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France et politique française - Page 2602

  • DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ? (rappel)

    Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

    Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

    On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

    Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

    Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.

    À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

    Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

    On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

    http://bvoltaire.com/daniele-obono-legitime-racisme-anti-blanc-de-juge-demander-levee-de-immunite/

  • Suppression de la taxe d’habitation : en marche vers le technonomadisme, par Eric Letty

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    stories.virtuemart.product.948_Page_01nsp-101.jpg« Un  flot de mots creux sur un désert d’idées », a résumé un conseiller municipal. C’est tout l’effet que la prestation d’Emmanuel Macron, le 23 novembre, devant l’Association des maires de France réunie en Congrès a produit. Le président de la République est parvenu, au mieux, à ne pas se faire (trop) conspuer, sans désarmer pour autant la méfiance de ces élus locaux.

    La véritable question ne se réduit d’ailleurs pas, loin s’en faut, à la manière dont a été reçu et perçu son discours. La politique conduite par le gouvernement à l’égard des collectivités locales concerne à la fois ces dernières et les contribuables locaux.

    Le chef de l’État a assuré aux maires que la suppression partielle de la taxe d’habitation sera financée par les économies que l’État va réaliser. Mais de quelles économies parle-t-il, alors que le projet de loi de finances pour 2018 prévoit un solde négatif de 82,9 milliards d’euros l’an prochain, contre 76,5 milliards d’euros en 2017, soit une aggravation du déficit de 6,4 milliards ? Si les « compensations à l’euro près » annoncées par le président de la République ne sont pas à la hauteur de ses promesses, une partie non négligeable des Français – ceux qui resteront assujettis à la taxe d’habitation (un sur cinq) et ceux qui acquittent les taxes foncières – peuvent s’attendre à une augmentation sensible de ces impôts locaux.

    Un autre argument d’Emmanuel Macron me paraît moins recevable encore ; c’est celui de la justice prétendue de sa réforme. Elle aboutira au contraire à désavantager encore les communes les plus pauvres par rapport à celles dont la population est globalement plus aisée, puisque le nombre des « riches » sur lesquels pèseront les taxes y sera plus réduit. Avec à la clef le risque que ces derniers n’en viennent à fuir ces communes déshéritées.

    Les classes moyennes en général et les propriétaires de biens immobiliers en particulier sont dans le collimateur du gouvernement. Contrairement à ce que prétendent les socialistes et l’extrême gauche, Emmanuel Macron n’est pas le « président des riches », mais des très riches et des banquiers, comme le montrent ses choix économiques – ainsi la transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière vise-t-elle à détourner l’épargne de l’immobilier pour la rediriger vers l’actionnariat, c’est-à-dire essentiellement vers les banques et les grands groupes multinationaux.

    Macron est l’homme de la finance, il ne connaît pas la France, il ne l’aime pas, comme l’a montré son discours à la Sorbonne, le 26 septembre, dans lequel il n’envisageait l’avenir que dans un cadre européen hors duquel la nation française n’aurait, selon lui, plus de destin. De là vient aussi son divorce avec les maires des 35 0000 communes de France, qui, de tous les élus, sont les plus proches du « terrain » et des Français. L’État macronien, technocratique par essence, s’en méfie d’autant plus.

    Même s’il tient ses engagements, la réforme de la taxe d’habitation placera les municipalités à la merci financière de l’État-providence et fera des maires ses obligés. On peut prévoir que les technocrates des cabinets ministériels et du ministère de l’Économie seront alors conduit à intervenir davantage dans la vie des communes, qu’ils ne connaissent pas et méprisent – à l’exception des grandes villes et mégapoles. Ainsi ces communautés politiques vivantes et nécessaires perdront-elles ce qu’il leur reste d’autonomie, au bénéfice de la centralisation républicaine.

    Les divers aspects de cette politique, qui piétine les droits des propriétaires immobiliers et ceux des communes, procèdent au fond d’une même logique, celle du nomadisme technocratique : le technomadisme, dont Emmanuel Macron est le parfait représentant.

