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social - Page 149

  • Le populisme, condition du réveil des peuples (2010) 1/2

    Les dirigeants occidentaux se méfient du peuple. Le plus souvent, ils refusent de prendre en compte l'expression de ses choix. Ou bien encore ils tentent de biaiser les modes de son expression publique. Les modifications de lois électorales y contribuent à l'occasion, instaurant un seuil de voix pour avoir des élus, envisageant telle mesure pour empêcher quadrangulaires ou triangulaires. D'une façon ou d'une autre, et ne serait-ce que par l'abstention, le peuple manifeste qu'il n'adhère pas à ces caricatures de démocratie. Il ne veut pas n'avoir le choix qu'entre des partis, UMP ou PS ou prétendus écologistes, qui sont d'accord sur des points aussi essentiels que la construction d'une Europe libérale, et plus précisément libre-échangiste, et sur une idéologie qui désarme les peuples d'Europe, l'idéologie dite « des droits de l'homme ».

    Entre l’islamisation et américanisation des moeurs

    L'électeur ne veut pas cautionner des "libéraux", souvent libéraux-libertaires qui, par un paradoxe apparent, sont d'accord pour instaurer une société de plus en plus policière, sécuritaire sans sécurité réelle, inégalitaire et communautarisée.

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  • La dette, source d'injustice et de violence (2010) 2/2

    Sortir de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) pour combattre la désindustrialisation et la concurrence asiatique ? Impossible pour cause de dogme mondialiste ! Supprimer les prestations aux immigrés de Seine-Saint-Denis ? Également impossible ! Cela ferait "fâcho" et il y aurait des émeutes. Surtaxer les riches et les banquiers ? Très difficile, car ils font du chantage à la fuite des capitaux. Une idée pourrait venir : celle d'euthanasier les personnes âgées qui coûtent cher à la collectivité. Ce serait dommage car les anciens sont porteurs d'une mémoire renvoyant à des époques où les valeurs étaient autrement plus nobles qu'aujourd'hui. L'avantage c'est que les personnes âgées ne fabriquent pas de cocktails Molotov et ne caillassent pas les policiers. Alors hop, tant pis pour la mémoire, un petit coup de zyklon et ciao les petits vieux !

    Trêve de très mauvaise plaisanterie (mais est-ce vraiment une plaisanterie ?), ceci pour dire qu'on fera payer non pas ceux qui le méritent le plus, mais ceux qui résistent le moins, par exemple les retraités. Au demeurant, des projections indiquent que repousser d'un an ou deux l'âge de départ en retraite ne permettra probablement pas d'équilibrer les comptes et encore moins de résorber la dette de la France. Par conséquent, tout ou presque est bloqué et l'endettement de la France va continuer.

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  • La dette, source d'injustice et de violence (2010) 1/2

    Pourtant à l'origine de la crise actuelle, dont on s'attend à une aggravation, l'endettement est pour le moment la seule vraie réponse apportée à cette crise. Impossible en effet pour les États de se désendetter sans causer une grave dépression économique.

    Aux États-Unis, le secteur privé est toujours très endetté. Début avril, le Wall Street Journal révélait ainsi que les 18 plus grandes banques américaines auraient dissimulé en moyenne 42 % des dettes figurant au passif de leurs bilans grâce à des artifices comptables. En France et ailleurs en Europe, les banques sont sommées par les ministères de prêter (d'endetter...) plus aux particuliers et aux entreprises de manière à ne pas fragiliser la reprise.

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  • Télétravail, fraudes au chômage partiel : les impacts du grand confinement

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    Beaucoup d’employés ont pris goût au télétravail car ils évitent ainsi les trajets parfois très longs, ils s’organisent mieux chez eux (s’ils n’ont pas des enfants trop accaparants). Cependant, si le télétravail va désormais prendre une importance qu’il n’avait pas avant le Covid-19, le passage au bureau restera indispensable, au moins un ou deux jours par semaine.

    Nombre de managers doivent, désormais, ruser pour attirer leurs collaborateurs au siège de l’entreprise. En effet, si les projets déjà définis et avancés peuvent être développés chez soi, avec des vidéoconférences pour régler les problèmes qui se posent, il n’en est pas de même des nouveaux dossiers, qu’il faut souvent monter à partir du néant. Avoir un interlocuteur devant soi et non derrière une caméra est alors indispensable. Pour arriver à leurs fins, les managers placent une réunion en présentiel obligatoire, collectif ou en tête-à-tête, un jour défini de la semaine, invitent à déjeuner, s’appuient sur leur propre exemple. Heureusement pour les dirigeants, la part du télétravail va s’éroder spontanément, les employés se lassant de rester sans cesse chez eux (le célèbre logiciel Zoom de vidéoconférence provoque déjà des burn out), même si une partie de leur travail restera délocalisée. On peut espérer de cette nouvelle organisation des gains de productivité importants et des économies sur le nombre de bureaux nécessaires pour les entreprises. Cela sera bien utile à l’économie à la dérive de la France.

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  • Macron a tort : la rentrée ne sera pas difficile, mais apocalyptique

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    Par Marc Landré *

    Emmanuel Macron l’avait déjà laissé entendre le 14 juin, lors de sa dernière adresse télévisée à la nation. « Notre pays va connaître des faillites et des plans sociaux multiples en raison de l’arrêt de l’économie mondiale », avait prévenu le chef de l’État, en appelant déjà à une « reconstruction économique » de la France et promettant de « tout faire pour éviter au maximum les licenciements ». Ce vendredi, dans son interview à la presse régionale, il a été encore plus clair : « la rentrée sera difficile et il faut s’y préparer ». Pronostiquer qu’elle sera  « difficile » est au mieux un euphémisme, au pire une lapalissade. La rentrée de septembre, de l’avis de tous les experts, va être bien pire, c’est-à-dire apocalyptique. En réalité, comment pourrait-il en être autrement, tant la déflagration économique que la France endure est d’une violence inédite ? Les Français - qui dans leur grande immense majorité ont été pour l’heure épargnés par les conséquences de la crise sanitaire - ne s’en rendent pas compte mais l’horizon est des plus sombres, pour ne pas dire des plus noirs.

