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social - Page 159

  • Ile-de-France : tensions, incidents, bagarres, arrestations à l’occasion du versement des aides sociales

    Pris d’assaut, des bureaux de poste d’Ile-de-France ont été placés sous protection policière pour le premier jour de versement des aides sociales. Plusieurs incidents ont éclaté, avec parfois des arrestations…

    Des bureaux de poste pris d’assaut, des files d’attente trop longues et trop denses, des distances et des gestes barrière pour freiner la propagation de l’épidémie de Covid-19 non respectés, des tensions, des bagarres, des vigiles puis la police!

    […]

    La veille, ces bureaux, qui dans un contexte de pandémie redoutaient un effet de cohue le premier jour des versements des prestations sociales de la Caisse d’allocations familiales (CAF), ont fait l’objet d’un renforcement de personnel. Quelque 20 000 postiers ont ainsi été mobilisés sur toute la France. Pour cela La Poste avait lancé un appel au volontariat parmi ses conseillers bancaires, managers et postiers. Des vigiles avaient été embauchés également.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1360485-ile-de-france-tensions-incidents-bagarres-arrestations-a-loccasion-du-versement-des-aides-sociales

  • Rebâtir une industrie française

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    Par Laurence Daziano*

    Cette épidémie entraîne une crise économique mondiale inédite car elle combine à la fois un choc d’offre (la production est stoppée) et un choc de demande (le confinement empêche de consommer). Nous ne sommes ni dans la crise de 1929 (crise monétaire) ni dans celle de 2008 (crise financière) : les remèdes qui avaient servi à juguler ces deux crises ne sont pas les réponses adaptées. Les conséquences économiques, industrielles, sociales ou politiques sont encore inconnues dans leur ampleur, de même que le temps nécessaire pour les résorber et les traces qu’elles laisseront sur la société. Les réponses apportées pour répondre à cette crise doivent être fortes et originales, notamment pour soutenir puis reconstruire notre tissu industriel dans la nouvelle compétition mondiale qui s’ouvre.

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  • Dans Valeurs Actuelles, La France vendue à la découpe - Laurent Izard.

    La pénurie de pompes pour les tubes de gel hydroalcoolique nous a ramené à la réalité. La France n'est plus souveraine économiquement. Par les délocalisation et la vente à la découpe de son patrimoine économique, la France s'est désindustrialisée et s’est rendu vulnérable.

    Interview de Laurent Izard, auteur de "La France vendue à la découpe", paru chez l'Artilleur en 2019.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Emmanuel Macron veut rebâtir une souveraineté française ? Chiche, relançons Fessenheim

    Emmanuel Macron veut rebâtir une souveraineté française ? Chiche, relançons Fessenheim

    En période de crise, rien ne vaut la Nation. Dans tous ses discours, et Dieu sait que, dans ce domaine, il n’y a pas pénurie, Emmanuel Macron a récemment jeté aux orties la fameuse république pour se concentrer sur la Nation.

    C’est encore évident dans deux discours récents (encore plus de 4000 mots !) : son allocution à Mulhouse le 25 mars dans l’hôpital militaire de campagne et, plus belle encore, sa récente allocution dans l’usine  de l’entreprise Kolmi-Hopen à Saint Barthélémy d’Anjou, produisant des masques chirurgicaux et FFP2, le 31 mars.

    Le score est sans appel : République = 0 (hormis le traditionnel vive la République, vive la France de fin de discours), France = 18 et Nation = 17. Un renversement de paradigme.

    D’autant plus renversant qu’il y a aussi le mot souveraineté, cité quatre fois dans le discours dans l’usine de masque. Cette souveraineté, vue par E.Macron, est double :

    « Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne ».

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  • L’alerte de l’ONU sur un monde menacé de pénurie alimentaire. Bruno le Maire vous avertira… ou pas !

