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France et politique française - Page 2670

  • Clandestins : le budget de l'aide médicale d'État va croître de 108 millions d'euros en 2018

    Selon le projet de loi de finances épluché par Capitalle budget de l'aide médicale d'État (AME) va croître de 108 millions d'euros en 2018. 

    L'AME, mise en place en 1999, permet la prise en charge médicale des personnes en situation irrégulière et résidant en France depuis plus de trois mois. La "droite" au pouvoir n'a jamais osé remettre en cause cette pompe aspirante de l'immigration. En 2018, son budget s'élèvera donc à 910 millions d'euros, soit une augmentation de 13 % par rapport à l'année précédente.

    910 millions d'€ en plus pour les immigrés, quand on sait que les Armées ont été privées de 850 millions d'€...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les mal-pensants en camp de rééducation ?

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    Les régimes totalitaires du siècle passé ont tenu grâce à la délation. Tenir des propos hostiles, y compris en privé, dans sa famille, à l’école ou sur le lieu de son travail, au régime nazi ou au régime communiste pouvait conduire à perdre son emploi ou à aller en camp de rééducation. Le régime politiquement correct de Macron s’est inspiré de ces exemples nazis et soviétiques. Le premier ministre a profité de la torpeur de l’été pour publier, le 5 août 2017, un chef-d’œuvre de texte liberticide

    Il prévoit pour toute personne – sur simple condamnation contraventionnelle – la possibilité d’être condamné à un « stage de citoyenneté », terme de novlangue pour désigner une action de rééducation. Et ce pour de simples propos privés. Sur simple dénonciation. Pour des propos portant sur les « prétendues races » (sic) ou jugés « discriminatoires » ou « transphobes » (sic).

    Hallucinant, non ? Pour vous permettre de forger votre propre opinion par vous-même, voici l’exposé des motifs de ce texte liberticide. Pris après l’avis du Conseil d’Etat, une juridiction qui n’est plus la gardienne de nos libertés mais l’instrument servile de la chape de plomb politiquement correcte. Vive la dissidence !
    Polémia.

    Exposé des motifs

    Publics concernés : Personnes poursuivies ou condamnées ; magistrats.

    Objet : Renforcement de la répression des provocations, diffamations et injures non publiques à caractère raciste ou discriminatoire.

    Entrée en vigueur : Le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.

    Notice : Le décret améliore la lutte contre les manifestations de racisme, de sexisme et d’homophobie pouvant se produire dans des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements scolaires. Il renforce à cette fin la répression des contraventions de provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe, dans des conditions similaires à ce qui a été prévu dans la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse par la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 relative à l’égalité et la citoyenneté pour les délits de provocations, diffamations et injures racistes ou discriminatoires commises de façon publique.

    Il prévoit que ces diffamations et injures non publiques constitueront, comme les provocations, des contraventions de la cinquième classe, punies d’une amende maximale de 1.500 euros ou 3.000 euros en cas de récidive, et non plus des contraventions de la quatrième classe punies d’amendes inférieures de moitié.

    Il élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime, afin de mieux lutter contre la transphobie, et il substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de « prétendue race » comme cela a été fait dans les dispositions législatives du Code pénal par la loi du 27 janvier 2017.

    Il ajoute pour ces infractions la peine complémentaire de stage de citoyenneté, qui existe désormais pour les délits prévus par la loi du 29 juillet 1881.

    Références : Les dispositions du Code pénal et du Code de procédure pénale modifiées par le présent décret peuvent être consultées, dans leur rédaction issue de ces modifications, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).

    Edouard Philippe, Nicole Belloubet, Annick Girardin.

    Texte intégral du décret :
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000035373907&categorieLien=id

    https://www.polemia.com/les-mal-pensants-en-camp-de-reeducation/

    Image : Camp de Schirmeck-La Broque (camp de sureté – 02/08/1940 – 22/11/1944) durant la Seconde Guerre mondiale (WWII)

  • La semaine politique #2 - Scandales d’Alstom : ce que l’on vous cache

  • Steeve Briois remplace Nicolas Bay comme secrétaire général du Front national

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    Steeve Briois est le nouveau secrétaire général du Front national. Il succède à Nicolas Bay, qui occupait la fonction depuis 2014, lorsque, au congrès de Lyon, il avait succédé à ce même Steeve Briois devenu secrétaire général lors du congrès de Tours qui avait vu Marine Le Pen accéder à la présidence du parti, en 2011. Le retrait de Nicolas Bay du secrétariat général est une conséquence de son élection, le mois dernier, au poste de coprésident du groupe ENL (Europe des nations et des libertés) au Parlement européen, en remplacement de Marine Le Pen.

