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  • Papacito sur le boxeur de CRS et la poursuite du mouvement des Gilets Jaunes à Sud Radio

  • La répression ne calmera pas la colère

    La répression ne calmera pas la colère

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

  • Le coût de la crise : et si on ne s’en remettait pas ?

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    Pendant qu’on spécule sur les itinéraires des manifestations de gilets jaunes et qu’on suppute sur les manipulations de l’opinion et la provocation de certains candidats au martyre, la nation fait ses comptes. Et dans un État en faillite, l’économie du commerçant et de l’artisan moyen pourrait bien ne pas se relever de la crise qui s’éternise.

    Les chiffres tombent. Ils sont plus qu’alarmants. En huit semaines, l’activité économique du pays en a pris un grand coup dans le buffet, si je puis m’autoriser l’expression. On estime, en ce lundi 7 janvier, que « plus de quatre millions d’heures de travail ont été perdues depuis le début du mouvement des “gilets jaunes” », dit-on au ministère du Travail.

    Je sais bien qu’évoquer cette source la rend d’emblée suspecte pour certains, mais je pense qu’on est proche de la vérité. Ainsi, 58.000 personnes sont actuellement et très officiellement en chômage partiel, lequel est très souvent l’antichambre du chômage total. Dans ce dispositif qui permet aux entreprises de suspendre ou réduire l’activité de leurs salariés, l’État – c’est-à-dire vous et moi, il faut le rappeler avec insistance – prend en charge une partie du salaire. Le salarié, lui, ne touche que 70 % de sa rémunération habituelle.

    Faut-il préciser que les salariés actuellement dans cette situation ne sont pas les plus aisés ?

    Ainsi en est-il, par exemple, des chauffeurs routiers. La Fédération nationale des transports routiers estimait, la semaine passée, que sa perte d’exploitation dépassait les deux milliards d’euros. Nombre d’entreprises dont les camions ont été bloqués et empêchés d’effectuer leurs livraisons sont au bord du dépôt de bilan.

    Idem pour de nombreux commerçants et artisans dont le chiffre d’affaires de décembre s’est envolé en fumée au milieu des manifs.

    Selon la Banque de France – autre source qu’on jugera évidemment suspecte –, « tout compris, la facture pour cinq semaines de mouvement des “gilets jaunes” s’élèverait déjà à 4,4 milliards d’euros ». On en est à huit semaines et ce n’est pas fini…

    À la crise intérieure s’ajoute l’image désastreuse d’un pays secoué par les dépressions saisonnières. On l’a déjà oublié sans doute, mais la grève perlée qui a touché la SNCF durant trois mois, au printemps 2018, a coûté 790 millions d’euros à l’entreprise. Celle d’Air France, d’une durée de quinze jours, a crevé le plafond des 400 millions. Pour ceux-là, employés du rail ou rois du ciel que l’État – c’est-à-dire nous, une fois encore – perfuse et entretient, d’autres, infiniment plus nombreux, n’ont que leurs propres forces pour se maintenir à flot. Le véritable poumon économique du pays, ce sont les PME et les TPE. Les petites et très petites entreprises. Celles, naissantes, où le « salaud de patron » ne dégage même pas assez pour se verser un salaire et n’a pourtant d’autre solution que de se retrousser les manches pour survivre. Ce sont tous ceux-là qui vont crever.

    La faute aux gilets jaunes ? Non, bien sûr. La faute à un système à bout de souffle où – désolée de le dire, mais Macron avait raison – on balance « un pognon de dingue » dans la nature pour aucun résultat.

    À quoi, à qui sert-il, ce pognon ? Où va-t-il ?

    Seule certitude : ce n’est pas en privant les smicards de leur boulot et en gonflant les rangs des chômeurs qu’on va régler le problème.

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/le-cout-de-la-crise-et-si-on-ne-sen-remettait-pas/

  • Les Gilets Jaunes face à un gouvernement pompier pyromane – Journal du mercredi 9 janvier 2019

     

    Politique / Les Gilets Jaunes face à un gouvernement pompier pyromane

    Depuis deux mois, les Gilets Jaunes sont mobilisés pour défendre leur pouvoir d’achat et lutter contre leur déclassement permanent. Face à cette colère, l’exécutif attise les tensions par le mépris et la répression…

    Politique / L’union des droites en route pour les européennes?

