Le Cercle Lutétia a pour vocation de faire connaître les fondements et les raisons du royalisme et de la Monarchie en France, et d’étudier ceux-ci, avec l’aide des travaux et des réflexions menés sur la société française, ses évolutions et ses institutions, selon une perspective historique mais aussi et surtout politique. Le texte ci-dessous est la première partie d’un cercle d’études sur les origines de la question sociale en France, et il doit être l’occasion de discussions, de précisions ultérieures et de critiques constructives : il n’est donc qu’une ébauche, celle qui appelle à la formulation et à la rédaction d’une étude plus vaste et mieux construite sur cette question qui préoccupe tant nos contemporains et à laquelle les royalistes sociaux du Groupe d’Action Royaliste consacrent aussi tant de temps et d’énergie, dans leurs réunions et publications comme sur le terrain, dans la rue ou sur leur lieu de travail…
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Aux origines de la Question sociale (1ère partie), par Jean-Philippe Chauvin.
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Gâchis et trahison à Fessenheim
Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent
A seule fin de complaire aux Verts qui exercent un chantage permanent sur les dirigeants politiques de notre pays et de caresser dans le sens du poil Angela Merkel dont le pays émet 50 % de CO2 de plus par habitant que la France depuis qu’elle a décidé de fermer toutes les centrales nucléaires de son pays après la catastrophe de Fukushima en 2011, François Hollande promettait, au cours de sa campagne présidentielle de 2012, de fermer Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire française, s’il était élu. Il ne faisait que reprendre un engagement de sa rivale socialiste Martine Aubry quand cette dernière était aux commandes du PS.
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Aux origines de la question sociale en France. Partie 2 : l'idéologie libérale des Lumières.
Après un rapide tableau de la situation économique de la France royale avant la fin du XVIIIe siècle et l’évocation des corporations et de l’ordre socio-professionnel de cette époque, il n’est pas inutile d’évoquer succinctement l’état d’esprit dominant sous les Lumières, véritable révolution dans la pensée du service et du temps (entre autres), à rebours de la conception royale de la justice : le règne de l’Argent et de la classe qui en vit et qui en fera système s’annonce…
L’organisation corporative de la société et de la production françaises a longtemps convenablement fonctionné et la puissance avérée et significative de l’économie nationale sous la royauté fondatrice et fédérative est indéniable. Mais cela signifie-t-il, pour autant, que la Monarchie d’Ancien Régime ne connaissait pas de problèmes sociaux ou qu’elle était un système parfait et intangible, insensible aux temps et à leurs contraintes, leurs évolutions ? Bien sûr que non !
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Retraites : les peuples européens comptent sur la France !
Selon plusieurs députés européens, les Français sont à l’avant-garde d’un combat social qui concerne toute l’Europe.
Tribune. Sous couvert de simplification et de durabilité des systèmes de retraite, la Commission européenne exige des réformes des retraites régressives dans tous les Etats membres.
Ses recommandations se ressemblent partout : uniformisation des règles, harmonisation des calculs pour faire des économies, et hausse généralisée de l’âge de départ.
Voici bien des mots savants pour cacher des intentions plus simples et plus cruelles : faire baisser les pensions et confier le magot des retraites aux fonds de pensions privés.
Tout le monde devra travailler plus longtemps pour moins de pension.
Pourtant, ces mêmes recettes produisent partout dans l’Union européenne des mêmes résultats : le nombre de retraités pauvres ne cesse d’augmenter. -
Que font donc syndicats et consommateurs contre la ruine planifiée d’EDF et de son nucléaire ?
Voilà onze ans, la mise en coupe réglée du consommateur et du contribuable français commença avec l’insolite TARTAM (tarif réglementé transitoire d’ajustement du marché) permettant aux professionnels éligibles repentis de revenir au tarif régulé (ou réglementé) seulement majoré de 10 à 23 %, après avoir subi jusqu’à 70 % d’augmentation, avec la concurrence libre et non faussée à laquelle ils eurent seuls accès, dès 2004. Cerise institutionnelle sur le gâteau, ils obtinrent de jouir d’un tel privilège sans changer de fournisseurs « alternatifs », ce qui obligea l’État à compenser les pertes de ces derniers, sur le dos des autres clients, prioritairement domestiques, et fit dire au Canard enchaîné que la notion « d’éligibilité » s’apparente au privilège donné au boursicoteur de demander à Bercy de lui rembourser l’argent qu’il a retiré de la Caisse d’épargne pour spéculer sur le CAC 40.
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Comment nomme t'on ce système ?, par Frédéric Winkler.
Notre société toute entière est « décomposée », opposée à elle-même, divisée, dissoute dans les luttes et les rivalités. Qu'on le veuille ou non, à travers les partis et les syndicats qui leur sont liés, la lutte des classes, aujourd'hui informelle mais pourtant bien réelle (comme le signalait le milliardaire W. Buffet il y a quelques années qui expliquait que c'était la sienne qui l'avait emportée...), a remplacé les solidarités professionnelles, locales, communales ou provinciales... Une lutte sans merci, où chacun tente de réduire indéfiniment la part de l'autre, compose toute notre vie sociale.
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Charles Prats : « Il y a 2,5 millions de “fantômes” immatriculés qui perçoivent des prestations sociales tous les mois »
Les chiffres hallucinants de la fraude aux prestations sociales
Après son audition, ce mardi 3 mars, par la commission d’enquête parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, le magistrat Charles Parts revient sur son enquête au micro de Boulevard Voltaire.
Il apporte des précisions sur cette immense fraude qui s’élève à des centaines de millions d’euros, en raison du surnombre d’étrangers immatriculés dont on ne peut contrôler l’existence réelle. Il estime qu’« à l’heure où on réforme les retraites, on devrait prendre l’argent dans la poche des voleurs plutôt que dans celle des contribuables français ».
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L'état manque d'argent voilà où en trouver.
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49.3 DE LA HONTE - LE GOUVERNEMENT S'ENFONCE
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Municipales : le général de La Chesnais pour Carprentras ? – Journal du jeudi 5 mars 2020
Municipales : le général de La Chesnais pour Carprentras ?
A dix jours des élections municipales, TVLibertés poursuit son tour de France pour vous faire découvrir des candidatures diverses et symboliques. Aujourd’hui, direction Carprentras où le général Bertrand de La Chesnais arrive avec une liste de rassemblement pour prendre la mairie d’assaut.
Municipales à Paris : un débat sans surprise
A dix jours du premier tour des élections municipales, les sept principaux prétendants à la mairie de Paris ont confronté leurs projets lors d’un premier débat. Comme attendu, Anne Hidalgo et Agnès Buzyn ont été les cibles des principales critiques.
Uber remis à sa place par la Cour de cassation
Uber voit sa relation avec un de ses chauffeurs requalifié en contrat de travail… une décision individuelle qui inquiète cependant la multinationale et qui illustre le coup d’arrêt que connaît le modèle économique de la Silicon Valley depuis plusieurs mois.
L’actualité en bref
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