 février 2018, Franz-Olivier Giesbert est à Martigues, pour la chaîne C8. Il doit y réaliser un court reportage sur Charles Maurras destiné à l'émission de Thierry Ardisson Salut les terriens programmée le surlendemain dimanche en soirée.

    Franz-Olivier Giesbert souhaite visiter, sinon la maison, en travaux, du moins le jardin de Maurras, chemin de Paradis. Il se rend à la mairie de Martigues pour en obtenir l'accès - dont il sait par avance qu'il lui sera refusé. A lui, à son cameraman et aux personnes qui l'accompagnent, dont un jeune cadre de l'Action française qu'il interviewera.   La mairie lui refusera effectivement l'accès au jardin dans les termes étonnants qu'on peut lire en exergue de cet article. Et ce via un agent municipal chargé de cette réponse évidemment marquée par le sectarisme, l'ignorance et le simple déni de réalité. Franz-Olivier Giesbert filmera la maison et le jardin de Maurras de l'extérieur...

    Le déni de réalité porte sur bien des éléments littéraires, poétiques, historiques, dont la mairie de Martigues semble ignorante. Mais le déni de réalité porte aussi sur l'histoire municipale elle-même. Notamment sur les circonstances même du transfert de propriété de la maison de Maurras, de sa famille à la municipalité de Martigues. 

    Ce transfert eut lieu le 27 septembre 1997, au cours d'une cérémonie tenue dans les jardins de la maison du Chemin de Paradis, en présence de Paul Lombard, maire (communiste) de Martigues (de 1968 à 2009), de Jacques Maurras, neveu de Charles Maurras et de Michel Déon, de l'Académie française. Michel Déon avait été secrétaire de Charles Maurras à Lyon pendant l'Occupation. Il était de l'Académie française, institution à laquelle Maurras avait appartenu. De nombreuses personnes,  assistaient à la cérémonie dans le jardin dont l'actuelle équipe de Lafautearousseau

    Des allocutions furent échangées entre Jacques Maurras et Paul Lombard qui fit part de la qualité de ses relations avec Jacques Maurras. Paul Lombard était sans-doute un homme intelligent, cultivé et dénué du sectarisme dont font preuve ses successeurs, ou une partie d'entre eux. Michel Déon prononça enfin un superbe discours, de pleine fidélité au maître de sa jeunesse. Ce discours, Paul Lombard l'entendit. Nous comptons bien le publier un jour prochain. Il y a de nombreux témoins de cet après-midi de septembre 1997 qui ne laissait pas présager l'ostracisme de tout ou partie de l'actuelle équipe municipale.Une plaque apposée sur la maison (ci-dessous) commémore cette journée.

    Pourquoi avons-nous rappelé, raconté cela ? Parce qu'il faut « refuser l'interdit jeté sur Maurras et sur sa maison à Martigues ! » et s'employer activement à ce qu'il soit levé. On lira les articles que nous avons déjà publiés sur ce sujet*. Et bien-sûr nous y reviendrons.    

    3396999706.JPG

     Lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Refuser l'interdit jeté sur Maurras et sur sa maison à Martigues !

    Refuser l'interdit jeté sur Maurras et sur sa maison à Martigues ! Suite et précisions ...

  • Les jeunes LR poussent pour l'union des droites

    Candidat à la présidence des Jeunes Républicains, Erik Tegnér, prône une «union de toutes les droites». Lors de la soirée de lancement de sa campagne, le 5 septembre, il a prévu de rassembler plusieurs personnalités de la droite hors les murs :

    • Nicolas Dupont-Aignan (président de Debout la France),
    • Jean-Frédéric Poisson (président du Parti Chrétien-Démocrate),
    • Bruno North (président du CNIP)
    • Paul-Marie Coûteaux
    • le député du Rassemblement national (ex-FN): Sébastien Chenu.
    • Jordan Bardella, le porte-parole du RN et responsable de Générations Nation (mouvement des jeunes du Rassemblement national).

