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France et politique française - Page 3163

  • Comment a-t-on pu en arriver là ?

    Chronique de Thierry Gobet

    L’assassinat du commandant de police et l’égorgement de son épouse à leur domicile de Magnanville (78) par un islamiste - fiché faut-il le rappeler - est un acte d’une telle gravité qu’il oblige à établir un constat, un constat sévère sur la situation actuelle de notre pays, voire même en Europe, sans oublier les Etats-Unis avec la fusillade d’Orlando, mais où notre responsabilité n’est pas ici directement engagée. L’assassinat du couple de policiers à leur domicile est un fait d’autant plus grave et emblématique qu’il ne s’agit pas d’un fait unique, «accidentel», provenant d’un « déséquilibré » - tel que l’on a coutume de définir ce genre d’individus pour étouffer les origines de leurs actes - mais d’une nouvelle agression criminelle s’ajoutant à d’autres de la même veine. Je fais référence à l’égorgement d’un alpiniste français dans l’atlas algérien par son propre guide, aux attentats du Bataclan (130 morts), ainsi que dans les restaurants parisiens (20 morts) le 13 novembre 2015, à la décapitation d’un chef d’entreprise en juin 2015 dont la tête avait été exposée sur une grille avec des inscriptions musulmanes. A ce sujet, les médias avaient déclaré que le chef d’entreprise avait repris son employé d’une façon «sévère», suite à une faute professionnelle. Rien de plus naturel… Après cette exécution j’avais déclaré à un ancien chef d’Etat-Major de l’Armée que nous étions «en situation de guerre», ce à quoi il ne me fit aucune objection. On a entendu déclarer dans les médias que les accidents de la route le week-end occasionnaient plus de morts qu’au Bataclan… Ce genre de réflexion, à elle seule, suffit à montrer l’état de décadence avancée de notre société, que je qualifierais de pathologique.

    La situation est tellement grave que la majorité de la population préfère ne pas voir la réalité en face (1), abandonnant son destin à une classe politique absolument pas à la hauteur de la situation, tant par sa formation, que prisonnière d’une idéologie délétère, et de la captation de notre souveraineté tant politique que financière (2).

    Il n’existe pas plus de situation spontanée en politique qu’il n’existe de génération spontanée en science. Toute situation politique n’étant que le résultat, l’aboutissement de situations politiques antérieures, elles-mêmes produites par des décisions politiques, validées par les électeurs.

    Nous nous bornerons ici à n’en citer que quelques-unes :

    - Le 18 mai 2016, une voiture de police est incendiée à Paris avec des policiers à l’intérieur. Les coupables arrêtés sont relâchés dans la journée. Sans commentaires …

    Pourquoi ces individus très dangereux issus de l’immigration musulmane bénéficient-ils d’un tel régime de faveur ?

    Les pays du Golfe (Arabie Saoudite, Qatar) qui soutiennent et financent les mouvements islamistes, financent également l’Occident, dont les grandes banques après la crise financière de 2008, de même que les médias et les politiques, mais cela n’est pas suffisant pour expliquer le phénomène.

    Ainsi, l’ancien ministre socialiste Jean Glavany a-t-il déclaré : « L’islam contribuera à l’affaiblissement du catholicisme ».

    L’idéologie de la culpabilisation du Blanc, raciste et colonialiste selon la vision marxiste de la colonisation européenne - a annihilé l’instinct naturel de défense de l’occidental (« L’Occident est émasculé » déclarait Soljenitsyne il y’a déjà 30 ans) et a fait de l’immigré une victime avec tous les droits. Depuis 1981 les socialocommunistes ont érigé ce dogme en principe de politique.

    - Alors qu’un jeune délinquant immigré s‘était tué en voiture lors d’une poursuite avec les gendarmes, le Président Mitterrand avait reçu ses parents à l’Elysée. Pas un tel honneur pour les familles de pompiers ou sauveteurs en mer morts en service…

    - L’ex-ministre socialiste de la Justice Taubira fut la championne d’une justice inversée en faveur des délinquants - dont une majorité est issue de l’immigration - au détriment des honnêtes gens.

    - Quant à la présumée Droite, Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur a supprimé la dite « double peine », le retour au pays des grands délinquants, pour cause de «traumatisme des familles». Pas de traumatisme pour les Français d’Algérie, pour qui c’était «le cercueil ou la valise»…

    - Sous Nicolas Sarkozy toujours, trois policiers furent mis en accusation avec renfort de propagande dans les grands médias pour « faits de violence » sur la personne de délinquants d’origine maghrébine condamnés à 12 ans de prison.

    Tous ces politiques, vraie gauche - fausse droite confondues, ont bien été élus et réélus par le peuple et soutenus par leurs administrations, dont la police. Donc tous ont leur part de responsabilité dans ce qui arrive aujourd’hui.

    Ici encore, les Présidentielles de 2017 ne changeront rien. Seul un bouleversement profond du système sauvera notre pays et sa civilisation.