    Eric Letty

    Article repris de Monde & Vie

    https://fr.novopress.info/

  • L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

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    Bernard Plouvier

    Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

    Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

    Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

    La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

    En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

    Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

    En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

    Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

    C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

    - Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

    - Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

    - Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

    - Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

    En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/12/07/l-europe-unie-du-grand-remplacement-comment-en-est-on-arrive-6006143.html

  • Les succès d’Emmanuel Macron et d’En Marche ne doivent rien au hasard

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d2c49624970c-250wi.jpg"[...] « Je crois qu’Emmanuel Macron a tout à fait le talent pour être présidentiable un jour. » Celui qui a prononcé cette phrase, c’est Jacques Attali, un homme de réseaux qui ne cesse de traîner dans les hautes sphères du pouvoir depuis qu’il a conseillé François Mitterrand. Quand a-t-il dit cela ? En août 2014. A l’époque, Macron venait tout juste de prendre les rênes du ministère de l’Economie. Voilà une belle anticipation d’initié, qui voyait ce qui se tramait en arrière-salle : une recomposition du paysage politique français.

    Les événements ont d’ailleurs été annoncés au plus haut niveau. François Hollande en personne l’a affirmé : « Il faut un acte de liquidation. Il faut un hara- kiri. Il faut liquider le PS pour créer un Parti du Progrès » (propos tenus le 12 décembre 2015 et rapportés par Gérard Davet et Fabrice Lhomme - Un Président ne devrait pas dire ça, éd. Stock, 2016). On aurait dû le prendre plus au sérieux. Car, un an plus tard, c’est justement cette thématique que reprenait Emmanuel Macron sur le plateau de TF1 : « Je veux réunir tous les progressistes contre les conservateurs. »

    [...] Face à la montée du Front national, il fallait créer un grand parti unique. Avec des têtes nouvelles. Le battu de la primaire du PS, Manuel Valls, s’en était agacé : « J’en ai marre de voir que le se- crétaire général de l’Elysée aide à lever des fonds pour celui qui veut tuer notre parti » (« L’Obs », 19 janvier 2017). La brusque exposition de l’affaire Fillon procédait probablement de ces projets de recomposition. Depuis, Valls est rentré dans le rang et Fillon est parti. Le PS est laminé et LR continue de naviguer à vue. Le projet de grand parti progressiste avance. « La recomposition politique est bien loin d’être achevée. La poutre travaille encore », lançait le premier ministre Edouard Philippe le 18 novembre dernier. Elle pourrait s’accomplir lors des prochaines élections européennes, en 2019. [...]

    La préparation du candidat Emmanuel Macron remonte loin. Elle commence dès 2015. A l’époque, son cabinet au ministère de l’Economie freinait déjà les notes du secrétaire d’Etat chargé du numérique Axelle Lemaire, afin de réserver au seul ministre l’image de la modernité. En 2016, Emmanuel Macron employait à lui seul et en huit mois seulement 80 % des frais annuels de représentation du ministère afin de préparer sa campagne présidentielle, selon les journalistes Frédéric Says et Marion L’Hour (Dans l’enfer de Bercy, éd. JC Lattès).

    Par ailleurs, l’homme aux allures de gendre idéal a très tôt dragué la frange bourgeoise de l’électorat LR et les très influents courants de la Manif pour tous. En juillet 2015, il effectuait une sortie soudaine dans « Le 1 Hebdo» sur la«figure du roi»: cette intervention, qui n’avait pas de précédent et qui n’aura aucune suite, enflammait les milieux catholiques. En mai 2016, on le retrouvait à Orléans pour la fête de Jeanne d’Arc. En août, il était reçu en grande pompe au Puy du Fou par Philippe de Villiers. L’opération a fonctionné : lors du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat progressiste souvent invité dans les loges maçonniques arrivait en tête dans la majorité de la France de l’Ouest...

    Les moyens employés afin de pousser à la création du parti unique ont été à la hauteur des enjeux. Pour financer les meetings à 400 000 euros et le paiement de ses 50 salariés, En Marche (dont la marque a été déposée à la Commission des comptes de campagne dès février 2016) avait réuni des millions d’euros en faisant appel à de riches donateurs.

    Emmanuel Macron a en outre bénéficié du soutien de l’Elysée, tant pour ses voyages à l’étranger avant le premier tour que pour son exposition dans les médias publics.