    Erik Tegnér, qui réussit là un premier pas vers l'union des droites, explique :

    «Face aux grands enjeux du XXIe siècle, notamment en termes d'identité et de défense de la souveraineté de notre nation, nous ne pouvons plus rester dans la simple défense d'une rentrée électorale et partisane mais le devoir de dialoguer avec le Rassemblement national ou encore Debout la France»

    Erik Tegnér souhaite s'appuyer sur le soutien de Thierry Mariani :

    «En tant que militants des Républicains, nous nous retrouvons parfaitement dans son message d'ouverture et de dialogue et serons honorés si nous pouvons le compter parmi nous pour que nous prouvions à notre direction que non, contrairement à ce qui a été dit, sa démarche est loin d'être isolée chez LR».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bug sur l’impôt sur le revenu : ça commence dès maintenant et ce n’est pas fini…

    8b046210efcf48d57f49b5053f90bf.jpg

    Les premiers avis d’imposition sur les revenus de 2017 viennent de tomber et un certain nombre de contribuables qui les ont vérifiés ont eu une surprise. Leur avis comportait une erreur en leur défaveur. En vérifiant avec ceux qui protestaient, les agents des impôts ont constaté que les personnes lésées ne s’étaient pas trompées en remplissant leur déclaration de revenus, mais que des changements (justifiés) modifiant la déclaration préremplie n’avaient pas été pris en compte.

    Apparemment, il y a eu un problème de transmission des données entre l’ordinateur familial et l’ordinateur central. Par exemple, des enfants nés en 2017 n’ont pas généré une demi-part supplémentaire comme cela aurait dû être le cas. De même, des crédits d’impôts ont été systématiquement oubliés. Il est difficile de mesurer l’ampleur des erreurs. Sont-elles limitées à quelques contribuables ou à des régions particulières ? Il semble, néanmoins, que le problème soit loin d’être isolé et qu’il est, au contraire, fréquent. On verra ce qu’il en est dans les prochaines semaines. Il est recommandé, en tout cas, de vérifier son avis avec soin et d’aller voir son centre des impôts au moindre doute.

    Cette erreur tombe d’autant plus mal que notre pays va bientôt instaurer le prélèvement à la source et le taux qui sera appliqué dépend du montant des impôts de 2017. Si celui-ci est artificiellement majoré et si l’erreur n’est pas rectifiée à temps, le contribuable lésé paiera plus cher qu’il ne devrait.

    Ce prélèvement à la source que, fidèles à leur habitude de se faire passer pour géniaux, M. Macron et son équipe vantent comme une révolution nécessaire et utile aux Français, sera surtout une usine à gaz et à problèmes. Le gouvernement n’arrive pas à intégrer les crédits d’impôts dans son dispositif d’une manière simple et, en définitive, les Français devront faire des avances conséquentes à l’État. Cela touchera plus particulièrement les parents qui prennent, pour la première fois en 2018, une nourrice pour garder leur enfant. Ce prélèvement indu qui, dans certains cas, ne sera remboursé qu’en septembre 2020 aura un effet récessif important ; or, notre croissance faiblit et retombe autour de 1,5 %. Il aurait été plus simple pour tout le monde, plus efficace et plus éthique, de supprimer le tiers provisionnel, de mensualiser l’impôt sur le revenu et d’avancer la déclaration en mars, mais M. Macron n’a pas suivi la voie de la raison.

    A-t-il, en réalité, d’autres idées derrière la tête ? Car notre impôt sur le revenu n’est pas du tout adapté au prélèvement à la source. Aussi, tôt ou tard, un gouvernement, sous prétexte de simplification et de comptabilité, taxera séparément les revenus des conjoints, supprimera les parts des enfants et fusionnera la CSG et l’IR. Résultat : les classes moyennes (à partir de 1.700 euros par mois) verront leur impôt monter de 10 % à 30 % ! Ceux qui perdront le plus seront ceux où un conjoint ne travaille pas (pour s’occuper des enfants) ou les couples qui ont une grosse différence de revenus. Attendons-nous au pire à partir de 2022…

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/bug-sur-limpot-sur-le-revenu-ca-commence-des-maintenant-et-ce-nest-pas-fini/

