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social - Page 150

  • Restauration et Covid-19 – Cauchemar en cuisine : Les filières d’excellence française « flinguées » par des mesures absurdes

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    Marseille, Perpignan, Nantes, Nîmes, Lyon, Toulouse ou encore Grenoble : ils ont été plusieurs milliers, dont une majorité écrasante de restaurateurs, à avoir répondu ces derniers jours aux appels à manifester lancés par l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie et autres organisations, pour crier leur colère et leur immense désespoir face aux nouvelles mesures imposées par le gouvernement en vue du prochain déconfinement. Des mesures le plus souvent sans queue ni tête, injustes, et dont l’absurdité pourrait prêter à sourire si elles ne risquaient pas, hélas, de couler (entre autres) ces deux filières d’excellence française que sont la restauration et le tourisme.

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  • Risques de coupures de courant cet hiver : « La France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne »

    Les possibles coupures de courant d’énergie sont la conséquence du fait que nous avons pris la décisions de délaisser le secteur nucléaire, analyse Jean-Louis Butré. Selon le membre du groupe d’experts «Énergie et Vérité», l’éolien et les énergies renouvelables sont bien moins fiables en comparaison. […]

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  • Novembre 2020 : meilleur mois de l’histoire du CAC 40

    Alors que de nombreux commerçants et artisans français sont dans la peine en ce mois de novembre noir, menacés de faillite et de ruine à cause d’un gouvernement en-dessous de tout – avec des tragédies humaines et suicides qui s’accumulent – les grandes entreprises prétendument « françaises » (du moins leurs propriétaires) n’ont visiblement pas trop à se plaindre :

    « Paris porte son avance à +2% sur la semaine écoulée et +24% depuis le 30 octobre, un krach à la hausse sans précédent, même après 50% de baisse sur 18 mois comme en 2003 et 2009: ce mois de novembre est le plus haussier de l’histoire du marché parisien. » (source)

    Rarement la distorsion entre l’économie réelle, à taille humaine, et le capitalisme financier n’aura été si criante.

    http://www.contre-info.com/novembre-2020-meilleur-mois-de-lhistoire-du-cac-40

  • 20% des Français reconnaissent être à découvert chaque mois, selon une enquête

    Selon une enquête du comparateur de frais bancaires en ligne Panorabanques.com pour Le Parisien , un Français sur six reconnaît à découvert au moins une fois dans l’année et 20% d’entre eux le sont tous les mois. L’étude précise également que le découvert autorisé s’élève à «235 euros en moyenne sur dix jours par mois, cinq fois par an».

    (…) Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/20-des-francais-reconnaissent-etre-a-decouvert-chaque-mois-selon-une-enquete

  • Le repos dominical, conséquence d'une catastrophe minière

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    Au lendemain de la tragédie de Courrières, le gouvernement radical-socialiste de Ferdinand Sarrien fut contraint de légaliser le repos dominical pour calmer la colère populaire.

    Le matin du samedi 10 mars 1906, se produisit près de Courrières, dans le Pas-de-Calais, une catastrophe minière qui tua officiellement 1099 personnes. Un coup de grisou (explosion de gaz) suivi d'un coup de poussier (inflammation de la poussière de charbon) provoquèrent une flamme qui parcourut en deux minutes 110 kilomètres de galerie dans trois des fosses exploitées par la Compagnie des mines de Courrières, où se trouvèrent pris au piège, à 340 mètres de fond, quelque 1700 mineurs et galibots (âgés de 14 ou 15 ans).

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  • Un chroniqueur du Point propose une taxe de 10 % sur les retraites

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    Julien Damon est chroniqueur au Point et aux Échos, et professeur associé à Sciences Po. Il dirige, également, une société de conseil et a appartenu, un temps, au cabinet de M. Fillon, alors Premier ministre.

    Dans un article du Point, il propose une mesure révolutionnaire : taxer les pensions des retraités de 10 %. Bien sûr, M. Damon suggère que les titulaires du minimum vieillesse ou ceux qui perçoivent de petites retraites soient épargnés, mais que tous les autres soient assujettis à ce prélèvement confiscatoire.