    (1) Cf. chronique du 18 mars 2016 : « Encore un instant Monsieur le bourreau… »

    (2) Cf. chronique du 27 mai 2016 : « la France vassale »

     
  • Tribune libre – Risque de guerre civile ?, par Vincent Revel

    Le terme guerre civile s’invite de plus en plus dans le débat public. Pour continuer à vendre leur modèle multiculturel et pour ne pas avoir à se remettre en cause, nos dirigeants incriminent les partis patriotes d’Europe pour expliquer les échecs flagrants du « bien vivre ensemble ».

    Avec le Brexit, les peuples européens peuvent enfin se rendre compte que tout est possible. Nous pouvons dire non à l’Europe sans que notre monde s’effondre. Nous pouvons dire que nous voulons une autre Europe sans avoir obligatoirement l’apocalypse. La pensée unique s’effrite et la propagande antiraciste, néo-libérale et altermondialiste s’essouffle. Le rêve d’un village monde s’efface comme une brume s’évapore à la chaleur du soleil. La réalité est toujours plus forte que l’idée. La véritable vie ne s’embarrasse pas des utopies.

    Souvent, nous entendons parler des territoires perdus pour la République. Ces fameux territoires qui se multiplient considérablement depuis moins de vingt ans par la faute d’une politique migratoire complètement folle. Perdus ! Mais sont-ils perdus pour tout le monde ? Et si les lois de la République ne peuvent plus s’y appliquer normalement comme sur le reste du territoire, que se passe-il réellement dans ces zones que l’on décrit fréquemment comme des lieux de non-droit ?

    Tout ceci n’est qu’une vaste hypocrisie car tout le monde sait que ces nouveaux territoires sont dès à présent déconnectés de l’identité charnelle de notre pays. Nos lois ont été remplacées par un code juridique étranger et notre culture disparaît mètre après mètre pour laisser place à un nouveau mode de pensée et de croire. Le multiculturalisme s’est transformé depuis longtemps en communautarisme et la diversité, si chère à nos censeurs modernes, a fini par effacer complètement l’héritage de nos anciens.

    De la France, pays européen possédant une culture millénaire et un roman national permettant à ses habitants d’être unis autour d’une mémoire commune, nos dirigeants en ont fait une nation sans frontière, découpée comme une mosaïque. Dans cette espace sans règle commune, viennent prendre place des peuples et des individus nouveaux, désireux pour la plupart de vivre selon leurs us et coutumes.

    Devant la faiblesse de nos élus et avec la collaboration d’un grand nombre de nos compatriotes de souche, ces nouveaux arrivants, selon leurs origines culturelle et religieuse, n’hésitent plus à s’arroger systématiquement des droits au détriment de l’unité nationale. De ce fait, une crainte légitime s’installe chez les autochtones que nous sommes.

    Malgré la censure féroce du système antiraciste qui tente de nous faire culpabiliser, les inquiétudes d’un grand nombre de Français s’expriment de plus en plus librement. Face à ce communautarisme, qui fait craindre dans les coulisses dorées de notre République une éventuelle guerre civile, seule une action politique forte peut nous éviter la catastrophe toute annoncée.

    Dernièrement, Isabelle Surply, conseillère régionale de Rhône-Alpes-Auvergne et responsable du canton de Rive-de-Gier pour le Front national de la Loire, a été menacée de mort, de violences et de viol à plusieurs reprises pour avoir simplement relayé sur Twitter un message d’un internaute exprimant sa colère contre les politiques, « qui souhaitent un bon ramadan » à la communauté musulmane de France en les nommant des « collabos » de l’islamisation de notre pays. Pour ça, dans la France du XXIe siècle, avec le silence complice d’une grande partie de nos élites, une jeune femme et son enfant peuvent être menacés de mort !

    Peu de jours avant, dans le même secteur géographique, le maire de Lorette, Gérard Tardy, avait fait passer deux messages sur les panneaux municipaux pour demander à la communauté musulmane de sa ville de vivre le ramadan « sans bruit » tout en précisant, comme la loi l’explique, que « la République se vit à visage découvert. » Quel fut le résultat pour cette action que nous devrions tous trouver normale ? Comme pour Isabelle Surply, des menaces furent proférées et la Ligue des Droits de l’Homme, en la personne de Jamal Rami, étudiait une possibilité de dépôt de plainte pour islamophobie !

    Et oui, nous en sommes là ! Un rappel de civisme pour ces nouveaux arrivants peut valoir à un maire de France d’être menacé et poursuivi pénalement ! Alors, oui, avec des cas comme ceux-là, qui se multiplient de plus en plus, la guerre civile n’est peut-être pas qu’une affabulation.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • En France, version Flanby, le pouvoir n’est plus à prendre : il est à ramasser

    En 1993 François Mitterrand déclarait déjà, sur un mode résigné : « dans la lutte contre le chômage on a tout essayé ». Depuis cela ne s’est pas amélioré. Le Premier Ministre nous explique maintenant que la lutte contre le terrorisme « durera une génération » et que d’autres Français perdront la vie. En France l’État est désormais à l’image de Flanby : bedonnant, bavard et déconsidéré.

