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France et politique française - Page 3612

  • 52% des Français favorables au rétablissement de la peine de mort

    C'est l'information donnée par La Monde. Floris de Bonneville commente ce sondage sur Boulevard Voltaire :

    "Il y apparaît que la peine de mort est souhaitée par 52 % d’entre nous ! Soit 15 points de plus que l’an dernier. Et cela, toutes sensibilités politiques et religieuses confondues. 

Mais quelles pourraient être les causes de ce basculement tout à fait inédit depuis des dizaines d’années, pour ne pas dire spectaculaire ? (...)

    Seule Marine Le Pen (encore elle) détonne sur la question de l’application de la peine capitale. Elle promet d’organiser un référendum proposant aux Français de choisir entre la peine de mort et la perpétuité réelle. Une peine de prison à vie, comme aux États-Unis où nombre de condamnés ont accumulé des centaines d’années de prison. L’assassin ne sortira de sa cellule que les pieds devant.

    On se demande d’ailleurs bien pourquoi la justice française a cette hypocrisie suprême de condamner un assassin à perpétuité pour le laisser sortir 22 ans après. Mais quel que puisse être le résultat d’un tel référendum, tant que la France est dépendante des instances européennes qui, il faut bien le dire, n’ont qu’une lointaine notion de la démocratie, elle ne pourra jamais être appliquée puisque la peine de mort est contraire au protocole du Conseil de l’Europe et à la charte des Nations unies sur les droits de l’homme.

    Souhaitons, tout de même, que pour les actes terroristes et les assassins violeurs d’enfants, la France puisse, un jour et très vite, appliquer cette perpétuité réelle (...)"

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    Mais que chacun se rassure, l'ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, est encore là pour rappeler à quel point l'Union Européenne est démocratique :

    "Le rétablissement de la peine de mort est tout simplement impossible pour un membre de l'UE. Le débat a été clos il y a longtemps. C'est une affaire réglée pour tous les membres"

    Ce qui a été rapidement confirmé par le président en titre, Jean-Claude Juncker :

    "L'abolition de la peine de mort est une condition et un préalable pour rejoindre l'UE et pour y demeurer"

    Philippe Carhon

  • La mouvance nationale et catholique réunie autour de Sainte Jeanne d’Arc

    Dimanche 10 mai, avait lieu à Paris le défilé annuel en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc organisé par l’institut Civitas. 

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    Cette année, des animations médiévales ont été prévues par les organisateurs. Des reconstitutions de combats médiévaux ont vu s’affronter des chevaliers en armure devant le regard ébloui des petits comme des grands. Outre l’allure festive à armes courtoises du tournoi, l’aspect pédagogique était mis en avant par la présence d’un maître d’armes qui se faisait un plaisir de satisfaire la curiosité des passants et des badauds qui désiraient s’informer sur les techniques de guerre et d’armement qui avaient cours lors de la guerre de cent ans, sous les chants du chœur Montjoie St Denis qui entonnait des chants en l’honneur de la pucelle d’Orléans.
  • Un centenaire dont la république n'est pas fière : l'impôt sur le revenu

    Parmi les multiples anniversaires de l'année qui s'achève, il en est un qui n'a fait aucun bruit — et pour cause ! — puisqu'il s'agissait de celui de la loi du 15 juillet 1914, par laquelle fit son apparition en France l'impôt sur le revenu ! En ces jours où les Français sont immanquablement portés, lorsqu'ils entendent parler d'impôt, à suivre l'exemple de Joseph Goebbels quand il entendait le mot "culture"..., mieux valait pour François Hollande et les socialistes actuels ne pas trop exalter les "trouvailles" de leurs ancêtres d'il y a un siècle...

    UN FOU NOMMÉ JOSEPH CAILLAUX

    J'ai remis ces jours-ci la main sur un livre paru en 1977 et intitulé La gestapo fiscale du talentueux pamphlétaire qui m'honorait de son amitié : André Figueras (1924-2002). On y apprend des choses époustouflantes sur Joseph Caillaux (1863-1944), "père" de cet impôt sur le revenu, qui, chaque année, empêche de dormir maints Français, quand il ne les condamne pas tout simplement au suicide... André Figueras ne mâchait pas ses mots : pour lui, cet impôt était « l'œuvre d'un fou », et notre auteur ne manquait pas d'anecdotes prouvant que le ministre des Finances d'il y a cent ans n'avait point tout son bon sens. Par exemple, il urinait dans la cheminée devant les convives ébahis du Cercle républicain, avenue de l'Opéra, comme le raconta André-Jean Godin, qui fut un temps vice-président de l'Assemblée nationale... D'autres témoins avaient rapporté à Figueras que Caillaux, chaque fois qu'il se rendait chez une certaine dame, en montant, urinait dans l'ascenseur... Puis il y avait cet extrait des Mémoires de Jules Moch, lequel, chargé par le président du Conseil d'aller au Sénat proposer une solution de compromis à Caillaux, s'entendit répondre par celui-ci : « Allez dire à Léon Blum que j'aimerais mieux m'arracher mille millions de fois les poils du c... que d'accepter ! » Cet homme hautement distingué était le mari de la célèbre Mme Caillaux, qui assassina avec préméditation à coups de revolver en mars 1914 le directeur du Figaro Gaston Calmette à qui elle reprochait d'avoir publié une lettre d'elle à son mari alors qu'elle n'était encore que sa maîtresse... Le scandale de l'acquittement de la meurtrière n'avait nullement conduit le ministre à se retirer. Il trouva même le moyen de se faire réélire aux élections législatives de 1914.

