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social - Page 305

  • FAIRE VIVRE (REVIVRE) DU LIEN SOCIAL

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    Pierre Vial Président de Terre & peuple

    Le diable porte pierre : grâce à la bêtise crasse des autistes prétentieux censés gouverner la France, nombre de Gaulois redécouvrent les vertus de solidarité et de fraternité, dans un réflexe de révolte contre l’insupportable.

    Matraquage des cerveaux par l’esprit marchand (l’escroquerie du Black Friday, poussant à l’hyperconsommation et à l’endettement), destruction des communautés organiques (la famille, l’école, la commune, le métier) : le libéralisme capitaliste fait tout pour réduire la personne à sa dimension purement individuelle, cultivant un égoïsme hédoniste et consumériste (après moi le déluge) qui implique la cassure du lien social. Ainsi pourra s’installer ce « village planétaire », cette société mondialisée hors sol, gommant les identités, les racines et où règnera la seule loi du marché, que les mondialistes appellent de leurs voeux.

    Patatras ! Les calculs des savants stratèges du libéralisme s’avèrent tout faux. Ceux qu’ils appellent avec mépris « les petits Blancs » se mobilisent en effet spontanément pour affirmer, tout simplement, leur droit de vivre décemment, en se libérant de l’asservissement mis en place par l’Etat. Car trop c’est trop.

    Il est vital d’être avec eux et de leur apporter un soutien multiforme : la révolte des Gaulois est en marche !

    Vous avez rendez-vous avec Terre & peuple :

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    En savoir plus cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/25/faire-vivre-revivre-du-lien-social-6108114.html

  • Tentative d’empathie ratée pour Gérald Darmanin

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    Le pompon de la déconnexion est revenu, la semaine passée, à Gérald Darmanin avec sa tentative de compassion pour les « gilets jaunes ». Ces pauvres gens qui doivent vivre avec 950 euros par mois alors qu’il est impossible de trouver un restaurant dans Paris à moins de 100 euros par tête de pipe… Sans les vins ! « Nous devons tous intégrer et pas seulement expliquer, mais entendre et comprendre ce que c’est que de vivre avec 950 euros… » Déclaration oxymoresque dont le contenu venait démontrer qu’il n’avait ni compris ni entendu. Un deuxième essai est attendu d’une minute à l’autre. Allez, Gérald, on y croit, vas-y, lance-toi, les gilets jaunes sont suspendus à tes lèvres.

    Gérald Darmanin. « OK, je me lance… Alors… nous devons tous intégrer et pas seulement expliquer mais entendre et comprendre ce que c’est de vivre avec 950 euros par mois quand… heu… le sac pour faire des courses de Vuitton est à 750 euros. »

    OK. Laisse tomber. On n’y arrivera pas.

    Soit dit en passant, les efforts du ministre pour dégoter, dans Paris, des restaurants où il est impossible de prendre un repas à moins de 100 euros sont méritants. Comme le signale le magazine Marianne à l’origine de l’info, « le Guide Michelin permet de constater qu’il est aisé de trouver des “menus déjeuner” dans des étoilés pour 55, 58 ou 62 euros ».

    Pour Gérald Darmanin, le moment du repas est, chaque jour, un véritable calvaire. Sillonner les rues de Paris à la recherche de la perle rare qui lui facturera l’œuf dur mayonnaise, tartare frites suivi d’une mousse au chocolat 110 euros minimum n’est pas de tout repos. C’est un travail en soi. Certains restaurateurs voyant Darmanin arriver ajoutent un zéro à tous les prix de la carte. Ceux qui ont une calculette sous la main multiplient par quatre. En dessous de 80 euros, le ministre ne touche pas à sa tranche de rosbif. C’est un puriste !