    L’abdication gouvernementale

    En effet nos gouvernements ne gouvernent plus et nos parlementaires ne sont plus des législateurs : ils ont abdiqué leurs pouvoirs au profit de la bureaucratie bruxelloise, de la BCE, de la Cour Européenne de Justice, de l’OTAN et des marchés mondiaux.

    Le résultat est là : alors que le prix du pétrole et que les taux d’intérêt sont historiquement au plus bas, la France réussit la performance de s’enfoncer dans la stagnation, le chômage et le déficit commercial. Et si la conjoncture, vaguement, paraît s’améliorer de temps en temps, cela ne résulte pas de l’action du gouvernement, mais de l’évolution cyclique de l’économie mondiale.

    Nous sommes gouvernés non plus par des acteurs mais par de simples spectateurs.

    L’État impuissant

    La performance sécuritaire — qui est pourtant l’un des fondements de la légitimité de l’État — est aussi remarquable, à sa manière.

    La France est en effet le seul pays au monde où, en plein état d’urgence qui dure depuis des mois maintenant, alors que 10 000 militaires professionnels sont mobilisés pour des missions de sécurité intérieure, des milices gauchistes peuvent en toute impunité saccager des centres villes et agresser les forces de l’ordre, pendant que les djihadistes fichés S, mais en liberté, continuent leurs crimes.

    Il est vrai que le Directeur de la DGSI, Patrick Calvar explique sans rire aux parlementaires que le principal danger civil en France provient de …la droite radicale !

    On disait que « le ridicule ne tue pas » : mais aujourd’hui en France, si, il tue.

    La France en spectacle

    Grâce à l’Euro de football la France offre en outre au monde entier le spectacle affligeant d’un pays traversé par des grèves, des commémoration et des manifestations de toute sortes. Un pays où lorsqu’on prend le métro on nous avertit — en toutes les langues — que « des pickpockets sont susceptibles d’opérer dans cette station ». Des pickpockets donc que l’on est incapable d’empêcher de nuire !

    Un pays où la police et la justice ne parviennent plus à exercer leurs missions. Un pays où un policier, excédé mais digne, refuse publiquement de serrer la main de nos gouvernants, transformés en pleureuses cyniques. Un pays où de plus en plus d’officiers généraux s’alarment publiquement de l’obsolescence de notre Défense.

    Un pays dont le gouvernement ne sait pas s’il doit autoriser ou interdire des manifestions sur la voie publique. Un pays dont le gouvernement n’ose pas désigner l’ennemi contre lequel il serait censé « faire la guerre ».

    En France L’État est désormais à l’image de Flanby : bedonnant , bavard et déconsidéré. En France le Pouvoir n’est plus à prendre, il est à ramasser.

    Didier Maupas

    http://www.polemia.com/en-france-version-flanby-le-pouvoir-nest-plus-a-prendre-il-est-a-ramasser/

  • Brexit : Pour François Hollande, « le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes »

    « Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes. Il faut toujours moins de temps pour défaire que pour faire, pour détruire que pour construire. La France pays fondateur de l’Europe ne l’acceptera pas. Un sursaut est nécessaire. L’Europe pour aller de l’avant, ne peut plus faire comme avant » a expliqué François Hollande.


    Brexit : François Hollande pointe un « danger… par Lopinionfr

    http://fr.novopress.info/

  • Jacques Baud : « Terrorisme. Mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident »

    Bernard Plouvier, auteur, essayiste

    Ex: http://metamag.fr

    On a envie de débuter ce compte-rendu par la conclusion pratique qui s’impose, après lecture : Halte ! Grand livre ! car on ne saurait dévorer un tel ouvrage sans en recommander la diffusion la plus large, et pour plusieurs raisons.

    Officier des SR (Services de Renseignements), l’auteur a une très solide culture historique, non pas celle des manuels à usage scolaire et universitaire, tous bourrés d’erreurs factuelles et de jolies légendes issues de la Deception (désinformation, en langue anglaise), ingrédient de base de toute propagande en période de guerre ou d’exploitation des bénéfices d’une victoire. Pour tout dire, le colonel Baud a dévoré quantité de livres et de sites du Net « révisionnistes »… faut-il rappeler que le révisionnisme est une démarche intellectuelle, de type scientifique, visant à démystifier l’écriture historique et qu’elle n’a rien à voir avec les sottises des « négationnistes » de la Shoah ou des génocides vendéen, arménien ou ukrainien.

