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religion - Page 234

  • Soulèvement contre le Frère Erdogan

    Pour Thierry Meyssan, les Turcs ne manifestent pas contre le style autoritaire de Recip Tayyeb Erdogan, mais contre sa politique, c’est-à-dire contre les Frères musulmans dont il est le mentor. Il ne s’agit pas d’une révolution colorée sur la place Taksim contre un projet immobilier, mais d’un soulèvement dans l’ensemble du pays, bref c’est une vraie révolution qui remet en cause le « printemps arabe ».

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    En une dizaine de jours, la répression des manifestations anti-Erdogan a déjà fait 3 morts et plus de 5 000 blessés.

    Le soulèvement turc plonge ses racines dans les incohérences du gouvernement Erdogan. Celui-ci, après s’être présenté comme « démocrate-musulman » (sur le modèle des « démocrates-chrétiens »), a brusquement affiché sa vraie nature à l’occasion des « révolution colorées » du printemps arabe.

    En politique intérieure et extérieure, il existe un avant et un après cette volte-face. Avant, c’était le noyautage des institutions. Après, c’est le sectarisme. Avant, c’est la théorie d’Ahmed Davutoğlu de « zéro problème » avec ses voisins. L’ex-empire ottoman semblait sortir de sa torpeur et revenir à la réalité. Après, c’est l’inverse : la Turquie s’est re-brouillée avec chacun de ses voisins et est entrée en guerre contre la Syrie.

    Les Frères musulmans

    Derrière ce virage, les Frères musulmans, une organisation secrète dont Erdogan et son équipe ont toujours été membres, malgré leurs dénégations. Si ce virage est postérieur à celui du Qatar, financier des Frères musulmans, il porte la même signification : des régimes autoritaires qui paraissaient anti-israéliens affichent soudainement leur alliance profonde.

    Il importe ici de rappeler que l’expression occidentale de « printemps arabe » est un leurre visant à faire accroire que les peuples tunisien et égyptien auraient renversé leur gouvernement. S’il y a bien eu une révolution populaire en Tunisie, elle ne visait pas à changer le régime, mais à obtenir une évolution économico-sociale. Ce sont les États-Unis, et non la rue, qui ont ordonnés à Zinedine el-Abidine Ben Ali et à Hosni Moubarak de quitter le pouvoir. Puis c’est l’OTAN qui a renversé et fait lyncher Mouammar el-Khadafi. Et ce sont à nouveau l’OTAN et le CCG qui ont alimenté l’attaque de la Syrie.

    Partout en Afrique du Nord —sauf en Algérie—, les Frères musulmans ont été placés au pouvoir par Hillary Clinton. Partout, ils ont des conseillers en communication turcs, gracieusement mis à disposition par le gouvernement Erdogan. Partout, la « démocratie » n’a été qu’une apparence permettant aux Frères d’islamiser les sociétés en échange de leur soutien au capitalisme pseudo-libéral des États-Unis.

    Le terme « islamiser » renvoie à la rhétorique des Frères, pas à la réalité. La Confrérie entend contrôler la vie privée des individus en se fondant sur des principes extérieurs au Coran. Elle remet en cause la place des femmes dans la société et impose une vie austère, sans alcool ni cigarettes, et sans sexe, du moins pour les autres.

    Durant une dizaine d’années, la confrérie s’est faite discrète, laissant la transformation de l’Enseignement public aux bons soins de la secte de Fethullah Gülen, dont le président de la République Abdullah Gül est membre.

    Bien que la confrérie clame sa haine de l’American Way of Life, elle se tient sous la protection des Anglo-Saxons (UK, USA, Israël) qui ont toujours su utiliser sa violence contre ceux qui leur résistaient. La secrétaire d’État Hillary Clinton avait installé dans son cabinet son ancienne garde du corps, Huma Abedin (épouse du député sioniste démissionnaire Antony Weiner), dont la mère Saleha Abedin dirige la branche féminine mondiale de la confrérie. C’est par ce biais qu’elle agitait les Frères.

