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France et politique française - Page 2440

  • CONTRE L’OLIGARCHIE, LA PLOUTOCRATIE : LEVONS-NOUS POUR FONDER UNE VRAIE DÉMOCRATIE

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    La France a-t-elle déjà connu une vraie démocratie ? En apparence, mais pas en réalité. Si on compare nos régimes politiques successifs, dès l’origine en 1789, avec ceux de la Hollande, les nations scandinaves, le Canada, le Royaume-Uni et, a fortiori, la Suisse, qui oserait le prétendre ? Tous les Français le savent, le disent et en tirent les conséquences : ils ne vont plus voter, ils n’achètent plus la presse, ne regardent plus les informations à la télé, ils ne sont plus syndiqués, n’ont même plus recours à la Justice…

    Beaucoup de jeunes quittent la France, qui ne leur laisse pas de place, et émigrent sans espoir de retour. Et il y a le matraquage à l’école, dans les médias, sur ce que l’on ne doit pas dire sur les femmes, les choix sexuels, la nation, l’immigration, la religion, l’islam, la différence hommes/femmes, l’Europe… La menace, c’est le lynchage médiatique, la réprobation sociale, la condamnation pénale. La mise au placard professionnel. Et ce système de régression est verrouillé. Impossible de le changer car le système des partis veille. Croyait-on que la IVe République en était l’exemple ? Mais qu’est devenue la Ve République, sitôt passé de Gaulle ? Un duopole où surnagent des politiciens de métier, des communicants ; le tout dans la soumission aux banques, à Bruxelles. Un théâtre d’ombres. Un seul parti à deux faces. Et cette ambiguïté a fini par s’incarner en 2017.

    Les racines de cette idéologie cachée ? Une société européenne aristocratique chez Coudenhove-Kalergi en 1923 (Pan-Europa), puis 1945 : ses idées seront reprises par Monnet et Schuman. Sur le plan juridique, le droit de l’Union européenne prime sur les nations, y compris leurs Constitutions. CJUE, CEDH, Cour de cassation, Conseil d’État veillent au respect de l’ordre juridique et institutionnel. Un carcan non républicain. Les traités contiennent des références inutiles et donc malencontreuses (dans un texte juridique) à l’OMC et à l’OTAN, ce qui est une façon de ployer (pour toujours) la supranationalité européenne à d’autres supranationalités en matière de défense et d’économie. Sur le plan philosophique, l’idée est le déconstructivisme : rien n’est cohérent, tout est relatif ; les élèves de Heidegger (un nazi) ont tenu le haut du pavé : Sartre, Derrida, Bourdieu, Foucault… Les soixante-huitards qui prétendaient qu’il est interdit d’interdire quand ça les arrangeait entendent tout de même interdire les « fachos » : soit quiconque n’est pas de leur bande… Ils se sont taillé, par copinage, et non par talent, des fiefs, des sinécures, dans la politique, les médias, le CNRS.

    Et pourtant, depuis Athènes, Aristote, Périclès, Rousseau, 1789, 1945, nous savons bien que les pays libres fonctionnent mieux, sont plus prospères, et que leurs citoyens sont plus dignes… Emmanuel Macron veut modifier la Constitution ? Craignons le pire : des demi-mesures, un acte manqué qui augmenteront encore l’anomie française. Un peu de proportionnelle, alors que les Allemands sont à 50 % ? Surtout pas trop, nous disent des chroniqueurs méprisants du « peuple » : ne revenons pas au systèmes des partis. Alors que nous y sommes depuis 45 ans. Et le référendum ? Là aussi, « danger » : régime « plébiscitaire », risque démagogique, « populisme ». Fi ! Tous les hérauts du système en place, qui en vivent, ne veulent pas courir le risque de perdre leurs prébendes, leurs réseaux et, pire, de rendre son pouvoir au vulgum pecus.