    En outre, l’auteur semble maîtriser l’arabe écrit, ce qui est appréciable pour un tel sujet. Ce n’est pas un fanatique de la lutte anti-musulmane ni du soutien inconditionnel aux USA ou à l’État d’Israël. Enfin, il ne semble pas nourrir un excès d’estime pour les politiciens professionnels, ce qui témoigne tant de son intelligence que d’un solide sens critique… on pourrait lui reprocher de ne pas associer dans son mépris les clowns des médias aux ordres de ces multinationales, dont il ose à peine médire, mais ce qu’il laisse supposer est bien suffisant pour qu’on le comprenne à demi-mot.

    Sa thèse principale est simple, remarquablement étayée par une accumulation de faits (et quelques suppositions sur ce qui est encore secret d’État : la commandite d’un certain nombre d’attentats meurtriers durant ces 40 dernières années, dont ceux de Beyrouth, en 1983. Le terrorisme islamo-arabe qui frappe l’Occident depuis les débuts de l’ère nouvelle (que l’on peut faire remonter aux alentours de 1990) a non pas une origine religieuse unique, mais au moins trois facteurs étiologiques.

    D’abord et avant tout, l’ingérence en apparence grotesque, scandaleuse pour les nationalistes africains, proches et moyen-orientaux, des Occidentaux dans la vie politique des États du Maghreb, dans celle de quelques pays d’Afrique noire (peu étudiés par l’auteur) et surtout dans les poudrières du Proche-Orient (Liban, Syrie, Irak, il est dommage que le Yémen ne soit pas étudié) et du Moyen-Orient (Afghanistan, mais l’on regrette que l’auteur n’ait pas évoqué le Pakistan ni l’impérialisme US en Républiques touraniennes : Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan ou Turkménistan, qui promettent de nouvelles émotions lorsque les USA viseront par la bande la Russie et la Chine).

    Il est évident que les ravages directs et les « dommages collatéraux » infligés aux populations par les armées US et associées (France, Grande-Bretagne, Italie pour le cas libyen, divers contingents européens symboliques pour l’exemple afghan) n’ont pu qu’indigner les frères de race et les coreligionnaires. Le terrorisme « nouvelle vague » est d’abord réactionnel à la meurtrière occupation étrangère, par l’effet de ce « droit d’ingérence », qui plait beaucoup aux requins d’affaires de New York et aux « néo-cons » de Washington, mais qui est jugé, par les autochtones des zones de combat, pour ce qu’il est réellement : une atteinte intolérable au droit des peuples. Ces gens sont moins naïfs qu’on ne le pense généralement : ils ont parfaitement compris que c’est la force qui crée le droit. Le terrorisme est l’arme des faibles, opprimés par un gros État mal organisé et présentant une multitude de zones sensibles.

    La seconde cause – celle qui vient en seconde position en matière de motivation, contrairement à ce que serinent les médias aux ordres – est le Djihâd. Le colonel Baud nous précise que, pour certains musulmans, le Djihâd est une affaire intime : un effort personnel de perfectionnement. Ce n’est exact que dans la tradition des soufis, soit le gratin non-violent de la spiritualité sunnite. Les sourates coraniques qui renvoient au Djihâd désignent bien la « guerre sainte » que tout muslim en bonne santé doit faire aux « infidèles » (les non-musulmans) qui agressent le Dâr al-Islam (les zones de Charî’a), voire qu’il doit exporter dans le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre, soit les terres qui ne sont pas encore soumises à la loi coranique).

    On pourrait développer une troisième cause, effleurée par l’auteur : le désespoir existentiel de tous les paumés de l’immigration exotique en Europe (et à un moindre degré aux USA). Ils avaient cru que leurs immenses qualités physiques, intellectuelles, morales et religieuses feraient d’eux des maîtres, dominant des continents de dégénérés infidèles et il s’avère que leur suffisante insuffisance fait d’eux des traine-savates et des indésirables. Le Djihâd est un moyen de s’évader d’une vie nulle. D’abord en faisant éclater la joie de nuire à l’Occident, riche de valeurs que certains immigrés ne peuvent comprendre. Ensuite, en gagnant la certitude de se retrouver en un paradis fort terre-à-terre (mais admirablement adapté à un certain psychisme), fait de banquets et de houris, si l’on meurt au combat pour l’islam.

    Ceci explique qu’environ 30 000 volontaires islamiques, venus d’une centaine de pays et répartis en approximativement 1200 groupes sunnites armés, agrémentent le quotidien des Syriens.

    On peut regretter que l’auteur n’ait pas insisté sur le califat nouveau, Abou Bakr II ayant modifié la pratique du terrorisme djihadiste en autorisant des femmes et des enfants pré-pubères à y participer et en frappant de façon aveugle d’autres musulmans jugés trop tièdes, tout ceci contrevenant aux stipulations du Coran et des Hadiths sur la guerre sainte.

