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France et politique française - Page 2668

  • "Marseille, Las Vegas: le déni de réalité"

    Le billet de Lucien SA Oulahbib :

    "Les services de police français et américains "ne voient aucun lien" avec la revendication dudit " État islamique", pourtant jamais celui-ci n'a revendiqué d'attentat auquel il n'était pas impliqué, l'E.I indiquant pourtant que le tueur venait de se "convertir", ensuite il semble bien que concernant l'assassin de Marseille il a bien prononcé devant témoins le slogan djihadiste, ce qui implique qu'il est au moins connecté avec celui-ci.

    Le déni de réalité se situe donc à trois niveaux :

    • le fait qu'il y ait des armes en circulation aux USA n'a rien à voir, puisque le désir de tuer pour soumettre précède toute possession de celles-ci.
    • le fait qu'un droit commun bascule djihadiste n'a rien d'original puisqu'il s'agit pour lui d'une sorte de rédemption, l'Europe a connu ce débat lors du quiétisme ce qui mettait en colère Pascal puisqu'il suffisait de faire pénitence pour être absous, aujourd'hui tuer au nom d'un dieu pour prétendre à son blanchissement peut être considéré comme étant de plus en plus similaire…
    • le fait que les Autorités occidentales refusent de plus en plus de faire le lien avec l'islam dénote bien moins de leur totale méconnaissance des dizaines et dizaines de versets qui appellent à la destruction de celui qui refuse la "vraie foi", qu'il dévoile en réalité leur cynisme éhonté car ils savent bien que de gros intérêts sont en jeu et que dénoncer ces versets seraient se mettre à dos des bailleurs de fonds qui par exemple tiennent une grosse part de la dette française et américaine…

     Il est ainsi préférable pour le cynisme froid des monstres étatiques de supporter quelques centaines d'assassinats par an, infime aux côtés des morts du cancer de l'alcool et des accidents de la route, plutôt que de mettre à mal des intérêts colossaux en mettant ne serait-ce qu'en débat un système de pensée qui n'a comme unique volonté dans son corpus de base que l'idée de "soumission d'autrui".

    Le hic pour la population qui tombe au hasard sous l'égorgement est que des milliers et des milliers de jeunes sont forgés dans cet esprit là, alimentés en plus par une haine de l'Occident portée par une extrême gauche complice et admirative, s'habillant même à l'identique, la femme portant une longue jupe noire chemisier noir, l'homme en pantalon bouffant, longue barbe, le tout mettant de côté des centaines d'années de lutte émancipatrice, d'affinement de soi, au profit d'un retour rustique à l'idée d'un esprit "bio" dans un corps "bio", soit la nouvelle génération des réactionnaires verts, génération d'envahisseurs avec le look en plus des petites machines infernales de Matrix s'insérant dans votre nombril-cerveau, pour vous fliquer façon Angot dans votre tête et le rire  Joker dans Batman d'un Ruquier diabolique aux anges…

    Tout le reste n'est que balivernes…."

    par Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/marseille-las-vegas-le-d%C3%A9ni-de-r%C3%A9alit%C3%A9.html

  • Le terroriste islamiste de Marseille était clandestin !

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    Deux Françaises, deux cousines, Laura et Mauranne, ont été égorgées et poignardées hier à Marseille à la gare Saint-Charles par un terroriste islamiste. Le scandale est total. En plus d’être connu de longue date par les services de police pour sept délits, dont des vols et deux infractions à la législation sur les étrangers en 2005 et 2006, le terroriste islamiste de Marseille était en garde à vue pas plus tard que vendredi soir à Lyon. Il aurait même dû faire l’objet d’une expulsion si le centre de rétention administrative de Lyon Saint-Exupéry n’avait pas été plein.

    Par ailleurs, la personne de permanence à la préfecture de Lyon, susceptible de signer l’obligation de quitter le territoire, était absente ce samedi.

    Par son laxisme et son manque de rigueur dans l’expulsion des clandestins, l’État français met en danger ses citoyens. Il est responsable de la mort des jeunes Laura et Mauranne. Alors que les terroristes islamistes ont déclaré la guerre à l’Europe et en particulier à la France, une telle légèreté est criminelle !

    Nous appelons Emmanuel Macron et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb à procéder à l’expulsion immédiate de tous les clandestins présents sur le sol français.

    Un communiqué des Identitaires

  • LE GRAND MEETING DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS

    Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

     

    Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    Président des Amis de Synthèse nationale

     

    Alain Escada, Président de Civitas


    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

     

    Massimo Magliaro,

    ancien dirigeant du Mouvement social italien

     

    Carl Lang, Président du Parti de la France

     

    Jean-Marie Le Pen

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Quand une secte veut régenter la langue

    par Louis-Joseph Delanglade

    103879671.jpgDeux événements d’importance la semaine dernière pour la langue française.

