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Bridgestone : Tartuffe mène le bal.
La décision annoncée par la direction de Bridgestone de fermer le site de Béthune donne l'occasion au gouvernement francais et à une bonne partie de la classe politique de se livrer à une partie de faux-derchisme dont les uns et les autres sont, il est vrai, coutumiers.Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
Sur C News, Eric Zemmour : "L'industrie française s'est écroulée".
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Sur une organisation chrétienne du système de retraites
La doctrine sociale de l’Église s’appuie sur le principe de subsidiarité. C’est aussi vrai en matière de retraites.
L’actuel conflit autour du système de retraites fournit l'occasion de réfléchir à ce que pourrait être un système de retraites inspiré par la doctrine sociale de l'Église.
En remarque préliminaire, un tel système s'opposerait diamétralement aux conceptions développées par Jean-Paul Delevoye, notamment en matière de « gouvernance ». Dans les « préconisations » publiées au mois de juillet dernier, l'ex-haut-commissaire suggérait de créer une « Caisse nationale de retraite universelle » dont le « cadre du pilotage » serait « fixé par les lois financières adoptées par le gouvernement et votées par le Parlement ». Autrement dit, l'État contrôlerait un système de retraites encore plus centralisé qu'aujourd'hui.
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Les seniors vont-ils encore être tondus ?
Pas sûr que l’opinion publique l’accepte.
Le Figaro, dans son édition du 15 septembre, rend compte du rapport rendu par l’inspecteur des finances Laurent Vachey, qui avait été chargé par le gouvernement de réfléchir sur le financement de la dépendance, problème récurrent qui traîne depuis vingt ans et que les pouvoirs successifs évitent de résoudre, vu qu’ils n’ont le choix qu’entre de mauvaises solutions et qu’ils veulent éviter de heurter les Français.
Le rapport de M. Vachey est tout bonnement explosif ! Il s’agit de récolter un milliard d’euros en 2021 et de 4 à 5 milliards en 2024. On réaffectera, dans un premier, temps les sommes déjà collectées dans ce domaine. M. Vachey propose, ensuite, de créer une deuxième journée de solidarité, à l’instar de celle mise en place par M. Raffarin, qui avait retiré le lundi de la Pentecôte de la liste des jours fériés. Cette mesure est ambiguë, car il s’agit en réalité d’un prélèvement sur les entreprises. À ces dernières de répercuter ou non cette nouvelle taxe sur leurs salariés : elles peuvent leur faire cadeau de cette obligation (ce qui handicape leur compétitivité), soit les obliger à travailler gratuitement sept heures, voire supprimer un jour de RTT. L’alternative à cette mesure proposée par M. Vachey serait d’aligner la CSG des retraités sur celle des salariés et donc de rogner une nouvelle fois les pensions. Les seniors seraient une nouvelle fois tondus, ce qui serait politiquement insoutenable. L’une ou l’autre de ces mesures devrait rapporter 780 millions d’euros.
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Grève à la SNCF : le summum de l’indécence !
On se pince pour y croire : à l’appel de la CGT Cheminots, rejointe par SUD Rail, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, la SNCF sera en grève, de ce mercredi 16 septembre à 20 h jusqu’au vendredi 18 septembre à 7 h 55.
C’est une grève dont on dit qu’elle sera fort peu suivie, et c’est tant mieux, mais qu’importe, au fond, car le seul fait qu’on appelle à la faire est, dans les temps que nous vivons, le summum de l’indécence.
C’est, encore une fois, le moustachu Martinez, cette figure caricaturale qui ne représente plus rien ni personne de sensé, qui appelle au sabordage. Comme une grinçante boîte à musique, il rejoue son air en mouvement perpétuel : « Après la rencontre avec le Premier ministre, toujours rien de concret pour l’emploi et les salaires. Il faut passer des paroles aux actes », a-t-il tonitrué en sortant de Matignon, vendredi dernier. Qu’importent la crise sanitaire, le climat délétère, l’économie à la ramasse, le disque Martinez est rayé. Sa chanson tourne en boucle, réclamant « hausse des salaires, abandon définitif des réformes de retraites et de l’assurance chômage, réduction du temps de travail sans perte de salaire », à quoi il faudra ajouter, demain, sans doute, la contestation des futurs horaires d’hiver, comme c’est le cas quasiment chaque automne.
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Gilets jaunes stop ou encore ?