    Dans un entretien au FigaroNicolas Bay, qui est parallèlement promu vice-président du Front national, chargé des questions européennes, explique :

    « C’est un processus classique, qui avait déjà été mis en place lors du congrès en 2011, avec la nomination d’un secrétaire général provisoire, spécifiquement chargé de l’organisation du congrès […] Marine m’a en effet nommé vice-président, et je continuerai donc de siéger au bureau exécutif et de participer – en plus de mes responsabilités au Parlement européen – à la direction et à la vie du mouvement. Cette mise en retrait du secrétariat général me permettra aussi de participer pleinement aux débats du congrès et de la refondation, en m’exprimant sur les questions de ligne politique, de stratégie et d’organisation. »

    C’est donc un homme de son premier cercle que Marine Le Pen a choisi en la personne du maire d’Hénin-Beaumont pour diriger l’appareil du Front national jusqu’au congrès de mars prochain, à l’issue duquel, lit-on entre les lignes, un nouveau secrétaire général sera désigné.

    Marine Le Pen s’exprimera aujourd’hui depuis Chasseneuil-du-Poitou, près de Poitiers, où sont réunis les principaux cadres et élus du Front national, en conclusion d’une « journée des élus ». Hier, le comité central du parti, réuni pour la première fois depuis son élection, il y a trois ans, a, selon Nicolas Bay, « validé l’agenda du congrès, avec les différentes étapes préparatoires, ainsi que le questionnaire qui sera envoyé à tous les adhérents à partir de la semaine prochaine ».

    Nommé vice-président,je quitte mon poste de Secrétaire général @FN_officiel fier du travail accompli avec mon équipehttp://premium.lefigaro.fr/politique/2017/09/30/01002-20170930ARTFIG00132-nicolas-bay-pourquoi-je-me-retire-du-secretariat-general-du-fn.php 

    Photo published for Nicolas Bay : «Pourquoi je me retire du secrétariat général du FN»

    Nicolas Bay : «Pourquoi je me retire du secrétariat général du FN»

    INFO LE FIGARO - Nommé vice-président chargé des affaires européennes, Nicolas Bay explique les enjeux de la journée des élus FN, organisée ce..

    lefigaro.fr 
  • Projet de loi de lutte contre le terrorisme : Intervention de Marine Le Pen (25/09/2017)

  • La religion musulmane pose de plus en plus de problèmes au travail

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    Encore marginal, il convient de le dire, les appartenances religieuses ne sont pas sans poser des problèmes dans les entreprises. Toute religion entraine des règles à suivre. Et donc les préceptes des religions entrainent parfois que les croyants soient obligés de ne pas suivre les directives de leur patron pour respecter leur religion.

    Si depuis toujours on voit que des personnes refusent telles ou telles activités pour des raisons éthiques, l’arrivée de l’islam en France présente tout un nouveau type de contrainte.

    On voit désormais des refus de travailler dans la même pièce qu’une femme, de pousser un chariot chargé d’alcool…

    Ces « cas conflictuels » qui ne représentaient que 6,7 % en 2016 constituent aujourd’hui 7,5 % de l’ensemble des faits recensés. Si les entreprises peuvent toujours licencier les récalcitrants ou encore se protéger via la « loi travail » ou la Cour de justice européenne, il n’est pas sûr que cela aide leur croissance.

    https://fr.novopress.info/

  • Reportage – Camp d’été France Jeunesse Civitas, promotion « Saint Michel »

    Deux jours durant, des militants catholiques et nationalistes venus des quatre coins de France ont participé au 1er camp de cohésion organisé par France Jeunesse Civitas.

    En ce rude mois de septembre, les jeunes hommes ont pu se former l’âme et le corps, bien encadrés par Monsieur l’abbé Xavier BEAUVAIS, le Père Laurent des moines capucins de Morgon, Alain ESCADA, Pierre STUDER et Alexandre GABRIAC. Dans une démarche « Catholiques et Français toujours », ce camp s’est articulé autour de la messe quotidienne, des conférences de formation doctrinale et politique et des activités physiques et de cohésion.

     Le samedi matin, après une courte nuit entrecoupée par les tours de garde nécessaire pour veiller les uns sur les autres suivie du décrassage réglementaire, nous avons eu la joie de pouvoir assister à la messe célébrée par le Père Laurent sur le lieu du camp.

     A la suite du petit-déjeuner autour du feu, l’heure du travail pour remercier le propriétaire des lieux sonnait : déplacement de lourdes pierres et divers travaux d’entretien au programme !

    Une toute petite pause, puis c’est au tour du Père Laurent, qui fait partie des aumôniers de CIVITAS, de donner une très intéressante conférence sur la chevalerie et la féodalité.

