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santé et médecine - Page 355

  • GPA et pédophilie : pas un amalgame, un fait

    Extraits d'un article paru dans le numéro de Minute du 13 août :

    "Même à gauche, la Gestation Pour Autrui commence à créer un malaise. « Ventres à louer, le malaise », titrait d’ailleurs « Libération » mercredi dernier. Quelques jours auparavant, des personnalités de gauche (Sylvianne Agacinski, Lionel Jospin, Jacques Delors…) avaient abjuré, dans le même journal, François Hollande de prendre clairement position contre « l’entrée en France des contrats de mères porteuses », ce qu’il n’a évidemment pas fait. La secrétaire d’Etat chargée de la famille, Laurence Rossignol, a donc annoncé d’un côté qu’elle allait recevoir ces opposants à la GPA… tout en confirmant de l’autre que la France ne ferait pas appel de l’arrêt récemment rendu par la Cour européenne des droits de l’Homme ! [...]

    Belle hypocrisie en perspective, donc : la GPA est interdite en France mais la filiation issue de la GPA est reconnue, si bien que cette interdiction (visant à entraver le marché) ne sert plus à rien ! « Il est juste que les enfants nés de la GPA bénéficient de la même sécurité juridique que les autres », a d’ailleurs déclaré Laurence Rossignol. C’est la stratégie de l’état de fait. On avance petit à petit en sanctionnant par le droit les conséquences d’un comportement illégal (passible d’un an de prison), qui du coup se généralise. Et un beau jour, on dit : « maintenant qu’on y est autant l’autoriser, ça ne changera rien ». Depuis la circulaire Taubira, c’est toute la politique du gouvernement qui est fourbe en la matière. Cette circulaire, envoyée aux tribunaux d’instance le 25 janvier 2013, affirmait que le « seul soupçon » de gestation pour autrui, ne pouvait plus suffire à « opposer un refus aux demandes de certificat de nationalité française ». En bref, elle favorisait la reconnaissance des enfants nés d’une mère porteuse, ce qui était une manière de dépénaliser en douce la GPA. [...]"

    L'affaire Gammy est pourtant éloquente :

    "Pattaramon Chanbua, une Thaïlandaise pauvre de la province de Chon buri a accepté moyennant l’équivalent de 11 000 euros de porter un bébé pour un couple infertile d’Australiens. En décembre dernier, elle accouche de jumeaux, dont l’un, Gammy, est atteint de trisomie 21, d’insuffisance cardiaque et d’infection pulmonaire. Bref, un produit tout pourri, tout raté,que le couple d’Australiens refuse de ramener à la maison.Dans leur esprit, c’est comme si on leur avait promis une tablette Samsung dernier cri et qu’on leur remettait un minitel en panne. Ils rentrent donc chez les kangourous avec la petite soeur en bonne santé et laissent l’avorton à sa mère porteuse qui a déjà d’autres enfants et n’a pas d’argent pour le soigner. [...]

    D’un bout à l’autre de la planète, on sort les mouchoirs, on évoque l’innocence et on se révolte contre la cruauté des gens et leur absence de morale. [...]"

    Mais l'affaire ne s'arrête pas là :

    "Mais désormais, c’est le sort de la sœur jumelle qui inquiète les Australiens, rapporte notre correspondante à Melbourne, Caroline Lafargue. Ce mardi, des médias australiens ont révélé que le père biologique a été condamné pour des agressions sexuelles sur mineures. David Farnell a un casier judiciaire bien chargé. Cet électricien de 56 ans, installé dans l'Etat d'Australie occidentale, a été condamné à trois ans de prison en 1997 pour des agressions sexuelles sur deux fillettes de moins de 10 ans, quand il était âgé d’une vingtaine d’années, a révélé la chaîne de télévision publique ABC. Il a ensuite écopé d'une deuxième condamnation de 18 mois de prison pour des attouchements sur un autre enfant.

    Choquée, Pattaramon Chanbua, la mère porteuse, se dit prête à élever la jumelle de Gammy pour la soustraire à ce père pédophile. [...]"