    Même s’il fait mine de ne pas croire aux thèses complotistes, le colonel Baud accuse les pantins politiques des USA, de France (Sarkozy et Hollande sont fort justement cités), de Grande-Bretagne (Tony Blair), d’avoir fait le jeu du « complexe militaro-industriel » et surtout des compagnies pétrolières… en n’oubliant pas que les chefs d’État qui se sont investis dans la perturbation des États islamiques depuis 1990-91 – la première guerre d’Irak – l’ont également fait pour stimuler leur cote de popularité.

    On peut regretter l’étonnante discrétion de l’auteur sur le rôle personnel de Barak Hussein Obama, qui s’est comporté, de 2010 à nos jours, soit comme le dernier des crétins, soit comme un très habile crypto-islamiste, déstabilisant tous les régimes calmes d’Afrique et du Proche-Orient, y introduisant la chienlit islamiste la plus fanatique.

    L’auteur analyse fort bien le pragmatisme des dirigeants chiites iraniens depuis la mort du  délirant Khomeiny. Les chiites sont fort peu appâtés par la cause palestinienne (qui ne semble plus guère intéresser que les fossiles des mouvements gauchistes et trotskistes de la planète). Le colonel Baud est, hélas, beaucoup plus léger sur le régime islamique turc qui paraît infiniment plus redoutable pour l’Occident que l’État islamique.

    On ne peut qu’approuver sa judicieuse analyse de l’implication des humanistes de Wall Street dans toutes ces affaires : sauver le règne du pétrodollar, contesté par les défunts gouvernements libyen et irakien, par ceux toujours en place de Syrie, de Russie et de Chine… et il aurait été judicieux de rapprocher l’activisme US en terres musulmanes de l’activisme de même origine en Amérique latine, dans des pays qui contestent la suprématie du dieu–dollar.

    En résumé, si l’année 2014 (les statistiques planétaires de l’An 2015 ne semblent pas encore disponibles, mais ce fut un grand cru) a vu se dérouler 13 463 attentats islamiques, faisant 32 700 morts, il faut en accuser, certes, le fanatisme des fous d’Allah, mais aussi et surtout la politique de gribouille ou de cyniques Machiavels des Occidentaux… une politique qui, depuis 1990, a probablement occasionné directement la mort d’un million de civils en terres d’islam.

    Chemin faisant, le colonel Baud met à nu les supercheries médiatiques à propos de la première guerre d’Irak ou du mythe Ben Laden-al Qu’Aïda (alors que les groupuscules terroristes défendent jalousement leur individualité et refusent de coordonner leurs actions). Il démonte les mensonges français sur les motivations de l’intervention en Libye et ceux des gouvernants US et français à propos de la Syrie. L’on est toutefois moins persuadé que l’auteur du côté « gentil toutou » des roitelets islamo-pétroliers d’Arabie saoudite et du Qatar… il serait bon de s’attendre à une fourberie anti-occidentale de ce côté-là.

    Les conclusions de cet excellent livre s’imposent d’elles-mêmes

    Il est nécessaire d’abolir le grotesque « droit d’ingérence » qui ne revêt d’intérêt que pour les multinationales exploitant les richesses naturelles des pays du Tiers-Monde.

    L’Europe doit se dégager – et d’urgence – des fous de guerre US, de leur pétrodollar et de leur complexe militaro-industriel (dont l’importance remonte au règne de Franklin Delano Roosevelt).

    L’Europe n’a pas vocation pour intervenir dans les bourbiers africains ni proche-orientaux. C’est aux autochtones et à eux seuls qu’il incombe de régler leurs problèmes tribaux, religieux, raciaux, politico-économiques. Il existe suffisamment de sites de matières premières, singulièrement de gisements pétroliers, pour se désengager des pays musulmans.

    Il faut plus que jamais inverser les flux migratoires et renvoyer dans le Dâr al-Islam la totalité des musulmans entrés en Europe ces quarante dernières années (en France depuis l’absurde décret Giscard-Chirac sur le regroupement national).

    Enfin et surtout, il est nécessaire (et urgent) de ne plus confier la direction des États à des pantins incultes et irréfléchis, dont les deux préoccupations majeures sont leur enrichissement personnel et la poursuite de leur carrière.

    Au total, c’est un livre qui non seulement apporte quantité de renseignements, avérés et probables, mais surtout réussit son approche étiologique d’un problème majeur de notre époque… qui risque de dégénérer en une série de conflits indirects opposant le trublion US à l’Europe (Russie incluse) et à la Chine, en plus de l’Amérique latine, où la guerre politico-médiatique fait rage depuis quelques années.

    Jacques Braud : « Terrorisme. Mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident« ,  2016 , Éditions du Rocher, 424 pages, 21€.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • La condamnation à deux mois de prison fermes confirmée à l'encontre d'Alexandre Cabriac

    Alors que militants cégétistes et autres extrémistes de gauche mettent les rues de France à feu à et à sang depuis des semaines, le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) et ancien conseiller régional, Alexandre Gabriac, la Cour d'appel a confirmé sa condamnation à deux mois de prison ferme pour une prétendue « manifestation interdite » en septembre 2012 à Paris.

