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France et politique française - Page 2741

  • La grande dépression

    Nous commémorions cette semaine de tristes anniversaires. Celui du  3 juillet 1940 qui a vu, sur ordre de Winston Churchill, l’attaque par  la Royal Navy  de la  la flotte française en Algérie amarrée dans la rade  de Mers el-Kébir  (1297 morts et 350 blessés chez les marins français). Le 5 juillet 1962, non loin de  là, ce sont des centaines de Pieds Noirs, hommes, femmes et enfants,  qui ont été exécutés, enlevés à Oran par les bouchers du FLN.  Le Général De Gaulle avait donné la consigne immonde  aux troupes françaises  encore présentes sur place et commandées par le funeste général Katz,  de rester l’arme au pied et de  laisser faire les massacreurs. La honte, l’horreur et le déshonneur… Si les Français ont la mémoire courte, ils semblent aussi sans illusions sur les capacités des dirigeants de la start-up macronienne à les sortir de la crise multiforme que nous subissons. Selon un sondage Harris Interactive publié mercredi pour RMC et Atlantico, seulement un Français sur quatre (26%)  se dit convaincu par les discours successifs  du président de la République devant le congrès  à Versailles et de son Premier ministre Edouard Philippe devant l’Assemblée.

    Au nombre des “perles” souvent aussi atterrantes que savoureuses qui ont émaillées les copies du bac cette année et  qui ont été relevées dans la presse, un(e) lycéen(ne) qui espérons-le, ne sera pas inquiété(e) par la Licra, a écrit que  “ le régime de Vichy a toujours été très bon pour la santé” . Ce qui est certain c’est que le régime crétois du gouvernement d’Athènes, sur injonction des docteurs Folamour de la BCE, du FMI et de la Commission européenne,   se révèle d’une efficacité redoutable pour soumettre le peuple Grec à une terrible cure d’amaigrissement; celui-ci n’a plus que la peau sur les os.

    La Grèce vient de se voir accorder une tranche  de  7 milliards d’euros pour éviter la faillite en pleine saison touristique, aide conditionnée à des sévères hausses d’impôts et des coupes budgétaires drastiques  dans les retraites. On a donc entendu des hiérarques bruxellois se féliciter de l’efficacité de la potion, puisque la Grèce, selon les prévisions de la Commission,  enregistrera cette année  une croissance économique de 2,1 %  et de 2,5 % en 2018, et devrait atteindre son objectif d’excédent primaire (avant impôt) de 3,5 % à la fin du plan de sauvetage en 2018. Voilà qui est parfait!  La Grèce mourra donc guérie ou à tout le moins sur la voie de la rémission ! 

    Il ne s’agit pas d’exonérer les gouvernements grecs de ces dernières décennies, jusqu’aux lâches soumissions actuelles  du gouvernement Tsipras,  de leurs responsabilités (tricheries, corruptions, concussions, gestion calamiteuse…)  dans le faillite de leur pays, et Bruno Gollnisch ne l’a jamais faitL’Europe à parfois bon dos pour se laver de ses propres péchés et turpitudes.  Mais l’acharnement à vouloir maintenir  Athènes dans la zone euro confine proprement au délire idéologique. 

    Une dépêche de l’agence Reuters publiée il y a six mois rapportait  que le plan de sauvetage des comptes publics  mis en place depuis  près de sept ans par l’Union européenne et le FMI a ” plongé les Grecs dans une crise sans précédent, aux allures de Grande Dépression. Un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté, 23% des Grecs sont au chômage, le produit intérieur brut (PIB) a diminué d’un quart, les faillites se comptent par milliers…”

    Un rapport de l‘Unicef qui date déjà de plus de quatre ans, démontrait qu’en 2012   40,5 % des enfants grecs (23 % en 2008)   vivaient dans des ménages dont le revenu se situait sous le seuil de pauvreté, ce taux est le plus haut parmi les 41 pays les plus développés du monde;  le taux de pauvreté infantile a donc  bondi  de 17,5 points.  Le nombre d’enfants venant de familles à faibles revenus et subissant de graves privations a triplé dans le même temps et la situation  depuis n’a  pas été en s’améliorant.  Notons que l’Espagne  soumise elle aussi à un régime de même nature à  un taux de pauvreté infantile à peu près équivalent.