    Suivra un déjeuner bien mérité, où les militants énonceront chacun à leur tour leur cheminement spirituel et politique, permettant ainsi aux nouveaux de faire connaissance avec les plus aguerris.

    Point de sieste pour les militants de la cause nationale ! La formation au service d’ordre prit le relais, avec les exercices pratiques de protection de personnalité, collage, encadrement de manifestation, action coup-de-poing… les militants se mettant tour à tour dans la peau du service d’ordre, de la police, mais aussi des contre-manifestants ! Ces derniers apprenant d’ailleurs à reconnaître le goût des différentes sortes de gaz lacrymogène…

    Après l’entrainement des corps, l’entrainement des âmes : conférence de Monsieur l’abbé Beauvais sur Donoso Cortès, exemple pour les jeunes catholiques, soucieux de faire régner le christianisme social pour le bien de la nation.

    Une randonné dans la nature environnante permit ensuite aux volontaires de réciter le chapelet, toujours accompagnés et encouragés par les religieux présents au camp.

    Après le dîner, nous entamions la veillée, où nos chants d’Europe et la verve de notre président Alain ESCADA firent oublier la fatigue et la pluie aux militants, chez qui la cohésion s’était déjà installée.

    Dernière épreuve de cette très longue journée : la marche de nuit, durant laquelle les jeunes et moins jeunes ont pu apprécier une courte marche à la seule lueur de la lune, parsemée de quelques embûches…

    Après un bref repos, c’est déjà le dernier jour du camp. La sainte messe comme toujours pour démarrer, et comme scéance de sport pour la matinée avant de replier les tentes un peu de boxe !

    La conclusion par les organisateurs et invités sur leur ressenti du camp se fit autour d’un apéritif servi par notre hôte, où les participants et encadrants ont pu échanger sur le déroulement du camp, et leurs espoirs de pouvoir former une communauté enracinée solidement dans les principes, inaccessible au découragement et prête à sortir gagnante des épreuves qui nous attendent.

    On profita ensuite pleinement du dernier repas passé ensemble, loin du monde moderne et de sa folie, entre bons Français et catholiques non-reniés, et on promit déjà de se retrouver dès la prochaine activité, plus nombreux encore !

    Claquez bannières de chrétienté

    Contre révolution.

    Notre honneur est fidélité,

    Gardons la tradition.

    Chez nous Dieu premier servi,

    La France est aux Français.

    Travail, Famille, Patrie,

    Nos devises sont fixées.

    Dehors escrocs libéraux,

    Valets des communistes,

    Complices des bourreaux,

    Compères des socialistes.

    Nos alliés ils ont trahi,

    Sali même le sacré,

    Livré nos colonies,

    Les enfants massacrés.

    (Source : www.francejeunessecivitas.com)

    http://www.medias-presse.info/reportage-camp-dete-france-jeunesse-civitas-promotion-saint-michel/80807/

  • Pourquoi le CRAN ne demande-t-il pas de débaptiser les écoles, collèges, lycées et rues Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot ?

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    Bernard Lugan

    Le journal Le Monde nous apprend que le CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) organisation ultra confidentielle mais percevant des subventions prélevées sur les impôts des Français, fait actuellement circuler une singulière pétition ayant pour cible le grand ministre que fut Colbert. Parmi les signataires de cette pétition, on relève les noms de Lilian Thuram (footballeur), Harry Roselmack (journaliste) et Rokhaya Diallo (journaliste-documentaliste). 

    Egalement celui d’une certaine Mireille Fanon-Mendès-France qui se présente comme « ancienne présidente du groupe d’experts de l’ONU sur les personnes d’ascendance africaine » (???). Ce titre ronflant fait d’elle, et en toute modestie, la porte-parole auto-proclamée de plus d’un milliard d’hommes et de femmes, ce qui n’est pas rien… Il pousse également à poser la question de savoir qui est l’actuel(le) président(e) de cet organisme et quels émoluments il (elle) perçoit du « machin » auquel la France, 5° contributeur à son budget ordinaire, verse annuellement 122,6 millions de dollars US prélevés, là encore, sur les impôts des Français.

    La pétition du CRAN demande rien de moins que de débaptiser les collèges et les lycées portant le nom de Jean-Baptiste Colbert et de déboulonner ses statues au motif qu’il « fonda la Compagnie des Indes occidentales, compagnie négrière de sinistre mémoire ».