    Le client désormais recherché par tous les restos de Paris a crié à la « fake news », à la malhonnêteté intellectuelle de Marianne. Sans préciser ce qu’il avait voulu dire. Le smicard n’a jamais revendiqué le droit de s’asseoir à une table de la Tour d’argent. La comparaison est hors sujet. Le gilet jaune s’interroge. Comment interpréter ces propos fumeux ? De toute évidence, le ministre s’est pris les pieds dans le tapis. Un tapis à 20.000 euros. Qui va payer la réfection de l’ouvrage ? La crainte d’une nouvelle taxe pour financer les travaux menace le contribuable. Comment écumer les joailliers de la place Vendôme pour faire ses cadeaux de Noël si une nouvelle taxe survient ? La population est inquiète.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/tentative-dempathie-ratee-pour-gerald-darmanin/

  • Une lettre de Jean-Claude Michéa à propos du mouvement des Gilets jaunes 

    Jean-Claude Michéa

    Une lettre à propos du mouvement des Gilets jaunes

    Le 21 novembre 2018

    Chers Amis,

    Juste ces quelques mots très brefs et donc très lapidaires – car ici, on est un peu débordés par la préparation de l’hiver (bois à couper, plantes et arbres à pailler  etc.). Je suis évidemment d’accord avec l’ensemble de vos remarques, ainsi qu’avec la plupart des thèses de Lieux communs (seule la dernière phrase me paraît un peu faible en raison de son « occidentalisme » : il existe aussi, bien entendu, une véritable culture de l’émancipation populaire en Asie, en Afrique ou en Amérique latine !).

    Le mouvement des « gilets jaunes » (bel exemple, au passage, de cette inventivité populaire que j’annonçais dans Les Mystères de la gauche) est, d’une certaine manière, l’exact contraire de « Nuit Debout ». Ce dernier mouvement, en simplifiant, était en effet d’abord une tentative – d’ailleurs encouragée par une grande partie de la presse bourgeoise – des « 10 % » (autrement dit, ceux qui sont préposés – ou se préparent à l’être – à l’encadrement technique, politique et « culturel » du capitalisme moderne), pour désamorcer la critique radicale du Système, en dirigeant toute l’attention politique sur le seul pouvoir (certes décisif) de Wall Street et des fameux « 1 % ». Une révolte, par conséquent, de ces urbains hypermobiles et surdiplômés (même si une fraction minoritaire de ces nouvelles classes moyennes commence à connaître, ici ou là, une certaine « précarisation ») et qui constituent, depuis l’ère Mitterrand, le principal vivier dans lequel se recrutent les cadres de la gauche et de l’extrême gauche libérales (et, notamment, de ses secteurs les plus ouvertement contre-révolutionnaires et antipopulaires : Regards, Politis, NP“A”, Université Paris VIII etc.). Ici, au contraire, ce sont bien ceux d’en bas (tels que les analysait Christophe Guilluy – d’ailleurs curieusement absent, jusqu’ici, de tous les talk-shows télévisés, au profit, entre autres comiques, du réformiste sous-keynésien Besancenot), qui se révoltent, avec déjà suffisamment de conscience révolutionnaire pour refuser d’avoir encore à choisir entre exploiteurs de gauche et exploiteurs de droite (c’est d’ailleurs ainsi que Podemos avait commencé en 2011, avant que les Clémentine Autain et les Benoît Hamon du cru ne réussissent à enterrer ce mouvement prometteur en le coupant progressivement de ses bases populaires).

    Quant à l’argument des « écologistes » de cour – ceux qui préparent cette « transition énergétique » qui consiste avant tout, comme Guillaume Pitron l’a bien montré dans La Guerre des métaux rares, à délocaliser la pollution des pays occidentaux dans les pays du Sud, selon lequel ce mouvement spontané ne serait porté que par « une idéologie de la bagnole » et par « des gars qui fument des clopes et roulent en diesel », il est aussi absurde qu’immonde : il est clair, en effet, que la plupart des Gilets jaunes n’éprouvent aucun plaisir à devoir prendre leur voiture pour aller travailler chaque jour à 50 km de chez eux, à aller faire leurs courses au seul centre commercial existant dans leur région et généralement situé en pleine nature à 20 km, ou encore à se rendre chez le seul médecin qui n’a pas encore pris sa retraite et dont le cabinet se trouve à 10 km de leur lieu d’habitation. (J’emprunte tous ces exemples à mon expérience landaise ! J’ai même un voisin, qui vit avec 600 € par mois et qui doit calculer le jour du mois où il peut encore aller faire ses courses à Mont-de-Marsan, sans tomber en panne, en fonction de la quantité de diesel – cette essence des pauvres – qu’il a encore les moyens de s’acheter !) Gageons qu’ils sont au contraire les premiers à avoir compris que le vrai problème, c’était justement que la mise en œuvre systématique, depuis maintenant 40 ans, du programme libéral par les successifs gouvernements de gauche et de droite, a progressivement transformé leur village ou leur quartier en désert médical, dépourvu du moindre commerce de première nécessité, et où la première entreprise encore capable de leur offrir un vague emploi mal rémunéré se trouve désormais à des dizaines de kilomètres (s’il existe des « plans banlieues » – et c’est tant mieux – il n’y a évidemment jamais eu rien de tel pour ces villages et ces communes – où vit pourtant la majorité de la population française – officiellement promis à l’extinction par le « sens de l’histoire » et la « construction européenne » !).