    La priorité de nos élites reste cependant l’accueil jugé obligatoire  d’une immigration clandestine qui n’épargne pas non plus la Grèce. Au nom des immortels principes xénomaniaques, Bruxelles  a lancé des procédures d’infractions contre la   Hongrie, la Pologne et la République tchèque.  Trois nations jugées coupables de refuser d’installer sur leur sol des immigrés illégaux en provenance de Grèce où d’Italie,   rebaptisés migrants et réfugiés pour les besoins de la cause…

    Pour lutter contre l’immigration-invasion en  provenance des côtes libyennes et encouragée, organisée par la mafia des passeurs et des ONG (accusées de collaborer avec les passeurs par le gouvernement  italien)  aux comportements  aussi criminels que subversifs, la  Commission européenne a présenté un plan d’action, des mesures pour réduire le tsunami migratoire.

    Mardi, la Commission européenne a appelé Rome à accélérer les expulsions  de migrants déboutés du droit d’asile, en appliquant des procédures plus rapides. Il a été également évoqué la mis en place d’un ”code de conduite pour les ONG” (sic); “la création d’un centre maritime de sauvetage et de coordination en Libye”; des aides apportées aux autorités (?) libyennes pour mieux gérer l’immigration; le souhait d’une réinstallation des immigrés nigérians, soudanais, éthiopienségyptiens, dans leur pays d’origine.

    Nous devons accueillir des réfugiés. C’est notre devoir, c’est notre honneur” affirmait Emmanuel Macron à Bruxelles fin juin. Est-il vraiment  en contradiction en disant  cela  avec les récents avis de la Commission… auxquels la France à souscrit?  Quels moyens vraiment effectifs seront donnés pour inverser les flux migratoires? Le passé nous a appris à ne pas préjuger des (rares) paroles de fermeté sortant de la bouche des hiérarques bruxellois dans ce domaine, afin d’endormir les peuples européens.  Peuples d’Europe qui constatent avec un mélange de sidération de désespoir et de colère que ceux qui sont chargés de défendre l’idéal européen oeuvre surtout à la disparition de l’Europe charnelle et enracinée, en un mot de l’Europe européenne.

    https://gollnisch.com/2017/07/06/la-grande-depression/

  • Les populismes : flux ou reflux ?, par Pascal Gauchon

    Populisme-Conflits-Gauchon-600x337.jpg

    Populisme-Conflits-Gauchon-2.jpgIl y eut le Brexit et l’élection de Trump. Puis les élections autrichiennes où le représentant du FPÖ échoua de peu. Et la présidentielle française où les candidats classés comme populistes atteignirent plus de 40 % des voix au premier tour. Les coups de boutoir des populistes sont-ils en train de saper les murailles de ce qu’ils appellent le « système » ?

    Curieux terme que celui de « système ». Il paraît encore plus vague que celui de « populisme », il permet aux critiques d’assimiler ce dernier à un mouvement inconsistant qui part à l’assaut d’une chimère à coups d’arguments approximatifs et grossiers – une sorte de Don Quichotte monté sur Sancho Panza.

    Pourtant il existe bien une convergence des intérêts et des élites. Voyez tous les scrutins que nous avons évoqués : les syndicats de patrons et de salariés, les présidents d’université et les mouvements étudiants, la grande presse et le showbiz, les obédiences maçonniques et les représentants des religions, les partis socialistes et libéraux… les voilà tous unanimes, tous mobilisés (1). Ces organisations que tout oppose parlent alors d’une même voix. N’est-ce pas avouer que le terme de «système» n’est pas dépourvu de signification ?

    Tentons dès lors de le définir : une société composée d’organisations et de communautés qui, avec le temps, ont établi entre elles des compromis (les populistes parleraient de compromissions), chacune régentant un territoire comme un fief que les autres lui reconnaissent. On peut voir dans cet équilibre la preuve d’une société intégrée, apaisée et démocratique. Sauf que la grande masse de la population est censée faire confiance aux dirigeants de ces organisations – les « élites » – et rester silencieuse.