  • Communication moderne, politique ringarde : l’imposture Macron

    macron-imposture-ringard-588x330.jpg

    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦

     [Rediffusion] Nous publions à nouveau cette analyse exclusive, publiée initialement dans nos colonnes le 23 juin 2018. En effet, ce texte fait partie des articles les plus lus du début d’année 2018. Un intérêt massif qui motive une nouvelle diffusion en cette période estivale pour préparer au mieux la rentrée politique. Bonne lecture et bonnes vacances.
    Polémia

    Il est jeune, il présente bien et, à la différence de son prédécesseur, il ne trébuche pas sur les estrades. Élu, il a introduit la musique techno à l’Elysée. Il assimile la France à une start-up et se gausse du « monde d’avant ». Mais on peut être jeune et incarner néanmoins le gâtisme idéologique : la gauche fait cela très bien depuis longtemps. C’est aussi le cas d’Emmanuel Macron. Car il n’incarne pas l’avenir, mais une vision dépassée du monde : le libéralisme libertaire et cosmopolite de la DavocratieLa République n’est pas en marche. Avec Emmanuel Macron elle ne fait que du sur-place et la France recule.

    Un remake du consensus de Washington, mais à contre-temps

    La politique économique et sociale d’Emmanuel Macron et de son gouvernement n’a en effet rien de nouveau.

    C’est un remake du « consensus de Washington », élaboré dans les années 1970 par des idéologues libéraux américains et dont les maîtres mots sont : diminution drastique des budgets publics et des dépenses sociales, déconstruction sociale, libre-échangisme, monétarisme, privatisations, baisse des impôts pour les plus riches.

    Or cette politique, non seulement ne produit jamais les effets promis au plus grand nombre, mais elle est, au surplus, introduite à contre-temps de la nouvelle donne de l’économie mondiale.

    L’effet de ruissellement prétendument induit par la diminution de la fiscalité pesant sur le capital ne se produit plus en effet à l’âge du libre-échange mondialiste : car le capital ainsi dégagé ne s’investit pas nécessairement dans le pays ayant mis en œuvre ces mesures. De fait aujourd’hui la richesse devient de plus en plus transnationale, quand la pauvreté reste nationale.

    Et, alors que les nuages annonciateurs d’une nouvelle crise financière mondiale s’accumulent, Emmanuel Macron remplace l’ISF par un impôt sur la « richesse » immobilière. Cela paraît-il pour nous inciter à préférer l’investissement financier à l’économie réelle.
    Ce qui revient à sanctionner par la même occasion ceux qui ont emprunté hier pour transmettre un patrimoine physique à leurs enfants. Pendant que les baisses d’impôts promises aux classes moyennes , les grandes victimes de cette politique, se font évidemment attendre.

    Un libre-échangiste indécrottable

    Pour la même raison, la sempiternelle baisse des charges sociales réclamée sur l’air des lampions par le patronat, ne profite que très marginalement à l’emploi national. Parce dans une économie mondialisée et dérégulée, l’écart entre les salaires européens et ceux en usage dans les pays émergents restera de toute façon trop élevé et cela, pour longtemps, sauf à aligner les Européens sur le niveau de vie du Bangladesh.

    C’est pourquoi le libre-échangisme tue l’emploi durable sur le vieux continent, comme l’a établi depuis longtemps l’économiste Maurice Allais. A fortiori lorsque les flux migratoires ne se réduisent pas.

    Mais Emmanuel Macron continue de se faire le chantre du libre-échangisme au moment où l’économie américaine redécouvre les vertus des droits de douanes et de la taxation des importations. Il soutient le traité CETA avec le Canada, au moment où l’Italie déclare ne pas vouloir le ratifier.

    Il répète la doxa libre-échangiste et Bisounours de la Davocratie en affirmant que « le nationalisme économique c’est la guerre », au moment où le monde entier réarme économiquement.

    La France à contre-temps en Europe

    Emmanuel Macron est toujours à contre-temps.

    Alors qu’un nombre croissant de pays européens veulent en finir avec le laxisme de l’Union européenne en matière d’immigration, Emmanuel Macron continue de prôner l’accueil sans limite des immigrants clandestins et fustige la « peste populiste ».