    Ce personnage plus que douteux « dont le visage serré avait quelque chose de maudit », réussit quand même « par un tour de passe-passe antinational, à faire voter cet impôt sur le revenu dont, jusqu'alors, les législateurs français avaient légitimement repoussé le projet » (Figueras). Jusqu'en 1908, il n'y avait point d'impôt sur le revenu et Caillaux lui-même, qui s'était illustré en 1907, par un projet consistant à remplacer les quatre impôts (les « quatre vieilles » : contribution foncière, contribution mobilière, patente, impôt sur les portes et fenêtres), créés pendant la période révolutionnaire, par un impôt progressif sur le revenu global, avait dû retirer son texte devant l'opposition du Sénat. « D'une façon générale, du reste, dit Figueras, il y avait infiniment moins d'impôts qu'aujourd'hui et la France était alors une grande et riche puissance. Et je pense pour ma part qu'il y a corrélation totale entre les deux choses ». Nous pensons évidemment de même.

    MALTHUSIANISME, DÉLATION, ARBITRAIRE...

    Car qui voulait alors ardemment cet impôt sur le revenu ? Laissons parler Figueras : « Les socialistes, ennemis éternels de la grandeur, de la gloire, de l'essor, de l'initiative et même de la victoire. Les socialistes, qui ont toujours contrecarré notre expansion coloniale. Les socialistes, qui pensent petit, haineux, médiocre, jaloux. Les socialistes, qui détestent tout ce qui est supérieur, qui ne rêvent que d'uniformité dans l'insignifiance. [...] L'impôt sur le revenu, c'est la toise imbécile, c'est le lit de Procuste qui veut mettre tout le monde à la même taille. Du reste ces imbéciles haineux ne cachent même pas leur programme : ils veulent que l'impôt soit un moyen de redistribution des revenus. Comme si cela était son rôle... »

    Or Caillaux profita de l'accélération de toute chose politique à rapproche de la guerre pour faire passer le 15 juillet 1914 son projet d'« impôt sur le revenu des personnes physiques », impôt déclaratif qui se fait par le biais d'une déclaration de revenus. Le ministre, « grand homme des hommes petits » (Figueras), créa du même coup « ces petits messieurs, socialistes ou non, que sont les inspecteurs des impôts, ces nigauds entichés de paroles, si contents d'eux-mêmes, si convaincus de leur infaillibilité, si impavides qu'ils trouvent légitime de s'arroger toutes les bonnes places » (Figueras).

    Et André Figueras concluait son chapitre par cette déclaration cinglante, à laquelle on ne peut guère ne pas souscrire douze ans après sa mort : « L'impôt sur le revenu, c'est l'injustice, c'est l'insécurité, c'est le malthusianisme, c'est la délation, c'est l'arbitraire, bref, c'est l'œuvre signée d'un fou. »

    HOLLANDE JUGÉ PAR PROUDHON

    Dans le même livre La gestapo fiscale, André Figueras, décidément bien inspiré, citait aussi le penseur de ce que l'on a appelé le socialisme libertaire et qui n'était pas si révolutionnaire qu'on l'a dit : Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865). Celui-ci rappelait, dans Théorie de l'impôt (1861), des principes de bon sens, telle la conception de l'impôt comme la quote-part à payer par chaque citoyen pour la dépense des services publics, fi en résultait que « ce que le pouvoir donne aux citoyens en services de toutes sortes doit être l'équivalent exact, de ce qu 'il leur demande soit en argent soit en travail ou en produits » autrement dit : « tout produit ou service doit, à peine de se liquider en perte, répondre à un besoin tel que celui qui éprouve le besoin consente à donner du produit un prix égal au moins à la dépense que ce produit colite. »

    Proudhon constatait que « le gouffre fiscal est plus profond, plus avide, qu'on ne l'avait vu au beau temps des monarchies et des aristocraties de droit divin ; c'est pourquoi la maxime : "faire rendre à l'impôt tout ce qu'il peut donner" est une maxime essentiellement moderne. Rigueur dans la perception, élévation des taxes au maximum de rendement, voilà la règle... » On croirait que Proudhon devinait déjà François Hollande et la gauche au pouvoir, lesquels augmentent les impôts sans tenir compte le moins du monde de l'intérêt du contribuable... Il en découle que déterminer le point juste auquel l'impôt donnera la plus grosse recette possible est une méthode perverse. Et Proudhon de continuer : « De même que l'on peut juger de la bonne tenue d'une maison de commerce et d'une entreprise industrielle par la modicité de ses frais généraux, de même on peut augurer favorablement de l'administration d'un État, de la capacité et de la sévérité de ses directeurs, de la liberté et de l'aisance des citoyens, par la médiocrité de l'impôt.» Nos hommes de gauche et même de droite d'aujourd'hui auraient tout intérêt à relire Proudhon au lieu de s'obstiner à le traiter d'anarchiste. Ils apprendraient de lui des règles de conduite utiles et bénéfiques à tous : « Pas un impôt dont on ne puisse dire qu'il est un empêchement â la production ! Et comme l'inégalité la plus criante est inséparable de toute fiscalité (attendu que toute contribution retombant sur la masse dégénère en une capitation), pas d'impôt dont on puisse dire encore qu'il est un auxiliaire du parasitisme contre le travail et la justice ! »

    POUR UNE RÉORGANISATION DU FISC... ET DE L'ÉTAT

    Charles Maurras, qui n'était pas un ennemi de Proudhon auquel il reprochait seulement de ne pas pousser jusqu'au bout son fédéralisme en le couronnant d'un pouvoir fort, pensait pour sa part en 1913 — donc un an avant que la loi fût votée —, que l'impôt sur le revenu frapperait surtout les classes moyennes, celles qui sont incorporées au sol, et qui ne pourraient lui échapper : « C'est sur la propriété immobilière, sur la moyenne et la petite propriété que tout retombera en dernière analyse. L'industrie et l'agriculture paieront c'est-à-dire, en France, la classe sociale qui est la plus étendue, la plus vigoureuse et qui a toujours fait l'orgueil et le renom du pays, celle qui ne se tient ni si haut ni si bas, celle dont la modestie conserve dignement tes importantes accumulations du passé et couve les précieuses réserves de l'avenir ! En frappant les classes moyennes, l'État français ferait un pas de plus dans la voie de son suicide » (Action française, 9 septembre 1913).