    Le jour de la manifestation « interdite », Alexandre Gabriac se trouvait avec des journalistes dans un restaurant éloigné du lieu de rassemblement prévu. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longs jours en garde à vue puis déféré.

    À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes (y compris l’avocat maître P-M Bonneau), soit 57 personnes en tout, sans raison et dont aucune n’a été poursuivie.

    La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc.

    Les nationalistes savent qu’à la longue liste des cités occupées, il ne faudra pas oublier d’ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre nation.

    Pour participer au combat pour la liberté d'expressioncliquez ici

    Source Thomas Joly cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Juvin en Libertés : semaine du 20/06/2016 au 25/06/2016

  • France droitisée ou France radicalisée ?

    Avec le Brexit anglais, une autre digue vient encore de sauter. Grande jacquerie à venir ?

    La France se droitise, lit-on dans les gazettes. Ça reste à démontrer. Une fois n’est pas coutume, le sémillant Frédéric Lefebvre, naguère première gâchette de Nicolas Sarkozy, trouve les mots justes : « La France ne se droitise pas, elle se radicalise. » Ça, voilà qui est démontré depuis belle lurette ; enfin, depuis au moins le début du quinquennat hollandesque.

    Et, ce coup-ci, c’est plutôt la droite qui s’y colle en premier avec la Manif pour tous. Et pas n’importe quelle droite, s’agissant de cette France bien élevée qu’on n’avait pas vue arpenter le trottoir depuis 1984, grande époque des manifestations en faveur de l’école privée. Si les gros bataillons de cette dernière sont gentiment rentrés chez eux, ou dans la défunte UMP pour s’y faire plumer une fois encore, une frange d’irréductibles s’est radicalisée davantage : le mouvement des Veilleurs et leurs épigones partis fonder la remarquable revue Limite, prônant décroissance économique, écologie à la fois humaine et… radicale.

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  • Marine Le Pen : un référendum doit avoir lieu tout de suite dans tous les pays européens

    Marine Le Pen déclare à Présent :

    " C’est un grand jour pour la liberté en Europe. Je me suis engagée depuis déjà quatre ans à organiser un référendum en France sur ce sujet si je suis élue présidente de la République. Je pense maintenant que ce référendum doit avoir lieu tout de suite. Dans tous les pays européens. La seule décision raisonnable que doit prendre l’Union européenne aujourd’hui même, c’est d’annoncer qu’un référendum aura lieu dans chacun des pays de l’UE. Parce qu’on ne peut plus continuer à forcer des peuples, à les enfermer contre leur volonté. On s’est éloigné au fur et à mesure, gravement, du processus démocratique. Ça a été particulièrement vrai en France il faut le dire, à cause du référendum de 2005 où la parole des Français a été trahie. Maintenant, si l’Union européenne accepte de se regarder dans le miroir, il faut qu’il y ait un référendum dans chacun des pays de l’Union européenne et moi je réclame un référendum en France. [...]"

    Michel Janva

  • Najat Vallaud-Belkacem : agent de l’arabisation et de la défrancisation, par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    La ministre de l’Éducation nationale travaille cyniquement – et logiquement– à la démolition de l’identité ethno-culturelle française. Elle programme l’enseignement de l’arabe…dès le début de l’école primaire ! Sans vergogne, on va toujours plus loin. En même temps, toute sa politique vise à saper, à dégrader l’enseignement des fondamentaux de l’identité française, linguistiques et historiques. Sur ordre de ses maîtres étrangers et avec l’accord de ses patrons français collaborateurs ou idiots utiles.

    NVB prise la main dans le sac
    Ce n’est pas innocent. C’est une subversion qui ne relève pas seulement de l’idéologie de gauche (Mme Belkacem n’est ni de gauche ni féministe sincère mais d’abord militante arabo–musulmane dissimulée) mais qui, utilisant les idiots utiles de l’islamo-gauchisme (1) et de la gauche bobo angélique, entreprend le volet ”école et éducation” de la stratégie de destruction de l’européanité de la France et de colonisation ethnique. Valls laisse faire, à moitié complice ; quant à Hollande, il s’en moque parfaitement, complètement absorbé par ses petites cuisines politiciennes pour se faire réélire. Le destin de la France n’est pas son sujet.

    Annie Genevard, députée du Doubs et déléguée à l’Education des Républicains est montée au créneau contre ce projet (2). Elle écrit : « Cette question intéresse et concerne les Français quoi qu’en dise la ministre, qui a accueilli avec une rage blême, dont la violence interroge, la question que j’ai adressée il y a quelques jours au gouvernement. Elle qui reçoit habituellement toutes nos questions avec un sourire permanent a perdu son sang-froid et tombé le masque, ce qui démontre tout à la fois à quel point l’hémicycle peut être révélateur et le caractère très sensible du sujet pour la ministre. » Si NVB a perdu son sang-froid, c’est parce qu’elle été prise la main dans le sac de sa principale mission : arabiser et islamiser la France.