    Mais pourquoi donc le CRAN s’en tient-il à Colbert ? Au nom du « vivre ensemble » et de l’antiracisme, n’est-il en effet pas nécessaire et plus urgent, de débaptiser les édifices publics portant les noms de Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot… pour commencer. La liste est en effet longue de ces personnalités constituant le panthéon de nos gloires républicaines et laïques, de ces figures montrées en exemple de la défense des droits de l’homme, de la tolérance, de la fraternité universelle et qui, en réalité, seraient d’horribles racistes-colonialistes dont les propos abjects font penser aux plus sombres heures de notre passé colonial-esclavagiste. Que l’on en juge :

    Victor Hugo, qui a donné son nom à 2555 rues et avenues de France, juste derrière Louis Pasteur, ce chantre de la liberté, n’hésita pas à afficher un détestable mépris à l’égard des Africains auxquels il alla jusqu‘à contester l’appartenance au genre humain : « L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie même a son histoire qui date de son commencement dans la mémoire humaine, l’Afrique n’a pas d’histoire ; une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe.(…) Le Blanc a fait du Noir un homme (…) Emparez-vous de cette terre. Prenez-là. A qui ? à personne. »

    Concernant la conquête coloniale, cette forme moderne de l’esclavage selon le CRAN, Jean Jaurès dont 2215 voies, rues, boulevards ou avenues portent le nom considérait que : « La France a d’autant le droit de prolonger au Maroc son action économique et morale que (…) la civilisation qu’elle représente en Afrique auprès des indigènes est certainement supérieure à l’état présent du régime marocain »

    Léon Blum et Edouard Herriot ne sont pas dans le « top 10 » des noms de rues et voies, ce qui est heureux, même si des centaines d’écoles, collèges, lycées, maisons de la culture, portent encore leurs noms. Leurs cas sont en effet encore plus graves que ceux de Victor Hugo et de Jean Jaurès. Celui de Léon Blum est même emblématique. Cet internationaliste aux mains pures, ce défenseur de Dreyfus, cet indéfectible soutien des « républicains » espagnols devenu éminente personnalité du Front populaire, compterait en effet, aux côtés d’Arthur de Gobineau, de Vachet de la Pouge et même du taxinomiste racial George Montandon, parmi les théoriciens (horresco referens !) de l’inégalité des races puisque, cause aggravante, ce fut devant les députés qu’il osa déclarer, l’hémicycle en frémit encore, que : « Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture ».

    Toujours devant les députés, Edouard Herriot, cette icône de la fraternité laïque, ce chantre de la tolérance républicaine si chère aux Lyonnais, ce frère de tous les humains, ce croisé du suffrage universel, n’a, quant à lui, pas craint d’oser dire que : « Si nous donnions le droit de vote aux peuples de l’Empire, la France deviendrait la colonie de ses colonies ».

    Alors, oui, amplifions le grand mouvement de nettoyage de l’histoire de France lancé par le CRAN, qui n’en manque décidement pas, et établissons au plus vite des listes de personnalités qui ne méritent plus d’être respectées. Au nom de l’antiracisme et de l’amour du genre humain, épurons ! Epurons ! Epurons ! Et que revienne le temps béni des Fouquier Tinville, Carrier ou Collot d’Herbois…

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les Sentinelles ont rendez-vous le 4 octobre place Vendôme

    Communiqué des Sentinelles :

    6a00d83451619c69e201b8d2aeed54970c-250wi.jpg"Le pays a changé de tête et en même temps rien n’a changé. Des élections volées par une justice tout sauf impartiale et des médias univoques, des apparatchiks qui font semblant d’envahir les palais nationaux, mais qui y étaient déjà, et des idées prétendument nouvelles qui étaient déjà dans l’air du temps, apostillées par la bien-pensance officielle. La famille, l’enfant, la dignité de l’homme et la justice ont peu à attendre de ces nouvelles têtes au pouvoir plus soumises à la doxa des marchés qu’au souci du bien public. Les doutes les plus sérieux sont permis quand à sa feuille de route « sociétale » qui commence à se dévoiler.

    Il convient d’être vigilant. Les racines des mots nous confortent : vigile, veille, vigilance. Nous ne savons de quelle menace nous devons le plus nous méfier, nous n’avons pas confiance, et nous souhaitons nous tenir prêt. Et parce que c’est la rentrée pour tous, nous souhaitons veiller ensemble, pour dire silencieusement à ce pouvoir que nous observons ses faits et gestes. Que notre détermination reste intacte. Que nous poursuivons notre lutte pacifique contre cette destruction anthropologique.

    Nous avons prévu de veiller le mercredi 4 octobre place Vendôme à Paris à partir de 20:00. Chaque personne, y compris vous, peut se joindre à nous et porter ses propres raisons de veiller. Le mode opératoire n’a pas changé depuis 2013 : se tenir debout, face à ce lieu de pouvoir, rester silencieux, respecter un espace décent avec les autres sentinelles, respecter l’ordre public et témoigner de bienveillance. La durée de votre veille est celle que vous voulez et pouvez lui consacrer. S’inscrire sur l’événement facebook en bout de lien est facultatif. Vous êtes les bienvenus !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html