    Et à ceux qui lui disaient que cet impôt réaliserait la justice, Maurras répondait : « L'impôt est fait pour subvenir aux frais de l'État. Qu'il y subvienne avec justice, cela est naturel, normal et va de soi : tout dans l'État doit se poursuivre aussi justement que possible, la police, l'organisation militaire, le fisc et le reste... La justice n'est qu'une modalité générale, elle est commune au fisc et à mille choses. Elle n'en est pas, elle ne peut pas en être le but premier. »

    Il ne s'agit donc pas de se référer au principe de la justice en matière fiscale, car c'est l’utile qu'il faut considérer. L'utilité sociale et l'unité nationale exigent une contribution forte des citoyens, surtout des plus riches. « Reste à voir comment on l'aura. Moins prévoyant que l'ancien régime, moins fort aussi, moins respecté, l'État démocratique ne peut demander de "don gratuit" à de grandes collectivités possédantes, pour la bonne raison qu'à part très peu d'exceptions près, il ne les a pas laissées subsister. » L'impôt sur le revenu ne saurait donc être un moyen d'obtenir des particuliers ce qu'il eût été facile autrefois de réclamer du généreux patriotisme des grands corps (clergé, noblesse, hôpitaux...)

    Maurras poursuivait sa réflexion : « Le travail et le capital organisés, c'est-à-dire rassemblés en une série de corps d'État où la division en ordres se substituerait à la funeste divisions en classes, cela amènerait à la constitution de puissances collectives sur lesquelles l'État pourrait compter non seulement du point de vie militaire et civil, mais même du point de vue fiscal. On pourrait imposer, non les riches, mais les grands corps possédant de grandes richesses. Ces corps pourraient ensuite répartir dans leur sein les contributions. Dans un pays émietté, atomisé, individualisé comme le nôtre, taxer les riches, essayer de taxer la fortune acquise ne représente qu'une aventure chanceuse, aventure onéreuse et finalement décevante pour l'État qui va la courir. Au contraire, pour un pays organisé et distribué, un pays où l'Etat ferait des catégories de citoyens, catégories avouées et reconnues, cela eût signifié quelque chose. Le fisc de l'État français n'a devant lui que des individus et qui menacent tous de fuir entre ses doigts » (Action française, 20 août 1913).

    Le pire est que cette massification des individus, sans moyens de résistance et de réfrènement, est l'état normal de la démocratie, laquelle a besoin de cette masse inorganisée qu'elle laisse entre les mains de parasites et de pillards. Il manque à la France le roi, chef de famille attentif et dévoué, qui puisse gérer les richesses du pays avec sagesse, loin de toute idéologie.

     

    Michel FROMENTOUX. RIVAROL 20 NOVEMBRE 2014

  • Statistiques ethniques : 55% des Français y sont favorables

    Médias dominants et politiques ne cessent de souffler sur les braises de la polémique déclenchée par les révélations de Robert Ménard. Celui-ci fait part d’un pourcentage de 64,9% d’élèves musulmans dans sa ville. Au lieu de s’interroger sur ce chiffre alarmant, il est fait cas de l’emploi de statistiques ethniques.

    Il se pourrait, cependant, que l’opinion ne soit pas menée là où on voudrait qu’elle aille. En effet, si une partie des Français s’avère choquée (54%), 55% d’entre eux se montrent favorables à la constitution de statistiques ethniques.

    Selon un sondage Odoxa pour Itélé publié vendredi 8 mai, le clivage gauche-droite est très net.

    77% des sympathisants de gauche se disent choqués, 23% non. Au contraire, 68% des sympathisants de droite ne se disent pas choqués, contre 31% qui le sont. Au sein de ces sympathisants de droite, 22% des sympathisants du FN se disent choqués, contre 77% qui ne le sont pas. 1% ne se prononce pas.
    78% des sympathisants de droite favorables aux statistiques.

    Les interrogés sont également sondés “de manière générale” sur “la constitution de statistiques ethniques”. 55% des sondés sont favorables à cela “car mieux connaître la réalité est le meilleur moyen de lutter contre les discriminations”. 44% sont opposés “car il est choquant de tenir compte de l’origine ou de la race des gens lorsque l’on enregistre des statistiques sur eux”. 1% des sondés ne se prononce pas.