    Alors que la crédibilité de l’Union Européenne est sérieusement entamée, Emmanuel Macron réclame plus de « gouvernance » budgétaire de la part de Bruxelles.

    Alors que la survie politique de Mme Merkel apparaît de plus en plus compromise, Emmanuel Macron ne jure que par le « couple franco-allemand », maronier de la politique française, alors que là aussi la donne a aussi changé. Car nous ne sommes plus en 1963 : aujourd’hui c’est l’Allemagne qui domine l’Union Européenne et pas la France.

    Mais le jeune Emmanuel a peut-être un penchant secret pour les femmes matures et dominatrices….

    La France à contre-temps dans le monde

    Alors que même l’Allemagne émet des doutes croissants quant à la réalité de l’engagement américain dans la sécurité européenne et que le monde devient plus multipolaire, Emmanuel Macron redouble d’atlantisme. Alors que la Grande-Bretagne se dégage du Titanic européen, Emmanuel Macron aligne la France sur ses positions russophobes et bombarde la Syrie de concert avec elle et avec les Etats-Unis.

    Alors que le monde musulman est en ébullition, la France n’a plus de politique arabe. Alors que l’Afrique devient un géant démographique, Emmanuel Macron veut rompre avec la politique africaine de la France.

    Le jeune Emmanuel Macron se trompe d’époque et d’alliés en permanence. Et pour cette raison il n’obtient rien de personne sur la scène internationale : ni de Trump, ni de Poutine ni de Merkel ni de Netanyahou. Mais où est donc passée la France ?

    Le petit Guépard

    Emmanuel Macron est également à contretemps vis-à-vis de l’opinion.

    Les Français attendaient une politique en rupture avec les errements antérieurs. Mais Emmanuel Macron n’a retenu que la leçon du prince Salina dans Le Guépard :« Il faut que tout change pour que rien ne change ».Et c’est bien pour cela qu’il a été promu par la super classe mondiale à la tête de la France. Il communiques’agite et réforme à tout va mais sans rien vraiment changer au fond, sinon en pire.

    Une nouvelle forme de politique ? Mais le nouveau Président et son gouvernement font comme leurs prédécesseurs. Ils s’appuient sur une majorité de godillots à l’Assemblée Nationale et n’hésitent pas à recourir aux ordonnances.

    La nouveauté réside, il est vrai, dans le soutien constant des médias mainstream à son égard, mais ce n’était sans doute pas ce à quoi la minorité de nos concitoyens qui a voté pour lui, s’attendait en matière de changement.

    Une politique fondée sur « l’en-même-temps » ? Pas vraiment : Emmanuel Macron et son gouvernement ne sortent pas, en effet, de la doxa libérale, libertaire, laxiste et immigrationniste que l’on enseigne au Forum de Davos.

    Que ce soit en matière pénale, d’immigration, de culture ou de terrorisme, rien ne change.

    Avec Macron ce n’est pas mieux qu’avant

    Comme ses prédécesseurs, le Président de la République salue les fêtes musulmanes mais pas les fêtes chrétiennes au motif que ce ne serait pas « républicain ». Il ne veut d’ailleurs pas faire de signe de croix devant les caméras. Et comme ses prédécesseurs, il nous promet la panacée d’un nouvel « islam de France ».

    Sur le front « sociétal » rien de nouveau non plus, rue du Faubourg Saint Honoré. La PMA/GPA est toujours en ligne de mire avec l’euthanasie et on nous met une nouvelle couche de féminisme punitif. N’oublions pas non plus une énième législation « antiraciste » : ce doit bien être la 20ème du nom…Vraiment quelle audace ce Macron !

    Et il n’aura fallu que quelques mois pour se rendre compte que Monsieur Blanquer n’était pas le sauveur de l’Education nationale que croyaient percevoir les éternels gogos de droite. Ses déclarations sur la réforme des méthodes d’enseignement ne sont pas suivies d’effet réel. Et l’engagement présidentiel de renforcer les zones dites prioritaires, vampirise tous les moyens, et installe progressivement une préférence inversée au sein du service public : classes surchargées dans la France profonde, classes allégées pour les « jeunes »des banlieues.