    Michel Janva

  • Ebola et califat islamique: l’Armageddon que nous ne voulons pas voir

    L'apocalypse épidémique pour bientôt, dans notre pré carré, et l'apocalypse djihadiste pour couronner le tout.   

    Nos médias ont bien plus traité de l’Ukraine ou de Gaza que du virus Ebola et du califat. Le feu couve pourtant depuis des mois, voire des années, si l’on se réfère à la guerre en Syrie.

    Comment expliquer l’incroyable inertie européenne et américaine, sans parler de l’ONU, et même de l’Église catholique qui a attendu le 12 août pour dénoncer les atrocités islamiques pour lesquelles les mots nous manquent : gazages, égorgements, crucifixions, conversions forcées, enlèvements, vente de filles à peine nubiles, mutilations génitales, exterminations religieuses. L’horreur succède à l’horreur.

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  • Ébola : L’épidémie se répand et est « largement sous estimée » selon MSF et l’OMS

    L’Organisation mondiale de la santé indique sur son site internet avoir des preuves que l’épidémie d’Ébola sévissant actuellement en Afrique de l’Ouest est largement sous-estimée, tandis que Médecins sans frontières (MSF) affirme que l’épidémie «se répand plus vite que [sa] capacité à y faire face», alors que de lourdes conséquences économiques apparaissent.

    Joanne Liu, directrice de MSF a averti qu’il faudrait six mois pour en venir à bout. «Il faut élaborer une nouvelle stratégie, l’Ebola n’est plus confinée seulement dans quelques villages, elle se propage dans une ville d’1,3 million d’habitants, Monrovia.» «Nous avons une totale défaillance des infrastructures». L’ONG a déployé 692 personnes au total, dont 72 expatriés.

    «Les équipes présentent (sur place) voient des preuves» que le nombre de cas et de décès officiellement recensés est en deçà de la réalité, écrit ainsi l’organisation, selon qui une partie du problème réside dans le fait que l’épidémie sévit dans des régions «caractérisées par leur extrême pauvreté, des systèmes de santé défaillants, un manque criant de médecins et une peur rampante». Les pays touchés ont admis ne pas parvenir à contrôler la situation.

    État d’urgence décrété dans quatre pays

     

    La majorité des cas ont été enregistrés en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia. «Ceux qui sont malades seront immédiatement isolés. Les gens seront suivis. Nous ne pouvons pas prendre le risque de laisser entrer quelqu’un sans vérifications», a affirmé Aboubacar Sidiki Diakité, Inspecteur général de la santé et président de la cellule de crise guinéenne.

    Les États-Unis ont demandé aux familles des membres de son ambassade à Freetown de quitter la Sierra Leone, arguant que les soins médicaux «de routine» ne pouvaient plus être assurés, la majorité du personnel médical se consacrant à Ébola.

    «Augmentation massive de la réponse internationale»

    Le Programme mondial pour l’alimentation distribue des denrées à plus de un million de personnes bloquées dans les zones mises en quarantaine, aux croisement des frontières de la Guinée, du Liberia et de Sierra Leone: des cultures pourrissent sur pied à mesure que des fermiers décèdent, les camionneurs ne veulent plus livrer certaines zones tandis que plusieurs lignes aériennes sont interrompues, et les boutiques ferment les unes après les autres.

    Les conséquences économiques de l’épidémie commencent à se faire sentir. Selon une étude publiée par l’agence de notation américaine Moody’s, «l’épidémie risque d’avoir un impact financier direct sur les budgets des gouvernements via une augmentation des dépenses de santé». Certaines compagnies ont décidé d’arrêter ou ralentir leur production en raison des risques, et l’agence évoque également le cas du Nigeria, premier producteur pétrolier du continent, qui pourrait souffrir si les compagnies pétrolières évacuent leur personnel expatrié.

    Si la situation s’aggrave, «les conséquences pour l’industrie pétrolière et gazière de l’Afrique de l’Ouest seront considérables. L’apparition de l’épidémie va dégrader la main d’œuvre locale et probablement inciter les compagnies pétrolières à évacuer leur personnel expatrié, ce qui aurait pour conséquence de fortement limiter la production d’hydrocarbures», prévient l’agence de notation. Les institutions financières internationales (FMI et Banque mondiale) tablent sur une baisse de croissance d’au moins un point dans les pays concernés.