    Dans le détail, 35% des sympathisants de gauche sont favorables à de telles statistiques, contre 64% opposés. 78% des sympathisants de droite y sont favorables, contre 21% opposés. Au sein des sympathisants de droite, 91% des adhérents du FN sont favorables, contre 8% opposés.

    http://fr.novopress.info/

  • L’esclavage n’est pas une fatalité

    Le cadavre du communisme bouge encore: dans le cadre des commémorations du 8 mai 1945, dans trois villes du Val-de-Marne,  Villejuif, Champigny, et Villiers (les deux premières sont toujours aux mains du PC «F», la dernière a été conquise par l’UMP), les frontistes présents aux cérémonies ont été insultés, conspués par les permanents communistes dépêchés sur place, empêchés de déposer une gerbe. À Villejuif , celle du conseiller municipal FN Alexandre Gaborit, a carrément été jeté à la poubelle. Le très médiocre et haineux Pierre Garzon, secrétaire de la section communiste de cette municipalité, a osé déclarer au Parisien que «Beaucoup de personnes présentes ont été très choquées par ce dépôt de gerbe (du FN, NDLR), en particulier la fille et sœur de deux fusillés, qui a fondu en larmes » (sic). Pour le sans-culotte Garzon plus c’est gros et con…venu,  plus ça passe? D’une cérémonie l’autre,  se déroulait hier dans la ville du grand écrivain populaire Alexandre Dumas, à Villers-Cotterêts, (Aisne),  la cérémonie de la Journée nationale de l’esclavage, de la traite et de leurs abolitions. Le maire FN,  Franck Briffaut, refusant par principe la compétition victimaire et mémorielle, l’«auto-culpabilisation permanente », n’a pas pris part comme l’année dernière à cette cérémonie. Il a cependant  honoré la mémoire du père de l’écrivain, le général Dumas, le 4 février dernier, jour anniversaire du premier décret de l’abolition de l’esclavage (4 février 1794).

    Cette année encore,  un «Collectif de lutte contre l’extrême droite» cornaqué par l’extrême gauche a voulu utiliser cette cérémonie du 10 mai pour organiser contre la municipalité FN «une marche contre le racisme», laquelle, de l’aveu même de la presse locale,  a été un gros bide ne rassemblant que …80 personnes. La commémoration proprement dite au pied de la statue du général Dumas, organisée par l’association des amis du général Dumas, présidée par l’écrivain Claude Ribbe,  a réuni une petite centaine de personnes. Les militants antinationaux présents –Jean-Claude Monnier, de  l’association (coquille vide)  Philopolis et du Front de Gauche,  Olivier Spinelli, de la Ligue des droits de l’homme , Jacques Krabal, député PRG de l’Aisne qui a éructé contre «ce parti qui nie l’esclavage et la Shoah  » – ont donc été eux aussi tout autant snobés par les habitants de la ville.

    Invité à cette commémoration par M. Ribbe, le militant antillais Josse Rovélas a exigé,  sur la même ligne que le  tout aussi communautariste Louis-Georges Tin, président  du Cran, ou encore du militant indépendantiste ami de Christiane Taubira, Elie Domota, chef du LKP et de  l’UGTG (Union générale des travailleurs de Guadeloupe), des réparations financières de l’Etat français pour les descendants d’esclaves.  

    Ce à quoi s’est de nouveau opposé François Hollande hier à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe ) au cours d’un discours  bien  terne et  pompeux,   placé comme il se doit sous le signe de la lutte contre le racisme. Une allocution prononcée à l’occasion de l’inauguration,  dans le quartier difficile du Carénage,  du plus grand mémorial existant sur l’esclavage,  le Mémorial ACTe, ou «Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage ». Une fois n’est pas coutume, nous ne pouvons que partager les critiques d’Elie Domota sur le coût de celui-ci,   83 millions d’euros -dont 37 financés par le conseil régional- qui ont  été déboursés  par les contribuables français  pour la réalisation de ce Mémorial,   alors que nos compatriotes antillais  sont frappés eux aussi par de très nombreuses difficultés sociales  et économiques.

    Pendant  qu’à Brest une sculpture baptisée Mémoires était inaugurée, Nantes vient donc de perdre donc au profit de Pointe-à-Pitre  son statut de capitale française de l’abolition de l’esclavage. Le Mémorial nantais sur ce thème avait été  ouvert  en  mars 2012 en présence de Christiane Taubira, hier aux côtés de François Hollande, et de Jean-Marc Ayrault. Hier le maire PS de la Ville, Johanna Rolland,  avait invité pour cette cérémonie du 10 mai Angela Davis,  militante historique du combat pour les droits civiques aux Etats-Unis dans les années 70.

    Mme Rolland n’a pas rappelé l’opposition virulente de cette américaine à la loi interdisant le voile islamique dans l’espace public en France. Ni son pédigrée complet. Prof de philo marxiste-léniniste, féministe, membre des Black Panthers, Angela Davis fut aussi la dirigeante du Parti communiste des États-Unis -candidate à la vice-présidence des États-Unis en 1980 et 1984 sous cette étiquette-  et comme telle, bénéficia du soutien de Moscou et de ses satellites avant la chute de l’URSS.  Mme Davis certes, n’a pas réussi hier à susciter l’intérêt des Nantais qui n’étaient moins de trois cents à avoir fait le déplacement pour l’entendre… et profiter des animations gratuites.

    Autrement plus écouté sous nos latitudes, l’homme de gauche, historien, sociologue et essayiste Emmanuel  Todd fut lui aussi (brièvement) membre des Jeunesses communistes et du Parti communiste «français». Il défraye pour sa part la chronique pour son opposition sans cesse grandissante à un PS qui affirme-t-il , a tout trahi, tout vendu, tout lâché comme il l’écrit de nouveau dans son dernier livre «Qui est Charlie». Un opus qui a agite le tremblotant Manuel Valls. Après s’en  être pris à une autre figure de la gauche, le philosophe Michel Onfray, le Premier ministre a longuement dénoncé  l’essai de M. Todd dans une tribune publiée jeudi dans Le Monde. Au vu de  la situation actuelle de la France, M. Valls n’a t-il pas mieux à faire que d’ordonner à un de ses collaborateurs de pondre une tribune signée de son  nom pour fustiger  un livre qu’à l’instar de  Fleur Pellerin il  n’a certainement pas lu ?