    Avec Macron, ce n’est pas mieux qu’avant.

    Un Saint Simonien qui fait des selfies

    Le jeune Emmanuel Macron plafonne dans l’opinion parce qu’on voit bien qu’il n’est pas à la hauteur des années décisives que nous traversons.

    Ce n’est qu’un Saint Simonien qui fait des selfies. Et qui croit toujours que « l’administration des choses » – on dit le marché de nos jours – pourra remplacer le gouvernement des hommes.

    Mais un Saint-Simonien qui a également repris le vocabulaire des bourgeois fusilleurs de M. Thiers à l’égard des « gens de rien » : « Si tu veux un costard tu n’as qu’à travailler ! On dépense un fric fou avec les aides sociales ! »
    Un Saint-Simonien qui rêve de déconstruire toute l’histoire sociale de la France. Ce n’est pas la marche en avant, mais la marche arrière qu’il engage !

    Sans oublier que Kim Jong Macron planifie la censure de tous ses opposants en se prenant pour Jupiter.

    Emmanuel Macron ressemble de plus en plus à un clone de Sarkozy et d’Hollande… Aussi agité que Sarkozy mais nettement moins rigolo qu’Hollande : un Sarkollande  transgénique en quelque sorte.

    Cela doit-être cela, le transhumanisme. Et ce n’est pas rassurant.

    Michel Geoffroy 23/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Estonian Presidency [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/communication-moderne-politique-ringarde-imposture-macron-rediff/

  • ZAPPING GAUCHISTE DE L'ETE

  • Longjumeau (91) : le projet de mosquée suscite des oppositions

    Face aux oppositions qui n’ont pas tardé à se faire jour, Sileymani Diakite et Ouleydy N’diaye, les porteurs de projets de la mosquée de Longjumeau (Essonne, 22 000 hab), sont « prêts à dialoguer avec tout le monde. »

    Si le calme règne dans ce secteur verdoyant de la commune, le projet de construction d’une mosquée au bord de cette voie fait grand bruit, et ce bien au-delà de la simple sphère communale. Une première salve d’oppositions avait animé la chronique voilà trois ans. Des riverains s’étaient en effet émus alors qu’un projet de ce type bruissait en ville. Réalisé début juillet, le vote en faveur de la vente de deux parcelles communales à l’association CSCIL, mobilisée pour la construction d’un centre socioculturel islamique à Longjumeau, avait relancé les craintes de certains habitants, toujours remontés aujourd’hui.

    Face à cette fronde plus ou moins visible, les porteurs du projet se disent ouverts aux échanges et aux éclairages. […] Pour favoriser la discussion et présenter le projet, une réunion « ouverte à tous » est d’ores et déjà programmée pour le soir du 28 septembre prochain à la salle Anne Frank. […]

    « Les prêches et les discours se feront, pour l’essentiel, en français, comme c’est le cas actuellement», souligne le responsable pour tenter de faire taire certaines inquiétudes. […]

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1065649-longjumeau-91-le-projet-de-mosquee-suscite-des-oppositions

  • Les lynchages LGBT prouvent que les homosexualistes veulent imposer leur idéologie

    Un lynchage impressionnant vise actuellement Jean-Yves Rineau, directeur des ventes de Lactalis et ancien candidat divers droite aux élections législatives.Son crime ? Avoir rappelé laconiquement les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce dans un tweet répondant à Mgr Ginoux, courageux évêque de Montauban, sur les nouvelles révélations relatives aux prédateurs sexuels cléricaux. On sait qu’avec l’affaire Mc Carrick (du nom de cet ancien cardinal archevêque de Washington qui semble bien avoir été lui-même un prédateur sexuel, friand de jeunes hommes) et l’énorme dossier de Pennsylvanie, l’Eglise des Etats-Unis se trouve à nouveau dans la tourmente.