    Les Frères ont fourni l’idéologie d’Al-Qaeda, par l’intermédiaire de l’un d’entre eux : Ayman al-Zawahiri, organisateur de l’assassinat du président Sadate et actuel leader de l’organisation terroriste. Al-Zawahiri, comme Ben Laden, a toujours été un agent des services états-unien. Alors qu’il était considéré officiellement comme ennemi public, il rencontrait très régulièrement la CIA à l’ambassade US à Bakou, de 1997 à 2001, témoigne la traductrice Sibel Edmonds, dans le cadre de l’opération « Gladio B » [1].

    Une dictature progressive

    Lors de son emprisonnement, Erdogan a prétendu avoir rompu avec les Frères et a quitté leur parti. Puis, il s’est fait élire et a imposé lentement une dictature. Il a fait arrêter et emprisonner deux tiers des généraux, accusés de participer au Gladio, le réseau secret d’influence US. Et il a obtenu le plus fort taux d’incarcération de journalistes au monde. Cette évolution a été masquée par la presse occidentale qui ne saurait critiquer un membre de l’OTAN.

    L’armée est le gardien traditionnel de la laïcité kémaliste. Cependant, après le 11-Septembre, des officiers supérieurs se sont inquiétés de la dérive totalitaire des États-Unis. Ils ont pris des contacts avec leurs homologues en Russie et en Chine. Pour stopper cette évolution avant qu’il ne soit trop tard, des juges leur ont rappelé leurs antécédents pro-US.

    Si les journalistes peuvent être, comme toute autre profession, des voyous, le taux d’incarcération le plus élevé du monde renvoie à une politique : celle de l’intimidation et de la répression. À l’exception d’Ulusal, la télévision était devenue un panégyrique officiel, tandis que la presse écrite prenait le même chemin.

    « zéro problème » avec ses voisins

    La politique étrangère d’Ahmed Davutoğlu était tout aussi risible. Après avoir cherché à résoudre les problèmes laissés sans solution, un siècle plus tôt, par l’Empire ottoman, il a voulu jouer Obama contre Netanyahu en organisant la Flotille de la liberté vers la Palestine [2]. Mais, moins de deux mois après la piraterie israélienne, il acceptait la création d’une commission d’enquête internationale chargée d’étouffer l’affaire et reprenait en sous-main la collaboration avec Tel-Aviv.

    Signe de la coopération entre les Frères et Al-Qaïda, la confrérie avait placé sur le Marvi Marmara Mahdi al-Hatari, numéro 2 d’Al-Qaïda en Libye et probable agent britannique [3].

    Catastrophe économique

    Comment la Turquie a t-elle gâché non seulement une décennie de travail diplomatique de restauration de ses relations internationales, mais aussi sa croissance économique ? En mars 2011, elle participe à l’opération de l’OTAN contre la Libye, un de ses principaux partenaires économiques. Une fois la guerre finie, la Libye étant détruite, la Turquie perdit son marché. Simultanément, Ankara se lança dans la guerre contre son voisin syrien avec lequel elle venait, un an plus tôt, de signer un accord de libéralisation commerciale. Le résultat ne se fit pas attendre : la croissance de 2010 était de 9,2 %, elle tomba en 2012 à 2,2 % et continue à chuter [4].

    Relations publiques

    L’arrivée au pouvoir des Frères en Afrique du Nord est montée à la tête du gouvernement Erdogan. En affichant son ambition impériale ottomane, il a décontenancé le public arabe pour commencer, puis a dressé la majorité de son peuple contre lui.

    D’un côté, le gouvernement finance Fetih 1453, film au budget pharaonique pour le pays, censé célébrer la prise de Constantinople, mais historiquement fallacieux. D’un autre, il tente d’interdire la plus célèbre série télévisée du Proche-Orient, Le Harem du Sultan, parce que la vérité ne donne pas une image pacifique des Ottomans.

    La vraie raison du soulèvement

    La presse occidentale met en avant, dans le soulèvement actuel, des points de détail : un projet immobilier à Istanbul ; l’interdiction de vendre de l’alcool en soirée ; ou des déclarations encourageant la natalité. Tout cela est vrai, mais ne fait pas une révolution.

    En affichant sa vraie nature, le gouvernement Erdogan s’est coupé de sa population. Seule une partie minoritaire des sunnites peut se reconnaître dans le programme rétrograde et hypocrite des Frères. Or, environ 50 % des Turcs sont sunnites, 20 % sont alévis (c’est-à-dire alaouites), 20% sont Kurdes (principalement sunnites), et 10 % appartiennent à d’autres minorités. Il est statistiquement clair que le gouvernement Erdogan ne peut pas résister au soulèvement que sa politique a provoqué.