    Il n’existe qu’un seul moyen de créer, enfin, en France, une vraie démocratie : le référendum d’initiative démocratique. Or, depuis la réforme constitutionnelle de 2008, pas une seule fois ce mécanisme n’a été mis en œuvre. Et il ne le sera jamais tant que ses conditions sont aussi mesquines. Est-il de plus grande perversion que de créer des institutions démocratiques inapplicables ? Or, la phrase qui précède est une arme puissante. Qui osera défendre ce système et s’opposer à ce qu’il fasse sens ? Il suffira de modifier légèrement l’article 11 alinéa 3 de la Constitution et le cercle vertueux s’enclenchera : le peuple reprendra sa liberté, et donc sa dignité.

    http://www.bvoltaire.fr/contre-loligarchie-ploutocratie-levons-fonder-vraie-democratie/

  • La SNCF deux fois plus dangereuse que son homologue britannique…

    L’un des lieux communs de la gauche de la gauche prétendant défendre le service public (mais surtout leur privilèges) est que la privatisation du système ferroviaire britannique l’a rendu plus dangereux que son homologue français. Or, c’est tout simplement… faux ! Le système ferroviaire britannique est le 3e plus sûr de l’Europe des 30 (Union Européenne plus Suisse et Norvège), derrière la Norvège et l’Irlande et à égalité avec le Luxembourg. La SNCF pointe au 11e rang, ce qui est loin d’être glorieux, alors qu’en l’an 2000 elle passait encore pour être le meilleur système ferroviaire au monde.

    Si on en croit le Safety Interim Report 2017 publié par l’Union Européenne elle-même, les 28 pays étudiés (Chypre et Malte, sans réseau ferroviaire, sont absents), le taux d’accident sur la période 2011-2015 est le suivant (l’unité de base est le million de train au kilomètre) :

    Moins de 0,06 accidents : Irlande (0,04), Norvège (0,06), Luxembourg et Royaume-Uni (0,07), Suisse (0,08).

    Moins de 0,15 accidents : Pays-Bas (0,10), Danemark (0,12), Finlande et Suède (0,13), Allemagne (0,14) et France (0,15).

    Moins de 0,32 accidents : Tchéquie (0,17), Belgique, Italie et Slovénie (0,18), Autriche (0,20), Espagne (0,21), Eurotunnel (0,32).

    Moins de 0,88 accidents : Portugal (0,54), Lettonie (0,75), Bulgarie (0,77), Croatie (0,80), Hongrie (0,86), Estonie (0,88).

    Moins de 1,27 accidents : Roumanie (1,05), Lituanie (1,12), Grèce et Pologne (1,13), Slovaquie (1,27).

    Notons l’état désastreux du réseau ferroviaire ex-communiste.

    En ce qui concerne les risques personnels encourus sur la période 2011-2015 est le suivant (l’unité de base est la centaine de milliards de passagers au kilomètre). On notera que la France est tout simplement… dernière ! :

    Aucun mort : Belgique, Croatie, Eurotunnel, Finlande, Irlande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Slovaquie.

    Moins de 0,005 morts : Pologne et Suisse (0,001), Autriche (0,002), Allemagne et Luxembourg (0,003), Danemark et Hongrie (0,004), Suède (0,005).

    Moins de 0,014 morts : Grèce (0,014).

    Moins de 0,025 morts : Slovénie (0,025).

    Moins de 0,043 morts : Italie et Roumanie (0,042).

    Moins de 0,079 mots : Tchéquie (0,044), Bulgarie (0,066), Estonie (0,07), Espagne et France (0,078).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-sncf-deux-fois-plus-dangereuse-que-son-homologue-britannique/90022/

  • AGNÈS BUZYN VEUT UN DEUXIÈME LUNDI DE PENTECÔTE ! ET PERSONNE NE CRIE ?