    On disait le clivage droite gauche terminé et les vieux partis balayés, à quelques mois des élections européennes, l’échiquier politique se refait une beauté. Départs, ralliements, tractations, le paysage commence à devenir plus clair.

    International / Trump dos au mur

    Donald Trump face à sa plus emblématique promesse de campagne : la construction du mur à la frontière mexicaine. Après 18 jours de blocage politique, le président américain s’est exprimé pour réclamer les 5,7 milliards de dollars nécessaires à la construction.

    https://www.tvlibertes.com/les-gilets-jaunes-face-a-un-gouvernement-pompier-pyromane-journal-du-mercredi-9-janvier-20199

  • Vandalisme, violences, voyoucratie

    6a00d8341c715453ef022ad3cc9bcf200b-320wi.jpgOn faisait état, ce 8 janvier, venant après l’effondrement du mois précédent, d'une légère remontée de la popularité du chef de l'État, et plus encore, de celle du chef de gouvernement dans les sondages d'opinion.[1]Emmanuel Macron gagnerait ainsi 5 points et Édouard Philippe 7 points.

    Il faut, selon toute vraisemblance, attribuer cette double embellie, et aussi la préférence inhabituelle pour le Premier ministre, au désir d'un véritable retour à l'ordre public. Elle reflète en fait la lassitude face aux violences.

    Celles-ci ont été largement commises au nom, ou plutôt aux marges, d'un mouvement de protestation, initialement populaire. Mais on doit bien se représenter que les forces du désordre ne se limitent ni aux gilets jaunes, ni même aux black blocs. Les incendies rituels de voitures pendant la nuit de la Saint-Sylvestre ont commencé il y a quelque 20 ans dans les quartiers islamisés de la banlieue de Strasbourg. Ils ont essaimé, depuis, d'année en année, sur l'ensemble des grosses agglomérations de l'Hexagone. Le phénomène dépasse désormais les 1 000 départs de feu recensés. On en dissimule de plus en plus le chiffrage qui avoisine probablement celui de 1 200 cette année.

    Nous ne nous trouvons pas en présence de violences marginales mais d'un vandalisme volontaire, systématique, largement communautaire. Et le nihilisme destructeur des casseurs choque de plus en plus nos concitoyens, qui n'entendent pas se soumettre au bon vouloir de la voyoucratie.

    De son côté, le pouvoir actuel se sait démonétisé, déstabilisé, divisé. Ses revirements ridicules sur la taxe d'habitation l'ont encore montré incapable de tenir sur une ligne d'action constante, cohérente et positive. Il se réclame donc maintenant de la lutte contre le désordre.

    On ne cherchera même pas à rappeler ici en détail la manière dont il a été élu. Ni la destruction concertée de la candidature Fillon, dont les propositions dérangeaient les intérêts des grands habiles, ni les promesses de réformes d'un candidat, lui-même inventé de toutes pièces, ne doivent cependant être oubliées.

    Une impressionnante statistique fait état de 5 339 gardes à vue de manifestants appréhendés entre le 17 novembre et le 5 janvier, qui pourront être fichés comme émeutiers. Les interpellations ont connu un pic enregistré le 8 décembre, 2 000 dans toute la France – dont la moitié à Paris. Sur le nombre, 815 ont été jugés et 152 incarcérés sur l'ensemble du pays. Environ 900 personnes ont fait l'objet de convocations ultérieures, tel Éric Duret qui doit comparaître en février pour port d'arme et organisation d'une manifestation non déclaré.

    La masse de procédures qui en résulte submerge en ce moment des institutions judiciaires pauvres en moyens matériels. La magistrature syndiquée s'emploie de son côté à saboter le rétablissement de l'ordre public. Elle s'appuie dans cette manœuvre instinctive surtout une armada de commentateurs, d'inspecteurs administratifs des travaux finis, de donneurs de leçons, et de brillants sophistes. Aux yeux de ces gens, les policiers représentent la méchanceté intrinsèque d'une société inégalitaire par essence. Au contraire les pillards, les briseurs de vitrines bénéficient d'une indulgence systématique, eu égard à leurs enfances malheureuses, aux manques de soins, à la maltraitance, que sais-je encore.

    L'un des arguments servis en boucle, dans ce pseudo-débat, invoque à l'envi un sacro-saint droit de manifester. Précisons quand même qu'un tel principe n'existe pas en droit et n’est pas mentionné dans la Constitution.