    En le renversant, les Turcs ne résolvent pas seulement leur problème. Ils mettent fin à la guerre contre la Syrie. J’ai souvent noté que celle-ci s’arrêterait lorsque un de ses sponsors étrangers disparaîtrait. Ce sera bientôt le cas. Ce faisant, ils mettent un terme à l’expansion des Frères. La chute d’Erdogan annonce celle de ses amis ; de Ghannouchi en Tunisie, à Morsi en Égypte. Il est en effet peu probable que ces gouvernements artificiels, imposés par des élections truquées, puissent survivre à leur puissant parrain.

    Thierry Meyssan  http://www.voltairenet.org

    [1] « Al Qaeda Chief was US Asset », par Nafeez Ahmed, 21 mai 2013.

    [2] « Pourquoi Israël a t-il attaqué des civils en Méditerranée ? », et « Flottille de la liberté : le détail que Netanyahu ignorait », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 mai et 6 juin 2010.

    [3] « L’Armée syrienne libre est commandée par le gouverneur militaire de Tripoli », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 décembre 2011.

    [4] « Turkey’s Economic Growth Slows Sharply » par Emre Perer et Yeliz Candemir, The Wall Sreeet Journal, 1er avril 2013.

  • A Lille, les veilleurs tiennent bon face aux anarchistes

    Reçu des veilleurs de Lille :

     

    L"Plus de 450 veilleurs lillois se sont réunis ce soir malgré les très fortes tensions et intimidations des anarchistes. Alors qu’une soixantaine de personnes ont tenté de perturber le bon déroulement de la veillée, ceux-ci ont vite été tenus à l’écart par un cordon de policiers. Après une heure de veillée dans le bruit et les insultes, les anarchistes ont choisi de partir, permettant ainsi aux veilleurs de continuer dans le calme et le silence leur manifestation pacifique.

    Amis veilleurs, tout annonçait une soirée sous haute tension nécessitant la présence d'une vingtaine de camions de CRS et une dizaine de policiers en civil. Pourtant, cette veillée a montré que le silence est bien plus puissant que le bruit,que la paix est bien plus puissante que la violence. Nous ne voulons pas de la loi Taubira qui nous a été imposée par le gouvernement. Elle amène à un modèle de société qui détruit tout repère pour l'enfant et pour l'homme.

    Manifestons ensemble pour son retrait MARDI PROCHAIN, même lieu, même heure. MERCI LES VEILLEURS LILLOIS pour cette veillée pacifique et magnifique."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les catholiques poignardés dans le dos

    Depuis des mois les Français - en particulier les catholiques - luttent pacifiquement contre une loi visant à changer les fondements de notre civilisation : Manif pour tous, Pétition devant le CESE, Printemps Français, Hommen, Veilleurs, Antigones, etc…
    C'est tout un peuple qui se lève face à un gouvernement qui n'a d'autres réponses que l'obstination, les arrestations arbitraires et le gazage d'innocents.
    Face à ce nouveau totalitarisme, un seul mot d'ordre : « On ne lâche rien ! ». La persévérance  et le courage des Français suscitent l'admiration du monde entier.
    Et pourtant... ils viennent d'être lâchés ! Poignardés dans le dos par le Conseil Famille et Société de la Conférence des Évêques de France !
    Sous le titre « Poursuivons le dialogue » (sic) cet organisme épiscopal regrette que « l'homophobie existe toujours dans la société et dans nos communautés catholiques » et ose avancer que « c'est une preuve de maturité démocratique que d'accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu » !
    On aimerait qu'il demande à la « génération garde à vue » où se trouvent les violences...
    Mais il y a plus grave encore : le Conseil Famille et Société n'hésite pas à contredire ouvertement la doctrine catholique en affirmant que le fait de ne pas garder la chasteté dans les amitiés homosexuelles  ne « dévalorise pas cette expérience » !
    Madame, Monsieur pouvons-nous rester silencieux face à une telle aberration ? Jamais ! ON NE LÂCHE RIEN
    C'est pourquoi je vous demande de signer cet appel respectueux  adressé à Monseigneur Pontier, nouveau Président de la Conférence des Évêques de France, en cliquant ici.
    Diffusez ce message à vos contacts ! La Fille aînée de l'Église ne peut être ainsi souillée.
    Je compte sur vous et, dès à présent, un grand merci.¢
    Catherine Goyard, Présidente d’Avenir de la Culture
  • Des chrétiens traités comme des bêtes au Pakistan