    D’abord, la démission de M. Lussault, sans doute poussé vers la sortie par M. Blanquer lui-même, si on a bien compris les propos du ministre le même jour sur RTL. On ne s’en plaindra pas car il s’agit (enfin !) d’un coup franc porté au très idéologique et très dangereux Conseil Supérieur des Programmes, position avancée du « pédagogisme » au coeur même du si mal dénommé ministère de l’Education nationale. Le galimatias prétentieux utilisé par ce monsieur aurait fait rire s’il n’avait été un signe de plus de la déconstruction des esprits érigée en arme de guerre scolaire, notamment par l’ex-ministre Mme Belkacem : l’utilisation systématique de ce que d’aucuns ont qualifié de « novlangue » (en référence au roman d’Orwell, 1984) a en effet permis au funeste CSP d’égarer les esprits non avertis en déformant volontairement toute réalité par l’utilisation d’un jargon dont le ridicule ne le cède en rien à l’hermétisme (1). 

    Preuve que cette guerre est totale, au même moment le serpent de mer féministe de l’écriture inclusive ressort la tête, avec la parution chez Hatier d’un manuel d’histoire, niveau CE2, intitulé Magellan et Galilée - Questionner le monde. Confondant volontairement genre (grammatical) et sexe, les enragé·e·s de l’écriture inclusive dénoncent la primauté grammaticale du masculin dans laquelle ils et elles (ou mieux « elles et ils », si on va au bout de leur logique) voient une sorte de « complot machiste », l’actuelle écriture étant jugée sexiste. Assertion sans fondement pour M. Bentolila, linguiste. Ce dernier, après avoir  rappelé fort justement (Figaro Vox, 26 septembre) le caractère arbitraire de la langue, souligne une évidence : « Le français possède en effet deux genres, l'un est dit masculin, l'autre est dit féminin. Il s'agit bien de marques de genre et non pas d'indicateurs de sexe. » En fait, le masculin en français joue un double rôle grammatical, celui de masculin stricto sensu mais aussi de « générique » (on pourrait faire la comparaison avec l’infinitif, forme non marquée, certains disent « indifférenciée », du verbe et quasi neutre). Dire que le masculin l’emporte sur le féminin ne signifie donc pas que l’homme l’emporte sur la femme. 

    Nos féministes reprochent ainsi au XVIIe siècle d’avoir, dans une sorte de déni de la femme, tordu le cou par la norme à un usage assez souple : tantôt on cite tel ou tel vers (2) du grand Racine où l’accord de genre est déterminé par la seule proximité, tantôt on rappelle avec dégoût certains propos du grammairien Bouhours, abbé de son état, justifiant la primauté du masculin (3). M. Enthoven, philosophe, préfère voir dans la langue « une mémoire dont les mots sont les cicatrices » et penser qu’il est vain de croire « abolir les injustices du passé en supprimant leur trace » (Libération, 27 septembre). Mais la dimension de la controverse, plus que linguistique, est bien sociétale. On sait, et c’est significatif, que les personnes dites LGBTQI (4) sont de fervent·e·s partisan·e·s de l’écriture inclusive qui permet(trait) de nier la loi commune de la binarité du genre (sexuel).  On comprend mieux dès lors dans quelle stratégie d’ensemble s’inscrit la présente attaque contre notre langue. Voilà pourquoi nous avons déjà droit aux députées, professeures et plombières. Voilà pourquoi discours et écrits sont émaillés de « toutes et tous » ou de « celles et ceux » (on continue, par courtoisie désuète, à privilégier le féminin par la première place). Voilà pourquoi le manuel des éditions Hatier utilise systématiquement le « point milieu » comme nous l’avons fait à titre d’exemple (avec risque d’erreur car nous ne sommes pas allés à « cette » école) dans cet article. 

    Si M. Lussault, quoique grotesque, reste dangereux, les tenants de l’écriture inclusive le sont tout autant : c’est la même volonté de subversion, la même négation d’une réalité qui dérange quelques farfelus encore minoritaires.  

    (1) Une piscine devient ainsi un « milieu aquatique profond standardisé ».

    (2) « Surtout j'ai cru devoir aux larmes, aux prières / Consacrer ces trois jours et ces trois nuits entières. » (Athalie, IV, 3)

    (3) Il affirme dans ses Remarques nouvelles sur la langue française écrites en 1675 que « lorsque les deux genres se rencontrent, il faut que le plus noble [le masculin] l’emporte ».

    (4) LGBTQI = Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Trans, Intersexes, (en) Questionnement.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • 53 000 fraudeurs touchent une retraite française à l’étranger alors qu’ils n’y ont pas droit

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    Un récent rapport de la Cour des comptes révèle que 53 000 bénéficiaires inconnus perçoivent une retraite française dans un pays de l’étranger alors qu’ils n’y ont aucun droit ou qu’ils sont morts.

    Ainsi, les contribuables français accordent chaque mois une retraite à un Algérien imaginaire de 117 ans… Au total, c’est 200 millions d’euros qui sont ainsi perdus chaque année. Pour rappel, cette somme correspond à celle de l’aide aux maisons de retraite publiques que Manuel Valls avait retirée en 2016.