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    Quand un gouvernement veut tondre le peuple, il a un truc classique qui marche assez bien. S’il veut 50, il fait courir le bruit qu’il envisagerait de piquer 100. Immédiatement, c’est la bronca, les hauts cris, les manifestations, etc. Magnanime, il annonce alors que, sensible aux souffrances du peuple, il se contentera de 50. Et tout le monde le trouve super sympa ! Se pourrait-il que le docteur Buzyn, ministre de la Santé, ait été envoyé au front avec sa suggestion de rééditer le principe du lundi de Pentecôte travaillé pour financer l’accompagnement des personnes âgées et des handicapés ? D’autant que les médias autorisés semblaient dans les starting-blocks. Sur son site, France Info, enthousiaste et parée de l’ignorance économique qui fait son charme, assène ainsi : « Une deuxième journée paraît indispensable. L’avantage […] c’est que ça rapporte beaucoup d’argent très vite sans avoir à augmenter les impôts. » Pour le média d’État, 0,3 % de la masse salariale, ce n’est donc pas un impôt…

    Voilà qui vaut son pesant de Piketty et rappelle Hollande avec son célèbre « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye ». C’est même pire que cela, puisque cette proposition ramène les salariés aux temps du servage, quand les manants s’acquittaient de la fiscalité par des travaux forcés « d’intérêt général », du genre que l’on n’impose plus de nos jours qu’aux condamnés par la Justice ! Mais, en réalité, nous étions déjà, en 2017, les serfs de l’État du 1er janvier au 29 juillet, jour de libération fiscale le plus tardif de la planète. Une autre journée de solidarité s’imposait donc à l’évidence pour conserver le record.

    Mais cette journée, sera-ce la seconde ou seulement la deuxième ? Parce que l’expérience fiscale enseigne que toute action est le commencement d’une habitude. Sans remonter aux tranches ridicules du premier impôt sur le revenu de 1915, et qui atteignent aujourd’hui 49 %, il suffit de voir le forfait social sur l’intéressement : parti d’un gentil taux à 4 % sous Fillon, maintenant à 20 %, et avec assiette élargie. Ou la CSG de Rocard inaugurée à 1,1 %. Comme la pauvrette se sentait un peu seule, on lui ajouta la CRDS pour porter les prélèvements sociaux à près de 20 %.

    Reste à choisir le jour. Noël ou le jour de l’An… ça ne passera pas. Le 1er mai non plus. Restent le 8 mai et le jeudi de l’Ascension, que je sens assez bien. Une fête catho… on ne va pas se gêner !

    http://www.bvoltaire.fr/agnes-buzyn-veut-deuxieme-lundi-de-pentecote-personne-ne-crie/

  • « Il y a un revival de l’Action Française »

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    Image : AFP / Eric Feferberg

    Ils sont les fils spirituels d’Eric Zemmour et Elisabeth Levy. La politique, ils sont tombés dedans en manifestant, pour la toute première fois, contre le Mariage pour Tous. Depuis, ils ont lu tous les livres de Charles Mauras, fréquenté l’Action Française et pris un abonnement à Valeurs Actuelles. Dans son livre, Le vieux monde est de retour (éditions Stock), la journaliste Pascale Tournier dresse un portrait de ces « babys réacs » qui, à vingt ans à peine, parlent déjà comme des vieux. Interview.

    Vice : Qui sont ces « nouveaux conservateurs » auxquels vous consacrez votre livre ?
    Pascale Tournier : pour faire court, on pourrait dire que c’est la jeune génération qui a manifesté contre le Mariage pour Tous en 2012-2013. Battre le pavé contre la loi Taubira a représenté pour eux une école de formation politique. C’était un peu leur mai 1968 à l’envers. Puis en 2016, lors de la primaire de la droite, ils ont voté pour François Fillon – et sont d’ailleurs à l’origine de son succès. Depuis l’échec cuisant de leur candidat, et le retrait de la vie politique de Marion Maréchal-Le Pen, ils se sentent orphelins. Ils ne partagent pas tous les mêmes idées mais ont au moins deux marqueurs communs : ils sont contre l’ouverture de la PMA à toutes les femmes et défendent les Chrétiens d’Orient.
    Pour aiguiser ses armes contre le progressisme, cette génération a compris la nécessité de se structurer intellectuellement. D’où le revival observé de l’Action Française, qui depuis Charles Maurras a toujours été un lieu de formation pour les jeunes.

    La suite

    https://www.actionfrancaise.net/2018/04/14/il-y-a-un-revival-de-laction-francaise/

  • Mali : attaque sans précédent contre les forces françaises. (Add.)