    Lu sur Fides :

    "Les chrétiens sont « traités comme des bêtes ». Leur dignité d’êtres humains est remise en cause : telle est la dénonciation qui parvient à l’Agence Fides depuis le district de Kasur, au Punjab, dont un village est déjà connu pour le cas de viol, encore impuni, de la jeune Fouzia Bibi, âgée de 15 ans. [...]

    Au cours de ces derniers jours, des musulmans locaux ont abusé, se sont moqués, ont roué de coups et humilié publiquement des chrétiens et des chrétiennes, travailleurs agricoles ou pasteurs. Comme cela a été indiqué à Fides, la violence physique et psychologique a été déchaînée par un banal empiètement de troupeaux d’un chrétien, Shoukat Masih, sur les terrains d’un certain nombre de musulmans. Les animaux ont été placés sous séquestre et lorsque les fidèles sont allés les réclamer, les coups ont commencé à pleuvoir. Le 2 juin, un certain nombre de musulmans ont pénétré dans la maison d’une famille chrétienne, rouant de coups les trois femmes présentes Arshad Bibi, Sajida et Saruyia, les dépouillant de leurs vêtements et les contraignant à errer nues dans les rues, livrées aux quolibets et aux mauvais traitements, sous les yeux de tous les habitants du village qui ne sont pas intervenus. Le même traitement humiliant a été réservé à deux chrétiens âgés, à savoir les parents de Shoukat Masih. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mariage tantouses : misère des lycées sous contrat… (avec la Franc-maçonnerie)

    Mardi dernier, quinze à vingt élèves d’un important lycée catholique de Toulouse s’étaient présentés en classe avec le fameux maillot représentant une famille, sans manifester pour autant ni sans être groupés. Ils se sont donnés le mot via Facebook car ils veulent réagir à ce qui leur semble «une injustice» : quelques jours auparavant, un camarade de première est venu en cours avec ce sweat-shirt et s’est vu contraint de l’enlever par la direction, condition sine qua non pour réintégrer sa classe.
    Grosse polémique entre l’établissement, les élèves et leurs parents, la direction. Celle-ci empêchant les jeunes d’aller en cours et menaçant même de les exclure… (source)

    C’est bien « le » directeur d’Albert le Grand

    Par ailleurs, beaucoup de catholiques bordelais risquent d’être surpris en découvrant les prises de position du directeur de Saint Albert Le Grand, établissement catholique sous contrat.

    Le 24 mai dernier, son directeur Bertrand Gaufryau publiait (avec « mgr » Jacques Gaillot) une tribune sur le site Huffingtonpost (dirigé par Anne Sinclair et très marqué à gauche), intitulée « Mariage gay: on n’arrête pas la marée qui monte ».

    Dans cet article caricatural aux arguments idiots, Gaufryau vantait la loi Taubira dans des termes que l’on croirait issus d’une association LGBT : « C’est un événement qui fera date dans l’histoire de notre pays et une avancée démocratique considérable. Ce projet fondé sur l’Amour et l’extension des droits de tous, n’en fait perdre aucun aux autres. Il n’est en aucune manière une menace pour les familles dites « normales », ni une régression pour la société et encore moins la fin de la civilisation ».   (source)

    http://www.contre-info.com/

  • Ivan Rioufol convoqué par la police judiciaire

    Police judiciaire ou politique, on ne sait plus :

     