    Ce n’est donc évidemment pas la voiture en tant que telle – comme « signe » de leur prétendue intégration dans le monde de la consommation (ce ne sont pas des Lyonnais ou des Parisiens !) – que les Gilets jaunes défendent aujourd’hui. C’est simplement que leur voiture diesel achetée d’occasion (et que la Commission européenne essaye déjà de leur enlever en inventant sans cesse de nouvelles normes de « contrôle technique ») représente leur ultime possibilité de survivre, c’est-à-dire d’avoir encore un toit, un emploi et de quoi se nourrir, eux et leur famille, dans le système capitaliste tel qu’il est devenu, et tel qu’il profite de plus en plus aux gagnants de la mondialisation. Et dire que c’est d’abord cette gauche kérosène – celle qui navigue d’aéroport en aéroport pour porter dans les universités du monde entier (et dans tous les « Festival de Cannes ») la bonne parole « écologique » et « associative » qui ose leur faire la leçon sur ce point ! Décidément, ceux qui ne connaissent rien d’autre que leurs pauvres palais métropolitains n’auront jamais le centième de la décence qu’on peut encore rencontrer dans les chaumières (et là encore, c’est mon expérience landaise qui parle !).

    La seule question que je me pose est donc de savoir jusqu’où un tel mouvement révolutionnaire (mouvement qui n’est pas sans rapport, dans sa naissance, son programme rassembleur et son mode de développement, avec la grande révolte du Midi de 1907) peut aller dans les tristes conditions politiques qui sont les nôtres. Car n’oublions pas qu’il a devant lui un gouvernement thatchérien de gauche (le principal conseiller de Macron est d’ailleurs Mathieu Laine – un homme d’affaires de la City de Londres et qui est, en France, le préfacier des œuvres de la sorcière Maggie), c’est-à-dire un gouvernement cynique et impavide, qui est clairement prêt – c’est sa grande différence avec tous ses prédécesseurs – à aller jusqu’aux pires extrémités pinochetistes (comme Maggie avec les mineurs gallois ou les grévistes de la faim irlandais) pour imposer sa « société de croissance » et ce pouvoir antidémocratique des juges, aujourd’hui triomphant, qui en est le corollaire obligé. Et, bien sûr, sans avoir quoi que ce soit à craindre, sur ce plan, du servile personnel médiatique français. Faut-il rappeler, en effet, qu’on compte déjà 3 morts, des centaines de blessés, dont certains dans un état très critique. Or, si ma mémoire est bonne, c’est bien à Mai 68 qu’il faut remonter pour retrouver un bilan humain comparable lors de manifestations populaires, du moins sur le sol métropolitain. Et pour autant, l’écho médiatique donné à ce fait effarant est-il, du moins pour l’instant, à la hauteur d’un tel drame ? Et qu’auraient d’ailleurs dit les chiens de garde de France Info si ce bilan (provisoire) avait été l’œuvre, par exemple, d’un Vladimir Poutine ou d’un Donald Trump ?