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  • Les incohérences de la décroissance selon les écolos

    Merveilleux Covid-19 ! Merci mille fois ! Enfin, on a pu redécouvrir ce qu’était l’air pur, le chant des oiseaux et l’eau claire des rivières. 
    Le taux de CO2 a rapidement chuté et la pollution a diminué drastiquement dans les pays les plus pollueurs.
    On se serait presque cru, le temps du confinement, au bon vieux temps de nos arrière-grands-parents avec leurs charrettes et leurs bœufs comme seul moyen de locomotion.
    Étrange période ! Eux, les anciens, si proches de la nature, rêvaient de modernisme, de confort, de voyages.
    Mais voilà qu’aujourd’hui, en 2020, certains regretteraient presque ce mode de vie rustique, oubliant, au passage, sa rudesse.
    Parmi ces bobos utopistes, j’en connais une qui doit être bien heureuse !
    Notre Greta interplanétaire, égérie des écolos-bonne-conscience, verte à l’extérieur mais rouge à l’intérieur : comme les pastèques !
    Rouge, non pas de colère, mais de crypto-marxisme antifa-anti-tout.

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  • Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    L’Ambassadeur Edouard de Habsbourg-Lorraine parle de la politique familiale exceptionnelle de la Hongrie dans un entretien à IFamNews :

    Avant l’élection d’Orbán, la Hongrie était au bord de l’effondrement démographique. Ses politiques en faveur de la famille ont-elles eu un effet positif?

    Tout d’abord – la crise démographique ne touche pas seulement la Hongrie. Le pape François l’a dit laconiquement devant les ambassadeurs de l’UE: « Gli Europei non fanno piu figli » (« Les Européens ne font plus d’enfants »). La Hongrie n’est active dans ce domaine que depuis quelques années, car un pays sans familles fortes ne fonctionne tout simplement pas. Et les résultats sont absolument spectaculaires. Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%, les mariages ont augmenté de 43% et les divorces ont également chuté de manière significative – de 22,5% entre 2010 et 2017. Et c’était AVANT la nouvelle initiative familiale des deux dernières années. En 2019, il y a eu 84% de mariages en plus par rapport à 2010 en raison de ces nouvelles mesures. Et en 2020, la fécondité, le nombre d’enfants par femme, est de 20% plus élevée qu’en 2010. Oui, vous pouvez changer les choses. […]

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  • Crise sanitaire : vers une remise en cause des 35 heures ?

    Lors de l’entretien d’Emmanuel Macron publié ce matin dans la presse quotidienne régionale, le président de la République a affirmé que la crise sanitaire que nous venons de traverser avait « changé » la France. C’est sur les leçons tirées de cette situation exceptionnelle qu’il compte « reconstruire le pays ». Interrogé au sujet d’une éventuelle remise en cause des 35 heures en raison de la crise provoquée par le coronavirus, Emmanuel Macron est resté très évasif : « Le débat que nous avions connu avant cette crise autour de la durée du nombre d’années de cotisation dans la vie continue à se poser. Nous ne pouvons pas être un pays qui veut son indépendance, la reconquête sociale, économique et environnementale et être un des pays où on travaille le moins tout au long de la vie en Europe. »

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  • De la coutume à la corporation, par Frederic Poretti-Winkler.

    "La Fraternité fut le sentiment qui présida dans l'origine à la formation des communautés professionnelles." LOUIS BLANC "L'Histoire de la Révolution " La Royauté fut, durant son histoire, la protectrice du monde ouvrier. Elle encouragea la création des Corps de métier par la codification et la transcription des us et coutumes professionnels, dans le grand "Livre des Métiers" que rédigea Etienne Boileau, grand prévôt de Paris, aidé du conseil des anciens, travail malheureusement non terminé car celui-ci mourut la même année que Saint-Louis (1270).

    Celui-ci écrivit en préface: «Quand ce fut fait, concueilli et ordoné, nous le feimes lire devant grand plenté (grand nombre) des plus sages, des plus léaux et des plus anciens homes de Paris, et de ceus qui devaient plus savoir de ces choses : lesquels tout ensemble louèrent moult cette œuvre ; il représente enfin une organisation spontanée et autonome». Ce livre magnifique de 121 règlements, est une mine d'or de bon sens, véritable bible des organisations ouvrières autonomes du temps jadis." Quand les maîtres et jurés boulangers, iront par la ville accompagnés d'un sergent du Châtelet, ils s'arrêteront aux fenêtres où est exposé le pain, et si le pain n'est pas suffisant, la fournée peut être enlevée par le maître."Mais le pauvre n'est pas oublié, et : "les pains qu'on trouve trop petits, li juré feront donner par Dieu le pain".(Louis Blanc) La première partie parle des coutumes professionnelles, puis le chapitre suivant traite des redevances de chaque corporation. La corporation sera le nom retenu pour parler des différents groupements de métiers, confréries, charités, maîtrises, ghildes, hanses, collèges, fraternités, jurandes...

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  • Les prestations sociales compteraient parmi les sources de financement du terrorisme les plus fréquemment utilisées, selon un rapport de l’ONU

    Un rapport de l’ONU cite les prestations sociales parmi les sources de financement du terrorisme les plus fréquemment utilisées.

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