    Il ne saurait être assimilé à la liberté d'expression. Or, on entend même invoquer la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789. On gagnerait à se souvenir de la rédaction même de ce texte de référence plus rhétorique que concrète. Elle proclame en effet, dans son article 4 que "la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" et elle précise : "article 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi." Et "article 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi."

    Le droit de bloquer la circulation et, encore moins celui de saccager, ne sont évidemment pas prévus dans la législation positive. Celle-ci permet certes de se rassembler librement mais elle soumet l'organisation d'un défilé à une déclaration préalable des responsables de la manifestation. Aujourd'hui certains ministres communiquent sur leur adhésion à une proposition de loi de Bruno Retailleau. Celle-ci a été adoptée par la droite majoritaire au Sénat. Elle tend à renforcer ces obligations et à mieux définir et sanctionner les désordres. Rien ne devrait s'y opposer. Mais la mission du pouvoir exécutif, celle d'appliquer les lois existantes, s'est depuis deux mois soldée par un échec. Les Français ne devraient pas l'oublier, sauf à témoigner une fois de plus de leur mémoire courte.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. enquête Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.

    https://www.insolent.fr/2019/01/vandalisme-violences-voyoucratie.html

  • Hystérie médiatique ou dérapage d’un philosophe professionnel ?

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    Bernard Plouvier

    Si j’en crois l’excellent blog d’informations Breizh Info, que je consulte deux fois/jour, un philosophe-politicien aurait conseillé aux forces de l’ordre d’utiliser leur(s) arme(s) face à des émeutiers violents.

    Je n’ai lu qu’une demi-douzaine de pages de Luc Ferry (en revanche j’ai apprécié les deux ouvrages, publiés de façon posthume, de son grandiose parent prénommé Abel, mort au combat en 1918), mais je reste ébahi devant l’absence de nuances que sous-entend son conseil, donné il est vrai dans une émission où l’on cherche à toute force ce scandale qui « fait le buzz » !

    Qu’un policier attaqué par des émeutiers armés (qu’il s’agisse d’une arme à feu ou d’une arme blanche menaçante – ce qui exclut le petit canif avec lequel se battaient certains trotskistes en 1968 ; mon coude gauche porte encore la trace d’un contact, mais il avait suffi d’un coup de poing bien placé pour assommer le voyou marxiste après son passage à l’acte) riposte avec son arme de service, c’est la stricte application du principe universel de la « Légitime défense » et l’on ne pourrait qu’approuver M. Ferry s’il en avait fait mention.

    En revanche, face à des excités – quelle que puisse être leur motivation – armés de leurs seuls poings, en aucun cas, un policier ne peut tirer autrement qu’en « sommation ». J’ose imaginer que notre distingué philosophe professionnel aurait exprimé ce distinguo si l’animateur-baladin lui en avait laissé le temps.

    On reproche semble-t-il à un ex-boxeur professionnel d’avoir affronté à poings nus un policier armé d’une matraque. Je n’y vois qu’un délit d’outrage à agent de l’ordre dans l’exercice de ses fonctions, à moduler en fonction du contexte, car il serait bon de savoir si l’agent avait fait preuve de retenue dans ses actes et si l’ex-pugiliste tentait ou non de dégager un civil.

    Il est exact qu’un boxeur ne frappe jamais un homme à terre... sauf s’il est un spécialiste du MMA (Mixed Martial Arts), où le combat à terre fait suite à l’affrontement en position debout, comme au judo ou au jiu-jitsu. Avant de reprocher son manque d’esprit sportif au boxeur, il convient d’étudier de près sa carrière (le passage d’un sport de combat à un autre étant très fréquent).

    En outre, il paraît assez curieux d’évoquer les règles sportives à l’occasion d’une émeute, soit un déchaînement de passion – non pas violente, comme l’écrivent les journalistes macroniens -, mais haineuse. La haine est plutôt une spécialité des marxistes et autres gauchistes qu’une caractéristique des Français de base, ceux-là mêmes que j’ai soignés durant 41 années dans divers hôpitaux publics... combien de doctes philosophes, de ministres et de journalistes parisiens ont-ils fréquenté du « Français de base » ?

    Après tout, si Grand Président Macron faisait correctement son travail, s’il nous évitait le pénible spectacle des clowneries de sa ravissante épouse, les émeutes des Français autochtones n’auraient pas raison d’être et l’on en reviendrait à notre lot annuel d’émeutes raciales dans les cités saturées d’immigrés... parfaitement indésirables, tant qu’un referendum n’aura pas autorisé leur entrée en masse sur le sol national !   