    Enfin, last but not the least, on ne doit surtout pas oublier que si le mouvement des Gilets jaunes gagnait encore de l’ampleur (ou s’il conservait, comme c’est toujours le cas, le soutien de la grande majorité de la population), l’État benallo-macronien n’hésitera pas un seul instant à envoyer partout son Black Bloc et ses « antifas » (telle la fameuse « brigade rouge » de la grande époque) pour le discréditer par tous les moyens, où l’orienter vers des impasses politiques suicidaires (on a déjà vu, par exemple, comment l’État macronien avait procédé pour couper en très peu de temps l’expérience zadiste de Notre-Dame-des-Landes de ses soutiens populaires originels). Mais même si ce courageux mouvement se voyait provisoirement brisé par le PMA – le Parti des médias et de l’argent (PMA pour tous, telle est, en somme, la devise de nos M. Thiers d’aujourd’hui !) ; cela voudra dire, au pire, qu’il n’est qu’une répétition générale et le début d’un long combat à venir. Car la colère de ceux d’en bas (soutenus, je dois à nouveau le marteler, par 75 % de la population – et donc logiquement stigmatisé, à ce titre, par 95 % des chiens de garde médiatiques) ne retombera plus, tout simplement parce que ceux d’en bas n’en peuvent plus et ne veulent plus. Le peuple est donc définitivement en marche ! Et à moins d’en élire un autre (selon le vœu d’Éric Fassin, cet agent d’influence particulièrement actif de la trop célèbre French American Fondation), il n’est pas près de rentrer dans le rang. Que les Versaillais de gauche et de droite (pour reprendre la formule des proscrits de la Commune réfugiés à Londres) se le tiennent pour dit !

    Très amicalement,
    JC

    Source : Les Amis de Bartleby, Jean-Claude Michéa, 21-11-2018

    https://www.les-crises.fr/une-lettre-de-jean-claude-michea-a-propos-du-mouvement-des-gilets-jaunes%e2%80%89/

  • QUI SEME LE VENT, RECOLTE LA TEMPETE !

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    Pieter Kerstens

    La légitime colère exprimée par les Gilets Jaunes n’est en réalité que la conséquence de l’accumulation des impôts et la multiplication des taxes prélevées par les divers gouvernements depuis de nombreuses années.  Mais cela fait quand même longtemps que certains analystes et politiciens ont tiré la sonnette d’alarme à propos des limites tolérables de la pression fiscale et de l’exaspération des contribuables français.

    AVEUGLES PAR L’IDEOLOGIE ET LES DOGMES, LES ECOLOS IGNORENT LA REALITE.

    Car sous prétexte de « transition énergétique » ou « du sauvetage de la planète », les khmers verts, les laquais du mondialisme, les macronariens et les médias aux ordres imposent et taxent à tour de bras les automobilistes véritables vaches à lait du Régime, taillables et corvéables à merci.

    En réalité, le gouvernement et ses prédécesseurs cherchent par tous les moyens à boucher les trous de leurs budgets successifs :  62 milliards d’euros de déficit en 2017, 80 milliards en 2018 et 100 milliards en 2019.

    Rien n’a été fait pour DIMINUER les dépenses de l’Etat et les Français ont bien raison de manifester leur colère, face à une dette publique en hausse continuelledepuis des décennies et qui culmine aujourd’hui à 2.337 milliards d’euros, soit 37.208 € par habitant, alors que cette dette n’était que de 827 milliards d’euros en l’an 2000. Quatre fois moins élevée ! Pourquoi une telle hausse ?

    Vous-mêmes, avez-vous constaté une réelle amélioration de l’administration de vos communes, de vos départements, de vos régions ou encore des services de l’Etat, comme la Poste ?

    Des centaines de milliards ont été gaspillés dans les diverses « politiques de la ville » depuis Bernard Tapie, ministre à ce poste, et afin d’acheter la paix dans les banlieues et de nouveaux électeurs. Résultat ? Un bide.

    L’informatique s’est développée dans tous les services publics et les grandes administrations, permettant un gain de temps et une « meilleure gestion ». On pourrait dès lors s’attendre à ce que les administrés, les citoyens, les contribuables et les parents soient tous beaucoup mieux informés selon leurs attentes, mieux soignés, avec un meilleur enseignement pour leurs enfants, bénéficiant de transports publics performants et sûrs, satisfaits aussi du rôle des fonctionnaires. Il n’en est rien, et bien au contraire, malgré diverses réorganisations territoriales, cela va de plus en plus mal et coûte de plus en plus cher. Alors bien évidemment, les administrations prennent l’argent dans la poche de la majorité silencieuse pour le dépenser au nom du « bien commun ». Vaste fumisterie.

    Depuis des lustres, les technocrates de Bercy (siège du Trésor Public) savent que 100 milliards d’euros s’évaporent tous les ans dans la fraude fiscale, la recherche de la moindre imposition et les multiples « niches ».

    Il est stupéfiant de voir que les postes de 3.100 inspecteurs des impôts ont été supprimés ces dernières années.