    Au moins 10 soldats de la force Barkhane blessés d'après une source locale : 

    "Des tirs de roquettes, des assaillants déguisés en Casques bleus montés à bord de véhicules piégés, des échanges de coups de feu: les camps de la Minusma et de la force Barkhane à Tombouctou ont été la cible samedi d’une attaque «sans précédent» qui a fait au moins un mort et une vingtaine de blessés.

    L’assaut s’est produit peu après 14 heures (GMT et locales) sur le site aéroportuaire de cette ville légendaire du nord du Mali où sont cantonnés des Casques bleus de la Minusma et des hommes de l’opération française Barkhane. Alors que les deux camps essuyaient une «dizaine de tirs de roquettes», des hommes portant des Casques bleus ont tenté de «s’infiltrer» dans la zone militaire à bord de deux véhicules piégés, a précisé dans un communiqué le ministère malien de la Sécurité.

    L’un des véhicules portait les couleurs des Forces armées maliennes (FAMas) et l’autre le sigle «UN» des Nations unies. Le premier «a explosé», tandis que le second «a pu être immobilisé». Selon la Minusma, un de ses Casque bleus a été tué lors d’«échanges de tirs». Une dizaine d’autres ont été blessés.

    Le ministère malien a indiqué que l’attaque avait également fait une «dizaine» de blessés «côté Barkhane».

    «Les combats ont pris fin vers 18H30», plus de quatre heures après leur début, selon le ministère. Bamako et la Minusma ont assuré que la situation était à nouveau «sous contrôle». Sur Twitter, la force de l’ONU a évoqué une «importante attaque complexe» associant «mortiers»«échanges de tirs» et «attaque au véhicule suicide»«C’est la première fois qu’il y a eu une attaque de cette envergure contre la Minusma à Tombouctou», a relevé une source sécuritaire étrangère.

    «C’est une attaque qu’on n’avait jamais connue», a confirmé un responsable du gouvernorat de Tombouctou".

    Add. : Au moins 7 soldats français ont été blessés.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un commentateur russe : « Une troisième guerre mondiale est en cours, et la Russie n’a pas d’alliés »

    Une troisième guerre mondiale est en cours depuis au moins le bombardement de Belgrade par l’OTAN en 1999 et l’intervention de la Russie en Géorgie en 2008, dit Aleksey Venediktov. Mais il s’agit d’une guerre très différente de celles du passé, où les participants n’essaient pas de s’emparer d’un territoire, mais plutôt de s’assurer une influence sur d’autres États.

    Dans ce conflit, qui peut monter de froid à chaud, le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy explique à la Business Gazeta de Kazan, dans une interview dont certaines parties ont été mises en ligne aujourd’hui, que « la Russie n’a pas d’alliés » et ne peut donc dépendre de personne d’autre que d’elle-même au fur et à mesure que se déroulent des événements planifiés et non planifiés.

    Cette guerre ou, espérons-le, ce conflit « est vraiment mondial ; c’est simplement que certains acteurs comme la Chine ne sont pas très visibles, mais ils y prennent une part active ». Le but de ce conflit est différent de celui du passé : les États antérieurs cherchaient à gagner du territoire ; aujourd’hui, cependant, ils ne cherchent pas la redistribution territoriale du monde, mais plutôt celle de l’influence.

    Poutine, poursuit Venediktov, fait constamment référence à la nécessité de revenir au système de Yalta-Potsdam dans lequel « chaque grande puissance a sa propre sphère d’influence ». Mais Ronald Reagan, en 1987, a clairement indiqué qu’il n’y aurait plus jamais de système de type Yalta. Cela est resté la politique américaine.

    Mais il est important que Moscou se souvienne que « dans cette guerre, la Russie n’a pas d’alliés », dit le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy. « Poutine, poursuit-il, est un individu extraordinairement prudent…. Par conséquent, je pense que s’il sentait la possibilité d’un passage de la guerre à une phase chaude, il prendrait des mesures », connaissant les capacités des alliés occidentaux et de la Chine.