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/09/hysterie-mediatique-ou-derapage-d-un-philosophe-professionne-6119423.html

  • Emmanuel Macron, premier des pyromanes, par Ivan Rioufol

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    Dans une France inflammable, il est irresponsable de jouer avec les allumettes. Or c’est ce que fait Emmanuel Macron depuis le 17 novembre 2018, date de la première manifestation des Gilets jaunes. Le crescendo dans la violence est attisé par un pouvoir incapable de se résoudre à l’apaisement et à la bienveillance, ces mots portés naguère par la macronie. Il est évidemment choquant d’avoir vu, samedi à Paris lors d’une énième manifestation, un gendarme pris à partie par un boxeur. La porte d’entrée du porte-parolat du gouvernement, laissé sans protection policière, a également été enfoncée par un porte-palette. Benjamin Griveaux a fui par une porte dérobée. C’est lui qui, le 4 janvier, avait promis : “Nous allons aller plus loin dans le changement, être plus radicaux. Peut-être avons-nous trop composé avec certains conservatismes. Nous allons changer cela“. C’est Griveaux qui avait également qualifié les Gilets Jaunes d’”agitateurs” accusés de vouloir “renverser le gouvernement”. Mais à quoi rime d’agiter le chiffon rouge ? Le chef de l’Etat est le premier des pyromanes.

    Dans ses vœux du 31 décembre, il ne s’est pas contenté d’associer les Gilets jaunes à “une foule haineuse“. Macron a aussi assuré que cette France enracinée s’en prenait “aux élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels“, dans un amalgame qu’il interdit quand il s’agit de juger les dérapages des minorités protégées. Ce choix de la rupture avec son peuple est une stratégie démente. L’observateur ne compte plus les insultes présidentielles contre “ceux qui ne sont rien” ou la “lèpre qui monte”. Les blessures narcissiques de Macron ne l’autorisent pas à ces montées aux extrêmes. Les Français révoltés ne sont sans doute pas toujours adroits ni délicats. Mais ce ne sont pas des brigands, ni des canailles, ni des sous-hommes.

    Ce lundi, Gérald Darmanin a concédé sur RTL qu’il fallait “distinguer” entre les Gilets jaunes et les ultra-violents. A la bonne heure ! C’est ce ministre qui avait dit il y a peu avoir vu “la peste brune” dans des mobilisations sur les Champs-Elysées. Bruno le Maire avait parlé, lui, de “dérives homophobes et racistes“. Dès dimanche, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education, avait tempéré : “On fait très clairement la distinction entre ceux qui manifestent de façon légale et ceux qui se sont engouffrés dans la brèche des désordres”. Faut-il voir dans ces tardives réflexions de bon sens l’aveu de l’échec de la diabolisation des Gilets jaunes ? Il est en tout cas navrant d’avoir assisté, durant près de deux mois, au naufrage d’un pouvoir à ce point incapable d’entendre la voix du peuple d’en bas. Celui-ci ne pardonnera pas avant longtemps d’avoir été si injustement assigné à un rôle d’abruti ou de fasciste.

    Ce terrorisme intellectuel à front de taureau, relayé par des commentateurs réduits à insulter des malheureux, restera une tache sur une macronie qui se prétendait exemplaire. Il est à craindre que cette caste désormais assiégée ne poursuive dans sa fuite en avant suicidaire, en gardant ses œillères. Il y a une incohérence à inviter les Français à participer désormais au “grand débat”, tout en laissant comprendre que le président n’en fera encore qu’à sa guise. A l’issue du conseil des ministres de la rentrée, vendredi, Macron a fait savoir qu’il entendait aller “plus loin, plus vite, plus fort, plus radicalement dans les changements”. Plus loin, plus vite, plus fort, plus radicalement : le désir mimétique, décrit par René Girard, va-t-il poursuivre son terrible engrenage ?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 7 janvier 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Femmes Gilets jaunes : «On manifeste pour le logement, les mères isolées, les femmes précaires»

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    Au lendemain de l’ Acte 8 du mouvement, des centaines de femmes Gilets Jaunes ont décidé de manifester aux quatre coins de la France.

