
Le télétravail, c’est presque devenu le jardin d’Éden. Des publicités nous montrent de jeunes cadres dynamiques devant leur ordinateur, à la campagne, près de leur piscine. La crise sanitaire n’a-t-elle pas du bon, puisqu’elle a permis à un grand nombre de personnes de pratiquer plus souvent ce mode de travail, de libérer du temps personnel gagné sur les transports, d’acquérir une plus grande liberté ? Sans compter qu’il permet des gains de productivité. Seulement, voilà ! On commence à se demander si cette vision idyllique n’est pas un prélude à l’Enfer.