    Félicitons-nous pour notre part de la lucidité (en partie)  retrouvée d’un intellectuel, incontestablement brillant, comme M. Todd, dont nous ne partageons pas pour autant, souligne Bruno Gollnisch, très loin s’en faut, toutes les vues, les analyses, voire les obsessions. M Todd qui vota oui au référendum sur la constitution européenne de 2005, s’était aussi décrédibilisé avec son concept de «hollandisme révolutionnaire» au nom duquel il avait appelé à voter pour le candidat du PS à la présidentielle de 2012.

     Pour autant ne boudons pas notre plaisir: ses critiques charpentées  sur la faillite de l’euro, l’Europe bruxelloise, les Etats-Unis, l’atlantisme, la social-démocratie UMPS vont incontestablement dans le bon sens.  Celui de la liquidation de ce Système qui conduit  notre peuple à un  esclavage sans cesse accru. 

    http://gollnisch.com/2015/05/11/lesclavage-nest-pas-une-fatalite/

  • Christiane Taubira se compare à Roger Salengro… Et pourquoi pas à Casimir ?

    Roger Salengro, avec Léon Blum et la CGT d’alors, fut l’un des premiers à promouvoir la préférence nationale à l’embauche, précédant en cela le Front national d’au moins quatre décennies.

    On ne sait trop à quoi carbure le garde des Sceaux Christiane Taubira ; mais ça doit sûrement être du lourd, de la weed guyanaise génétiquement modifiée ou du rhum local customisé. Car voilà que l’intouchable idole de la gauche enclenche la surmultipliée : « Ils n’auront pas mon suicide ! » Et la donzelle de comparer son sort à celui de Roger Salengro…

    Au fait, qui est Roger Salengro ? Tout simplement un ministre de l’Intérieur socialiste, ayant officié lors du Front populaire en 1936. Pas de chance pour lui, une rumeur prétend qu’il aurait un peu déserté durant la Grande Guerre ; fait qui ne fut jamais véritablement avéré ou infirmé. Nonobstant, il n’en faut guère plus à la presse de l’époque – tout aussi teigneuse des deux bords de l’échiquier politique – pour lancer de vigoureuses campagnes contre le ministre en question. En la matière, les journaux de droite et d’extrême droite sont évidemment en première ligne, mais leurs homologues communistes ne laissent pas non plus leur part au chat.

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  • Les Français lassés par les "valeurs républicaines"

    Selon un sondage Ifop pour Atlantico, pour deux tiers des Français (65%) les termes "républiuqe" et "valeurs républicaines" ne parlent plus vraiment car ils ont été trop utilisés et ont perdu de leur force et de leur signification. Jérôme Fourquet de l'Ifop apporte quelques explications :

    "Il n’y a qu’un tiers des Français (...) qui se déclare encore sensibles à ces termes quand les politique les emploient, et qui possède une fibre républicaine très développée (...) Dans les deux grandes familles politiques aujourd’hui, il y a environ une personne sur deux qui est assez peu sensible à l’usage de ces termes par les politique, et inversement une autre moitié qui garde toujours la fibre républicaine bien chevillée au corps. C’est intéressant parce que l’UMP comme le PS emploient ces termes, or chacun dans leur camp ne touche que la moitié des sympathisants (...)

    70% [d'insensibilité] au Front national : là on est sur un vrai écart. Au FN, cela peut s’expliquer par le fait que dans cet électorat, quand on entend parler de « République », c’est souvent pour dénigrer ou disqualifier le parti dont on se sent proche, avec par exemple le fameux « front républicain » qui est régulièrement mis en pratique contre le FN dans les élections, ou bien la non-invitation de Marine Le Pen à la « marche républicaine du 11 janvier » car elle est considérée comme hors du cercle républicain. On pourrait multiplier les exemples, notamment avec les déclarations de Valls, du déni de brevet de républicanisme accordé au Front. Cela peut expliquer pourquoi une large majorité d’électeurs frontistes, quand ils entendent ce terme, se montrent insensibles (...)

    Commenatires de Vincent Tournier, maître de conférence de science politique à l’Institut d’études politiques de Grenoble :

    "Ce résultat s’explique d’abord par le manque de crédibilité de la parole politique. Les électeurs sont devenus très méfiants. Il faut donc s’attendre à ce qu’ils soient encore plus sceptiques lorsque les responsables politiques font appel aux grands principes.

    Mais il faut aussi tenir compte du fait que, au fil du temps, le terme de République a perdu de sa substance. Que signifie-t-il aujourd’hui ? Qui est en mesure de dire aujourd’hui à quoi correspondent les valeurs républicaines ? Les notions sont assez floues. Cela tient notamment au fait qu’il n’y a plus de conflit sur la nature républicaine des institutions. La République est devenue une notion consensuelle : tout le monde ou presque est républicain, que ce soit à gauche ou à droite."

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Jeux olympiques ou l’Exposition universelle ? (article paru dans L’Action Française 2000, 07 mai 2015)

    Alors que s’ouvre ces jours-ci à Milan l’exposition universelle, à l’organisation de laquelle la France est candidate pour l’édition de 2025, le Conseil municipal de Paris vient également de donner son feu vert pour tenter d’accueillir les Jeux olympiques de 2024.