    Sophie Tissier, 40 ans, « mère isolée de deux enfants », explique ainsi au mégaphone être au RSA depuis deux ans et demi :

    C’est très difficile pour nous d’être mises en lumière dans la société en tant que femmes. Or nous sommes plus pacifiques que les hommes et on veut mobiliser de façon pacifique. (…) On est très nombreuses dans les manifestations, sur les ronds-points, car on est plus touchées par le travail précaire.

    Les slogans visaient principalement le président de la République : « Macron démission », « Macron, t’es foutu, les gonzesses sont dans la rue » ou encore « Macron, si tu ne viens pas, c’est nous qui venons chez toi ».

    « Le gouvernement veut nous faire passer pour des casseurs, mais aujourd’hui nous sommes des mères, des grands-mères, nous sommes les filles, les sœurs de tous les citoyens, et nous voulons dire que (…) notre colère est légitime. C’est lors des crises sociales que les droits des femmes sont le plus en danger », a déclaré pour sa part, la manifestante Chloé Tessier.

    https://fr.novopress.info/213126/femmes-gilets-jaunes-on-manifeste-pour-le-logement-les-meres-isolees-les-femmes-precaires/

  • Gilets Jaunes : Macron et sa Garde suisse – Journal du mardi 8 janvier 2018

     

    Politique / Gilets Jaunes : Macron et sa Garde suisse

    Alors que la crise des Gilets Jaunes se poursuit, le premier ministre Edouard Philippe est intervenu lundi soir pour annoncer une batterie de mesures sécuritaires. Un tournant qui dénote la peur et l’impuissance d’un exécutif aux abois.

    Sécurité / Les prisons au bord de l’implosion

    International / La nouvelle stratégie de l’Etat Islamique

    Alors que les Etats-Unis ont annoncé le retrait de leurs troupes en Syrie, la menace terroriste demeure. Si Daesh a perdu du terrain au Proche-Orient, l’organisation pourrait rebondir en Afrique et entreprendre de nouvelles attaques en Europe.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-macron-et-sa-garde-suisse-journal-du-mardi-8-janvier-2018

  • « Les bourgeois aimeraient tellement qu’on en revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos… » Fin

    Il faudrait mettre fin à la mondialisation et instaurer de nouveau, en France et en Europe, des frontières qui protègent 2) Faire cesser le matraquage socio-fiscal, qui pèse essentiellement sur la classe moyenne, en réduisant les dépenses publiques anormales 3) Mettre fin à l’assistanat pour réduire les dépenses publiques, pour sauver la sécurité sociale et réduire les impôts de ceux qui travaillent 4) Réduire les folles dépenses et les gâchis engendrés par la sphère politico-administrative, notamment en supprimant le sénat, en réduisant le nombre des députés, en supprimant le département, échelon inutile du mille-feuilles 5) Arrêter l’immigration, qui est devenue une invasion : elle est la cause majeure de l’envolée des dépenses publiques et du matraquage fiscal ; elle a chassé la classe moyenne des banlieues ; elle pourrit la vie des Français ;  elle est devenue une invasion.

    Pour améliorer considérablement la vie des Français moyens de souche européenne : 1) Rétablir en France et en Europe des frontières qui protègent de la mondialisation 2) Cesser le matraquage socio-fiscal 3) Mettre fin à l’assistanat 4) Réduire la sphère politico-administrative 5) Arrêter l’immigration

    Sur les gilets jaunes

    La baudruche Jupiter s’est dégonflée brusquement avec un grand pschiiiit…

    C’est en roulant dans l’escalier que le pseudo Jupiter dégringole de l’Olympe

    Macron-Rothschild est à deux doigts de porter plainte contre le peuple

    Bilan provisoire : 1) les réformes libérales prévues par Macron c’est terminé 2) grâce aux gilets, il va se prendre une veste aux européennes 3) il va avoir du mal à tenir jusqu’en 2022

    Relevons que les Français moyens actifs qui touchent plus que le Smic et ne font pas d’heures sup, c’est à dire la majorité, ne gagnent rien aux annonces de Macron-Rothschild

    Et toute la bourgeoisie retient son souffle : pourvu que ça suffise et que ces imbéciles se contentent de ces miettes…

    Il a pris les Français moyens pour des poires
    Veut les calmer maintenant avec un moratoire
    Un peu tard désormais pour faire machine arrière
    Nous ne supportons plus ce pseudo Jupiter

    Il s’est pris pour Jupiter alors qu’il n’est qu’employé de banque

    Parties intégrantes du Système, les syndicats subventionnés n’ont plus rien en commun avec les Français moyens en gilet jaune