    Alors que notre Bruno le Maire national nous disait, avec la certitude de celui qui distribue les masques pendant les pandémies, qu’il n’y avait pas de pénurie et que bien évidemment s’il y en avait une, il nous le dirait… un peu comme les masques en fait, vous savez ces masques qui sont tellement livrés chaque jour à tout le monde, qui sont tellement destockés que tous ceux qui en ont le plus besoin croulent sous les colis et les paquets…
    Bref, pas de pénurie pour Bruno.
    Quant à l’ONU, pas de pénurie non plus, mais un risque de pénurie alimentaire.
    Mon petit doigt et mon système ultra sophistiqué utlisant pour moitié un appareil de la plus haute technicité et appelé louchomètre, ainsi qu’un pifomètre pour l’autre moitié m’indique sans hésiter, que la seule pénurie qui n’aura pas lieu est celle du pétrole car avec l’effondrement de la croissance il y a effondrement de la demande d’énergie et donc les prix du pétrole baissent et le pétrole est très abondant.
    La pénurie de pétrole est la seule pénurie dont personne ne vous parle.
    C’est un véritable signal faible.

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  • L’insécurité juridique va monter d’un cran

    L’insécurité juridique va monter d’un cran

    Muriel Pénicaud, ministre du Travail, était l’invitée du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, ce dimanche. Elle est revenue abondamment sur le dispositif de chômage partiel que le gouvernement met en place – et qui semble, a priori, une bonne idée:

    Je redis aux entreprises : ne licenciez pas, utilisez le chômage partiel. Vous garderez vos compétences et vous ne mettrez pas vos salariés au chômage. Même pour un seul salarié, le chômage partiel marche.

    Mais “en même temps”, elle ajoute ceci, qui fait peser une épée de Damoclès sur la tête des entrepreneurs:

    Toutes les demandes qui n’ont pas eu de réponse en 48 heures sont réputées acquises et on fera les contrôles a posteriori.

    Si l’on comprend bien, cela signifie que l’on peut avoir la double peine: être contraint à arrêter son activité aujourd’hui, et devoir rembourser demain. Il semble que la ministre ait dit cela pour rassurer les Français. C’est en effet très rassurant!…

    https://www.lesalonbeige.fr/linsecurite-juridique-va-monter-dun-cran/

  • Non, le gouvernement n’enverra pas les profs ramasser les fraises !

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    Enfin une bonne nouvelle ! Pas pour tout le monde, certes, mais c’est déjà ça. Une nouvelle qui devrait ravir les profs qui n’arrêtent pas de se plaindre : c’est simple, depuis que j’ai l’âge de raison, je les ai toujours entendus se plaindre. Allez savoir pourquoi ! Et c’est  qui s’est chargée d’annoncer la bonne nouvelle en ce 25 mars. On a les annonciations qu’on mérite. Je la cite : « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser la France pour aller récolter les fraises. »

    Déjà (ouvrons la parenthèse), le « nous n’entendons pas ». Un petit côté « l’État, c’est nous » qui vous dit tout de suite que là, on n’est pas n’importe où, qu’on n’assiste pas au rapport moral de l’association des boulistes de Caboulasse-de-Mildiou. Fermons la parenthèse. Eh puis, tiens, ouvrons une deuxième parenthèse : paraît que les profs télétravaillent ? On ne lui a pas dit, à Sibeth ? Jean-Michel, fais quelque chose ! Fermeture de la deuxième parenthèse.

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  • Coronavirus: le gouvernement va permettre de travailler jusqu’à 60 heures par semaine dans certains secteurs

    Face à la crise sanitaire engendrée par l’épidémie de coronavirus, le ministère du Travail a annoncé mardi 24 mars que le gouvernement allait permettre de déroger à la durée du travail dans certains secteurs jusque 60 heures sur une semaine, contre 48 heures actuellement, et 46 heures contre 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines.

    Ces modifications pourront s’appliquer dans les secteurs de l’énergie, des télécoms, de la logistique, des transports ou encore de l’agroalimentaire, a précisé l’entourage du ministre du Travail Muriel Pénicaud. Ces heures additionnelles de travail devraient être payées en « heures supplémentaires » et le temps de repos devrait être respecté, selon la même source.

    Huffington