    Le « système » peut se défendre. Réagissant en bloc, il avait déjà forcé Tsipras à se déjuger. Il a contenu les populistes lors des dernières élections en Europe, ainsi aux Pays-Bas ou en France, avec comme principal argument la peur de l’inconnu. Nul doute que ces résultats encourageront l’abstention, arme suprême. Au Royaume-Uni, les adversaires du Brexit n’ont pas renoncé à le faire capoter en jouant sur le temps. Aux États-Unis, les élites ont réussi à paralyser les premières initiatives de Trump – manifestations hostiles, révolte des grandes villes contre les décrets sur l’immigration, protestations des patrons de la Silicon Valley, action des juges, attaques de la presse. Et l’on a vu Donald Trump revenir sur une partie de ses engagements, du moins pour l’instant. Qu’il change encore d’avis et la procédure d’impeachment sera enclenchée.

    Si la menace devient trop forte, on peut toujours modifier le mode de scrutin comme certains l’ont suggéré après le Brexit. D’ores et déjà le référendum est discrédité, assimilé à la « fausse démocratie » : en 2005 le vote très clair des Français et des Néerlandais avait été modifié par un tour de passe-passe et déjà on se prépare à jeter aux poubelles de la démocratie la consultation plus modeste de juin 2016 sur la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

    Le « système » peut être rassuré. Les populistes sont divisés (entre gauche et droite), leurs moyens limités, leur capacité à diriger incertaine, leurs maladresses surprenantes. Ils ont été contenus partout ou presque. Un immense « ouf ! » a retenti. Ce soulagement se double d’une arrogance qui ne se dément pas (2). N’ont-ils pas compris que c’est ce mépris qui nourrit la colère ? Que les causes profondes du surgissement du populisme n’ont pas disparu ? Et qu’après le reflux peut revenir le flux ?

    Pascal Gauchon

    Editorial du n° 14 de la revue Conflits
    daté de juillet-août-septembre 2017

    1. La cohésion du « système » n’est pas toujours aussi nette qu’elle l’a été en France. Au Royaume-Uni, la grande presse n’est pas monochrome. Aux États-Unis, le monde des affaires s’est divisé à propos de Trump et une partie des Églises l’a soutenu
    2. Voir Jacques Séguéla sur C News, évoquant la supériorité de la France des villes – il avait d’abord parlé de « la France d’en haut ». À noter aussi Christophe Barbier expliquant que les éditorialistes sont des « tuteurs sur lesquels le peuple, comme du lierre rampant, peut s’élever » (Journal du Dimanche, 14 avril). Ou Lord John Kerr, sous le coup du Brexit : « Nous, Britanniques de souche, sommes si stupides que nous avons besoin d’une injection de gens intelligents et jeunes venus de l’extérieur. » Ou encore James Traub dans Foreign Policies (28 juin 2016) : « Il est temps que les élites se dressent contre les masses ignorantes. » Provocation ou inconscience ?

    https://fr.novopress.info/

  • Valls : « La France insoumise se compromet avec les islamistes » : 17 députés au compteur

    « Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme. » – Manuel Valls

    Valls surprend. Ou découvre l’eau chaude. C’est un bon comédien ou un naïf patenté, ce qui, en politique, est dangereux.

    Celui qui, Premier ministre, nous annonçait que nous devrions « nous habituer à vivre avec le terrorisme », sans nommer son origine pour ne pas se mettre une bonne partie de ses électeurs musulmans à dos, a déclaré mardi 4 juillet sur RMC : « Les candidats de La France insoumise se compromettent avec les islamistes, ils sont dangereux pour la démocratie. »

