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social - Page 155

  • Le point de vue de Marc Rousset sur l'affaire Suez/Véolia.

    La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.

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  • Pourquoi la dette de plus de 2 300 milliards ne se règlera que par l’esclavagisme et le sang du peuple

    Par Valérie Bugault, Docteur en droit, ancienne avocate fiscaliste, analyste de géopolitique juridique et économique

    Le sang est la face sociale et politique de la dette. Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, dans cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées.

    Autrement dit, l’endettement conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, elle est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2 315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, nous allons voir que l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.

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  • Charles Prats, auteur d'un livre sur la fraude sociale, invité de Bistro Libertés


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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Charles Prats : « Les millions de fantômes du système de protection sociale représentent 50 milliards d’euros ! »

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    On apprend aujourd’hui que la dette de la Sécurité sociale sera vertigineuse : estimée, il y a un an, à 5,4 milliards d’euros, le déficit du régime général et du fonds de solidarité vieillesse est, désormais, évalué à 44,4 milliards d’euros pour 2020. Tandis que la fraude aux prestations sociales, elle, est bien réelle, estimée à 50 milliards d’euros par Charles Prats, auteur du Cartel des fraudes : les révélations d’un magistrat français.

    Entretien avec le magistrat et retour sur ces révélations au micro de Boulevard Voltaire.

  • Covid-19 : bientôt la révolte ? – JT du lundi 28 septembre 2020

    Au sommaire de l’actualité de ce soir, retour sur les dernières décisions du gouvernement relatives au Covid-19. Alors que les restaurants et bars de nombreuses villes ont été contraints de fermer, la France fait toujours les frais de dysfonctionnements importants. Depuis plus de 8 mois, l’exécutif enchaîne les décisions contradictoires et suscite de plus en plus de défiance dans la population.

    Également dans cette édition, Nicolas Dupont-Aignan rempile pour 2022. Samedi, lors de son grand meeting de rentrée, le président de Debout la France a annoncé sa candidature pour la prochaine élection présidentielle.

    Et puis nous reviendrons également sur le résultat des élections sénatoriales. Un scrutin qui s’est déroulé en toute discrétion et où les partis traditionnels ont tiré leur épingle du jeu.


    https://www.tvlibertes.com/covid-19-bientot-la-revolte-jt-du-lundi-28-septembre-2020

  • Crise sanitaire : à quand la fin de la paralysie ?, par Floris de Bonneville.

    Des milliards de déficit. Des milliards qui tombent du ciel mais qu’il faudra que nos descendants remboursent bien un jour. Des décisions à l’emporte pièce et contradictoires prises dans l’atmosphère ambiante d’une psychose collective qui émane de nos gouvernants. Des Français sans visage. Des maladies graves qui passent au second plan.

    La déprime, la catastrophe à tous les niveaux, économique, sociale, morale. En quelques mois, , qui aura tout dit et surtout son contraire, aura abandonné la France à la peur. Certes, rarement, sauf en cas de guerre, un chef de l’Etat aura eu à affronter un tel défi. En 14-18 et 39-40, ce défi était qu’il fallait vivre avec la guerre et l’occupation. En 2020, notre Président et ses deux assistants successifs n’auront pas été capables de nous faire vivre avec le virus.

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  • Le retour des centrales à charbon, un crime français

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    Depuis 40 ans, c’est-à-dire depuis la fin de la présidence Giscard, la France est exportatrice d’électricité. Vitrine de l’excellence française, jamais le moindre problème, jamais le moindre accident. Et une électricité parmi les moins chères du monde. Ah, mais ! Il fallait que cela cesse. On a arrêté d’autorité les deux réacteurs de Fessenheim qui fournissaient 75 % de l’électricité d’Alsace-Lorraine.

    Et aujourd’hui, zéro. Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.

    Cette décision infantile a déjà sa sanction, qui va sans doute satisfaire le gamin : ce mois-ci, et malgré les températures estivales, EDF a dû rallumer ses centrales à charbon pour faire l’appoint, informe LCI. Ça ne s’était jamais vu en dehors des vagues de froid de l’hiver.

    Comment est-ce possible ?

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  • Contre le chômage, ni étatisme ni "laisser-tomber" !

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    La crise sanitaire actuelle ouvre la porte à de nombreuses autres crises, et le cycle infernal dans lequel nos pays semblent entrés sans savoir où se trouve la sortie n’est pas pour rassurer nos concitoyens : selon un sondage publié par l’Unedic jeudi dernier, et que rapporte Le Figaro dans son édition du vendredi 25 septembre, « la quasi-totalité des Français (93%) a le sentiment que le chômage peut toucher tout le monde », donc soi-même, et c’est bien la survenue de la Covid 19 dans le paysage sanitaire qui a aggravé ce sentiment fort et anxiogène : « 73% des Français estiment que la situation s’est dégradée en raison du Covid-19. Un chiffre qui bondit de 27 points par rapport à la première vague de l’enquête réalisée avant le confinement et publiée en avril par l’organisme en charge de l’assurance-chômage. » Cela rompt avec le (relatif) optimisme qui pouvait, au moins dans les milieux gouvernementaux, prévaloir avant janvier dernier : le nombre de chômeurs s’était stabilisé, sans pour autant diminuer de façon assez significative pour indiquer une inversion de tendance véritable. D’autant plus que, ces dernières années, on assiste à la montée inquiétante d’un précariat qui correspond aussi à l’ubérisation de l’économie et de la société, et qui doit nous interroger sur les définitions du travail et de l’emploi.

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  • Ruraux et urbains, vers une convergence des luttes ?

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    Boulevard Voltaire publiait vendredi le résultat du sondage “Le mouvement des gilets jaunes a-t-il encore un avenir ?”, le oui ne l’emportant qu’à la faible majorité de 56 %.
    À voir les réactions de Marseille au sort qui lui est fait par le pouvoir parisien, on peut se demander si l’avenir des GJ ne serait pas plutôt, selon l’expression houellebecqienne, dans l’extension du domaine de la lutte. Quand Samia Ghali – qui en tant que maire adjoint a rang d’officier de police judiciaire -, déclare tout de go que « La police municipale ne verbalisera pas les restaurants et bars ouverts », c’est qu’elle se sent forte d’un soutien populaire qui dépasse visiblement celui des cafetiers et restaurateurs.

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  • Un reconfinement qui n’ose pas dire son nom ?

    Fermeture pour 15 jours des bars et restaurants en Guadeloupe et dans la métropole d’Aix-Marseille, importantes restrictions horaires pour les commerces de nombreuses grandes villes de France, forte limitation des rassemblements publics… Ceux qui s’attendaient à ce que l’Etat donne un sérieux « tour de vis » mercredi, à l’occasion de la présentation par le ministre de la Santé des nouvelles restrictions décidées par le gouvernement pour tenter d’enrayer la progression de l’épidémie de COVID-19, n’auront pas été déçus. Au point que certains, devant la sévérité de ces nouvelles mesures, se demandent aujourd’hui si celles-ci ne cachent pas un reconfinement qui n’ose pas dire son nom.

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