    L’association Contribuables associés a donc adressé une pétition au ministre de la Solidarité et de la santé afin de régulariser une situation d’illégalité qui saigne les contribuables français.

  • La Journée de Synthèse nationale comme si vous y étiez... suite

    Table-ronde de l'après-midi : les intervenants

    Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

     

    Jean-Claude Rolinat, La Hongrie sentinelle de l'Europe

     

    Serge Ayoub

    Gérard Brazon, Riposte laïque

    Lire sur Riposte laïque cliquez ici

     

    Steven Bissuel, Bastion social

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • RÉFORME DU CODE DU TRAVAIL : DU RIFIFI À FORCE OUVRIÈRE

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    Le secrétaire général de FO, qui n’avait pas mâché son hostilité à la loi El Khomri, a pu paraître indulgent à l’égard des ordonnances d’Emmanuel Macron.

    Ceux qui pensent que le « girouettisme », comme l’écrivait Balzac, est l’apanage des politiciens ou de l’opinion publique se trompent : il peut toucher aussi le syndicalisme. C’est ainsi que Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, qui n’avait pas mâché son hostilité à la loi El Khomri, a pu paraître très indulgent à l’égard des ordonnances d’Emmanuel Macron. Résultat : ses troupes se rebellent.

    Le Comité confédéral national, composé de 103 unions départementales (UD) et 26 fédérations, contestant très majoritairement la ligne qu’il avait adoptée, a dénoncé la casse du Code du travail et donné un mandat impératif au bureau confédéral pour organiser une mobilisation interprofessionnelle avant la ratification des ordonnances par l’Assemblée nationale.

    Les 12 et 21 septembre, la moitié des UD et plusieurs fédérations avaient déjà bravé les consignes en défilant avec la CGT. Jean-Claude Mailly a dû s’incliner : lundi, il réunira le bureau confédéral exécutif, mais exclut toute démission : « Non, je ne démissionne pas, arrêtons l’intox », lance-t-il dans un tweet.

    On peut légitimement se demander pourquoi le secrétaire général de FO a opéré un tel revirement. On ne lui fera pas l’injure de supposer qu’il ait marchandé avec Emmanuel Macron, qu’il tutoie, quelque poste pour sa retraite – il doit passer la main en avril 2018 et son dauphin est désigné. Du reste, il est courant qu’un dirigeant syndical se voie confier une responsabilité honorifique ou effective quand il a cessé ses fonctions. 

    Il faut donc trouver une autre explication à son changement d’attitude entre 2016 et 2017. Sans doute n’a-t-il pas apprécié que le précédent gouvernement se soit appuyé quasi exclusivement sur la CFDT pour imposer la loi El Khomri, le rejetant au second plan et dans l’opposition. Alors qu’il doit, dans quelques mois, quitter ses fonctions, il veut sans doute se recentrer et quitter FO après avoir restauré son image d’organisation syndicale réformiste, qui fut chère à André Bergeron. Bref, il soignerait sa sortie de scène. 

    Jean-Claude Mailly se targue d’avoir renoué avec le dialogue social et réussi à convaincre Emmanuel Macron de redonner du pouvoir aux branches professionnelles. Il espère, aussi, que son souci du dialogue et du compromis permettra à FO d’affronter, dans une meilleure position, les prochains débats – qu’il juge encore plus importants : l’indemnisation du chômage, la formation et la réforme des retraites. Seulement, voilà : la base, peut-être plus proche des réalités quotidiennes, ne voit pas les choses comme lui et se rebelle.

    FO se proclame officiellement indépendante. De fait, entre les deux tours de la présidentielle, contrairement à la plupart des autres confédérations, elle n’a pas donné de consigne de vote : Jean-Claude Mailly a simplement rappelé son « rejet de tout racisme, xénophobie ou antisémitisme » – ce qui n’est pas exempt de tartuferie. Mais chacun sait que FO est un pot-pourri où – héritage de son histoire ? – l’extrême gauche voisine avec la gauche ou la droite. Il n’est pas impossible que se dessine, ici ou là, telle ou telle influence.

    On ne peut donc exclure, dans cette querelle intestine, des arrière-pensées politiciennes. Au-delà se pose la question de la représentativité des organisations syndicales, notamment de leurs appareils qui, bien qu’élus démocratiquement, ne sont pas toujours au service exclusif de leurs mandants. Comme on le voit, aussi, avec le gouvernement actuel qui prétend que 66,1 % des Français ont approuvé les engagements de campagne d’Emmanuel Macron. Mais cela, c’est un autre problème !

    http://www.bvoltaire.fr/reforme-code-travail-rififi-a-force-ouvriere/

  • Zoom - Anne Sophie Nogaret : “Du Mammouth au Titanic”

  • Politique & éco n°143 : Corruption politique, libre circulation des capitaux et guerre des monnaies