Ce 12 septembre, soutenant la manif en partie interdite des Gilets Jaunes, le député d'extrême gauche Quatennens citait, sans hésiter, Saint-Just : "Les malheureux sont les puissances de la terre. Ils ont le droit de parler en maître aux gouvernements qui les négligent." Au même moment son chef appelait, sans rire lui non plus, les militants de son parti qu'on dit insoumis à ne surtout pas commettre de violence.
N'enterrons pas trop vite ce mouvement. En deux ans, il a totalement perdu sa dimension initiale. En 2018, il pouvait sembler plus ou moins anti fisc, ce que certains voulaient confondre avec une résurgence du poujadisme, y compris dans sa dimension de sauvegarde de la France rurale. Or, ce qui s'est relancé en ce début de septembre ne paraît plus guère constituer qu'un rassemblement de gauchistes, agrémenté de quelques malcontents divers, protestataires anti masques et gérants de discothèques, le tout étant limité à quelques grandes villes. En tout, si l'on se base sur les chiffrages officiels les piétons additionnés de Paris, Marseille, Lyon, cela ferait, tout mouillé, 7 000 personnes dont à peine 2 000 dans la Capitale. D'après le communiqué du ministère de l'Intérieur, 256 d'entre eux auraient fait l'objet d'interpellations. Par conséquent cela a permis de mettre à jour les fichiers de la Sécurité territoriale. Sans se focaliser sur les armes par destination et autres objets contondants saisis, retenons la réapparition des black blocs sur les Champs Élysées. Soulignons aussi la division, évidente dans la pratique, entre les défilés ainsi que l'incident autour du citoyen Bigard. Ce comique, certes discutable et trop souvent vulgaire, que l'on qualifie abusivement comme « humoriste », s’est trouvé agressé par une partie de ceux-là mêmes qu'il entendait rejoindre. N'est pas Coluche qui veut. Et ce genre de manifs ne représente ainsi, définitivement, pas la révolution dans la révolution, mais l'anarchie dans l'anarchie.
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12 septembre, le retour des gilets jaunes ?
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Sur le Média Pour Tous, les gilets jaunes, deux ans plus tard... - Lapierre Brut !
Ce 12 septembre 2020 devait être le grand retour des Gilets Jaunes. Première mobilisation nationale depuis le confinement, plusieurs point de rassemblement étaient donnés à Paris par différents organisateurs : Champs Élysées, Wagram, place de la bourse. Vincent Lapierre et son équipe étaient sur place pour tenter de couvrir l'événement... les antifas aussi.
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Impôts : la France toujours championne
Arnaud Raffard de Brienne
S’il y a un titre auquel la France ne semble pas prête à renoncer, c’est bien celui de championne du monde de la fiscalité, tous impôts et taxes confondus. Le dernier rapport de, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), s’appuyant sur les données 2018, les dernières disponibles sur le sujet, épingle en effet la France qui, avec un taux de recettes fiscales de 46,1% de la richesse produite cette année-là, conserve le peu glorieux titre de pays le plus spoliateur des 37 nations de l’OCDE. Même si elle se trouve talonnée par les Belgique et le Danemark, autres enfers fiscaux dépouillant à égalité leur population à hauteur de 44,9% de leur PIB respectif, c’est-à-dire un peu plus de dix points au-dessus d’une moyenne évaluée à 34,3%, moyenne elle-même évidemment plombée par ces trois ténors du fiscalisme.
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Le Covid-19 s’immisce chez vous – JT du lundi 14 septembre 2020
Au programme ce soir, le Covid-19 sert désormais de prétexte pour attaquer les familles. Après avoir soumis les Français au port obligatoire du masque en extérieur malgré son inutilité, le nouveau message est clair : la famille est le nouveau danger !
Egalement dans cette édition, un retour sur les manifestations des Gilets Jaunes samedi dernier. Malgré le contexte sanitaire, de nombreux manifestants de la première heure s’étaient donné rendez-vous dans la Capitale. Notre reporter était sur place.
Et puis nous partirons en Hongrie où l’épidémie a fait peu de victimes. De quoi galvaniser la mobilisation contre l’obligation du port du masque en extérieur… Une mobilisation bien plus forte que chez nous.
https://www.tvlibertes.com/le-covid-19-simmisce-chez-vous-jt-du-lundi-14-septembre-2020
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