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religion - Page 237

  • Pèlerinage national

    Depuis 1947 a lieu chaque année en juin un pèlerinage national des dévôts de sainte Clotilde venus de toute la France. Il est venu s’ajouter à la fête locale de sainte Clotilde (3 juin) célébrée depuis des siècles dans la paroisse de Vivières. Le pèlerinage national de Vivières est organisé et animé spirituellement par la confrérie sainte Clotilde.

    Le pèlerinage à Vivières a désormais lieu chaque année l’avant dernier dimanche de juin.

    Le prochain pèlerinage a lieu le dimanche 23 juin 2013.

    La France et la Chrétienté ont besoin de nos prières et de l’intercession de sainte Clotilde. Soyons donc nombreux à nous rendre le 23 juin à Vivières, derrière les bannières de la Confrérie sainte Clotilde et celles du Centre Charlier, soutien fidèle et apprécié de notre pèlerinage depuis plus de 25 ans.

    Nous lançons un appel à la générosité de tous les membres et amis de la Confrérie Sainte Clotilde afin d’assurer les honoraires des messes pour la France le 3 de chaque mois et pour couvrir les frais de secrétariat – d’avance merci ! Devenez membre de la Confrérie en demandant votre inscription à Pierre MAIRE.

    Pierre MAIRE, 85, rue Petit, 75019 PARIS, 06 80 72 72 77

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le pape canonise des martyrs de la guerre d’Espagne

    MADRID (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation) - Une petite centaine de martyrs de la guerre civile espagnole vont rejoindre le grand cortège de saints, puisque le pape François a autorisé la promulgation des décrets de la Congrégation pour les saints pour dix‑huit bénédictins espagnols, quatre carmes, un prêtre diocésain, soixante‑sept maristes, et enfin quatre religieuses de l’ordre des Servantes de Maries, tous tués en haine de la foi, en 1936. Des exemples pour tous les chrétiens.

    http://fr.novopress.info/

  • Quand l'Etat devient policier, les chrétiens doivent-ils craindre davantage de persécutions ?

    C'est ce que pense l'auteur de cet article sur "chrétiens dans la cité" : 

     

    "Avant, en marge et après les manifestations contre le pseudo-mariage homo, l'appareil répressif de l’État français s'est déchaîné avec une violence inhabituelle.

     Les médias internationaux s'émeuvent de plus en plus du comportement des forces de l'ordre vis-à-vis des opposants à la loi Hollande-Taubira. Le gouvernement français a été sommé de s'expliquer devant le Conseil de l'Europe. Le Défenseur des droits a été saisi à son tour. Le Point pose la question : Manif pour tous ou garde à vue pour tous ? et répond par une série de témoignages accablants. Il est vrai que la possibilité technique de filmer les agissements des policiers et de diffuser les images sur les réseaux sociaux permet de les constater de visu.

    Il est ainsi patent que des policiers en civil ont infiltré les manifestants au soir du 26 mai afin de provoquer des incidents. Certes, le procédé visant à organiser les « dérapages » n'est pas nouveau sous la VeRépublique, mais il avait été jusqu'alors surtout utilisé pour disqualifier, dans les années 70, les manifestations gauchistes.

    Un autre phénomène est constatable : les rafles massives de centaines d'hommes et de femmes de tous âges : jeunes, mères de famille, femmes enceintes, personnes âgées (l'une d'elles avait 79 ans!) ou handicapées... Ces interpellations sont suivies de gardes à vue arbitraires, avec de multiples brutalités, grossièretés, vexations (y compris sexuelles) et humiliations. Certains policiers avouent être écœurés par les ordres reçus, ignorant les sanctions qu'ils encourent en y obéissant (art. 122-4 et 432-4 du Code pénal). Les droits de la défense ainsi que le code de procédure pénale sont bafoués" (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Un village chrétien entièrement massacré par les rebelles syriens

    Ce lundi, les membres de l’Armée syrienne libre auraient attaqué le village d’al-Duvair à prédominance chrétienne dans la ville de Reef à la périphérie de Homs. Ils auraient massacré des civils, y compris des femmes et des enfants, avant que l’armée syrienne de Bachar al Assad intervienne en faveur des chrétiens selon les sources plus bas dans l’article.

    Cette attaque arrive après d’intenses combats dans la ville d’al-Qusseir, ce week-end, où les forces de Bachar Al-Assad ont infligé de lourdes pertes aux rebelles. Les forces d’Assad ont lancé une offensive en Avril dans le but de couper les lignes d’approvisionnement aux rebelles et en prenant la ville et ses environs conquise depuis l’année dernière. [...]

    La suite sur Alyaexpress.news.com

    http://www.actionfrancaise.net

  • La Question turque revient au coeur des inquiétudes légitimes

    130603Les émeutes d'Istanbul l'ont replacée dans l’actualité.

