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social - Page 152

  • La CAF victime de fraudeurs fantômes

    Les prestations sociales ont toujours attiré les fraudeurs et ce n’est pas Charles Prats qui dira le contraire. Dans une interview accordée au Figaro, l’ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude affirme que de nombreux allocataires de la CAF frauderaient aux prestations sociales. Et Charles Prats va encore plus loin. En effet, il avoue qu’un grand nombre de ces fraudes seraient opérées par des étrangers. Selon des documents qu’il a transmis à la commission d’enquête parlementaire en cours sur le sujet, 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations sociales. Problème…. selon les chiffres de l’Insee et des organismes sociaux, il ne devrait en exister qu’un maximum de 9,9 millions. Ainsi, chaque mois, ce sont près de 2,5 millions de fraudeurs fantômes qui passent à la caisse et touchent des aides sociales.

    C’est donc un véritable pavé dans la mare que jette Charles Prats. L’ancien magistrat dit avoir transmis les données à l’Assemblée nationale début mars, mais il déplore, depuis, le silence du ministère des Affaires sociales.

    Il faut dire que le montant de cette fraude peut donner le tournis… 30 milliards d’euros par an. Et la facture totale pourrait être encore plus vertigineuse. Ces 30 milliards ne concernant que la fraude potentielle à l’immatriculation sociale, il faut potentiellement rajouter les autres types de fraudes sociales.

    Pour mettre fin à ces pratiques, Charles Prats préconise de recertifier tous les numéros de Sécurité sociale en intégrant les empreintes digitales de chacun. Cependant, la lutte contre la fraude aux prestations sociales tétanise les responsables politiques et haute administration qui ne veulent pas être accusés de faire la chasse aux pauvres et aux étrangers.

    Thibault Bastide

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-caf-victime-de-fraudeurs-fantomes-thibault-bastide

  • Coronavirus en Bretagne : « Sacrifiée » en 2018, l’usine de fabrication de masques peut-elle ressusciter ?, par C. Allain et R. Le Dourneuf.

    Image datant de 2005 de l'usine de fabrication de masques de protection à Plaintel. L'usine a fermé en 2018. — F. Dufour / AFP

    Source : https://www.20minutes.fr/

    EPIDEMIE A Plaintel, dans les Côtes d’Armor, des millions de masques étaient fabriqués chaque année jusqu’à la fermeture du site en 2018.

    Une usine de fabrication de masques a été fermée en 2018 à Plaintel dans les Côtes d’Armor.

    Moins de deux ans après, la demande en masques est énorme en raison de l’épidémie de coronavirus. Emmanuel Macron a appelé à une relocalisation de la production.

    L’ancien directeur du site fermé par le groupe américain Honeywell réfléchit à relancer l’usine mais le site a été vendu et les machines ont disparu.

    La crise mondiale du coronavirus a réveillé bien des maux. La casse des hôpitaux publics ou encore l’hyper dépendance au marché chinois en sont quelques exemples. A Plaintel, dans les Côtes d’Armor, c’est une cicatrice pas encore soignée qui s’est remise à saigner. Dans cette petite commune proche de Saint-Brieuc, on constate avec effroi que la France manque de masques de protection contre l’épidémie de Covid-19. Car ici, on se rappelle qu’il y a moins de deux ans une entreprise locale en fabriquait des millions, jusqu’à ce qu’elle soit « sacrifiée » par le groupe américain Honeywell, parti avec les machines et le savoir-faire pour un site délocalisé en Tunisie. « On a vu certaines machines être démontées et jetées à la benne pour être vendues à des ferrailleurs. Alors qu’elles marchaient très bien. C’est un immense gâchis », lâche une ancienne salariée de l’usine, amère.

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  • Charles Prats: « La fraude sociale, c’est 30 milliards d’euros par an »

    Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.

    LE FIGARO.- L’Allemagne consacre au financement de ses dépenses de santé une part de richesse équivalente à celle de la France, affiche une pression fiscale moindre, et pourtant, son système de santé a mieux résisté que le nôtre. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?

    Charles Prats.– L’Allemagne a beaucoup plus de lits d’hospitalisation par rapport à sa population que la France, et il y a plus de médecins et moins de personnels administratifs dans les établissements de santé. Schématiquement, en Allemagne, on dépense plus d’argent pour soigner que pour administrer. En France, le débat se focalise souvent sur les impôts. On se chamaille pour savoir qui va se faire taxer et de combien. La question fondamentale devrait d’abord être: comment l’argent public est-il dépensé ?

    Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB. Où va l’argent ?

    Regardez l’état de nos armées, de notre police, de notre justice… (Suite de l’interview dans le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1370115-charles-prats-la-fraude-sociale-cest-30-milliards-deuros-par-an

  • Aujourd’hui, 39 millions de personnes ne vivent que des revenus de l’État ou des collectivités publiques !

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    Au 30 avril, la France comptait 39 millions de personnes dont les seuls revenus proviennent de l’État, des caisses sociales et des collectivités. Faisons le point :
    – 3,5 millions de chômeurs toutes catégories ;
    – 11,3 millions de chômeurs à temps partiel ;
    – 5,5 millions de fonctionnaires (État, collectivités, caisses sociales, hôpitaux) ;
    – 3,5 millions d’allocataires aux minima sociaux (RSA, ASS) ;
    – 1,1 million de titulaires de l’allocation adulte handicapé ;
    – 14,3 millions de retraités.