     

    Le contexte actuel « plaide en faveur d’une nouvelle ambition territoriale à rayonnement mondial. La France a besoin d’un grand projet qui confirme sa vocation dans la mondialisation, fixe ses axes de croissance et stimule son attractivité. L’organisation d’une exposition universelle en 2025 concrétiserait cette ambition. » Quoique très convenue et assez insipide, cette déclaration d’intention signée Jean-Christophe Fromantin (président d’ExpoFrance 2025) résume assez bien le double enjeu, économique et anthropologique, porté par ce type d’événement. L’aspect économique de ces projets est le principal argument avancé par leurs promoteurs – mais aussi par leurs détracteurs. Un peu d’empirisme s’impose. Le budget prévisionnel d’ExpoFrance 2025, qui s’élève à 3 milliards d’euros, est un présenté sans sollicitation de fonds publics. L’idée est d’en faire ce que nous oserons nommer un event funding, c’est-à-dire une participation au capital des entreprises impliquées plutôt qu’un contrat classique organisateurs-exposants. L’Exposition est en effet une vitrine pour les entreprises, une sorte de salon professionnel de plusieurs mois avec un rayonnement mondial. De quoi générer de l’activité pour plusieurs années, à l’image de Gustave Eiffel qui avait engrangé plusieurs commandes après l’Exposition de 1889.

    Les chiffres sont têtus

    Historiquement, il semble que bon nombre d’expositions se soient soldées par un bénéfice, même s’il faut préciser que celle de 1900 a été un déboire financier pour beaucoup de Parisiens qui y avaient souscrit financièrement, ou encore rappeler la faillite de l’organisateur à la Nouvelle-Orléans en 1984, faute de visiteurs en nombre suffisant. Du côté des Jeux olympiques, le budget prévisionnel affiche 4 milliards d’euros. C’est bien peu crédible, quand on sait que les derniers JO ont coûté aux Anglais 11 milliards et que ceux d’Albertville (JO d’hiver, beaucoup moins lourds à organiser) avaient déjà coûté 1,2 milliards en 1992 (hors inflation), soit deux fois plus que l’estimation initiale. À Athènes (2004), les 9 milliards d’euros de budget final (5 % de la richesse du pays) ne sont sans doute pas pour rien dans la situation des finances publiques grecques. Comment croire que la France, championne hors pair des déficits, soit capable d’organiser des Jeux d’une telle sobriété budgétaire ? Surtout dans une zone compliquée comme Paris en raison de sa densité urbaine… Il convient, enfin, d’ajouter qu’à Londres comme à Athènes, l’élan touristique annoncé n’a pas eu lieu. Sotchi est quasiment devenue une ville fantôme, et partout les JO ont entraîné une baisse de la fréquentation touristique (tourisme olympique contre tourisme classique). Tout ceci explique sans doute pourquoi la ville de Toronto a finalement renoncé à une candidature à l’organisation des JO pour des raisons budgétaires… mais pas à l’Exposition universelle.

    Du coca et des jeux

    Au-delà des aspects économiques, qui plaident sans appel en faveur de l’Exposition, il ne faut pas négliger la portée symbolique, voire philosophique, de ces événements. Risquons l’anachronisme en retournant à Maurras qui abordait les premiers JO modernes avec scepticisme : « Ce mélange de peuples risquait, à mon sens, d’aboutir non point à un intelligent et raisonnable classement des nations modernes, mais aux pires désordres du cosmopolitisme. » Mais sur place, il reconnaissait que « bien loin d’étouffer les passions patriotiques, tout ce faux cosmopolitisme du Stade ne fait que les exaspérer ». Les JO furent donc, pour Maurras, une agréable surprise. À l’inverse, le Martégal comptait parmi les opposants à l’érection de la tour Eiffel. La tradition étant critique, nous nous félicitons, au contraire, de l’invitation à l’excellence nationale que représente l’Exposition pour nos entreprises, alors que les JO sont devenus, à notre sens, tout ce que Maurras aurait pu détester dans les expositions : le symbole du capitalisme dans ce qu’il a de plus vil, le culte de la performance absolue et l’utopie d’un monde uniformisé, de l’homo festivus dans un monde sans joie. Fait hautement symbolique, on vit ainsi Mittal lui-même porter la flamme olympique des JO de Londres. Mais si Londres a convoqué Mittal, ExpoFrance 2025 aura pour délégué interministériel Pascal Lamy, ancien dirigeant de l’OMC, avec la bénédiction de Fromantin.

    Dans l’esprit du maire de Neuilly, l’Exposition doit toutefois permettre de recréer un lien entre les Français et leur culture, bref, les ré-enraciner pour mieux leur faire redécouvrir leur vocation universelle : remettre l’économie et le progrès au service d’hommes enracinés dans leur territoire et leur culture, si l’on lit entre les lignes. Le fait que le projet ne soit pas limité au Grand Paris, mais soit étendu aux métropoles régionales, est encore un avantage face au parisianisme assumé des JO. Peut-être la capacité de subversion des événements par l’idéologie nihiliste aura-t-elle raison de cette ambition (l’évolution de la fête des Lumières à Lyon, par exemple, laisse songeur). Du reste, le pape François a prévenu : « D’une certaine façon, l’Expo elle-même fait partie de ce paradoxe de l’abondance, elle obéit à la culture du jetable et ne contribue pas au modèle du développement durable et équitable. » Gageons que l’implication d’un député empreint de christianisme et de bon sens (voir ses récentes déclarations sur la décentralisation, par exemple) nous en garde ; nous payons pour voir.

    Organiser l’expo, gagner les JO

    Alors, JO ou expo, pourquoi pas les deux ? Tout simplement parce que l’Exposition apparaît comme une véritable opportunité (ce qu’il faudra démontrer), avec les risques inhérents à tout projet d’une telle envergure, quand les JO se révèlent être une contrainte et un luxe qui ne nous est aujourd’hui pas permis. Cela ne nous empêchera pas de le regretter, et surtout de souhaiter que les Français brillent dans leur discipline, où que se déroulent les Jeux. Car contrairement à l’Exposition universelle, cette forme persistante de patriotisme qui accompagne malgré tout le sport, et qui frappait Maurras, demeure susceptible d’apporter au peuple français un peu d’enthousiasme, de fierté et de confiance en lui ; tout ce que la classe politique est aujourd’hui incapable de lui offrir, quand elle ne le lui retire pas.