    Avec un culot bétonné, NVB a qualifié de « profondément xénophobes » et de « réaction identitaire » l’opposition de la députée LR Annie Genevard, qui commente (rapporté par Valeurs actuelles) : « pour la ministre, promouvoir la langue de son pays, c’est faire preuve d’étroitesse nationaliste. C’est très grave de la part du ministre de l’Éducation nationale ». Oui, sauf que NVB n’est pas là pour servir la France mais pour la desservir.
    NVB, actrice du djihad, volet ”guerre culturelle”

    Mme Belkacem a pris acte d’un fait démographique provoqué par l’immigration massive et incontrôlée (naissances intérieures avec taux de natalité supérieur et flux invasifs venus de l’extérieur) : le français n’est plus la seule langue de la France. Elle veut donc encourager ce mouvement, accélérer ce processus d’invasion, de remplacement de population et de culture. Tout se tient. L’arabisation linguistique de la France est liée à son islamisation. Mme Belkacem est parfaitement dans son rôle de cheval de Troie. À la tête de l’Éducation nationale, infiltrée, elle remplit correctement sa mission de noyautage.

    Se plaindre, comme Annie Genevard de ce que cette mesure va encore renforcer le communautarisme, affaiblir l’intégration et l’assimilation, défranciser un peu plus les enfants et élèves d’origine arabe, comme si Mme Vallaud-Belkacem commettait une bourde stupide par idéologie, c’est mal comprendre ce qui se passe. Mme Belkacem sait parfaitement que cette mesure, comme toutes les autres qu’elle prend, va communautariser et défranciser l’école dès le primaire ! C’est calculé, c’est voulu, c’est la feuille de route. Et c’est fait avec la complicité bienveillante d’intellectuels, de syndicats de l’Éducation nationale proches de l’islamo–gauchisme.

    À qui obéit Mme Belkacem ? Évidemment pas au Premier ministre, ce matamore capitulard et impuissant, qui la laisse faire ce qu’elle veut… Recevrait-elle ses instructions d’autorités arabo-musulmanes, y compris de pays étrangers ? Elle a bien dit : « nous ferons appel à des professeurs étrangers » pour enseigner l’arabe aux enfants. Ils viendront en force du Maghreb et de Turquie. Et avec l’arabe (et le turc), ils enseigneront évidemment autre chose. Pour beaucoup d’entre eux, ils islamiseront et diffuseront une idéologie de refus de notre civilisation. La ”réussite scolaire” n’est pas l’objectif de Mme Belkacem ; disons les choses clairement : elle est une actrice du djihad, dans son volet de guerre culturelle contre l’identité française et européenne. Contrairement à ce croit Mme Genevard, elle est parfaitement cohérente.
    Arabiser, islamiser, défranciser et baisser le niveau

    Ces dispositions sur la langue arabe sont parfaitement corrélées à la politique suivie par M. Peillon (islamo–collabo) puis accentuée par Mme Belkacem pour supprimer les classes d’excellence bilangues (en particulier en allemand, cette langue que Mme Belkacem a avoué ne pas aimer), réduire et dégrader l’apprentissage du français, démolir l’enseignement du latin et du grec, désarticuler celui de l’histoire de France – cette dernière étant moralement dévalorisée alors que l’histoire arabo-musulmane – comme africaine – est enjolivée à outrance. Tout se tient : arabiser et islamiser l’enseignement primaire et secondaire va de pair avec et suppose aussi d’éradiquer ses racines françaises et européennes.

    Dans le catéchisme idéologique de Terra Nova, le think tank qui inspire le PS, on prône la fin de l’intégration et de l’assimilation ; place à l’ « insertion »– ce ne sont plus aux immigrés de s’adapter au pays d’accueil mais à ce dernier de s’adapter aux nouveaux venus et à transformer ses mœurs en conséquence. De sorte que même les petits Français de souche seront encouragés (voire obligés dans certaines écoles à forte proportion immigrée) à apprendre l’arabe et à s’islamiser en douceur. Et bien sûr, ce qui est lié, ils sont incités à mépriser, à abandonner leurs racines françaises et européennes. Cette logique de l’ethnocide se met en place. Mme Belkacem, inscrit son action dans ce mouvement de destruction de la transmission culturelle française –volontaire– par l’Éducation nationale. Le nihilisme gauchiste suicidaire rejoint l’islamisme conquérant dissimulé. Mme Belkacem est au centre du jeu.

    Le double discours, la ruse (taqiya) de NVB

    Ruse : Sous prétexte de lutter contre la ”radicalisation” de certaines écoles musulmanes de l’enseignement libre, Mme Belkacem veut limiter les autorisations des établissements privés non contractuels. En réalité, sont dans le collimateur les écoles et collèges chrétiens, juifs ou non confessionnels de qualité (existants ou en projet d’ouverture) qui concurrencent un enseignement public en plein effondrement selon tous les classements internationaux.