    Faites le compte : ce sont près de 39 millions de personnes qui ne vivent que de revenus de l’État, sur une population totale de 67 millions, soit près de 60 %. Cela veut donc dire que 40 % des Français qui tirent leurs revenus du secteur marchand doivent assurer les revenus de 60 % d’autres. Et encore, ce chiffre ne tient pas compte des allocations que touchent les fameux 40 % qui ne vivent pas exclusivement de revenus de l’État : allocations familiales, allocations logement, prime d’activité, etc. Si l’on rapporte à la population active, c’est encore plus effrayant : sur 30 millions d’actifs, 24 millions sont actuellement dépendants des revenus de l’État…

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  • 1er mai, fête du travail et de la concorde sociale.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Il existe deux manières de fêter le 1er mai ; deux approches antagonistes qui témoignent que pour certains la lutte des classes, même repeinte aux couleurs rouges, roses et arc-en-ciel de l'extrême gauche mondialiste, écolo et sociétale, restent une réalité tandis que pour d'autres la valeur Travail répond de la cohésion nationale.
    La première est celle de ceux qui s'inscrivent dans la très gauche ligne des organisations syndicales et politiques qui initièrent aux Etats-Unis d'abord, en France ensuite à partir de 1889 sous l'impulsion de la Deuxième Internationale, le 1er mai comme journée internationale des travailleurs destinée à activer les luttes et à célébrer les actions ouvrières et révolutionnaires. Ceux là, CGT et FO en tête, suivies de près par l'ensemble des structures du Système, feignent d'oublier que ce jour fut décidé férié par la loi du 24 avril 1941.

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  • Vers la fin des «ponts» du mois de mai?

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    Ex: http://www.europemaxima.com

    Geoffroy Roux de Bézieux, le président du MEDEF, le syndicat du CAC 40, ne fait pas dans la nuance. Dans un entretien au Figaro du 10 avril dernier, il déclarait que pour sortir de la crise économique imputée au coronavirus, Les Français devraient travailler plus longtemps, avoir moins de congés payés et accepter de perdre des jours fériés. La rengaine n’est pas nouvelle. Elle démontre qu’en digne héritier des négriers industriels des XIXe et XXe siècles, le MEDEF s’accroche encore à de vieilles lunes.

    L’automatisation, l’informatique et la robotisation modifient durablement les conditions de travail. Déjà, à la fin des années 1960, les grands patrons ont poussé Pompidou à privilégier l’immigration de main-d’œuvre étrangère aux dépens de l’installation, certes coûteuse au départ, des premières chaînes de montage automatiques qui auraient probablement évité l’actuel « Grand Remplacement ».

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  • TEMOIGNAGE. “La grande distribution profite du confinement pour écraser les prix” Des éleveurs arrêtent leurs ventes

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    Depuis le début du confinement, la fermeture des restaurants et de beaucoup d'entreprises, la grande distribution est devenue le seul débouché pour les producteurs. Mais selon les éleveurs, elle en profite pour baisser encore les prix. Des éleveurs ont décidé de cesser de vendre leurs bêtes.

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  • Quoi qu’il en coûte !

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    Pieter Kerstens 

    Lors de son allocution au peuple Français le 12 mars dernier, le docteur Micron avait affirmé à trois reprises qu’il fallait soutenir l’économie française, pour éviter la grande crise, « quoi qu’il en coûte ». C’est donc l’Etat Providence qui se chargera de distribuer des revenus, des aides, des subventions, des dons et des prêts, aux sociétés comme aux personnes physiques, afin de sauver l’économie, victime des erreurs de stratégie et des mauvais choix du pouvoir en place.

    Pourtant il faut se souvenir que le Président français avait déclaré le 12 juin 2018 que les services sociaux dans l’Hexagone, « cela coûte un pognon de dingue » alors que les gens restent quand même pauvres. Il fallait selon lui, les responsabiliser davantage.

    Et on a pu se rendre compte que les assistants du docteur Micron sont mauvais, qu’ils mentent à longueur de temps à propos des « masques inutiles », des tests de détection pour les malades contaminés, des appareils respiratoires, des mesures de distanciation ou encore des fermetures des lieux de loisirs à ciel ouvert. Les ministres sont de piètres clowns au sein du Coronacircus.

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  • Crise du CORONAVIRUS «Le Socialisme Tue !»

  • N’acceptons plus l’inacceptable !

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    Notre pays naufrage. La crise sanitaire actuelle pourrait bien le couler par le fond, tant la gestion de cette épreuve par le pouvoir actuel est catastrophique.

    Il est inacceptable qu’à peu de temps de la date à laquelle les Français sont censés recouvrer une partie de leur liberté, et plusieurs mois après le début de la crise, les autorités sanitaires demeurent incapables de leur assurer les équipements de protection indispensables, dont les masques et les tests nécessaires.

    Il est inacceptable qu’il soit interdit aux pharmacies de proposer des masques sanitaires au public ; et que l’on interdise, par décret, aux médecins libéraux d’exercer leur art par les prescriptions qu’ils jugent les plus appropriées aux cas de Covid-19 qu’ils sont amenés à traiter.

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