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  • I-Média n°323 – Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique

    L’image de la semaine

    Les journalistes de Quotidien se transforment en zélés auxiliaires de police.

    Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique

    C’est un documentaire qui a été vu en quelques jours par des millions de Français. À la fois pertinent et approximatif, voire parfois mensonger, Hold-Up n’en est pas moins un symbole frappant de cette colère sourde qui traverse la société française.
    Une colère à laquelle les médias répondent par un mépris hallucinant.

    Revue de presse

    USA : violences des antifas et fraude électorale

    Aux États-Unis, la mobilisation des partisans de Trump continue, moquée par les médias français.


    https://www.tvlibertes.com/i-media-n323-hold-up-colere-approximations-et-mepris-mediatique

  • Pierre-Yves Rougeyron : Thérapie de choc ou la casse sociale derrière la crise sanitaire

  • Le repos du dimanche, conquête de la droite sociale

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    Le Comte Albert de Mun fut en son temps le meilleur orateur de la Chambre

    La querelle autour du repos dominical, que les matérialistes voudraient supprimer, a connu depuis deux siècles de multiples rebondissements. C'est la droite « légitimiste » et catholique qui, dès le XIXe siècle, conduisit la bataille pour arracher à une gauche libérale et anticléricale cet « acquis social ».

    Pendant des siècles l'Ancien Régime avait imposé le respect du « Jour du Seigneur » et celui des fêtes chômées. Au XVIIIe siècle, les « philosophes » lui livrèrent les premières attaques, comme Voltaire, qui jugeait économiquement plus utile que le peuple travaillât le dimanche, « au lieu d'aller boire au cabaret les jours de fête après la sainte messe ». La guerre au dimanche ainsi déclarée devait aboutir sous la Révolution française, qui, en vendémiaire an II (octobre 1793) remplaça la semaine de sept jours par la décade, comptant dix jours. Les travailleurs perdaient au change, puisque, de ce fait, l'année ne comptait plus que 36 jours de repos - les décadis -, contre 52 dimanches auparavant sans compter les fêtes chrétiennes. Encore l'obligation de ce congé du « décadi » fut-elle limitée en l'an VIII (1800), sous Bonaparte, aux seuls « fonctionnaires publics et agents salariés du gouvernement ». Deux ans plus tard, après la signature du Concordat signé entre le Premier Consul et Pie VII, on revint au calendrier grégorien, mais le repos du dimanche resta réservé aux fonctionnaires.

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  • Les territoires oubliés de la République (texte de 2014)

    Les territoires oubliés de la république .jpegNous avons déjà eu l'occasion d'entretenir nos lecteurs du livre de Christophe Guilluy, La France périphérique, qui a reçu le Prix des impertinents. Son sous-titre Comment on a sacrifié les classes populaires, dit bien l'importance de cette publication. C'est ce qui nous conduit à vous en proposer ici une vraie recension.

    Remarqué pour ses Fractures françaises (2010, rééd. 2013), Christophe Guilluy présente cette année dans La France périphérique une synthèse claire sur cette reconfiguration, encore mal analysée par le discours officiel et qui échappe aux hommes politiques. La vraie menace pour le pouvoir ne vient pas des zones urbaines, dites sensibles, trop longtemps choyées par la peur d'un embrasement, mais de ces territoires en marge des métropoles. « Ainsi, la question sociale n’est pas circonscrite de l'autre côté du périph, mais de l’autre côté des métropoles, dans les espaces ruraux, les petites villes, les villes moyennes, dans certains espaces périurbains qui rassemblent près de 80% des classes populaires. » Dans ces territoires oubliés des politiques de la ville se met en place une véritable contre-société subversive. Cette France des petits blancs délaissés, qui va des Bonnets rouges aux victimes des plans sociaux, ne profite pas des joies de la mondialisation heureuse. Jamais le pays n’a paru aussi coupé entre les métropoles, adeptes du libéralisme à tout crin et du multiculturalisme, et les territoires oubliés des nouvelles couches populaires.

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