    La principale différence avec la crise de 2002 tient au fait que l’on cerne mieux le problème en évitant de parler de « pédophilie dans l’Eglise » et que beaucoup d’observateurs situent enfin le problème où il se trouve en réalité : il s’agit bel et bien, très majoritairement, d’une attirance de certains clercs pour les jeunes gens, c’est-à-dire de l’éphébophilie ou de l’homosexualité et non de la pédophilie. C’est de cela que parlait Mgr Ginoux, déclarant : « Mgr Morerod a raison. Les victimes d’abord, la justice tjrs et notre repentance devant tant d’horreur. » Jean-Yves Rineau ajouta : « D’accord avec une plus une “politique” renforcée de détection de l’homosexualité. » Il n’y avait certes pas de quoi fouetter un chat. C’était ni plus ni moins que les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce.

    Je n’ai aucune compétence en matière de discernement de vocation sacerdotale, mais il me semble assez logique, quand l’Eglise traverse une crise comme celle de 202 ou la crise actuelle, qu’elle édicte des normes sévères pour restaurer la confiance. Au passage, je note que bon nombre d’observateurs qui n’avaient pas de mots assez durs contre Benoît XVI, soupçonné de ne pas réagir assez fermement contre les prédateurs sexuels, ne disent aujourd’hui plus rien de ce genre, car il est clair que Benoît XVI a, au contraire, bataillé ferme, y compris contre de puissants protecteurs du lobby gay au sein de l’Eglise. Car l’un des problèmes majeurs que révèle l’affaire McCarrick est que le lobby gay dans l’Eglise fonctionne comme une mafia, c’est-à-dire qu’il protège les siens, aide à leur promotion jusqu’aux postes les plus élevés, et impose le silence aux autres clercs.

    Comme pour illustrer cette réalité mafieuse, le lobby LGBT s’est rué sur Jean-Yves Rineau, et harcèle son entreprise, Lactalis, pour obtenir sa mise à pied. Est-il besoin de signaler que Jean-Yves Rineau s’est exprimé à titre personnel, sur son compte personnel, et que c’est un prodigieux abus que de le menacer pour cela dans sa vie professionnelle ? Mais la « gaystapo » ne s’embarrasse pas de distinctions aussi primitives que celle qui sépare la vie publique de la vie privée. Pour la secte homosexualiste, tout doit être public.

    Ce totalitarisme menace d’abord les homosexuels eux-mêmes, dont l’immense majorité préférerait vivre discrètement, et qui sont en permanence soumis à un chantage au « coming out ». Et désormais, comme la terreur règne dans la prétendue communauté gay (qui n’existe pas et qui est le fruit de l’imagination terroriste des homosexualistes), on s’attaque aux « hétéros ». J’ignore si Lactalis va céder. Mais je puis d’ores et déjà dire ceci. Ce lynchage est la preuve éclatante que, contrairement au baratin de propagande que nous avions entendu lors des débats sur la loi Taubira, les homosexualistes ne veulent absolument pas l’égalité des droits (qui était déjà acquise aux homosexuels depuis fort longtemps), mais veulent imposer à tous leur idéologie. Il ne s’agissait pas, comme le disaient les discours lyriques de ce temps de « donner de nouveaux droits à certains, sans en retirer à quiconque » ; il s’agissait bel et bien de supprimer les libertés de tous les citoyens qui auraient le mauvais goût de ne pas applaudir au coup de force.

    En particulier, il s’agissait de faire taire la principale puissance de résistance spirituelle en Europe, l’Eglise catholique. Car, aussi affaiblie qu’elle soit dans notre pauvre Europe occidentale, l’Eglise catholique, ayant reçu de son divin Fondateur une anthropologie et une morale sûres, continue à être l’empêcheuse de tourner en rond pour les puissants du moment, les nationaux-socialistes ou les marxistes-léninistes jadis, les relativistes fanatiques aujourd’hui.

