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Ce mardi matin, notre amie Raphaëlle Claisse évoquait ici même la polémique du jour : le boycott par Léon Marchand de Quel Jeux !, l’émission talk-show qu’animent Léa Salamé et Laurent Luyat. Le Parisien ayant écrit que notre champion n’y retrouvait pas « ses valeurs », le groupe France Télévisions se hâte de démentir et précise que Léon Marchand « ne voulait faire que de l'info et ne souhaitait pas participer à une émission qui finit trop tard ».
CitizenGo (1) qui avait lancé en octobre 2017, en région parisienne, une campagne utilisant un bus orange visant à alerter l’opinion publique sur l’enseignement de la théorie du genre, a récidivé, ce 6 août, en entrant dans Paris avec un car floqué de l’inscription « STOP ATTACKS ON CHTISTIANS ! » .
Sept personnes ont été placées en garde à vue lundi en fin de journée après avoir circulé dans les rues de Paris avec un car floqué de l’inscription « Stop Attacks on Christians » (arrêtez les attaques contre les chrétiens). Le tout accompagné des anneaux olympiques et d’une photo du tableau « Festivités », interprété par certains comme une représentation de la Cène.
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Quatre fois médaillé d’or, Léon Marchand est la nouvelle coqueluche des Jeux olympiques. Ce dimanche 4 août, le jeune prodige a plongé dans le grand bain de la Défense Arena pour la dernière fois de la compétition, décrochant avec l’équipe française la médaille de bronze. Depuis, le public l’acclame sans réserve et tous les médias se l’arrachent. Le « roi Léon » écume les plateaux télévisés et les radios, évoquant ses récentes victoires et la gestion de sa toute nouvelle popularité, née en quelques jours aux yeux du grand public. Dans le tourbillon médiatique et le marathon d’interviews entrepris par le champion, une étape a été manquée volontairement : l’émission de Léa Salamé Quels Jeux !
Il y avait un lycée au nom de Thierry Maulnier à Nice depuis plusieurs décennies : il sera débaptisé à la rentrée prochaine, après une campagne de haine et surtout de bêtise de la part d’une élue d’extrême-gauche « verte » relayée obligeamment par quelques journalistes peu soucieux de s’intéresser vraiment à la personnalité visée et préférant se contenter de quelques fiches de police de la pensée ; mais c’est le président du conseil régional, M. Renaud Muselier, qui a porté le coup fatal, cédant à la pression de quelques uns et à la doxa dominante contemporaine. Ainsi, Maulnier disparaîtra tranquillement de la cartographie niçoise, et il est peu probable que son nom soit redonné à une rue ou une école de la République française…
Nos médaillés « franchouillards » redonnent-ils enfin foi aux citoyens, en la grandeur de la France ?
S’il est vrai qu’avec raison nous craignions le pire pour ces JO, dûment exploités façon dépenses somptuaires par les dilapidateurs habituels, nous prônant de drastiques économies (au nom d’une prétendue sauvegarde de la planète, mais seulement par nous !) et que l’ignoble cérémonie d’ouverture le confirmait ; contre toute attente, la moisson de médailles déjà engrangée par nos champions tricolores (d’affreux blonds aux yeux bleus, à quelques exceptions !!!) semble, de manière totalement inattendue, redonner foi, honneur et fierté en la France et ses valeurs, en rien comparables à celles qu’on s’efforce de lui coller, à l’insu de son plein gré !
Ces jeux olympiques seront un grand succès, c’est forcément ce qu’en retiendra la bonne parole gouvernementale, qui arrive à transformer tous les scandales en grands succès. A commencer par l’eau de la Seine et le journal flamand De Standaard, qui explique qu’une athlète belge, Claire Michel, a été hospitalisée depuis sa participation, mercredi 31 juillet, à l’épreuve de triathlon nagée dans la Seine, en raison d’une infection à la bactérie Escherichia coli. Mais notre valeureux « Libération », celui qui expliquait qu’il fallait voter pour qui on voulait mais voter Macron, rectifie le tir. Elle n’a pas été hospitalisée, mais elle a consulté un médecin et a été emmenée à la polyclinique du village olympique pour y être soignée. Et l’ensemble de l’équipe belge, dont elle fait partie, a arrêté la compétition. Subtil distinguo, la polyclinique n’est pas l’hôpital, merci Libération et ce n’est pas parce qu’on est malade en sortant de l’eau de la Seine, que l’eau de la Seine y est pour quelque chose.