    Le danger d’escalade jusqu’à un échange nucléaire existe néanmoins en raison de la possibilité d’accidents. Lorsque les militaires des différents pays sont au même endroit, leurs commandants peuvent répondre « sans attendre un appel de Moscou ou de Washington ou de Jérusalem ou de Damas » et les choses peuvent mal tourner.

    Selon Venediktov, les forces de la Russie et des alliés occidentaux « ont reçu l’ordre d’éviter tout affrontement. Mais je suis inquiet parce qu’un accident est possible », un accident qui ressemblait à l’abattement d’un avion russe par la Turquie. Si une telle chose se reproduisait, il y a « une forte probabilité » qu’elle puisse « conduire à une escalade, politique au minimum ».

    Source: traduction d’un article (en anglais) paru sur Window on Eurasia / Paul Goble

    http://grandfacho.com/un-commentateur-russe-une-troisieme-guerre-mondiale-est-en-cours-et-la-russie-na-pas-dallies/

  • Renaud Camus a droit à la liberté d’expression !

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    Par Renaud Camus, écrivain ♦ Lisez bien ce texte. Renaud Camus y annonce la fondation du Conseil national de la résistance européenne. C’est une opinion. Dans un pays libre la liberté d’expression est protégée. Pas en France, nouvelle Corée de l’ouest. A la demande d’officines « antiracistes » et immigrationnistes subventionnées (LICRA, DILCRAH, SOS-Racisme), le parquet a engagé des poursuites contre le penseur du Grand Remplacement.
    Faut-il interdire ce texte ? A chacun de mesurer l’état des libertés en France en le lisant. Et de comprendre la nécessité d’abroger les lois liberticides en commençant par la loi Pleven.
    Polémia

    L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire. La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

    Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

    Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.

    Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

    On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

    On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

    L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

    Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

    Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, la connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

    De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliquée à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

    Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé la microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grandes partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

    Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaulle — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, germanique, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

    Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

    Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

    Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.

    Renaud Camus 13/04/2018

    Source : Conseil national de la résistance européenne

    Crédit photo : Allocution de Renaud Camus aux assises de la remigration le 15/11/2014 (source : Bloc identitaire)

    https://www.polemia.com/renaud-camus-a-droit-a-la-liberte-dexpression/

  • En Europe comme en Syrie : US GO HOME !

    Communiqué de la Dissidence Française

    Cette nuit, une coalition occidentale, composée des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne, a mené une série de frappes sur le territoire syrien, impliquant au moins une centaine de missiles.

    L’utilisation prétendue d’armes chimiques par le régime syrien à l’encontre de populations civiles dans l’une des dernières poches rebelles est brandie comme le prétexte justifiant cet acte de guerre. Comme cela avait été le cas en Libye et en Irak, c’est au mépris du droit international, et sans preuves tangibles de l’implication du régime syrien dans cette affaire, que cette opération militaire a été décidée.

    En engageant la France dans cette opération, Emmanuel Macron a négligé la vocation historique de notre pays : celle d’une troisième voie diplomatique et du multilatéralisme hérité du gaullisme. Comme ses deux prédécesseurs, c’est en auxiliaire des forces américaines que Macron a ordonné l’intervention de l’Armée Française contre le principal adversaire des islamistes de Daesh : la Syrie de Bachar el-Assad qui est engagée depuis des années dans une guerre totale avec les djihadistes.

    La Dissidence Française condamne fermement cette intervention militaire et milite pour le retrait de la France de l’OTAN et le rétablissement de l’indépendance militaire et diplomatique de notre pays. En Europe comme en Syrie : US GO HOME !

  • Cepalislam

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    L'islam n'est que le facteur aggravant de l'effondrement civilisationnel de ce continent.

    Quelques milliers de djihadistes potentiels sur le territoire, c'est du pipeau, ça se règle sans problème lorsqu'il y a une volonté politique et des couilles. Le vrai problème c'est ceux qui ont fait venir tous les redouanes de France et de Navarre et qui continuent à le faire en 2018.

    La photo illustre parfaitement ce qu'est devenu ce continent : un mall vide éclairé au néon et ou un chef d'état reçoit un Hashim Tahci, maffieux notoire tout en participant sans vergogne au Russia bashing rituel.