    Par contre, est-il logique que la pression fiscale sur les entreprises soit de 62,7% en France ?En Belgique elle est de 58,4% et de 50% en Espagne, mais de 48,8% en Allemagne et 32% au Royaume Uni, selon un rapport de la société PWC paru en 2016 (Total Tax Rate).

    APRES LA JOURNEE SANS VOITURES, LE WEEK-END SANS EAU ? LA SEMAINE SANS GAZ ?

    On nous parle de « mobilité durable », de lutte contre la pollution (CO2 et particules fines) ou de « transition énergétique » : mais tous les ans ce sont des millions d’heures perdues dans les embouteillages des métropoles. Cette situation, imaginée, planifiée et imposée aux automobilistes coûte chaque année des centaines de millions d’euros à la collectivité. Ce sont bien les maires des grandes villes comme Paris, Lille, Strasbourg, Lyon, Nantes, Bordeaux, Marseille ou Toulouse qui sont coupables du rejet de millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, conséquence des embarras de circulation qu’ils engendrent par leurs mesures, plus ineptes les unes que les autres. Et pour quelle raison, la Région Ile de France a-t-elle payé des pistes cyclables à Santiago du Chili ? Pourquoi autant de cadeaux, tous les ans, à des pays du tiers-monde, alors que l’on manque de sous ?

    Restons lucides, la France ne participe qu’à hauteur de 2% à la pollution mondiale (les USA pour 25%). Chez nous, depuis 25 ans les voitures consomment 30% de moins -à cylindrée égale- et polluent 20% de moins grâce au pot catalytique, aux filtres à particules, à l’essence sans plomb et sans souffre. Mais RIEN aux USA ! Ni d’ailleurs en Inde, en Chine, au Nigéria, en Indonésie ou dans les pays arabes, gros pollueurs avérés.

    Et le trou dans la couche d’ozone ? Réel cataclysme mondial ! Et bien il se referme au Pôle Sud comme au Pôle Nord. Et quand on vous parle de « pic de pollution », quelle en est l’origine ? Les vents d’Est nous ramènent-ils pas toute la pollution des usines de la Ruhr et des centrales au charbon allemandes ?

    NOTRE AUTO, C’EST NOTRE LIBERTE !

    Et les éminences qui nous gouvernent, nous donnent des leçons et prêchent la morale à chaque instant en nous culpabilisant pour tout et n’importe quoi ; ces éminences, elles, se transportent en voiture avec chauffeur ! Le Hulot vert, n’avait-il pas plusieurs automobiles ? Ne voyageait-il pas aussi en hélicoptère et souvent en avion ?

    Pourtant à l’écouter, ainsi que ses camarades « pastèques », les automobilistes seraient des pelés, des galeux, coupables de tous les maux de la Terre. A les entendre l’on devrait circuler en vélo, en rollers, en trottinette et abandonner nos voitures au profit des trains, bus, trams ou métros (renommés pour leur propreté, leur ponctualité et leur sécurité, comme chacun le sait).

    Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 30 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons.

    Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les alter mondialistesvont-ils mener campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou à Canton pour empêcher les habitants de s’équiper en motos ou en voitures et à en revenir à l’utilisation du vélo et de la marche à pieds ?

    Il faut arrêter de martyriser les conducteurs français et européens, sous de faux prétextes.

    TROP C’EST TROP !

    Le Pouvoir ponctionne des dizaines de milliards d’euros tous les ans dans les secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation, de circulation, vignettes « Crit’air », accises, assurances, TVA, amendes, etc…). Mais dans quel état se trouve nos rues et notre réseau routier ?

    Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux et c’est pourquoi une fronde s’organise parmi les conducteurs - victimes d’une véritable persécution - qui circulent tous les jours et perdent leur temps dans des embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes polluent notre quotidien.

    Alors OUI, les cocus de la Macronie ont endossé leur gilet jaune, révoltés par l’impéritie, le laxisme et l’incompétence de la classe politique, plus soucieuse de sauver ses prébendes que de défendre l’intérêt général.

    Ce mécontentement est justifié, surtout lorsque l’on apprend que le kérozène des avions (non polluants ?) est détaxé et que les énormes cargos porte-conteneurs, qui transportent les millions de jouets pour Noël entre les ports de Shangaï et de Rotterdam, polluent chacun autant que 1 million d’autos pendant 1 an !