    Elle l'était déjà, à peine secrètement, quoiqu'en pensent nos dirigeants occidentaux aveuglés, dans la guerre civile de Syrie. Le projet d'une reconstitution de l'ancien empire ottoman, sous d'autres noms, habite les dirigeants actuels de ce pays : on les qualifie d'islamistes "modérés", à commencer par le tout puissant Erdogan.

    Ce petit livre donne l'essentiel des clefs pour comprendre ce pays, son identité, ses contradictions, sa réussite économique récente et ses ambitions – incompatibles avec la prétention de l'intégrer à l'Europe.

    Ce livre, court, dense en informations, d'une lecture facile, éclaire le sujet. ••• JG Malliarakis ”La Question turque et l’Europe” ••• 192 pages 20 euros franco de port à commander aux Éditions du Trident 39, rue du Cherche Midi 75006 Paris

    http://www.insolent.fr/

  • L'enseignement catholique doit instruire, éduquer et proposer la foi

    Le week-end dernier s'est tenue une convention intitulée « Avons-nous besoin de l’école catholique ? ». Exrait de l'interview dans La Croix du secrétaire général de l'enseignement catholique, Éric de Labarre :

     

    "Du milieu des années 1970 au début des années 1990, la sécularisation a profondément affecté le fonctionnement de nos établissements, qui ont eu tendance à se rapprocher, par un mimétisme délibéré, du modèle public (...)

    En 1996, la Lettre aux catholiques de France voulait faire de l’enseignement catholique une école de la proposition de la foi chrétienne. Des pas ont été faits dans cette direction. Mais, pour des raisons historiques, il reste difficile d’aborder les questions religieuses sans être accusés de prosélytisme. Or il ne peut pas y avoir d’évangélisation sans proposition explicite de la foi, dans le respect de la liberté de conscience des enfants et de leurs familles (...)

    cette offre éducative, parce que nous sommes une école catholique, est forcément fondée sur le christianisme (...) Ce qui est sûr, en revanche, c’est que les évêques sont aujourd’hui infiniment plus attentifs à l’école catholique qu’ils ne l’étaient il y a vingt ou trente ans. À l’époque, pour évangéliser, une bonne part de l’épiscopat privilégiait les aumôneries des établissements publics. Or, aujourd’hui, là où elles existent, ces aumôneries ne sont fréquentées que par les enfants de catholiques convaincus (...)

    Les évêques savent, désormais, que nos établissements, ouverts à tous, offrent un terrain d’évangélisation bien plus vaste. Il ne s’agit pas de tomber dans la caricature d’une école catholique réservée aux catholiques. Mais d’entendre les attentes d’un certain nombre de parents qui cherchent chez nous des outils qu’ils n’ont pas eux-mêmes pour élever leurs enfants dans la tradition chrétienne. Nos établissements doivent à la fois instruire, éduquer et proposer la foi."

    Philippe Carhon http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La fin du modèle turc

     

     Le cadavre de Mustapha Kemal bouge toujours
    Jean Bonnevey
    Ex: http://metamag.fr/

     