    Un territoire livré aux banksters anglosaxons et aux multinationales globalisées, aux barbares africains et aux sayanims infiltrés.

    Des millions d'hommes et de femmes dépossédés de tout pouvoir sur leur destin et trahis à chaque instant par des minables invertébrés soumis aux lobbies les plus puissants du moment.

    Des gendarmes égorgés comme des brebis, des militaires appelés à la rescousse des Kurdes ou entraînant au Levant des hommes qu'ils combattent au Mali et sur notre sol...

    Castaner, cet apparatchik minable monté au sommet de la pyramide à force de sucer des queues et qui rigole à l'enterrement d'un homme comme Beltrame illustre parfaitement le type anthropologique d'untermensch dominant dans les élites managériales libérales contemporaines. A gerber.

    Aliénation, mensonge, propagande, trahison, lâcheté générale, dévirilisation, décivilisation, une queue de comète comme dit Onfray.

    Vous avez dit soumission ?

     Lu sur le blog Hoplite

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • MACRON NE PREND PAS LES RETRAITÉS POUR UN PORTEFEUILLE, MAIS POUR DES C…

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    Jeudi dernier, interrogé par Jean-Pierre Pernaut sur la baisse des pensions consécutive à la hausse de la CSG, Emmanuel Macron a déclaré : « Je n’ai jamais pris les retraités pour un portefeuille. » Il aurait pu ajouter, s’il voulait être sincère, qu’il les prenait pour des imbéciles. Il a poussé le cynisme et la provocation jusqu’à les remercier à plusieurs reprises ; comme si des remerciements pouvaient laver une injustice !

    Les retraités – on pouvait s’en douter – sont restés sceptiques. Selon un sondage Odoxa et Dentsu Consulting réalisé pour Le Figaro et Franceinfo, 72 % d’entre eux n’ont pas trouvé le Président convaincant : tous ceux dont la retraite dépasse les 1.200 euros et qui ne possèdent pas des actions bénéficiant de largesses fiscales, c’est-à-dire la très grande majorité, que le gouvernement veut faire passer pour des nantis.

    Parmi eux, les parents de familles nombreuses qui ont déjà vu, en 2013 (quand Macron était conseiller de Hollande), leur majoration de pension pour enfants fiscalisée. Une attaque de plus contre les familles, mal-aimées du quinquennat précédent, et toujours aussi maltraitées sous l’actuel quinquennat. Sans compter le prélèvement à la source, qui pourrait faciliter l’individualisation de l’impôt, encore au détriment des familles.

    Il est injuste de faire passer les retraités pour des privilégiés, qui auraient profité du système.

    Ils participent à la croissance, chacun en fonction de ses moyens, par leur consommation, ils aident, pour la plupart, leurs enfants quand ils en ont besoin, ils contribuent à la solidarité nationale en s’engageant bénévolement dans des associations.

    Non seulement ils ont cotisé durant toute leur carrière pour que les pensions des retraités contemporains puissent être payées, mais leurs enfants cotisent à leur tour pour les générations qui ont atteint l’âge de la retraite. S’attaquer aux retraités, c’est les ponctionner deux fois et tourner délibérément le dos à une politique familiale sans laquelle, irrémédiablement, un pays glisse vers son déclin. À moins qu’on n’estime que les immigrés combleront le déficit démographique.

    Contre la politique du gouvernement, les retraités ne disposent que d’une arme, mais une arme redoutable : c’est leur bulletin de vote. S’ils représentent 20 % du corps électoral, ils votent beaucoup plus massivement que les autres catégories : au second tour de l’élection présidentielle, on relève seulement 18 % d’abstentions ; 74 % d’entre eux ont voté pour Macron, les électeurs de François Fillon s’étant majoritairement reportés sur le candidat d’En Marche !

    S’ils veulent manifester leur mécontentement, les retraités n’ont d’autre choix que de voter, aux prochaines élections européennes, pour des listes d’opposition. Faute de quoi, ils n’auront plus, pour consolation, que de chanter avec Serge Lama : « J’suis cocu, mais content. »

    http://www.bvoltaire.fr/macron-ne-prend-retraites-portefeuille-c/