    Et en plus, ces incompétents qui nous dirigent voudraient aussi interdire la circulation en ville, en instaurant des Zones de Basses Emissions, aux véhicules « polluants » âgés de plus de 10 ans et aux camions de livraisons ou de déménagement ?

    Les Européens et les Français en particuliers ne sont pas coupables des excès de la pollution mondiale et ne doivent surtout pas payer pour les prétendues dérives liées à l’automobile.

    Alors, STOP à la rage taxatrice. Exigeons des élus qu’ils gèrent mieux les finances publiques, sans gaspillages ni dons injustifiés. Et lors des élections Européennes de mai 2019, ce sera un vote de protestation clair et net.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les quartiers flambent, mais la police est envoyée contre les Gilets jaunes

    Les quartiers flambent, mais la police est envoyée contre les Gilets jaunes
  • Vers un acte 3 de la mobilisation des Gilets jaunes ? Un nouvel appel émerge sur Facebook

    Vers un acte 3 de la mobilisation des Gilets jaunes ? Un nouvel appel émerge sur Facebook
    © XAVIER LEOTY Source: AFP
    Des Gilets jaunes manifestent le 24 novembre à Rochefort en Charente maritime (image d'illustration).

    Alors que la mobilisation nationale des Gilets jaunes s'achève ce 24 novembre, un appel à l'organisation d'une autre manifestation le 1er décembre est apparu sur Facebook. Son but : pousser le chef de l'Etat à démissionner.

    «Acte 3 Macron démissionne !» : un événement Facebook appelant à la tenue d'une nouvelle manifestation parisienne sur l'avenue des Champs-Elysées a été créé ce 24 novembre. Organisé par un groupe nommé Les Gilets jaunes, l'événement intéresse plus de 38 000 personnes. Près de 7 000 personnes affirmaient par ailleurs vouloir y participer, peu avant 22h, ce 24 novembre. 

    Vers un acte 3 de la mobilisation des Gilets jaunes ? Un nouvel appel émerge sur Facebook
    © Facebook
    Capture d'écran d'un groupe Facebook appelant à une nouvelle manifestation le 1er décembre sur l'avenue des Champs-Elysées.

    «La lutte a commencé, elle ne s’arrêtera pas sans contreparties importantes redonnant la dignité aux citoyens», ont averti les organisateurs dans une publication s’apparentant à un communiqué. 

    La mobilisation du 24 novembre avait également découlé d’un appel sur Facebook lancé quelques jours après la première initiative des Gilets jaunes du 17 novembre. Le 19 novembre, 24 000 «gilets jaunes» se disaient partants et 169 000 personnes se déclaraient alors intéressées pour converger vers Paris.

    Si le mot d'ordre peut paraître radical : «Rencontre entre gilets jaunes pour assister à la démission de MACRON !!!», l'événement Facebook semble être l'occasion d'organiser une troisième mobilisation de grande ampleur, cette fois encore sur les Champs-Elysées. Simple effet d'annonce amplifié par les réseaux sociaux ou sérieux appel à la mobilisation ? Réponse le 1er décembre prochain. 

    https://francais.rt.com/france/55832-vers-acte-3-mobilisation-gilets-jaunes-nouvel-appel-emerge-facebook

  • D’après Florian Bachelier, député LaREM, des NAZIS se cachent « sous beaucoup de gilets jaunes »

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    Délire total. Le premier questeur de l’Assemblée nationale, Florian Bachelier, député LaREM d’Ille-et-Vilaine, appelle à «accélérer la transformation» et dénonce «l’irresponsabilité des pseudo-responsables politiques qui jouent avec la colère».

    « Sous beaucoup de «gilets jaunes», les chemises brunes sont de plus en plus visibles. »

    Craignez-vous une radicalisation du mouvement ?