    Il faut dire que ce pauvre Manu, devenu persona non grata d’un PS en soins palliatifs et accueilli froidement du côté de LREM, est dans le viseur d’une Farida Amrani qui lui conteste sa victoire à l’élection législative, allant jusqu’à revendiquer la sienne à quelques mètres de lui, à la mairie d’Évry, le soir du second tour. Pas de bol, le Manu est tombé sur une coriace. Née au Maroc et arrivée en France à l’âge de deux ans, cette quadragénaire est le produit phare d’une immigration opportuniste : formatée à l’école de la République, pur produit du service public (fonctionnaire territoriale), elle coche toutes les cases d’une militante gauchiste et bruyamment revendicarde. Elle crée une section syndicale aux couleurs de la CGT dans l’agglomération Cœur de l’Essonne, puis se tourne vers la lutte politique en harponnant violemment l’édile d’Évry, lors d’une réunion publique sur les rythmes scolaires, qui, devant tant d’audace survoltée, lui suggère alors de monter une liste aux élections municipales ; ce qu’elle s’empresse de faire. Évidemment.

    Battue à 139 voix près aux élections législatives, alors que les médias prédisaient déjà la victoire de ce spécimen issu de notre diversité, elle continue le show en contestant les résultats de l’élection et dépose un recours auprès du Conseil constitutionnel pour invalidation, soupçonnant des fraudes et de la tricherie durant le scrutin. Le spectacle de ses militants FI, vociférant lors de la prise de parole de Valls dans l’enceinte de la mairie d’Évry le soir du second tour aux cris de « youyous » endiablés, donne une idée précise du niveau de civilité d’une partie de ses électeurs et militants.

    Le pauvre Valls peinant à se faire entendre comme vainqueur, devant une nuée de micros tendus, a découvert ce soir-là l’ambiance d’un hall d’immeuble au cœur de la cité d’Évry et le vivre ensemble pour de vrai, si cher à son cœur d’homme de gauche. Et cela lui a fait l’effet d’un électrochoc, puisque ce nouveau député LREM, du moins jusqu’à preuve du contraire, a osé dénoncer devant Jean-Jacques Bourdin, ce mardi, les liens entre La France insoumise et les islamistes sans y mettre de conditionnel ou l’adoucir d’éventualités.

    Il enfonce le clou sur son ancien parti, affirmant dans une interview :

    « La gauche est en difficulté sur les questions d’identité. Hollande n’aimait pas les évoquer […] Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme.

    « Il y a une complaisance, parce qu’il y a une gêne et une culpabilité. Les musulmans sont le prolétariat du XXIesiècle, et en plus il y a une question religieuse. »

    La gauche a donc abandonné l’ouvrier de Zola au profit d’un vote clientéliste arabo-musulman. Et c’est un ancien Premier ministre qui le dit, osant évoquer jusqu’à la question religieuse, qui soude l’identité arabe à l’appartenance musulmane, comme le temporel au spirituel.

    On se doute bien que Valls n’a pas été atteint par la grâce et qu’il faut observer cette prise subite de conscience à travers le prisme d’un opportunisme politique plus que celui de la volonté intuitive de sauver l’identité française. Depuis la guerre d’Algérie, on savait la gauche complaisante avec le terrorisme. Il faut désormais retenir, de la bouche même d’un ancien Premier ministre, que la gauche de Charlie se fourvoie avec l’islam radical par lâcheté.

    Parce qu’elle vomit, par tous les pores de son idéologie, le concept d’une identité française potentiellement fière de l’être, la gauche de Taubira, Najat, Peillon, Cazeneuve et consorts préfère se compromettre avec l’islam et nous démettre.

    La France insoumise serait donc d’abord insoumise à la République française.

    Manuel Valls est un pompier pyromane, mais il a mouillé la chemise en lançant ce pavé dans la mare. Ce qui serait criminel pour l’avenir de la France serait de laisser ses affirmations retomber dans une douillette indifférence coupable.

    http://www.bvoltaire.fr/valls-france-insoumise-se-compromet-islamistes-17-deputes-compteur/

  • CLASH à l'assemblée 06/07 M.LE PEN vs Les insoumis "des terroristes en herbe !"

  • Le baccalauréat au rattrapage - Journal du jeudi 6 juillet 2017

  • Révélations : au tour de Nicolas Hulot

    Les révélations se multiplient sur les ministres du gouvernement Édouard Philippe. Richard Ferrand, Sylvie Goulard, François Bayrou et Marielle de Sarnez ont déjà démissionné après des révélations. Muriel Pénicaud est également soupçonnée de ne pas avoir respecté des règles de mise en concurrence quand elle était en charge de l’organisme public Business France.