    Nous l’aura-t-on vanté ce modèle turc, cet islamisme modéré soluble dans la démocratie et devant inspirer les pays arabes, la preuve par Istanbul d’une démocratie musulmane comme il y a une démocratie chrétienne.
    En fait l’islamisme modéré est un islamisme sournois qui se répand dans la société. Depuis 10 ans Erdogan l’homme qui comparait, quand il était dans l’opposition, les mosquées à des missiles tente d’islamiser en douceur une société à part. Voilà 10 ans qu’ Erdogan est au pouvoir. Il a été habile. Il a marginalisé l’armée au nom du respect du vote. C’était l’obstacle, une armée avec des cadres toujours kémalistes, mais une troupe à l’image de la société déjà très islamisée. Il se croit à labri d’un putsch et resserre la corde islamiste sur le cou turc.
    Comme toujours, on s’en prend aux libertés au nom des interdits de l’islam dans tous les domaines du privé, comportements dans la rue, consommation d’alcool, etc..Cependant la Turquie a été un pays laïc où l’islam était sous un contrôle de fer. Les portraits de Mustapha Kemal sont ressortis dans les dernières manifestations, cela veut tout dire. En fait les tucs ne supportent plus, certains d’entre eux en tout cas, la limitation  des libertés au nom d’une religion qui  devient dans les faits de plus en plus rigoriste et répressive.
    Il y a aussi l’usure du pouvoir, même si économiquement, les islamistes qui échouent partout quand ils sont aux commandes (Maroc, Tunisie,  Egypte) ont eu de très bons résultats économiques en Turquie. Sur le plan diplomatique l’alliance avec Israël et ses déboires, les concessions aux kurdes et les engagements en Syrie ont miné le modèle turc qui se rêvait  un  nouvel espace d’influence ottoman.
    Un rejet bien plus large
    Erdogan est un islamiste intelligent.  Il l’a déjà démontré et il semble avoir compris la dangerosité, pour son pouvoir, des manifestations. Le mouvement est parti vendredi à l'aube avec l'intervention musclée de la police pour déloger quelques centaines de militants qui occupaient depuis trois jours le parc Gezi, sur la place Taksim, pour y empêcher le déracinement de 600 arbres dans le cadre d'un projet d'aménagement urbain très contesté. Mais l’arbre bien sûr cache la forêt d’un rejet bien plus large.
    Confronté à l'un de ses plus importants mouvements de contestation depuis l'arrivée de son parti au pouvoir en 2002, le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a ordonné aux forces de l'ordre de se retirer en milieu d'après-midi de la place. Immédiatement, des milliers de personnes brandissant des drapeaux turcs ont envahi les lieux dans une immense clameur de victoire, ponctuée de quelques fusées d'artifice.
    Les choses n’en resteront sans doute pas là. Si le revenu par habitant a triplé en Turquie depuis 2002, Recep Tayyip Erdogan est accusé de dérives autoritaires et de vouloir "islamiser" la société turque. Le récent vote d'une loi restreignant la consommation et la vente d'alcool a suscité  la colère des milieux libéraux.
    L'opposition politique a pris le relais de ces critiques en s'affichant avec les protestataires. « Nous voulons la liberté et la démocratie dans notre pays », a lancé le président du Parti républicain du peuple (CHP) Kemal Kiliçdaroglu. Au sein même du pouvoir, plusieurs voix se sont élevées samedi pour dénoncer la réaction disproportionnée de la police. Voilà qui devrait cependant tempérer l’enthousiasme vis à vis du régime turc, de ceux qui partout le présentent comme l’exemple d’un islamisme sans danger pour les libertés et la démocratie.
    Ils ne changeront pas d’avis mais la preuve par Istanbul ne tient plus.
  • Les jeunes Français craignent davantage l’islam que leurs aînés

     

    Les jeunes Français craignent davantage l’islam que leurs aînés

     

    Photo : A Paris, la rue Myrha bloquée par une milice islamique pour des prières illégales. Crédit : DR.

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Un sondage OpinionWay réalisé auprès d’un panel représentatif de 1001 personnes montre que les Français s’inquiètent des communautarismes musulman mais également juif.

    Parmi les chiffres intéressants de ce sondage, on retiendra que seuls 4 % des 18‑24 ans croient que l’islam est une religion tolérante. Un chiffre à rapprocher des quelque 7 % de musulmans que compte la France ! Au contraire, ils sont 40 % à estimer que l’islam est une religion sectaire.

     

    Plus significatif encore : 74 % des Français interrogés par OpinionWay considèrent que l’islam n’est pas compatible avec les valeurs de la république.

     

     

     

    Comment les sondés considèrent‑ils les autres religions ?

     

    Le judaïsme n’est pas beaucoup mieux loti que l’islam. Parmi les 18‑24 ans, un sur deux pense que les Juifs sont davantage attachés à Israël qu’à la France. 43 % des personnes du même échantillon considèrent que les Juifs forment « un groupe replié sur lui‑même ». Et 20 % affirment que « leur influence sur la société est trop importante ».

     

    Au contraire, les chrétiens, catholiques comme protestants, sont jugés plutôt favorablement. 40 % des sondés les jugent tolérants quand moins de 20 % pensent qu’ils sont plutôt sectaires.

    http://fr.novopress.info

  • Le christianisme "radical" consiste à imiter Jésus Christ

    Intéressante tribune de Bernard Antony comparant habilement christianisme radical et islam radical :

    "Le christianisme « radical », c’est de tout laisser pour suivre le Christ comme le font les saints, se dépouillant de tout pour le service des autres. Le Christ nous commande : « Aimez-vous les uns les autres ! ». Plus encore : « Aimez vos ennemis ! ». Et aussi : « Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ! ». Le christianisme « radical » consiste tout simplement à prendre l’Évangile au pied de la lettre, à choisir la radicale pauvreté du Christ et sa paix. Cela s’appelle « l’imitation de Jésus-Christ ».