    Je reçois avec humilité les colères, même si dans un contexte de menace terroriste, les forces de l’ordre sont très mobilisées. Je suis moi-même en colère pas contre les «gilets jaunes», mais contre le fait que des pseudo-responsables politiques – d’extrême droite et pas seulement –jouent avec ça. Je pense à Marine Le Pen, à Nicolas Dupont-Aignan. Car sous beaucoup de «gilets jaunes», les chemises brunes sont de plus en plus visibles. Il y a ceux qui sont en colère, et ceux qui s’en servent et engendrent des situations inacceptables, insupportables, des pressions, du racisme, de l’homophobie. Ces responsables légitiment une forme de violence. Il faut sanctionner tous les comportements de violence et les propos qui ne doivent pas être tenus. Je dénonce une récupération par des milices factieuses d’extrême droite. Quand le lien est rompu, c’est la République des milices. Quand j’entends qu’il existe cette colère parce qu’on est aux responsabilités depuis 18 mois, c’est se moquer des Français. Ce que l’on paye aussi, c’est la vacuité des oppositions, qui ne proposent plus rien. Nous n’avons plus le temps ni pour la naïveté, ni pour le cynisme.

    Source : Le Figaro

    https://news.suavelos.eu/dapres-florian-bachelier-depute-larem-des-nazis-se-cachent-sous-beaucoup-de-gilets-jaunes/?fbclid=IwAR3IMXag6e-mXft7qI67fg0yD6u81hWZaB2yVuzK_eJXwTAtv-sNiK0Y9KQ

  • La presse étrangère démonte Macron : « Les Français ont l’impression d’être pris pour des imbéciles. À juste titre ».

    La presse étrangère démonte Macron : « Les Français ont l’impression d’être pris pour des imbéciles. À juste titre ».

    Même depuis l’intérieur désormais, Macron décrédibilise la France. Mais plus personne n’est dupe, et le personnage en prend pour son grade. De Valeurs actuelles :

    “Serait-ce la fin de la lubie macronienne consistant à dénigrer les Français hors de leurs frontières ? Pas si sûr. Ce qui est plus certain, en revanche, c’est que la presse étrangère, de l’Italie à l’Angleterre en passant par l’Espagne, n’est pas tendre avec Emmanuel Macron, jugé déconnecté des réalités dans le dossier des « gilets jaunes ». Le Parisien a recensé quelques-unes des citations les plus tranchantes” (suite).

    https://www.lesalonbeige.fr/la-presse-etrangere-demonte-macron-les-francais-ont-limpression-detre-pris-pour-des-imbeciles-a-juste-titre/

  • Violences sur les Champs-Élysées

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    Un reportage exclusif de Boulevard Voltaire

    Samedi 24 novembre, Boulevard Voltaire était présent sur les Champs-Élysées à l’occasion de la manifestation des gilets jaunes.

  • Castaner prend ses désirs pour des réalités

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    Après avoir annoncé pendant toute la semaine que les manifestations d'aujourd'hui allaient être récupérées par "l'ultra droite", Castaner veut maintenant imputer à celle-ci les incidents qui se sont produits à Paris. Trop facile...

    Ce matin, les 3 000 flics chargés de disperser les 100 "extrémistes de droite" attendus ont laissé les milliers de manifestants venir exprimer leur juste colère sur les Champs-Elysées et les ont ensuite aspergés d'eau et de gaz lacrymogène. Ne voulant pas se laisser faire et s'estimant en état de légitime défense, nombre d'entre eux se sont défendus avec les moyens du bord. Il fallait s'y attendre...

    Lamentablement, l'incapable qui sert de ministre de l'Intérieur veut faire gober aux naïfs que ce serait les nationalistes qui porteraient la responsabilité des événements. Du grand n'importe quoi. 

    Le seul responsable, c'est le gouvernement et sa politique au service de la finance mondialiste qui asphyxie notre peuple. Castaner a voulu monter un stratagème vaseux pour enfumer les Gilets jaunes en les accusant d'être manipulés. Ça n'a pas marché. Les nationalistes ne sont pas là pour casser, ils sont là pour aiguiller nos compatriotes et leur ouvrir les yeux sur les véritables responsables de leurs malheurs.

    Soulignons au passage qu'il n'y a pas eu cet après-midi de scènes de pillages. Ce soir, les racailles de banlieue vont peut-être prendre le relais et se livrer à leurs violences habituelles, mais ceux-ci n'ont pas vraiment, n'en déplaise à Castaner, des têtes de nationalistes français...

    Au-delà de la révolte, c'est une nouvelle révolution qui se prépare. Le peuple français en a assez d'être exploité, il veut retrouver sa liberté et son identité. Cela, Macron, Castaner et leur clique ne l'ont pas encore compris... Il est vraiment temps que ces apprentis sorciers se cassent.

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/24/castaner-prend-ses-desirs-pour-des-realites-6107928.html