    Surtout, l’ancien associé-gérant de la banque Rothschild s’était assuré du plein soutien des médias industriels après la défaite d’Alain Juppé à la primaire. L’actionnaire militant Pierre Bergé (« Le Monde », « L’Obs », « Télérama », « Challenges », Rue 89, etc.) avait affiché publiquement sa préférence pour le candidat progressiste, tout comme Bernard Arnault (« Les Echos », Radio Classique, « Le Pari- sien »/« Aujourd’hui en France »). Le groupe SFR Presse (BFM, RMC, « L’Express », etc.) avait vu son directeur rejoindre directement En Marche. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/12/les-succ%C3%A8s-demmanuel-macron-et-den-marche-ne-doivent-rien-au-hasard.html

  • Guillaume Faye à propos du travail en France – Vidéo

    https://www.gfaye.com/guillaume-faye-a-propos-du-travail-en-france-video/

  • C’est le jacobinisme qui nourrit les revendications indépendantistes les plus anti-françaises

    6a00d83451619c69e201bb09dd6421970d-800wi.jpgDe Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités à propos des élections en Corse :

    "[...] Selon toute vraisemblance, donc, les indépendantistes et les autonomistes vont avoir les mains libres pour réaliser leur programme et, en particulier, la fusion des diverses collectivités territoriales dans une unique collectivité corse.

    Je suis opposé à la dislocation du pays, mais il est clair qu’en Corse, comme naguère en Alsace (où l’opération avait raté par la faute d’une sorte de coalition aussi tacite qu’absurde entre certains élus FN anti-régionalistes et les pouvoirs publics parisiens), cette collectivité unique est une exigence de bon sens. Oui, quoi qu’en dise la constitution et malgré les grandes envolées lyriques de certains sur la «république une et indivisible », il existe un peuple corse, comme il existe un peuple alsacien ou un peuple breton.

    Il est normal que ces peuples veuillent s’auto-administrer le plus largement possible. C’est le jacobinisme qui nourrit les revendications indépendantistes les plus anti-françaises. Le royaliste indécrottable que je reste ne peut s’empêcher de songer que deux cents ans d’histoire révolutionnaire ont, à la fois, foulé aux pieds les libertés provinciales et ruiné l’unité nationale (comment ne pas songer aux départements français d’Algérie, scandaleusement abandonnés aux assassins, au mépris du droit des habitants, pieds-noirs comme musulmans fidèles à la France?).

    Il se murmure qu’Emmanuel Macron est favorable à la constitution d’une entité alsacienne. Si ce n’est pas une usine à gaz administrative, ce serait une bonne nouvelle. Si l’État pouvait se débarrasser des oripeaux archaïques du jacobinisme, la France charnelle s’en porterait mieux. Et il serait alors possible de se battre vraiment pour l’unité nationale!"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le ministère de l’Intérieur donne son accord aux islamistes pro-charia et pro-niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains

    Voir l'image sur Twitter 

    L’Intérieur donne son accord aux islamistes pro charia et pro niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains. Ils peuvent traiter la police de raciste et être reçus à @Place_Beauvau !! > http://islamisation.fr/2017/12/06/linterieur-donne-son-accord-aux-islamistes-pro-charia-pour-la-reouverture-de-la-mosquee-de-stains/ 

    https://fr.novopress.info/

  • Bon nombre de décisions stratégiques pour notre avenir peuvent se prendre en France

    De Jean Rouxel dans Les 4 vérités :

    6a00d83451619c69e201b7c93a46a9970b-800wi.jpg"[...] Je comprends, par exemple, d’autant mieux qu’on soit favorable à la sortie de l’euro que j’étais, pour ma part, hostile à la création de la monnaie unique. Mais pourquoi ne pas restaurer d’abord les finances publiques ? Cela nous permettrait de nous poser la question de la sortie de la monnaie unique dans des conditions favorables.

    Cessons donc de voir ailleurs les causes de nos problèmes.

    Bien des choses peuvent se régler chez nous, avec un minimum de volonté politique. Stopper l’immigration n’impose pas de dénoncer les traités internationaux. Baisser la dépense publique non plus. Révoquer les juges libérant des assassins peut être décidé par le parlement.

    Et ainsi de suite.

    Bon nombre de décisions stratégiques pour notre avenir peuvent se prendre en France. Les pays de l’est, pourtant membres de la même Union européenne que nous, et souvent utilisateurs du même euro que nous, montrent que l’action politique reste possible.

    Cela n’exonère pas l’Union européenne de ses responsabilités dans nos difficultés. Mais commençons donc par ce qui nous est accessible.