    Le Figaro

    http://fortune.fdesouche.com/351407-ebola-lepidemie-se-repand-et-est-largement-sous-estimee-selon-msf-et-loms#more-351407

  • Sida : Le Grand Mensonge

    Fin juillet s’est tenue à Melbourne la vingtième conférence internationale sur le sida. Étant alité, j’ai eu tout loisir d’écouter ce que la radio en racontait. Ce n’était que triomphalisme. Le sida serait vaincu définitivement d’ici cinq ans par les traitements et notamment la trithérapie.

    Or la revue médicale Nature – la plus connue au monde par la qualité de ses informations avait un tout autre ton. Elle présentait le 27 juillet une étude effectuée chez le singe démontrant que lors de la contamination par le sida – alors que le virus n’était pas encore décelable- se constituaient dans les trois jours des « réservoirs de virus ».

    Tout le problème du sida est là. Une fois ces réservoirs installés il est impossible d’éliminer le virus. Les traitements visent uniquement à ce que le VIH soit indétectable dans le sang ; ce qui ne le supprime pas pour autant. Prenons une comparaison simple : ce n’est pas parce que vous vous êtes débarrassés des souris qui se promenaient dans votre maison que pour autant elles ont disparu.

    Caché dans ces réservoirs constitués de cellules immunitaires infectées, le virus reste inatteignable. Il n’est plus possible de le déloger.

    La Harvard Medical School de Boston a tenté de savoir quand se formaient ces fameux réservoirs. Ils ont administré des traitements rétroviraux à trois jours, 7, 10 et 14 jours. Seuls les macaques ayant été traités dans les trois jours suivant la contagion évitaient la maladie. Ensuite c’était trop tard.

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  • Ebola : de nombreux cas en France ?

    C'est du moins ce qu'affirme Patrick Balkany au Scan le Figaro. Il refuse de citer ses sources mais affirme qu'il vient d'alerter le ministre des affaires sociales et de la Santé sur les cas de virus Ebola recensés en France.

    "J'ai donc demandé dès aujourd'hui au ministre, par une question écrite qui sera publiée au Journal officiel dans les prochains jours, de bien vouloir m'indiquer combien de cas atteints par le virus Ebola avaient, à ce jour, été recensés en France ainsi que leur zone d'importation», écrit-il. «Je lui ai également demandé, au vu de ces cas déclarés en France, qu'une information plus large sur les symptômes de la maladie ainsi que sur la marche en suivre en cas de soupçon d'infection, soit mise en place dans les plus brefs délais», peut-on lire sur le site de Patrick Balkany."

    Le ministère de Marisol Touraine affirme qu'à ce jour, aucun cas de contamination par le virus Ebola n'a été recensé en France. Désinformation ?

    Marie Bethanie

  • Submersion migratoire et plan anti-Ebola


    Submersion migratoire et plan anti-Ebola - Traduction par hussardelamort

  • Sicile : Les policiers fuient en masse par peur des immigrés contagieux

    PALERME (NOVOpress) – 90% d’absentéisme lors du dernier débarquement de clandestins à Palerme : c’est le chiffre donné dans un communiqué par la Consap, le syndicat autonome de la police. Le 7 août, alors que la marine nationale venait débarquer 530 clandestins, 90% des agents théoriquement en service se sont fait porter malades. La raison ? La peur d’être « contaminés par les virus dont les réfugiés [sic]seraient porteurs. Tuberculose, gale, Ebola, telles sont les maladies craintes par les hommes des forces de l’ordre ». Beaucoup de policiers employés dans le cadre de l’opération « Mare Nostrum » auraient déjà contracté la tuberculose.

    La Consap a annoncé qu’elle allait déposer une action de groupe (l’italien garde le terme anglais de class action) contre le Ministère de l’Intérieur, pour défaut de protection des agents. « Il semble, a déclaré le secrétaire de la Consap Giorgio Innocenti, que l’attention accordée aux forces de l’ordre employées dans le cadre de l’opération « Mare Nostrum » soit inversement proportionnelle à l’attention donnée aux migrants : toujours plus d’attention pour ceux qui arrivent en Italie, et toujours moins pour ceux qui défendent l’Italie et qui en garantissent la sécurité. Voilà la raison pour laquelle le nombre de policiers engagés dans les opérations d’accueil aux réfugiés et qui ont été contaminés par la tuberculose ou décelés positifs au test de Mantoux, augmente de manière inquiétante ».