    Il est remarquable d’ailleurs que Jean-Yves Rineau soit attaqué sur un sujet concernant l’organisation de l’Eglise catholique. On voit mal en quoi les sectaires, qui détestent cette dernière, seraient concernés. Je doute que les dirigeants d’Act up ou les amis de Pierre Bergé, laïcistes exaltés, rêvent du sacerdoce ! Seulement voilà, si les directives de Benoît XVI sont appliquées, l’Eglise sera, demain plus encore qu’aujourd’hui, la citadelle d’où viendront les déclarations les plus nettes sur la nature humaine. Et cela est d’autant plus insupportable que nos adversaires savent bien, eux, que l’Eglise a raison. Il faut donc d’urgence la faire taire.

    Il faut s’attendre à un difficile affrontement avec cette « gaystapo » dans les années qui viennent. Mais nous ne sommes tout de même pas tout à fait dépourvus de moyens. Je peux clairement annoncer que, si Lactalis cède aux pressions, cela lui coûtera très cher. Nous serons des milliers à cesser d’acheter leurs produits. Et nous sommes un tantinet plus nombreux que les homosexualistes : les puissances économiques les ont jusqu’à présent caressés et flattés parce que leur poids dans les médias en faisait des « leaders d’opinion » et que les braves gens ne résistaient point. Mais ce temps-là s’éloigne. Plus personne ne lit les journaux et le poids du lobby gay dépasse dorénavant difficilement le périphérique. Quant à l’inertie des braves gens, ne comptez plus trop sur nous. Vous vouliez du « nouveau monde » ? Eh bien, soit, allons-y, mais je doute qu’il ressemble à vos fantasmes !

    Guillaume de Thieulloy

    Directeur du Salon beige

    Le Salon Beige

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Enrayer le processus d’appauvrissement des Français

    Homme-et-sa-fille-ligne-droite.jpg

    La dérégulation des échanges commerciaux a provoqué en France une perte de richesse significative, en partie camouflée aux yeux des Français par le recours à l’endettement. Aujourd’hui, cette pratique trouve cependant ses limites et conduit le Système, qui ne veut pas renoncer à l’ultralibéralisme international, à accepter l’appauvrissement et même à l’organiser. Refusant cette logique délétère, Ligne droite veut au contraire rétablir une régulation aux frontières de l’Europe et réindustrialiser le continent, seuls moyens d’enrayer le processus d’appauvrissement des Français

    L’appauvrissement, un processus inégalitaire mais bien réel

    Les Français ont l’impression de voir leur niveau de vie diminuer d’année en année. Et, quelles que soient les dénégations des responsables du Système, cette conviction est maintenant solidement ancrée dans la conscience collective. La plupart de nos concitoyens d’âge mûr éprouvent en effet le sentiment justifié de ne plus disposer aujourd’hui des facilités que leur offrait une position sociale et professionnelle identique à la leur il y a dix ou vingt ans. Et tous les parents savent que leurs enfants rencontrent de nos jours plus de difficultés à débuter dans la vie qu’ils n’en avaient eux-mêmes à leur âge.
    Il est vrai que cette situation n’affecte pas également toutes les catégories de la population car, dans le même temps, les inégalités se sont creusées. Alors que les classes populaires et les classes moyennes, voire moyennes supérieures, connaissaient cette régression, les classes supérieures liées au système et au monde financier ont bénéficié au contraire d’une croissance exponentielle de leur niveau de vie.

    L’appauvrissement, conséquence du mondialisme

    Or, ces évolutions sont directement corrélées au processus de mondialisation sauvage que nous subissons maintenant depuis plusieurs décennies. L’ultralibéralisme international, qui s’est développé sans aucune régulation, a provoqué en effet un transfert de richesses des pays européens vers les pays émergents. Les délocalisations que subit notre pays depuis des décennies ont conduit à la quasi-disparition de secteurs entiers de notre appareil de production. Et personne ne peut raisonnablement nier que cet effacement industriel correspond à une perte de substance économique et donc à une diminution de richesse pour notre pays. Un manque à gagner que rien n’a réussi à compenser ni l’innovation, ni la technologie, ni l’ingéniosité de nos entrepreneurs. D’autant que de nombreux pays émergents, comme la Chine par exemple, ont maintenant rejoint l’Occident dans la maîtrise de la haute technologie et que les propos lénifiants tenus il y a encore quelques années sur le thème « ils ont les industries de main-d’œuvre, à nous les industries du futur, » se sont révélés totalement illusoires.

