
Le contraste a de quoi saisir. Les États-Unis suspendent temporairement les octrois de visas aux habitants de la bande de Gaza. La France, elle, octroyait en juillet le statut de réfugiés à... tous les Palestiniens !
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C’est un Vladimir Poutine victorieux qui, sur tapis rouge, a été accueilli hier à Anchorage (Alaska) par Donald Trump. Le rapprochement des deux parias est un échec pour l’Europe absente et singulièrement pour la France. Le président américain n’a certes pas obtenu le cessez-le feu immédiat qu’il espérait en Ukraine. Mais c’est bien la défaite militaire et politique de Volodymyr Zelinsky, reçu lundi prochain à la Maison Blanche, qui a été actée. La faute d’Emmanuel Macron aura été de se tromper d’ennemi. Renonçant à son possible rôle d’arbitre entre l’Ukraine et la Russie, il a préféré la confrontation guerrière avec Poutine.
Saïd Ouichou, figure médicale marseillaise qui souhaite peser sur la campagne municipale de 2026, a reçu un SMS intimidant de la part du député LFI sur fond de querelle d’affichage électoral.
Claude Bourrinet
Source: https://www.facebook.com/profile.php?id=100002364487528
Je reprends, comme titre de cette réflexion politique, le fameux intitulé d'un essai de combat de Lénine, programme organisationnel destiné à former un parti fort et soudé, titre lui-même inspiré de celui d'un roman de Nikolaï Tchernychevski, paru en 1863. Tchernychevski était membre des Narodniki, « ceux du peuple », autant dire « populistes » (le mot vient de Russie), adeptes d'un socialisme fondé sur le Mir (unités paysannes communautaires), et ayant versé dans le terrorisme, le nihilisme.
Depuis une petite semaine, la municipalité communiste de Noisy-le-Sec occupe le devant de la scène médiatique, entre les bouffées de chaleur d’un été torride et la rencontre en Alaska d’un Russe qui tire son épingle du jeu et d’un Américain qui a juré de finir de se payer la vieille Europe, qu’il vient d’ailleurs de rançonner. Imaginez-vous qu’un « petit groupe de quartier » (je vous rassure, ce ne sont pas des paroissiens de Saint-Nicolas-du-Chardonnet), composé de trois ou quatre péquins, a menacé de casser tout le matériel de projection cinématographique de la ville si Barbie, le film de Greta Gerwig, financé par Mattel – le fabricant des poupées Barbie qui inondent le monde, qu’il s’agisse de la version Barbie portant le voile islamique ou de la poupée handicapée ou estropiée – était diffusé en plein air sur grand écran. Comme le souhaitait une majorité d’habitants de la ville, en grande partie peuplée de Maghrébins.
Il faudra que Trump leur explique que c’est Poutine qui a gagné cette guerre.
Ils se croient tous encore en 1990, quand l’URSS était exsangue. Ils n’ont toujours pas réalisé qu’en 25 ans, Poutine a reconstruit non seulement son armée, mais tout son pays, le nettoyant des crapules sans foi ni loi qui l’avaient mis en coupe réglée après la chute du Mur.
Ce groupe, où se trouvaient probablement des mineurs, a tenté de faire démarrer le bus sans y parvenir car il faut actionner plusieurs boutons. La porte avant du véhicule était également ouverte ce qui empêche le bus de circuler. Les voleurs se sont alors transformés en casseurs en s’en prenant à l’intégrité du véhicule. Ils ont détérioré le valideur, brisé plusieurs vitres, dégradé le portillon situé côté conducteur ainsi que les caméras des rétroviseurs.