    Autre ruse, sous forme d’une lourde contradiction : Mme Belkacem qui promeut l’arabisation–et donc, par répercussion, l’islamisation– a introduit à l’école l’enseignement de la théorie du genre (confusion des sexes), qui se veut anti–sexiste, féministe, pro–homosexuels, amie des lobbies LGBT. Or l’islam et les coreligionnaires arabo-musulmans de la ministre détestent cette idéologie, puisqu’ils sont sexistes, homophobes et gynophobes. Les militants musulmans (attentat d’Orlando) vont jusqu’à massacrer les homos, ce qui est conforme au Coran.

    La contradiction est résolue si l’on admet que Mme Belkacem tient un double discours de dissimulation : la théorie du genre est une torpille, destinée aux petits Français de souche, de manière à les déstabiliser et à affaiblir leurs repères. Mme Belkacem ne croit pas un mot des vulgates homosexuelles et féministes ou des âneries de la gender theory. En revanche, elle veut que les enfants et élèves issus de l’immigration arabo-musulmane échappent à cette propagande émasculante : les cours d’arabe (ou de turc) et d’idéologie islamisatrice qui iront avec, dispensés par des étrangers non contrôlés, sont là pour ça.

    Le sultan turc Erdogan raisonne d’ailleurs de la même manière. Non seulement, a-t-il péroré avec impudence, les Turcs ont le droit de s’installer en Allemagne, mais il scandaleux que les Allemands cherchent à les intégrer, les assimiler, les germaniser. C’est ce droit à l’invasion, à la non–assimilation que défend aussi – plus subtilement – Mme Belkacem. Mais elle va encore plus loin puisqu’elle s’en prend à la formation des enfants autochtones, en dégradant la transmission culturelle française.

    Au moins, les choses deviennent claires

    Le dogmatisme idéologique –gauchiste– de NVB n’est qu’un faux nez. Afin de masquer sa véritable double mission : islamiser/arabiser et défranciser l’école, dès le primaire, à l’âge où les individus se construisent. Le désastre du système scolaire public français, fabrique d’illettrés, relevé par tous les classements internationaux, n’est pas le problème de la ministre.

    Dans un premier temps, l’enseignement de l’arabe aux jeunes enfants concernerait 60.000 individus, en grande majorité d’origine immigrée, mais pas forcément. Alors que beaucoup d’entre eux maîtrisent déjà très mal le français, cette mesure est cyniquement destinée par NVB à ”communautariser” encore plus les jeunes d’origine arabo-musulmane et à commencer d’imposer l’arabe au détriment du français dans les zones à forte proportion maghrébine et africaine.

    Mais, ce que ne comprend pas, comme tant d’autres, Mme Genevard qui veut lutter contre le ”communautarisme” et franciser les immigrés, c’est que c’est trop tard. Ils sont trop nombreux et de plus en plus nombreux. Et non seulement ils ne veulent pas s’intégrer ni s’assimiler, mais ils s’imprègnent d’un discours anti-français à la fois victimaire (”nous sommes stigmatisés”) et conquérant (3). Le prochain article de ce blog développera ce thème

    Cela dit, il y a un côté positif dans tout cela, dans la politique dissimulée d’arabisation et d’islamisation de Mme Belkacem, selon une dialectique qu’Hegel ou Marx n’auraient pas reniée. En effet, la communautarisation croissante des populations issues de l’immigration extra-européenne, leur refus de s’intégrer, de s’assimiler, de se franciser, leur islamisation agressive en pleine progression surtout chez les jeunes, la métamorphose de vastes zones urbaines, le racisme et les violences anti-Blancs, voilà qui clarifie les choses. Parce que cela contribue à la désignation de l’ennemi, qui s’identifie lui-même. C’est paradoxalement bénéfique car cela peut ouvrir les yeux des Français et des Européens et leur faire comprendre qu’une guerre ethnique, dont le terrorisme islamique n’est qu’un aspect parmi d’autres, est en gestation ou plutôt a déjà commencée et qu’ils sont les agressés.

    1. Vincent Peillon, prédécesseur de NVB au ministère de l’Éducation nationale, idéologue islamo-gauchiste, avait déjà préconisé l’enseignement de l’arabe à l’école primaire.

    2. Le Front national aurait dû, le premier, monter au créneau contre cet enseignement de l’arabe. Il ne l’a pas fait. Ce ne sont pas les préoccupations de M. Philippot, qui commet là une erreur majeure

    3. Une minorité d’arabo-musulmans, à la fois très intégrés et assimilés, femmes et hommes, sont les plus actifs et les plus courageux contre l’islamisation. Mais ils ne sont pas représentatifs de la grande majorité de leurs coreligionnaires qui les rejette.

    http://fr.novopress.info/202062/najat-vallaud-belkacem-agent-de-larabisation-de-defrancisation-guillaume-faye/#more-202062