    L’occultation des méfaits de l’ultralibéralisme international

    Dès lors, les gouvernements successifs, qui n’ont cessé de vanter les prétendus bienfaits de cette mondialisation, ont cherché à occulter l’appauvrissement qu’elle provoquait en assurant des prestations et des services qu’ils ne pouvaient pas financer. Sans cette politique, l’appauvrissement entraîné par la mondialisation aurait d’ailleurs été beaucoup plus spectaculaire. Car, pour atténuer les effets désastreux de l’ultralibéralisme sauvage, les dirigeants de notre pays ont essayé de maintenir artificiellement le niveau de vie et de protection des citoyens en empruntant massivement. Pour limiter la réduction des prestations sociales, la détérioration des services publics et la baisse du pouvoir d’achat, ils ont donc fait vivre notre pays au-dessus de ses moyens. Comment expliquer autrement que le processus d’endettement commence dans les années soixante-dix et aille croissant à mesure que les droits de douane sont supprimés et que la dérégulation commerciale se généralise ? D’ailleurs, est-il possible d’expliquer les déficits que connaissent de nombreux pays occidentaux uniquement par le laxisme de leurs dirigeants ? Sans doute y a-t-il là une part de vérité, mais on ne peut expliquer un phénomène aussi puissant et aussi continu par une simple dérive des comportements politiques.

    À la croisée des chemins

    La difficulté est qu’après quarante ans de fuite en avant, cet endettement s’approche maintenant dangereusement des seuils critiques. Dès lors, la politique de camouflage des méfaits du mondialisme est en train d’atteindre ses limites. Il n’est pas possible en effet, même pour un Etat comme la France, de continuer à accumuler dette et déficit. Aussi la France se trouve-t-elle à la croisée des chemins, car il lui faut maintenant revenir à la réalité. Deux voies lui sont alors ouvertes : ou bien elle remet en cause la mondialisation sauvage par une régulation commerciale aux frontières de l’Europe et elle peut alors espérer retrouver, avec les autres peuples européens, le chemin de la prospérité. Ou bien, avec l’organisation bruxelloise, elle laisse les frontières grandes ouvertes et elle sera alors contrainte de réduire le niveau de vie et de protection de nos compatriotes et de faire accepter l’appauvrissement et la régression inexorable de notre pays. À l’évidence, c’est cette voie qu’ont choisie la Nouvelle Gauche et les dirigeants du Système pour qui l’allégeance à l’ultralibéralisme international passe avant les intérêts nationaux de notre pays. Avec eux, le processus d’appauvrissement du peuple français va donc se poursuivre et même s’amplifier.

    Enrayer l’appauvrissement

    Ligne droite préconise au contraire d’enrayer ce processus délétère d’appauvrissement et donc de choisir l’autre option, celle de la mise en cause du mondialisme sauvage. C’est par une régulation des échanges aux frontières de l’Union, par la protection des économies européennes de la concurrence sauvage et par la réindustrialisation du continent que la France et l’Europe pourront offrir à leur peuple une prospérité renouvelée.

    https://lignedroite.club/enrayer-le-processus-dappauvrissement-de-la-france-et-des-francais/

  • Les Bestofes – Têtes à Clash

    Franck Tanguy a animé de main de maître une année de débat dans “Têtes à Clash” : 22 émissions où ont été abordés 66 thèmes en compagnie de 36 invités différents. Nous vous proposons de retrouver pendant quelques instants ces visages devenus familiers.

  • Attentat de Trappes par un employé de la RATP : des langues se délient

    L'anarchie règne aussi dans les transports en commun parisiens. On le sait, mais ça va mieux en le disant : 

    ""J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal. 

    L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire".

    L'islamisme rampant s'est infiltré par leur pseudo diversité dans le recrutement des agents de la régie : 

    "Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.

    L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».

    Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…

    Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »

    Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».

    Et tout d’un coup, je réalise" (suite).

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html