
18/10/2023
Le 15 juillet 2010, le Consulat général de France, le CNOUS (Centre national des œuvres universitaires et scolaires) et l’Université islamique de Gaza concluaient un accord pour financer des bourses d’études à ses étudiants :
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18/10/2023
Le 15 juillet 2010, le Consulat général de France, le CNOUS (Centre national des œuvres universitaires et scolaires) et l’Université islamique de Gaza concluaient un accord pour financer des bourses d’études à ses étudiants :
De François-Xavier Bellamy dans Le Figaro :
Il y a quelque chose de pire que l’horreur : c’est la répétition de l’horreur. Quelque chose de pire que la terreur : c’est l’habitude. Un professeur a été tué, dans son lycée, au cri de Allah Akbar. Et le rituel reprend, déjà familier : indignations politiques, condamnations de circonstance, « crime odieux », « valeurs de la République », micros tendus, la détresse des collègues, les yeux rougis des élèves, détails de l’enquête, déplacement des autorités, « dire le soutien de la Nation », « restons unis et debout », marches blanches, minutes de silence… Combien de fois faudra-t-il subir cette répétition ?
Jeanne Smits donnera le 19 octobre à 19 h une conférence au Centre Charlier (70 bd St Germain 75005 Paris) sur le thème : Avortement, euthanasie, démographie : les pandémies cachées. Elle explique les raisons de ce sujet dans la vidéo ci-dessous :
En effet, l’association écologiste Les Ami.es de la Bourges milite contre depuis 2018, excipant de la sauvegarde du Réséda de Jacquin, plante qui serait mise en danger par l’édifice en question. Depuis, les deux parties se regardent en chiens de faïence et il fallait bien qu’à un moment ou à un autre, la confrontation, jusqu’alors pacifique, devienne affrontement tout court. Ce qui est arrivé ce lundi 16 octobre.
Un communiqué d'Eric Zemmour :
Les Parents Vigilants remportent la victoire de plus 3 500 sièges aux élections de parents d’élèves qui se sont tenues les 13 et 14 octobre, à l’heure où l’école a plus que jamais besoin de nous !
Le jour où l’école était frappée par le djihad, de nombreux parents ont pu choisir de protéger leurs enfants.
Jean Chichizola
« Il faut tuer les professeurs. » La formule n’est pas de Mohammed Mogouchkov en garde à vue. Elle est vieille de 8 ans déjà. En décembre 2015, le magazine de l’État islamique en langue française Dar al-Islam (« la demeure de l’Islam ») désigne l’école de la République et ses professeurs comme une cible légitime. Or Dar al-Islam, que consultait par exemple en 2016 Mohamed Lamine Aberouz, condamné la semaine dernière à la réclusion criminelle à perpétuité pour l’attentat de Magnanville, avait deux objectifs : assurer la propagande de Daech et, surtout, séduire et recruter de nouveaux fidèles en France et dans les autres pays francophones.
Le billet de Patrick Parment
La droite est dans la panade. Mais de quelle droite parle-t-on ? Des Républicains en particulier, car nous excluons les centristes dont le cœur balance toujours de droite à gauche et vice-versa. Il n’y a pas d’idées chez les centristes, mais des postures au gré de leurs intérêts électoraux. C’est, pour faire un mot, la France frileuse (1). Ce n’est donc pas de ce côté de la barrière politique qu’il faut chercher des solutions. Pas plus d’ailleurs que du côté du Rassemblement national, tant Marine le Pen a vitrifié l’héritage de son père. Reste que le RN demeure un « gueuloir » pour les populations en souffrance et qu’il a su, il faut le reconnaître, capter les voix de ce peuple de gauche qui ne se reconnaît plus dans ce qui hier encore était la gauche. Mais aussi les voix d’ex-RPR-UMP, largement fait cocus par un certain Chirac.
Je dois admettre que dans mes efforts pour analyser et disséquer les idéologies et les agendas de l’extrême-gauche/globaliste, j’en suis arrivé à un point où je suis autant fasciné qu’horrifié. Considérons un instant le récit progressiste “intersectionnel” que nous appelons souvent “woke” : Il ne s’agit pas d’un mouvement militant, car les femmes jouissent déjà de droits égaux en vertu de la loi. Il s’agit en partie d’un mouvement politique, mais leurs objectifs vont bien au-delà de la nomination de candidats au gouvernement – une grande partie du gouvernement est déjà de leur côté. Ils prétendent s’opposer au “capitalisme” et au pouvoir des entreprises, mais leur mouvement est principalement financé par les élites financières qu’ils disent mépriser.