    L’islam, non pas si radical mais « normal », c’est simplement d’imiter le prophète Mahomet, de lui obéir tel qu’appliquant notamment dans son gouvernement à Médine les ordres reçus de Dieu et qu’il a rapportés dans le Coran. C’est admirer et imiter ses « faits et gestes (Hadiths en arabe) tels qu’enseignés dans toutes les mosquées, écoles et universités islamiques et codifiés dans la charia. Aimer Mahomet, c’est admirer l’exemple de l’égorgement du millier de Juifs de Médine, et la distribution à ses guerriers de leurs femmes et enfants. C’est apprécier l’exemplarité de ses ordres de lapidation des femmes adultères, d’amputation des membres des voleurs, de mise à mort des incroyants et des apostats, de tortures de ceux qui se sont moqués de lui. C’est cela qui est appliqué strictement de l‘Arabie saoudite à l’Afghanistan. Ce modèle, il est enseigné dans les deux textes sacrés de l’islam, vendus partout. Il suffit de les ouvrir pour vérifier combien la dimension sanguinaire les imprègne.

    L’islam un peu plus « radical », c’est d’obéir aux appels et aux ordres de califes ou d’imams lorsqu’ils décident, à l’exemple de Mahomet, le moment venu pour de nouvelles conquêtes par le Jihad selon son acception guerrière. C’est un islam dans lequel certes on valorise plus « le moment de la guerre » que « la période de la trêve ». Le problème pour notre monde, c’est que s’il y a certes des chrétiens pour tiédir le message de l’Évangile, il n’y a aucun musulman qui pourrait s’aviser d’édulcorer le Coran ou de déclarer qu’il faudrait expurger le Hadith du tiers de ses textes.
    L’islam, ce n’est pas qu’une religion, c’est l’idéologie de la théocratie totalitaire de son prophète. Faut-il être stupide pour refuser la liberté de le critiquer par crainte de l’imputation stupide « d’islamophobie » ! C’est par amour pour les musulmans qu’on voudrait qu’ils se libèrent du carcan de l’islam et trouvent l’amour et la paix du Christ."

    Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • CEDH : Lillian Ladele, officier d'état civil, aurait dû accepter d'enregistrer des unions homosexuelles

    Lillian Ladele, officier d'état civil britannique, vient de voir rejeter par la Cour européenne des droits de l'homme sa demande de faire entendre par la Grande chambre sa plainte contre ses employeurs qui entendaient la forcer à célébrer des unions civiles homosexuelles.
    La CEDH rend ainsi définitif, en fermant la porte à dernière possibilité d'appel de Mme Ladele, l'arrêt de chambre qui en janvier dernier a décidé que la jeune femme n'avait pas subi de discrimination antichrétienne ni de méconnaissance de son droit à l'objection de conscience.
    C'est un véritablement harcèlement au travail qu'a subi cette employée de la municipalité d'Islington à Londres où elle était chargée depuis 2002 d'enregistrer des actes civils : naissance, décès et mariages civils qui concernent en Angleterre ceux qui ne se marient pas religieusement. En 2005, avec l'entrée en vigueur d'un partenariat civil ouvert aux couples homosexuels, aligné sur le mariage civil en ce qui concerne l'enregistrement, Lillian Ladele s'était organisée de manière à ne pas avoir à participer à ce style d'unions.
    Si d'autres municipalités britanniques ont admis que des employés puissent se soustraire, ainsi, pour des motifs de conscience, à l'enregistrement d'unions gays, il n'en a pas ainsi à Islington où, sous l'impulsion de collègues homosexuels qui se sentaient « discriminés », les collègues de Mme Ladèle l'ont accusée d'alourdir leur tâche de manière intolérable. Si bien que son employeur a fini par lui proposer un avenant à son contrat, fondé sur la politique avancée de « non-discrimination » de la commune. Les négociations furent longues, Lillian Ladèle ne voulait pas céder, et elle finit par renoncer à son poste. Mais non sans se plaindre devant la justice du « harcèlement » subi. Dans un premier temps elle obtint gain de cause devant un tribunal du travail de Londres. Mais elle devait perdre ensuite à tous les échelons judiciaires, en terminant par cet arrêt de chambre de la CEDH.
    En rejetant la demande d'appel formulée par Mme Ladele, la Cour solennise l'idée que les droits de chrétiens doivent pouvoir céder le pas devant les droits de personnes « protégées » face à la discrimination, comme les homosexuels.
    « La Cour reconnaît généralement aux autorités nationales une ample  marge d’appréciation lorsqu’il s’agit de droits conventionnels qui se trouvent en compétition (…). La Cour considère que les autorités nationales, à savoir l’employeur représentant l’autorité locale, qui a mis en place la procédure disciplinaire, ainsi que les cours locales qui ont rejeté la plainte pour discrimination de la demanderesse, n’ont pas outrepassé la marge d’appréciation qui leur est reconnue. »
    Pourquoi ? Parce que la non-discrimination à l’égard des homosexuels peut prendre le pas sur la non-discrimination à l’égard des chrétiens.