    "Pour la première fois de ma carrière journalistique (débutée en 1976),  j’ai reçu, samedi, une convocation pour être entendu par la Police Judiciaire, suite à une plainte déposée par leCollectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Je vais devoir répondre de propos tenus le 15 novembre 2012 dans l’émission On refait le Monde, animée par Marc-Olivier Fogiel, sur RTL également visés par la plainte. Le CCIF, qui oeuvre à l’islamisation des musulmans, me reproche d’avoir critiqué sa campagne d’affichage : "Nous sommes la nation". Il s’agit du détournement du tableau de David, Le serment du Jeu de Paume. Se substituant aux acteurs de la Révolution française, l’image représente très majoritairement des femmes voilés, des barbus, des encapuchonnés et des jeunes des cités.  Financée à hauteur de 35.000 euros par l’Open Society Institute du milliardaire américain George Soros, qui a des comptes à régler avec l’Europe, la campagne avait pour but de promouvoir la visibilité islamique dans la République laïque, en revendiquant un refus de l’assimilation et de l’intégration, au profit d’une "inclusion" intimant d’accepter les musulmans tels qu’ils sont. Avec sa plainte, le CCIF porte évidemment atteinte à l’élémentaire liberté d’expression. La lutte contre l’islamophobie dont il se réclame revient à interdire tout débat.

    Inutile d’insister, j’imagine, sur l’extrême gravité de cette tentative de pénaliser l’esprit critique, d’intimider des journalistes, de censurer des médias, de réintroduire le délit de blasphème. Mais je m’étonne néanmoins de l’indifférence générale qui est portée à ce genre d’organisme, qui respecte si peu la France, son histoire et ses valeurs, sinon pour instrumentaliser les droits de l’homme dans le sens de ses intérêts propres. Dans son livre déjà cité (Islam, épreuve française) Elisabeth Schemla rappelle cette déclaration d’août 2011, à la mosquée d’Orly, de Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF : "Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française". Il est d’ailleurs intéressant de s’arrêter au logo du CCIF ;  il est stylisé de telle manière qu’il peu se lire Sif, c’est-à-dire "Le glaive de l’islam". Pour ma part, je vais évidemment répondre à ma convocation. J’espère néanmoins pouvoir y dénoncer ces inqualifiables méthodes et le danger qu’elles représentent pour la république. Elles ne me feront évidemment pas taire. Tout au contraire."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Dieux ont soif, par Alexis Arette

    Le titre d’un roman d’Anatole France… mais il pourrait illustrer ce que fut toujours le gauchisme, cette frange qui, furieuse de voir le socialisme échouer en tout,  ne voyait comme solution de rechange, que la suppression physique des adversaires : « Du passé faisons table rase » !
    Il pourrait aussi illustrer les manifestations après la mort de l’extrémiste Clément Méric tombé dans une bagarre, comme il en est souvent entres divers jeunes excités. Mais pourquoi aujourd’hui cette mobilisation face à ce qui n’est qu’un « fait divers » de notre société ?
    C’est que les tenants du laïcisme au pouvoir, malgré le contrôle des médias et les gigantesques appareils de pression et de désinformation, n’ont pu dissimuler l’énorme mobilisation d’une chrétienté que l’on croyait morte, face à la profanation du mariage.
    Et si toute motivation politicienne a su faire silence, au cours des énormes rassemblements, il n’en est pas moins vrai, que ceux-ci portent en gestation la nécessité de promouvoir le combat sur le plan politique, et, il faut bien le dire, à l’encontre de la fameuse « alternance » de tradition républicaine, qui n’a jamais été qu’un partage de l’« assiette au beurre » !
    Un exemple parmi tant d’autres: On vient d’apprendre qu’un agent du fisc de Haute-Garonne, Rémy Garnier, avait dénoncé dès 2008, les opérations financières litigieuses de Monsieur Cahuzac. Que fit le gouvernement de la fausse droite ? Par l’autorité d’Éric Woerth son supérieur, il sanctionna le fonctionnaire intègre ! La complicité de la crapule est un des atouts de « l’ordre républicain ». Et c’est presque miracle si, aujourd’hui, Monsieur Woerth a quelques ennuis avec la justice…
    Mais le danger à l’encontre de la réaction Chrétienne, ne vient pas seulement de la crapule politique, qu’une énorme majorité désavoue, même pas du monstrueux Pierre Berger, dont le visage comme défoncé par le vice semble une insulte à la figure humaine, le danger pire vient d’un clergé qui l’autorisa a prononcer l’éloge de son « giton » en l’Église de St Germain l’Auxerrois !
    Il est à craindre que ce soit ce même clergé qui, dans le Conseil « Famille et Société » de la conférence des Évêques de France », vient, en condamnant l’homophobie, de laisser croire qu’elle était présente dans les manifestations. La soumission à la loi contre nature de l’État est recommandée en ces termes : « C’est une preuve de maturité démocratique que d’accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu ! »
    Et le texte traitant ensuite « d’Expériences » les aventures homosexuelles, assure qu’elles ne sont pas dévalorisées par les rapports charnels ! On en vient à se demander si certains prélats ne justifient pas ainsi leurs propres « expériences »!
    La soumission à l’État antichrétien avait déjà été recommandée par Monseigneur Podvin porte-parole des évêques de France, en ces termes : « La signification religieuse, nous y sommes attachés. MAIS le respect de la diversité c’est certainement une source de paix de la société ! ». Bref, ce que l’Église nommait le péché « contre nature », ne l’est plus : c’est une diversité qui doit inspirer le respect.
    Ce qui est certain, c’est que depuis des temps très anciens, nous sommes prévenus de cette crise de l’Église qui verra les évêques se dresser contre les évêques et contre le pape.
    L’immense Padré Pio, si longtemps persécuté par ses supérieurs religieux n’a pas hésité à dire : «  Combien de nos malheureux frères dans le sacerdoce, répondent à l’amour du Christ en se jetant à bras ouverts dans l’infâme secte des francs-maçons ! ».