    Pierre Marchand

    Action Française 2000

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Jeux-olympiques-ou-l

  • Taubira brandit la menace d’une guerre raciale

    C’est ce que l’on peut comprendre en lisant le ministre de la « Justice », qui se lâche dans un entretien au Figaro :

    Le monde n’est pas à eux [« les racistes»]. Les enfants qui me ressemblent ont toute légitimité au monde. Il faudra qu’ils s’y habituent. La lucidité les conduira à voir que les gens qui me ressemblent sont plus nombreux. Et qu’il vaut mieux ne pas trop défier ce monde-là», avertit la locataire de la place Vendôme.

    Comment sait-elle qu’ils sont nombreux ? A-t-elle, elle, des statistiques raciales ?

    taubira

    http://www.contre-info.com/

  • Le vocabulaire franco-socialiste : le plus dangereux d’Europe – par NOBELINE

    Apartheid – Ghetto sont venus s’ajouter, récemment, aux éternelles - Discrimination – Victimisation.

    La liste employée est longue chez ces gens-là donneurs des leçons de morale. Ne viennent-ils pas de réinventer la mixité sociale ?

    Si nous leur rappelions la réalité ?

    Dans les programmes de construction de grands ensembles d’il y a quarante-cinquante ans, on compte un certain nombre de logements dits sociaux, gérés par les mairies ou les offices de HLM, les autres étant la propriété des promoteurs de ces monumentales et, parfois, hideuses cités.

    Qui achetait et qui louait ?

    -Il y avait ceux qui acquéraient pour en retirer un revenu locatif.

    -Beaucoup de Français de souche européenne (nous les nommerons, ici, FSE) se sont endettés, souvent, pour acquérir leur résidence principale. Ils devenaient propriétaires d’un appartement hypothéqué par les organismes bancaires. C’est à l’époque de Giscard que les premiers prêts conventionnés ont été créés pour inciter les citadins à migrer en milieu rural, souvenez-vous.

    -Et il y avait ceux qui n’avaient pas les moyens d’acheter mais pouvaient obtenir, par les municipalités, un logement en location à prix honnête, plus confortable que ceux dans lesquels ils vivaient, souvent à l’étroit et dans des cadres pas si odieux que cela, avec parc ou jardin d’enfants, desservi par des transports en communs, proches des écoles et des commerces, etc…

    Cela faisait le bonheur de tout le monde tout en permettant de désengorger les villes et les FSE, locataires et propriétaires, vivaient en bonne intelligence.

    Mais voilà que la politique du regroupement familial des mêmes Giscard et Chirac change la donne.

    Il faut loger les milliers de familles immigrées venues rejoindre le père ou le frère ou le grand père venues des pays d’Afrique subsaharienne ou du Nord. (Nous les nommerons FSA et FSNA, ici).

    Que s’est-il passé dès lors que les portes de ces cités radieuses leur ont été ouvertes ? Ils se sont regroupés en fonction de leur pays d’origine, de leur culture, voire même, de leurs villages ou de leurs clans familiaux, aidés en cela par nos services sociaux  et associations de gauche qui voyaient, là, une manière d’apaiser l’éloignement du pays. Il est bien connu que lorsque une famille FSA ou FSNA arrive dans un quartier, un bâtiment ou un village, dix tentent de les rejoindre jusqu’à obtenir leurs places aux côtés des premiers arrivés.

    Sauf que… Réunis, ils ont continué à vivre comme dans les douars ou les villages africains, imposant aux FSE leurs us et coutumes, leurs familles nombreuses et tout ce qui va avec.

    Peu à peu, les FSE ont déserté ces cités et ont été, systématiquement, remplacés par les FSA et FSNA toujours demandeurs, qui y trouvaient leur compte. Et nos cités radieuses se sont vite transformées en cités de la joie… façon Calcutta, hideuses à souhait.

    Aujourd’hui, Valls parle d’apartheid. Il est fou. Nous ne les avons jamais regroupés ni maintenus à part. Ils se sont installés, mixés, volontairement et ils ont, eux-mêmes, créé leurs ghettos. Alors, quand nous l’entendons parler de la mixité sociale à recréer, ça peut faire rire certains ou faire froid dans le dos des FSE en demande de logement social.

    Quant à croire et faire accroire qu’ils sont défavorisés, discriminés parce que réunis dans ces cités, il y a une énorme mauvaise foi patentée de la part de ces politiques puisque ce sont ces immigrés, eux-mêmes, qui l’ont voulu ainsi.

    Les FSE ne font plus, depuis longtemps, des familles nombreuses. Dans leur culture, deux ou trois enfants sont le maximum qu’elles puissent élever décemment… et encore !

    A l’inverse, les familles FSA et FSNA ne connaissent que peu ou pas la contraception que ce soit par conviction religieuse ou non. Elles forment, en moyenne, des familles comptant six enfants voire plus.

    Il en est résulté une surpopulation dans ces cités où la jeunesse grouille d’ennui dès que la scolarisation n’est plus obligatoire. Et quand des jeunes s’ennuient, ils font n’importe quoi.

    On l’a pu constater, dans les cités périphériques des villes de France, cela va du trafic de drogue au commerce des armes en passant par les vols à l’arraché ou les vols par effraction jusques et y compris les assassinats et autres règlements de comptes que la France connait depuis quelques années.