    On se demande parfois si les dirigeants politiques n’utilisent pas Bruxelles ou l’euro afin de se trouver un alibi pour ne rien faire. Ce n’est pas ainsi que nous reprendrons le pouvoir et que nous redresserons la France!"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Fatalité républicaine : des partis discrédités, toujours présents.

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    On ne parle que de recomposition, de reconstruction, à gauche, à droite, au centre. On fait comme si du neuf pouvait sortir de l’ancien, comme si le régime des partis était améliorable. Sans tenir compte de la désaffectation criante des Français. 

    Assistons-nous à la fin du règne des partis ? On pourrait le croire. À ce jour, seulement 1% de nos compatriotes adhèrent à l’un d’eux, alors qu’ils se comptèrent jusqu’à 20% durant la période 1945-1978, et encore 10% durant les années 1980. 1%, un chiffre bien inférieur à celui des autres pays comparables au nôtre : Royaume-Uni (15%), Allemagne (7%), Italie (8%), Espagne (9,5%). Et surprenant en une nation gangrenée par la contestation permanente et l’idéologie.

    Mais justement, les Français sont saturés de politique et d’idéologie ; à cela s’ajoutent leurs déceptions à l’égard de gouvernements incapables de résoudre les difficultés dont ils souffrent et qui ont fait perdre au pays ce qui lui restait de puissance.

    Réduits au rôle de machines électorales

    À quoi s’ajoute encore l’évolution du rôle dévolu aux partis sous la Ve République. Cette dernière, selon le vœu de son fondateur, s’est, d’emblée, voulue hostile au « régime des partis » et a fait du Président de la République, élu au suffrage universel direct, le personnage clef de la vie politique, doté de tous les pouvoirs. Et, suivant l’expression consacrée, son élection est devenue le « temps fort » de cette vie politique. Dès l’époque du général de Gaulle, les députés du parti majoritaire sont devenus des « godillots », suivant une autre expression consacrée. Et la réforme du quinquennat a accentué cette tendance. Désormais, les législatives, intervenant immédiatement après la présidentielle, ont pour seul rôle de donner au nouveau maître de l’Elysée une majorité parlementaire. Or, les partis s’affrontent bien davantage lors des législatives que pendant la présidentielle, où les candidatures sont personnalisées à l’extrême. Et, de ce point de vue, les « primaires » n’ont rien arrangé, au contraire, puisque ces élections inconstitutionnelles font s’affronter les caciques d’un même parti, mettant en lumière les profondes divisions qui grèvent les partis; les citoyens finissent par penser que ces derniers n’ont aucune cohérence idéologique et politique. Résultat : ils ne croient plus ni aux hommes politiques, ni aux partis. À leurs yeux, ces partis ne sont plus que de simples machines électorales au service de notables ambitieux.

    Une logique républicaine infernale

    De surcroît, nécessité faisant loi, leurs dirigeants, lorsqu’ils exercent le pouvoir, font tous grosso modo la même politique, Ajetant à la corbeille leurs promesses électorales.

    Car il faut bien promettre ce à quoi aspirent les électeurs pour capter leurs suffrages, même si on sait qu’on ne pourra tenir ces promesses. Un homme politique qui tiendrait le langage de la vérité n’accéderait jamais au pouvoir.

    De même les partis, lesquels n’intéressent plus personne, quand ils n’écœurent pas tout le monde.

    Mais cette crise des partis est tout simplement celle de notre démocratie. Elle en révèle l’absurdité foncière. Des problèmes se font jour ; on ne s’entend pas sur les solutions, pas plus que sur un « projet de société » ; donc, on vote, c’est-à-dire qu’on se prononce pour tel parti qui, concurremment avec ses adversaires, propose son programme ; mais, sauf en période faste (et encore), la réalité ne s’accommode pas des idées et des programmes, il faut composer ; on s’incline devant la loi d’airain de la nécessité, et on opte pour un compromis qui revient à poursuivre peu ou prou la politique du prédécesseur qu’on critiquait ; mais il ne faut pas décevoir l’électorat : on prétend donc avoir tenu ses promesses, en usant d’un discours abscons et emberlificoté, et on continue à mentir pour être réélu ; et ainsi, les gouvernements se succèdent en faisant tous la même chose, sans l’avouer… et en ne résolvant aucun des problèmes en suspens, dans la mesure où ils sont bridés par les échéances électorales, lesquelles les privent du temps et des moyens d’agir efficacement.