    Comme de bien entendu, la préfecture de Palerme a démenti ces affirmations dans un communiqué de pur style administratif« L’indisponibilité temporaire [de certains policiers] n’a nullement affecté l’efficacité ou compromis les conditions de sécurité des activités d’accueil qui, après s’être déroulées dans le plus grand respect des protocoles sanitaires en vigueur et en utilisant correctement les dispositifs de protection individuels, se sont même terminées en avance par rapport à l’horaire prévu ». Voilà qui est rassurant.

    http://fr.novopress.info/173380/sicile-les-policiers-fuient-en-masse-peur-immigres-contagieux/#more-173380

  • Ebola sera-t-il pire que la peste ou le choléra ?

    L’épidémie actuelle, bien qu’étant la plus importante depuis la découverte du virus, reste cependant modérée et localisée, si on la compare à des épidémies plus banales telles que celles de la grippe.   

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété, le 8 août, que le virus Ebola représentait « une urgence de santé publique de portée mondiale », estimant qu’il fallait une réponse internationale coordonnée pour arrêter sa propagation. Rien de plus normal car cette épidémie est la plus importante qu’on ait connue depuis la découverte du virus en 1976, date à laquelle elle avait causé la mort de 431 personnes.

    Le virus se transmet par contact avec des tissus, le sang ou des sécrétions biologiques de sujets infectés. Le risque est donc important pour les soignants et l’entourage du malade, mais relativement faible pour le reste de la population, et en aucun cas comparable à la contagiosité du virus de la grippe, qui est heureusement moins dangereux mais cependant responsable, rappelons-le, de 3.000 à 5.000 morts par an en France. Ces notions devraient rester présentes à l’esprit de nos responsables médiatiques afin d’éviter, à l’avenir, des commentaires aussi délirants que ceux auxquels nous avons eu droit en 2009 lors de l’épidémie de grippe H1N1.

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  • Garches refuse l’accès aux soins pour les enfants malades

     

    E&R TV Île-de-France, s’est rendu à l’hôpital de Garches, le mardi 5 août, suite à l’appel désespéré de Sophie, la maman du petit Hugo 5 ans, qui se trouvait en aplasie (grave dysfonctionnement cellulaire) et à qui le médecin pédiatre qui a repris en charge le service du Dr Delépine suite à son départ à la retraite, refusait les soins depuis le 30 juillet.

    Le lendemain du tournage de cette vidéo, nous apprenions avec consternation que les enfants étaient évacués par la force du service, au mépris des règles de sécurité pour leur santé…

    Communiqué de l’association AMETIST :

    Situation 7 août à 12h30

    Alors qu’à 18h30 hier soir, la direction de l’hôpital s’est présentée aux parents avec un document administratif exigeant l’évacuation immédiate des patients du service ; les parents se sont opposés et ont exigé une décision judiciaire assortie d’un examen par un de leurs médecins référents oncologues pour évaluer s’ils étaient transportables et dans quelles conditions d’accueil.

    Le Dr Delépine est venue à Garches à la demande expresse des parents mais n’a pas été autorisée à franchir l’entrée de l’hôpital.

    Parallèlement, devant la présence de médias devant l’hôpital également, radios et télés, M. Poimboeuf, directeur général adjoint est venu rencontrer en huit-clos les journalistes sans rencontrer les familles. Il a pourtant exprimé que le « dialogue » se poursuivait mais que les familles refusaient les soins. Ce qui a entraîné, quand les journalistes ont raconté leur entrevue aux parents présents devant l’hôpital dont des mamans d’enfants encore hospitalisés, une vague de colère et de désespoir devant tant de mensonges donnés à la presse sans présence des parents .