    Il est évident que, aujourd’hui, dans ces cités, les gens vivent mal. Le sentiment de victimisation que les bienpensants leur ont inculqué en a fait des rebelles repliés dans des zones incontrôlables appelées, aussi, zones de non droit. La situation internationale ne faisant rien à l’affaire, les apprentis terroristes s’y sont multipliés là où les recruteurs rencontrent un terreau fertile.

    Ceci est la réalité. Alors, qu’espère donc obtenir notre gouvernement de gauche en prônant le retour à la mixité sociale, sauf à dépenser plus d’argent que la France n’en a les moyens ?

    Aucun FSE, fut-il le plus pauvre, n’acceptera d’élever ses enfants dans des cités - même neuves - qui deviendront, en très-très peu de temps, des poubelles, ce qu’elles sont aujourd’hui.

    Nombre de familles FSA et FSNA ne veulent rien entendre, non plus. Elles se sont assimilées et ne veulent, pour rien au monde, mélanger leur progéniture à ceux-là. Elles n’ont pas tort, on ne les protège jamais assez.

    Mais alors, exiger de construire de nouveaux logements sociaux, les imposer à d’autres villes, d’autres endroits, sous peine d’amendes comme ils le préconisent, ne pourra jamais être la solution. On voit bien, d’ici, ce que donnerait un tel programme. Refouler plus loin, encore, les FSE et les familles assimilées qui fuiront ces quartiers, ces villages et nombre de demandeurs de logements sociaux, FSE ou autres, qui refuseront de cohabiter avec les familles FSA et FSNA fortes de l’exemple qui leur est, tous les jours, démontré.

    Le résultat est que ce programme, souhaité par la gauche au pouvoir, ne fera qu’étendre les zones de non droits au lieu de les faire disparaître.

    Nous ne sommes pas en face d’un problème social mais, bien, d’un problème crucial qui est d’ordre culturel et cultuel.

    Et il perdurera tant que la gauche continuera de refuser d’admettre qu’un FSA ou un FSNA n’est pas un occidental et qu’ils refusent, dans leur grande majorité, de s’intégrer ou de s’assimiler.

    La question à se poser est : Faudra-t-il un jour, séparer les villes d’immigrés des villes de FSE comme elles existaient, plus ou moins, dans les anciennes colonies françaises ?

    C’est, pourtant, ce qui existe depuis plus de trente ans mais les gens de gauche et les bienpensants ne veulent pas le voir. Dans toutes les villes françaises, nous avons les cités en majorité maghrébines et africaines ou ce qu’on appelle, les quartiers arabes. Des endroits où, seuls, de rares FSE cohabitent avec eux. Sauf que le grand banditisme et le terrorisme y sont en développement constant. Ajoutez à cela qu’ils y règnent en petits caïds et que, du simple commerçant FSE aux forces de l’ordre, interdiction leur est faite de s’installer ou s’approcher de « chez eux » sous peine de graves sévices.

    Aucun de nos présidents antérieurs et, encore bien moins, ce dernier en exercice, n’a cherché à faire comprendre à ces immigrés qu’ils n’étaient pas des citoyens exceptionnels. Au contraire, ils ont fait preuve d’un laxisme et d’une lâcheté (politique avec les pays arabes, oblige) envers leur incivisme et, même, leurs crimes qui les a confortés dans le sentiment qu’ils étaient intouchables.

    Face à cet état de fait, il faut chercher à résoudre le problème avant que nous ne soyons totalement submergés.

    La République, une et indivisible, est la seule solution au problème. Qu’ils vivent entre eux, si ça leur plait mais en respectant les Lois de la République Française. Tant qu’il y aura deux poids deux mesures qui séparent bien plus ces communautés des Français républicains que la mixité sociale, nous ne pourrons jamais vivre ensemble. Parce que La Loi doit s’appliquer à tous ceux qui vivent en France.

    Alors, que restait-il à ces politiques, de leur esprit du 11 janvier, guignolesque à souhait, pour se maintenir à flot ?

    On savait qu’il y avait une manipulation flagrante de leur part et que leur retournement de veste allait s’opérer rapidement. Mais le scrutin à venir les a obligés à se dévoiler plus vite, encore. Après ces  crimes racistes que les Français ont vécus et la pantalonnade socialo du 11 janvier, il  leur fallait récupérer les voix potentielles de ces communautés pour éviter la débâcle amorcée et celle de la droite, aussi.

    Que pouvaient-ils offrir, en échange, à ces électeurs-là ? Des paroles… oui, ils n’en manquent pas. Mais il fallait des (projets d’) actes pour essayer de convaincre les zonards et autres immigrés de leur faire confiance. Comme ils ne sont jamais à court de mensonges, Hollande et Valls, pour ne nommer qu’eux, ont pondu la mirifique mixité sociale à venir après avoir dénoncé un apartheid sorti de leur esprit mythomaniaque et les ghettos devenus, pour l’occasion, musulmans.

    Ce qui est infiniment plus grave et doit nous faire réagir rapidement c’est qu’ils sont bien capables de mettre  leur projet à exécution ; ils ont encore deux ans pour le faire. Il en résulterait l’extension des zones de non droit dans nos villes et nos villages, surprotégées comme ils le sont aujourd’hui, par une ministre de la Justice, garde des Sceaux faisant preuve d’une affection particulière pour les rebelles et autres indépendantistes antifrançais.

    Français, FSE ! Il n’y a plus une minute à perdre. Si nous voulons sauver notre République, si nous voulons sauver la France, votons vite et bien à toutes les élections,  à commencer (ou à continuer) par les Régionales de décembre prochain.

    http://www.francepresseinfos.com/2015/04/le-vocabulaire-franco-socialiste-le.html#more