    Voilà la logique infernale de notre système politique. Il en va de même dans tous les pays démocratiques, mais, en France, ce travers fondamental se trouve aggravé à la fois par notre tradition étatique qui fait reposer toute la société sur l’État, et par notre tradition révolutionnaire, qui renforce puissamment cette tendance et instille en notre nation un esprit permanent de contestation et de revendication.

    Au terme du processus – et nous semblons y être arrivés –, notre nation est gavée à vomir, épuisée, exténuée. Et les électeurs boudent les urnes : rappelons que le taux d’abstention grimpa à 25 % au second tour de la dernière présidentielle, à 57 % aux législatives qui suivirent. Nos députés sont les élus d’une minorité. La machine politique tourne à vide. La recomposition de la droite, la recomposition de la gauche qui font les choux gras de la presse, ne donneront rien d’autre que des luttes plus acharnées et des divisions plus violentes. Pour quel résultat ?

    Macron et LREM : renouveau de pure apparence

    Emmanuel Macron et ses troupes ont tiré avantage de cette désaffection. Le triomphe de La République en marche (LREM) en procède, avec ses 308 députés qui ont provoqué un renouvellement de 75 % de l’Assemblée nationale. Mais cela ne dure pas : la popularité du nouveau et fringant président s’effondre à une allure vertigineuse, et les nouveaux élus étalent leur inexpérience ; ils font naître doute et irritation chez les Français, en particulier leurs électeurs, lesquels en viennent à regretter leur choix. Et, quoique limitées à un corps électoral restreint, les dernières sénatoriales attestent de cette tendance.

    C’est que, dans une certaine mesure, leur vote du printemps était protestataire. D’une façon moins évidente que celui des électeurs du Front national ou de la France insoumise, mais certaine. En effet, ce scrutin ne signifiait pas vraiment qu’ils tournaient enfin le dos aux idéologies, aux projets de société et programmes utopiques, aux promesses en l’air, et qu’ils optaient en faveur du réalisme. Cependant, dans le vote Macron, se signalait pareillement un rejet du système des partis dont le bénéficiaire a su jouer à sa façon. Mais rien n’était clair. Certes, les électeurs étaient déniaisés, mais ils ne se soumettaient pas pour autant au principe de réalité. Et, lorsque Macron met en œuvre, conformément à ce qu’il avait annoncé, sa réforme du droit du travail, ou quand il prépare un budget d’austérité ou restreint les aides de l’État aux collectivités locales, les Français manifestent leur exaspération à l’encontre des mesures drastiques qu’ils supportent depuis des décennies. Autrement dit, rien de nouveau sous le soleil. Le grand ménage opéré au sein de la classe politique et de l’Assemblée nationale par Macron et LREM, qui ont évincé les vieux caciques et les partis traditionnels, n’inaugure nullement une ère nouvelle empreinte de raison, de réalisme et de courage. La mentalité des Français n’a pas changé. De même le paysage politique. Après tout, que sont les figures en vue de LREM, sinon des notables PS et LR recyclés ? Et la politique conduite par le présent pouvoir ne diffère pas de celle de ses prédécesseurs.

    On ne choisit ni ne change les contraintes du réel

    Et, là, il convient de clarifier la situation. Pourquoi et en quoi cette politique devrait-elle changer ? Les Français changent de dirigeants chaque fois qu’ils sont mécontents des sacrifices que leur réclame une politique destinée à sortir le pays du marasme. Or, ces sacrifices sont inévitables, et cette politique est nécessaire. De plus, elle ne peut pas produire d’effets bénéfiques sensibles avant de longues années, dont la durée d’ensemble excède de beaucoup le temps d’une législature ou d’un mandat présidentiel. Aussi, chaque président se voit conduit à édulcorer et tronquer sa politique de redressement en raison de la contrainte électorale permanente, tout en ayant soin de donner des gages démagogiques à ceux qui veulent le voir prendre le contre-pied de son prédécesseur. D’où une instabilité permanente au sommet de l’État et une politique incohérente et cahoteuse, même si, sous l’empire de la nécessité et de la contrainte extérieure (l’Europe et la mondialisation), elle va toujours dans le même sens (celui de l’austérité et du bradage continu de notre souveraineté et de notre indépendance dans tous les domaines). Nos hommes politiques, aspirant à conquérir ou reconquérir le pouvoir, évoquent « la seule politique possible » et proclament leur refus des promesses mensongères, tout en annonçant une amélioration rapide de la situation du pays et des conditions de vie des Français, du fait de leurs initiatives. Or, l’indispensable redressement ne peut jamais être entrepris et, de toute façon, son déroulement serait long, et ses fruits ne seraient accessibles qu’à long terme, après que deux générations de nos compatriotes auraient mangé de la vache maigre.

