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social - Page 158

  • La fraude sociale des djihadistes, l’Etat laisse faire

    Le trou de la Sécu ne fait que croître, non seulement à cause de la masse de « migrants », « réfugiés », vrais clandestins, venant en France bénéficier des prestations sociales françaises mais également par le biais de fraudes savamment orchestrées par des étrangers connaissant le système.

    Charles Prats, ex-magistrat de la Délégation de la lutte contre la Fraude, en parle sur LCI face à un journaliste éberlué.

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  • Une "Casa Pound" à Angers ?

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    Décidément, il s'en passe des choses en Anjou... Outre la présence d'un candidat authentiquement national et identitaire, Jean-Eudes Gannat cliquez ici, à l'élection partielle qui doit se dérouler à Saumur le 21 septembre, l'occupation par les patriotes d'un local à Angers, dans la pure tradition de Casa Pound à Rome, suscite bien des commentaires.

    S. N.

    Communiqué de l'Alvarium (Angers) :

    Depuis Novembre 2018, nous avons pris le contrôle de l’immeuble situé au 17 rue Thiers à Angers. Durant 2 ans, nous avons effectué des travaux (l’intérieur était plus qu’insalubre) et utilisé celui-ci pour loger des SDF, des personnes en attente de relogement et des jeunes précaires. Nous avons également pu organiser des activités sociales comme le Noël des malchanceux, ou héberger des gens de passage. Discrètement, à notre échelle, nous avons agi dans la continuité de notre mission de service auprès des français les plus démunis. Et nous continuerons à agir tant que nous serons dans cet immeuble.

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  • Charles PRATS: «La fraude sociale, c’est 30milliards d’euros par an», par Alexandre Devecchio et Luc Lenoir.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

    Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus «fantômes» bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.

     

    Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB.

    Où va l’argent ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/09/charles-prats-la-fraude-sociale-c-est-30-milliards-d-euros-p-6262192.html

  • Quand la Une du Parisien démonte une fausse nouvelle des Décodeurs du Monde

    Quand la Une du Parisien démonte une fausse nouvelle des Décodeurs du Monde

    En septembre 2019, Le Monde publiait un article pour contester les chiffres “alarmistes” concernant les fraudes à la Sécurité sociale, chiffres jugés exagérés. Le Monde comptait 59,4 millions de cartes Vitale (sachant que les enfants de moins de 16 ans sont rattachés à celle de leurs parents.

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  • Des bénéficiaires de la Sécu plus nombreux que la population française

    Des bénéficiaires de la Sécu plus nombreux que la population française

    La Cour des comptes indique au Sénat qu’il y a 75,3 millions de personnes prises en charge par la Sécusoit 8,2 millions de personnes en plus qu’en France.

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  • Le corporatisme du XXIe siècle

    3372521332.jpgBastien Valorgues. Europe Maxima cliquez ici

    Quelques semaines après la fin du confinement en France est sorti un ouvrage collectif prévu à l’origine pour paraître au début du mois d’avril. Intitulé Réflexions pour un nouveau corporatisme, ce livre explore sous la houlette du rédacteur en chef d’Europe Maxima, Georges Feltin-Tracol et de sept contributeurs, les différentes facettes, historiques et contemporaines, de cette idée politique, sociale et économique.

    Le corporatisme n’est-il pas pour autant une idée obsolète ? Au sortir de 1945, l’Europe récuse de manière explicite le concept, le mot et les théories qu’il recouvre. C’est si vrai qu’attaché au corporatisme d’association, la majorité des représentants du catholicisme social préfère employer l’expression plus neutre d’« organisation professionnelle » qui n’implique pas un système précis. Les auteurs démontrent tout le contraire.

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  • Chômage et déflation, puis effondrement et hyperinflation

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    Marc Rousset

    Alors que le FMI annonçait une croissance de 3,3 % en 2020, le monde connaîtra en fait une récession de 4,9 % et un possible rebond en 2021. La seule chose certaine, c’est que la production mondiale s’effondrera de 7,6 % en 2020. Tous les pays sont en récession. Le paradoxe, selon une enquête du Pew Research Center, c’est que les Européens du Nord, dont la situation économique est plutôt bonne, sont très préoccupés par l’année 2021.

    Il y a 20 ans, le CAC 40 était à 7.000. Aujourd’hui, il est à 5.000, après avoir été à 2.401, le 12 mars 2003, pour remonter à 6.200, en 2007, et pour redégringoler à 2.519, le 9 mars 2009. Entre le 21 février et le 18 mars 2020, le CAC 40 a chuté de 40 %, en passant de 6.100 à 3.600. Le CAC 40 comme le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 devraient être beaucoup plus bas et ne sont maintenus aux niveaux actuels que par la création monétaire et un hyperendettement tous azimuts, tous agents économiques, la plupart des États souverains inclus.