    Les parents ont précisé que le refus de soins c’est le Pr Chevallier qui le pratique ; c’est lui qui interdit les admissions indispensables le 5 août en les traitant de « pipo », dénonciation calomnieuse à l’égard des parents concernés et du médecin qui a prescrit ces hospitalisations. C’est lui qui enlève les perfusions de force d’un patient en soins, c’est lui qui interdit aux infirmiers de pratiquer les soins réclamés de façon répétitive.

    C’est lui qui raconte que les quatre parents présents sont le noyau résistant comme si tous les autres avaient accepté cette fermeture. Ils ne sont pas hospitalisés parce que le Pr Chevallier a refusé leur admission depuis une semaine en fermant à clef chaque chambre après une sortie et en faisant déménager le six août l’essentiel du matériel médical.

    Croit-il que ses décisions iniques seront irréversibles par des artifices matériels ?

    À cet instant, 12h30, les enfants sont toujours dans le service, sans nouvelles.

    Il a été dit à un patient venu en demande de consultation, qui demandait où il devait aller : " Débrouillez-vous. "...

    Les patients sont en errance médicale et appellent leurs docteurs sur leurs portables car les médecins référents de l’unité sont de fait injoignables depuis plus d’une semaine sur ordre du Pr Chevallier.

    Est-ce ce que l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (APHP), la direction et le Pr Chevallier entendent par " continuité des soins et sécurité assurée " ? Ils auront à en répondre en justice mais en attendant les parents et enfants hospitalisés, mais aussi la grande cohorte de patients suivis depuis longtemps, souffrent !

    Point sur les faits et les demandes des parents

    Les parents revendiquent les soins qui leur sont refusés par l’hôpital depuis la semaine dernière (refus d’hospitalisation d’enfants nécessitant des chimiothérapies et des soins en fonction de leur état, refus de soins du Pr Chevallier pour les enfants hospitalisés contrecarrant les prescriptions des pédiatres référents sur place même avant de les avoir débarqués).

    Le pédiatre, non oncologue, M. Chevallier a dit que ce sont de " faux-malades ", des admissions « pipo » en conférence de presse de l’APHP le 5 août Organisation volontaire de la non-possibilité d’assurer les soins par l’APHP en mettant à pied les médecins actuellement en service afin de pouvoir évacuer les patients. La direction a prévenu les parents qu’elle interdirait la venue d’un huissier mandaté par l’Association pour faire un constat. Pourquoi la direction, si tout est clair, refuse-t-elle la venue d’un huissier ? Les camions de déménagement ont commencé à enlever du matériel dans le service dès hier, alors que des patients sont toujours dans le service. Quatre vigiles sont en fonction 24/24 devant les entrées du service, personne ne peut entrer sans être « accrédité » par la direction chaque jour via une liste de personnes habilitées.

    Tout au long de la journée du mercredi 6 août 2014, on notait la présence de policiers en civil, de personnes des R.G. sur le site de l’unité d’oncologie pédiatrique de Garches. Le SAMU était présent dès le matin (déclaration par personne assermentée).

    En résumé l’APHP poursuit la fermeture à la hussarde de l’unité de Garches contre toutes les procédures légales et a fortiori humaines. Est-ce là la vocation de l’Hôpital Public ? 

    Marche pour la liberté thérapeutique samedi 9 août

    Nos enfants sont les pigeons de l’APHP et de la république qui se moquent de satisfaire correctement à la continuité des soins qui leur est nécessaire ! La direction demande désormais que les enfants soient renvoyés vers n’importe quelle structure hospitalière du moment qu’ils ne sont plus à Garches ! Nos médecins malmenés par l’administration et le Pr Chevallier sont désormais interdits dans le service.

    Pour que les enfants aient la même chance devant le cancer et que l’autonomie du service perdure : enfants, parents, thérapeutes... venez marchez avec nous le samedi 9 août (Début du rassemblement à 14h30) départ 15h devant l’hôpital Ambroise Paré (9 ave Charles de Gaulle Boulogne-Billancourt), les pigeons symboliseront notre action.

    Point presse : samedi 9 août, 17h30 devant l’entrée de l’hôpital.

    Contact Presse :

    Carine Curtet

    06 08 41 71 12

    carine.curtet@gmail.com