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France et politique française - Page 2664

  • L’immigration extra-européenne aura été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat

    Lu dans L'Incorrect, à propos du procès du clan Merah :

    6a00d83451619c69e201b7c927306c970b-250wi.jpg"[...] On aura beau gloser, s’agiter et chercher à masquer la réalité, le discriminant commun des terroristes islamistes est qu’ils sont ultra majoritairement issus de familles de culture musulmane, qu’ils soient de nationalité française, binationaux ou étrangers en situation irrégulière. L’immigration extra-européenne aura donc été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat sur notre sol. Et que faisons-nous collectivement, en France et sur le continent européen, pour réduire le phénomène ? Nul n’a prétendu qu’il serait aisé de répondre à ces défis majeurs. Toutefois, peut-être devrions nous commencer par prendre quelques mesures de bon sens, de celles qui auraient pu permettre d’éviter le double assassinat de deux jeunes filles dans la gare Saint-Charles de Marseille par exemple.

    Ahmed H. ? Bachir H. ? Salahdine H. ? Yanis H. ? Autant d’identités derrière lesquelles s’abritait ce délinquant d’habitude (arrêté en situation irrégulière en 2005 en possession de stupéfiants, appréhendé pour port d’arme prohibé en 2014…), qui a égorgé Laura et Mauranne au nom d’Allah. Le vendredi 29 septembre, soit deux jours avant la commission de ses meurtres, ce « vagabond » était une nouvelle fois interpellé à Lyon pour des faits de vol à l’étalage, avant d’être placé en garde à vue puis relâché dans la nature comme il se doit. Par la suite, celui qui s’était présenté comme un ancien « amateur de drogues dures » n’aura pas été placé en Centre de rétention administrative en vue de son expulsion ; faute de place ou pour cause d’absentéisme d’un fonctionnaire, les sources divergent. Reste que la France paie chèrement les conséquences de la loi du 31 décembre 2012 supprimant le délit de séjour irrégulier, alors perçue comme une simple mise à jour du droit français au regard d’arrêts constants de la Cour de justice de l’Union européenne.

    De ces « détails », les cerbères de la diversité n’ont cure, préférant dénoncer la société patriarcale ou le système oppressif postcolonial, s’égosillant contre les mesures liberticides que contiendrait en germe le tout petit projet de loi terrorisme porté par le gouvernement… Combien de morts supplémentaires avant que tout ce petit monde ne se décide à déciller leurs yeux et à appliquer la formule employée par Riss sur la dernière couverture de Charlie Hebdo : « Merah, loup solitaire ? Abattez le troupeau ! » ? Peut-être faudrait-il y rajouter les gardiens du troupeau…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Vos enfants apprendront l'écriture inclusive ! Journal du Vendredi 06 Octobre 2017

  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

    Elisabeth-Lévy-600x311.jpg

    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • [communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?

    Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.
    OlivierRenault2.jpgDans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.
    Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.
    Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.
     La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.
    Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.
    Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés,  le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
    lu sur le site de riposte laïque

  • LE « BORDEL » SELON MACRON

    Emmanuel Macron vient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien ».

    « Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d’aller regarder s’ils ne peuvent pas trouver des postes là-bas ! » Ceux qui « foutent le bordel », ce sont les salariés de GM&S. « Là-bas », c’est à près de cent cinquante kilomètres de leur usine menacée. Et celui par qui le scandale – et le « bordel » – arrivent, c’est évidemment Emmanuel Macron.

    Cette sortie n’en finit plus d’agiter le microcosme des hommes et commentateurs politiques. Elle n’a pourtant rien d’officiel, ayant été « volée » par les journalistes de BFM TV, alors que le Président s’entretenait en privé avec Alain Rousset, lui-même président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine. Était-il licite de jouer ici avec le « off » ? Les médias n’en sont plus à ça près.

    En revanche, il est sûr qu’Emmanuel Macron livre là ce qu’il a sur le cœur, avec les mots que tout un chacun emploie généralement loin des caméras et des micros. On notera encore que ce n’est pas la première fois qu’il s’exprime, en privé ou pas, dans un langage que les plus indulgents tiendront pour « fleuri ». Il est tout aussi sûr qu’il y a vulgarité et vulgarité ; celle des mots et celle de la pensée. En l’occurrence, sa copie est exemplaire, que ce soit dans le fond et la forme ; et son épouse ne pourrait faire moins que de lui coller un vingt sur vingt, même en notant vache.

    Sur le fond, donc, et quoiqu’il s’en défende, Emmanuel Macronvient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien », « illettrés », « alcooliques », « fainéants » et autres petits mots doux. Plus frappante encore demeure sa conception de ce que devrait devenir la France de demain : mobile, connectée, ouverte, tournée vers les technologies de demain ; bref, une France qui bouge et donne le tournis, telle une start-up trépignant dans son incubateur. L’usine en question, où il y a du travail, se trouve à deux heures de route du domicile des chômeurs en puissance ? La belle affaire ! Il s’agit d’un tout autre métier pour lequel il faudrait repartir presque de zéro ? La splendide occasion que voilà ! De tels changements de vie pourraient mettre en péril la vie de famille, voire la vie sociale des principaux intéressés ? Mais la vie, qu’elle soit ou non de famille, est sans cesse à réinventer !

    C’est bien la peine de se vanter d’avoir été l’assistant du philosophe chrétien Paul Ricœur, contempteur « d’individualisme libéral », pour se faire aujourd’hui le chantre du déracinement, non point conjoncturel – il peut arriver de devoir déménager pour conserver sa situation professionnelle –, mais éminemment structurel, l’exception ayant avec lui vocation à devenir mode de vie.

    Ce n’est pas pour rien qu’Emmanuel Macron fut rapporteur général adjoint de la Commission pour la libération de la croissance française, commandée en 2008 par Nicolas Sarkozy à un certain Jacques Attali ; commission que Marine Le Pen avait fort justement rebaptisée « Commission Attila », tant elle entendait faire table rase de toute forme de tradition française en la matière.

    Ces temps derniers, il est beaucoup question d’insécurité. Laquelle peut recouvrir de multiples visages. Il y a évidemment celle des corps et des biens. Mais il en existe une autre, aux effets autrement plus insidieux, celle consistant à voir disparaître, pan par pan, le capital immémorial de cette nation plus que millénaire qu’est la France. C’est l’insécurité culturelle, spirituelle, civilisationnelle. En effet, notre patrimoine immatériel n’a pas de prix : c’est ce qui en fait tout le sel.

    http://www.bvoltaire.fr/bordel-selon-macron/

  • Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT

    Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent“l’influence des réactionnaires” dans le débat public :

    “Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobesracistes qui oppriment et aliènent”.
    “Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.

    Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.

    DLSCrhtXUAAsJ2P

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Islamisme : l’hebdomadaire Marianne dénonce à son tour la politique de l’autruche

    Marianne-Islamisme-600x432.jpg

    Qui restera-t-il, à part peut-être Libération, pour ne pas s’inquiéter des avancées de l’islamisme ? Marianne, dans son numéro à paraître demain, s’inquiète à son tour de la politique de l’autruche qui prévaut. En Une, le dossier de la semaine, titré : « Ceux qui ne veulent pas voir », et comme surtitre : « L’islamisme avance, le terrorisme frappe partout… » Mais jusque-là, tout va très bien, madame la marquise…

    Marianne Couv Islamisme

  • Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »

    04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :

    « Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !

    « On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.

    « Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »

    « Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !

    « Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »

    « Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »

    https://fr.novopress.info/207711/alba-ventura-sur-daniele-obono-on-est-entre-lideologie-la-provocation-et-la-betise/