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En politique, il y a parfois des concours de circonstances inattendus. Ainsi, le mardi 16 avril, l’éditorialiste Christophe Barbier évoque-t-il, lors de l’émission C dans l’air, une possible et prochaine dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron : « Un député macroniste m’a dit : "Allons-y pour une dissolution, et si ça doit donner la majorité au Rassemblement national, nous verrons ce qu’ils peuvent faire au gouvernement pendant deux ans. »
Le thème du « licenciement des fonctionnaires » ou de la suppression de la sécurité de l’emploi dans la fonction publique, est revenu au goût du jour. Le sujet mérite d’être approfondi, à l’aune des faits et non de l’idéologie. Certes, l’article 15 de la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, dispose : « La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. » L’un des principes fondamentaux de la société française, à valeur constitutionnelle, affirme la responsabilité du fonctionnaire. Ce dernier n’est pas intouchable, ses manquements, ses fautes sont sanctionnables, y compris par le limogeage.
Son directeur de cabinet, fidèle de la première heure d’Emmanuel Macron, son adjointe, la conseillère spéciale de Prisca Thevenot qui avait fait ses armes aux côtés de Christiane Taubira, et enfin la cheffe de cabinet, membre de l’équipe de campagne du candidat Macron en 2022, ont tous posé leur démission
“Prisca a aussi la réputation d’être très dure avec ses collaborateurs”, grimace un de ses collègues au gouvernement.
Dans le budget prévisionnel pour 2024, les pouvoirs publics ont alloué 254,7 milliards d’euros aux dépenses d’assurance maladie, soit une progression de 3,2 % (hors Covid-19).
Oui 254 milliards d’euros. Cela commence à faire quand même un peu de sous… beaucoup de sous même !
Une altercation entre une mère et l’équipe enseignante de l’école de la Millière, dans le 11e arrondissement de Marseille, s’est terminée par des coups et griffures sur la directrice, avec une ITT de 5 jours.
Le peuple, ce souverain sous tutelle se réveille groggy une fois de plus, avec une nouvelle attaque du Conseil Constitutionnel. En effet ce dernier vient de refuser le RIP, initié par les LR, sur l’immigration. On aurait pu naïvement croire que ce ne serait là que formalité, mais Le sujet déplaît à l’Élysée et à la bande de Davos, il fallait donc l’empêcher, ce que s’est empressé de faire Fabius, toujours aux petits soins pour satisfaire son maître. L’argument pour rejeter ce RIP tient sur le danger de ne pas respecter la politique de solidarité nationale en faveur des personnes défavorisées. Fabius mélange sciemment les genres et interprète le texte comme bon lui semble. Comment affirmer que cette politique ne peut pas être modifiée ? N’est-ce pas théoriquement au peuple de décider de ce qu’il entend conserver ou faire, en matière de politique, quel que soit son domaine y compris la solidarité ? Où est-il inscrit de manière claire et précise que la durée de 5 ans pour bénéficier de certaines aides sociales est contraire au préambule de 1946 et cause un préjudice disproportionné au non bénéficiaire ? Ce n’est pas parce qu’une garantie est légale qu’aucune contrainte ne peut être imposée pour l’obtenir. Quel est le délai admissible selon Fabius ?
Une polémique a été ouverte à propos de mes analyses sur la responsabilité personnelle de l’ancienne chancelière Angela Merkel et de l’ancien président François Hollande dans l’actuelle guerre en Ukraine. Mes confrères assurent que j’ai tout inventé et que ces deux personnalités sont innocentes. Je ne ferais que colporter de la désinformation russe. Cette controverse n’est pas anodine : mes contradicteurs essaient de blanchir nos dirigeants politiques, ce faisant ils servent la narration occidentale de la guerre en Ukraine et la justifient. Voici donc les faits et les documents sur lesquels je m’appuie. À vous de juger.
Quelques confrères de grands médias ont lancé une polémique à propos d’un extrait d’une conférence que j’ai donné à Colmar, le mois dernier1. Ils contestent ce que j’ai exposé sur la responsabilité personnelle de l’ancienne chancelière Angela Merkel et de l’ancien président François Hollande dans l’actuelle guerre en Ukraine.