    De nombreux Français ne supportent plus ce banquier et rêveraient d’un Trump ou, mieux encore, d’un Poutine

    (l’arc de triomphe dégradé rouvre ses portes) Dans un pays qui se laisse envahir sans réagir, un arc de triomphe paraît quelque peu incongru

    En rester au Touquet manquait par trop d’éclat
    Un autre avenir s’ouvrait dès qu’elle prit ce quadra
    Rothschild et tout le CAC lui ont ouvert les bras
    Elysée, Brégançon, Lanterne, Etcetera
    Elle courait les palaces, Davos, Essaouira
    Un Vuitton tous les jours, une perruque, et Gala
    Rien n’était trop brillant pour cette prof d’en bas
    Elle pouvait même rêver faire la nique à Carla
    Las… Le micro-Jupiter a volé en éclats
    C’est au musée Grévin que Brizit vieillira

    Les bourgeois aimeraient tellement qu’on revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos…

    Trois France en présence désormais : la classe dirigeante mondialiste et immigrationniste ; les immigrés ; et les Français moyens de souche, rackettés, trahis, envahis…

    (macron au Puy en Velay) Le rêve jupitérien… Et puis… Envolé…

    Il se rêvait en Jupiter… Il lui reste la Jupiler…

    Après avoir créé le désordre, Macron-Rothschild compte sur les forces de l’ordre

    Macron en 4 flashs : Rothschild ; l’immigration est une chance ; Ben Allah ; ISF…

    Les juges voudraient mettre les gilets jaunes sur « le mur des cons » mais ils sont trop nombreux

    Les policiers, issus du peuple, ont pour mission de protéger les bourgeois de la colère du peuple… On comprend qu’ils dépriment…

    Macron-Rothschild = désordre

    La politique libérale de Macron-Rothschild est soutenue par 25 % des Français au maximum, c’est à dire par la classe dominante. Ce niveau est également celui de son score du premier tour.

    Matraquage socio-fiscal de la classe moyenne, reléguée dans les zones périphériques + enrichissement sans précédent de la classe dirigeante + mépris de classe macronien + invasion migratoire = gilets-jaunes

    La classe dirigeante mondialiste a appauvri les Français moyens de souche ; elle les a méprisés ; elle a entrepris de les remplacer… Ils réagissent… Enfin !

    Sur la délinquance, la police, la justice

    Les médias se passionnent pour ces meurtres bien de chez nous : Dupont, Fourniret, Lelandais, Dutroux, le petit Grégory, Francis Heaulme, l’affaire Daval, la plupart vieux de plusieurs décennies… Quant aux meurtres à coups de couteau qui se produisent à longueur d’année, ils font eux l’objet d’un silence radio quasi total…

    (la Défense : un professeur tué devant l’université) Une attaque à la Défense

    (la Défense : un professeur tué devant l’université) Pakistanais… Comme le journaliste du Système a oublié de le préciser…

    (Chambéry : le magistrat giflé par le père d’une détenue) Première hypothèse : l’agresseur est issu de la diversité…. Deuxième hypothèse : le magistrat giflé, comme la plupart des juges, est immigrationniste… Morale hypothétique : bien fait !

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    Le but du prélèvement à la source ? Une fois qu’il sera rentré dans les moeurs, il deviendra indolore, comme la TVA. Et l’Etat pourra l’augmenter en douce un petit peu chaque année…

    Les assistés et les immigrés voient leur situation s’améliorer au fil des décisions « sociales ». Les riches voient leur impôts baisser (ISF, flat tax…). Matraqués d’impôts et de taxes, les Français moyens de souche voient leur pays leur échapper…

    (la France taxera les GAFA même sans accord européen) Ah bon ? Alors finalement on peut quand même agir, même sans l’Europe ? ça fait pourtant 20 ans qu’on nous dit le contraire…

    Les délocalisations ; l’envolée des prix de l’immobilier dans les grandes villes sous l’effet de l’enrichissement des riches ; l’immigration… Tout cela s’est fait au détriment des Français moyens de souche

    Sur l’environnement

    Le racket des Français moyens de souche sur les routes a trois objectifs : remplir les caisses ; créer une fracture entre police et population ; rendre les Français moyens craintifs et dociles

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct 

    (pupille un film bouleversant sur l’adoption) Le mieux c’est encore la famille traditionnelle : papa, maman et des enfants à soi

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/