     

  • La désindustrialisation à la française.

    L'industrie a détruit des emplois de façon continue jusqu'en 2017, année d'inversion de tendance. En 2018 et 2019 , il y eu aussi plus d'emplois créés que détruits dans ce secteur. Les destructions ont repris au premier trimestre 2020.  Crédits : Marie Viennot - Radio France

    Source : https://www.franceculture.fr/

    Réindustrialiser la France, c’est l’un des axes majeurs du plan de relance. On part de loin, la France est le pays de l'Union européenne qui s'est le plus désindustrialisé depuis les années 70. Quelles sont les causes spécifiquement françaises de ce phénomène ?

    "Depuis quelques mois, le textile est en crise. Réductions d'horaires, fermeture d'ateliers, d'usines même. De mois en mois, on espère la relance..."

    Extrait du journal télévisé en avril 1965. La relance évoquée à l’époque n’est que commerciale, saison du blanc, printemps… et le textile fait alors vivre plus de 500 000 personnes en France.  

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  • Supprimer des jours fériés pour relancer l’économie : la seule raison ?

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    Tout est bon pour relancer l’économie du pays après le Covid-19. Ainsi, la toute fraîche proposition de Laurent Hénart, président du groupusculaire Mouvement radical, héritier du très ancien et très laïcard Parti radical : supprimer des jours fériés. « Il n’y a pas de tabou ! Nous avons beaucoup de jours fériés en France et nous pouvons en supprimer 4 à 5 en les transformant en jours de congés », explique celui qui fut un éphémère secrétaire d’État sous Chirac.

    Beaucoup de jours fériés : est-ce à dire trop ? C’est ce que sous-entend cet ancien maire de Nancy. La France compte onze jours fériés : cinq fêtes civiles (les 1er janvier, 1er mai, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre), six fêtes religieuses (lundi de Pâques, jeudi de l’Ascension, lundi de Pentecôte, 15 août, Toussaint et Noël). À titre de comparaison, l’Allemagne (on aime bien nous comparer à l’Allemagne…) n’en compte qu’un seul au niveau national : la fête nationale du 3 octobre. Mais les Länder ont en commun… neuf jours fériés ! Nouvel An, Vendredi saint, lundi de Pâques, Ascension, Pentecôte, 1er mai, fête nationale, 25 et 26 décembre. Augsbourg, en Bavière, compte même quatorze jours fériés ! Onze jours fériés pour la France, neuf pour l’Allemagne : pas de quoi expliquer notre décrochage industriel par rapport à nos voisins depuis trente ans !

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  • Macron, la grande braderie de la France (2019)

    Fleurons industriels, infrastructures stratégiques, mais aussi sites classés, ressources naturelles ou territoires entiers, avec le VRP Macron, toute la France est à vendre… depuis Bercy sous Hollande, la grande braderie, voire la casse pure et simple, se poursuit de plus belle depuis qu’il est à l’Élysée.

    Image qui restera Bruno Le Maire sous les huées de la foule manifestant contre le plan social de General Electric (GE). Visiblement, son piteux « Il est important que General Electric revoie sa copie » n'a pas convaincu. « Ne vous y trompez pas, ce plan, avec son millier de suppressions d'emplois, c'est la dernière étape avant la fermeture du site turbines à gaz ! », rétorque un syndicaliste, qui voit clair dans ce dossier.

    Alstom, fleuron industriel et stratégique, a été vendu à la découpe par Macron, ministre de l'Économie de Hollande. Aux Américains de General Electric (GE), les turbines à gaz, utilisées dans le nucléaire, vitales pour notre indépendance militaire et énergétique. Aux Allemands de Siemens, la branche ferroviaire, volet flingué, ironie de l'histoire, par Bruxelles. L'activité nucléaire d'Alstom n'a pas eu cette chance. Promesses de créer 1 000 emplois nets non tenues, « garanties » allègrement bafouées, avec le millier de licenciements annoncés le 27 mai par GE, l'affaire revient en boomerang au visage de Macron Président. Un coup qui fait d'autant plus mal que Hugh Bailey l’actuel patron de GE France, était conseiller pour les affaires industrielles de Macron à Bercy lors de la vente d'Alstom à GE. Quand le conflit d'intérêts est une seconde nature…

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