    Les « dieux qui ont soif » peuvent compter sur un certain épiscopat qui leur conseillera de se soumettre. Reste à savoir si le Peuple chrétien ne recevra pas d’autres instructions de Saint Michel.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Note sur la répression de l’incitation au meurtre en France, par Georges Colléter

    À propos de l’Islam et de la lecture du Coran et de divers éléments de la Sunna et des Hadiths, on peut et on doit s’interroger. En effet, on y lit dans nombre de sourates un appel au meurtre des « non-croyants », (donc « non-musulmans »), avec des gradations diverses pour traiter en sous-hommes voire en esclaves les autres humains ayant des croyances religieuses différentes, voire même aucune.

    C’est ce que nous constatons aussi en concret dans de nombreux « pays islamiques » actuellement à propos particulièrement des chrétiens et des juifs, ou même des athées qui analysent et s’expriment ... et maintenant dans quelques « faits divers » en France. Et ceci sans même remonter en détails à l’Histoire, où plus de 300 millions d’humains ont été « éliminés » en Inde et en Afrique par l’Islam…
    Cependant devant le droit et les Lois françaises et le principe de laïcité tant vanté et défendu, ces appels aux crimes concernant les personnes, ou aux « délits » divers, devraient être réprimés nettement, il me semble, par les lois du Code Pénal (Art.222.17, Art.222.18, …).
    En particulier si elle est « matérialisée par un écrit », (Art.222.17), ce qui est bien le cas du Coran diffusé en France :
      « Article 222-17 En savoir plus sur cet article...
    La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable est punie de six mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende lorsqu'elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet.
    La peine est portée à trois ans d'emprisonnement et à 45000 euros d'amende s'il s'agit d'une menace de mort. ».
    En complément lire l’« Article 222-18 », dont les précisions « Articles 222-18-1 » et « Article 222-18-2 » (Articles aisés à trouver sur Légifrance).
    Les diverses Sourates concernées par ces appels  ou « menaces de commettre un crime ou un délit … » sont faciles à retrouver lorsqu’on lit le Coran, (encore faut-il le lire … !).

     Je m’étonne donc que ce livre « Le Coran » ne soit pas interdit en France et  les sites de vente de livres par correspondance qui diffusent le Coran et ce genre de principes de base d’une « religion » contraires à nos Lois qui priment ici sur les lois de tous les pays. (Justification des actes du jihad, non critiqués ni condamnés par les musulmans de France ou français, ni même par leurs « autorités », car « écrits » dans le Coran et donc  « indiscutables » par tous « les croyants »).

    De même les individus, organismes, associations,  personnes morales, lieux de formation et d’apprentissage de ces principes et/ou s’y référant, donc lieux de « culte », qui contreviennent ainsi à nos lois, devraient être sanctionnés et interdits d’exercice et de séjour.
    Que valent notre gouvernement et notre Justice pour l’application de « certaines » Lois françaises ? Que vaut leur honnêteté et leur crédibilité ?
    Un rêve d’amélioration pour l’application juste des Lois françaises ? Bonnes réflexions…
    Georges COLLÉTER, Retraité de l’agriculture et de l’industrie lourde