    C’est désormais au tour de Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique. Selon les informations du Canard Enchaîné, la Fondation Nicolas Hulot (rebaptisée "Fondation pour la nature et l’homme" depuis qu’il a passé la main à Audrey Pulvar) a reçu des gros chèques depuis plusieurs années. Ainsi, EDF a versé 460.000 euros à la fondation jusqu’en 2012 – et 100.000 depuis. Un possible conflit d’intérêts pour celui qui va devoir bientôt prendre position sur l’EPR de Flamanville, détenu par EDF…

    "De 2012 à 2017, Veolia a casqué 200.000 euros par an à la Fondation, et ce généreux mécène siège même à son conseil d’administration".

    Dans le champ de compétences du ministre de la Transition écologique, apparaît "l’écologie circulaire" (le recyclage des déchets), un marché brigué par… Veolia.

    Par ailleurs, l’actuel ministre de la Transition écologique détient la société Éole Conseil, essentiellement alimentée par des royalties touchées sur les ventes des shampoings, gels douche et autres lunettes estampillés "Ushuaïa". Et le Canard Enchaîné de préciser :

    "la marque appartient à TF1, mais la chaîne a cédé la licence à une dizaine de grands défenseurs de la nature, tels L’Oréal ou l’opticien Atoll. Hulot, qui a signé un contrat avec TF1, touche une partie des royalties. En 1992, ce deal juteux lui rapportait déjà 113.000 euros".

    "A partir des années 2000, Éole Conseil a dégagé entre 480.000 et 715.000 de chiffre d’affaire par an".

    Nicolas Hulot est le seul salarié de sa société et possède 99,9% des parts. Des bénéfices auxquels il faut ajouter son salaire annuel, 290 000 euros en 2013. Mais depuis, les chiffres sont beaucoup moins transparents. Les comptes de la société des années 2014 et 2015 ont été déposés sous le régime de la confidentialité.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La grande tromperie des organismes officiels de statistiques sur l’immigration

     (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: En France, deux organismes publics, l’Insee et l’Ined, sont chargés de fabriquer les chiffres de l’immigration. Ces institutions se livrent à trois manipulations principales, qui usent de la même technique : truquer la définition des concepts utilisés, afin d’obtenir des chiffres sans rapport avec la réalité.

    Quels sont les chiffres de l’immigration indiqués par l’Insee ? L’Insee indique que la population immigrée en France est de 5,8 millions en 2013. A cela s’ajoutent les « descendants d’immigrés » 6,8 millions en 2008. Au total : 12,6 millions d’immigrés ou de descendants d’immigrés en France.

    Ces chiffres masquent la réalité de l’invasion et du Grand Remplacement. Car quand on regarde de plus près les chiffres officiels, on apprend que :
    ‑ par l’immigration légale, 200 000 non-Européens entrent chaque année en France.
    ‑ l’immigration irrégulière est estimée à au moins 70 000 par an, soit le nombre des déboutés de leur demande d’asile… jamais expulsés.
    ‑ on connaît aussi approximativement le nombre annuel des naissances issues de l’immigration non européenne par les statistiques médicales comme la drépanocytose : 300 000.

    Total des immigrés non européens qui chaque année naissent ou s’installent en France : plus de 500 000, ce qui représente un stock de 15 à 20 millions de non européens.

    En 50 ans, d’après les comptes réels, de manière mathématique, les Français de culture européenne seront simplement minoritaires dans leur propre pays.

    Où est l’arnaque comptable de l’Insee L’Insee utilise une définition biaisée de l’immigration, fausse dans les faits : officiellement, un « immigré » est une personne, résidant en France, née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance. Ce qui évacue de ces statistiques tous les immigrés de la troisième génération et des générations suivantes… précisément celles où recrutent les djihadistes !

    Ces manipulations statistiques sont indispensables pour que puisse poursuivre la politique immigrationniste sans que la population de souche ne se révolte…

    https://fr.novopress.info/