    Une illusion obsédante entretenue par le système

    Notre système interdit l’acceptation de cette vérité, pourtant évidente à l’esprit des Français, même des plus contestataires. Il l’interdit en raison de ses principes et de sa dynamique. Ce système dit en effet au citoyen qu’il a le choix entre plusieurs politiques possibles, plusieurs projets de société, plusieurs programmes, que l’on choisit comme parmi des articles d’hypermarché. Et il ajoute que s’il n’est pas satisfait de l’un d’eux, il peut opter en faveur d’un autre, et que cela est on ne peut plus conforme à la logique et à la bonne santé de la démocratie. En clair, il entretient et stimule sempiternellement le mécontentement, la contestation et la revendication. Partant, il empêche les Français de tirer les conclusions de cette vérité que pourtant ils discernent intuitivement : que la situation dramatique de leur pays appelle une œuvre de relèvement de longue haleine, impliquant des sacrifices durables, et pour laquelle il n’existe aucune autre option moins douloureuse. Il n’y a pas d’alternative, contrairement à ce que l’on fait croire, pas de choix.

    Un pouvoir impuissant, des Français enfermés dans leur révolte et leur obsession contestatrice, voilà le résultat – logique, au demeurant – de notre république fondée sur des principes révolutionnaires, individualistes et égalitaires. Jamais le caractère fondamentalement mortifère de ce système n’est apparu avec autant d’évidence qu’à notre époque de déchéance.

    L’opposition frelatée des partis protestataires

    Et, corollaire de cette incapacité de notre nation à se rassembler autour d’un pouvoir fort pour se relever, les formations politiques protestataires continuent de croître et fleurir sur le terreau du mécontentement, lors même que leurs propres sympathisants les savent dans l’erreur. Le « leader » de La France insoumise, vulgaire bateleur d’estrade, est pourtant perçu comme inapte à gouverner par 66 % de nos compatriotes ; et cette proportion est la même que celle des électeurs qui, le 6 juin dernier récusèrent Marine Le Pen, présidente du Front national, au profit de Macron. Et cependant, ces deux « incapables » – à en croire les Français eux-mêmes – représentent la seule opposition visible à Macron. C’est que tous deux incarnent on ne peut plus l’enkystement des Français dans leur imaginaire républicain. Jean-Luc Mélenchon, dans ses harangues, convoque toute les grandes figures de l’histoire républicaine et des mouvements sociaux, à titre de symboles de la France contemporaine née de la Révolution, debout contre le pouvoir macronien qui voudrait l’enterrer. Marine Le Pen, elle, se veut le dernier défenseur de la vraie France républicaine, à la fois patriote, populaire, cocardière mais généreuse, contre la dissolution de son identité dans l’Europe, le néo-libéralisme sans frontières et le melting pot international. Il est permis de préférer ce qu’il y a de plus réellement national. Bien sûr, et le départ de Philippot resolidifie quelque peu un certain électorat, mais pour aller où ? Le patriotisme se doit d’être éclairé. Rien ne sortira de formes frelatées de patriotisme, qui nous enferment dans notre modèle républicain dont la faillite est patente aujourd’hui, et qui nous étiole complètement, nous condamnant à la cécité volontaire et à la mort par paralysie et immuno-déficience.

    La guérison ? impossible ?

    Les Français d’aujourd’hui ne croient plus ni au pouvoir en place, ni à ceux qui le contestent. Ils devraient s’en débarrasser, faire leur révolution, la vraie ! Ils ne la font pas, car notre système a émoussé leur intelligence et les voue à une oscillation constante entre illusions obnubilantes et fatalisme. Et ainsi, subsistent des partis inutiles et décrédibilisés, la révolution que nous évoquions à l’instant se ramenant à congédier temporairement les plus usés d’entre eux en faveur d’un nouveau mouvement (LREM) qui n’est que leur synthèse. Il est sans doute dur de conclure qu’il n’y a aucun avenir dans le cadre des institutions actuelles. Il faut dès maintenant penser au-delà.   

    Yves Morel

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