Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tradition - Page 118

  • Société • Panique au royaume de Danemark, après que la Reine ait déclaré refuser le modèle multiculturel

    Les débats ne se sont pas vraiment éteints au Danemark depuis l'interview accordée à la presse par Sa Majesté la Reine Margrethe II, chef de l'Etat danois, pour son 75e anniversaire le 16 avril 2015. Une interview qui a provoqué une certaine panique dans le monde du politiquement correct. Qu’a déclaré de si grave la souveraine de ce royaume scandinave de six millions d'âmes, toujours attaché à son indépendance et à sa tradition ? 

    On trouve réponse à cette question dans Riposte laïque, sous la signature de Sylvie Bourdon. Qui rapporte et commente ici les propos de la reine de Danemark. Des propos en fort contraste avec la pensée postnationale et le multiculturalisme, dominants chez nous ... 

    « Celui qui s’installe au Danemark doit se conformer au normes et valeurs danoises » déclare-t-elle. « Nous pouvons les accueillir, mais nous devons aussi leur dire ce que nous attendons. Car il s’agit de notre société, dans laquelle ils se rendent. Ils doivent comprendre dans quel monde ils sont venus. » Et la Reine de devenir plus précise encore : « Nous faisons volontiers de la place. Cependant, ils sont venus dans notre société et ne peuvent pas attendre pouvoir perpétuer leur modèle de société chez nous. Ils peuvent se rendre dans les mosquées, s’ils le veulent, mais s’ils font des choses incompatibles avec le modèle de la société danoise, ils doivent reconnaître que cela n’ira pas. » La Reine désigne bien entendu une certaine immigration qui se forme en société parallèle. Elle a aussi fait passer un message sur la liberté d’expression, qui n’est pas seulement menacée par les terroristes : « Je sais bien que certains disent, qu’il faut être prudent, qu’il faut réfléchir, cependant, nous devons absolument pouvoir nommer les choses et comment celles-ci doivent être selon nous. Ils veulent nous effrayer, nous ne devons pas nous laisser intimider. » Ceci est un message on ne peut plus clair à ceux qui ne cessent de relativiser, de minimiser nos valeurs fondamentales, afin de ne pas heurter les musulmans. (...).

    Les cris d’orfraies ne se sont pas fait attendre après ces déclarations politiquement incorrectes. L’ancien communiste, Johannes Andersen, un sociologue de l’Université de Aalborg a estimé que la Reine se mêle politiquement dans les débats sur l’immigration et fait savoir aux immigrants que le Danemark ne doit pas être un pays multiculturel. D’autres l’accusent de diviser le pays. Exemple, l’imam Fatih Alev, du Centre Islamique Danois : « Ce ne sont même plus les partis de droite maintenant ! Même la Reine est désormais influencée par cette tendance. Peut-être ressentait-elle le besoin d’exprimer ses critiques, afin de ne pas paraitre naïve. Les musulmans auraient-ils perdu leur Reine ? » Et, le jour de la venue de Geert Wilders, la Reine a donné une conférence de presse pour souligner ses propos : « La plupart savent bien sur ce quoi ils doivent se priver, lorsqu’ils arrivent dans un pays étranger, ils ne doivent pour autant changer leur religion ou manger différemment. Il ne s’agit pas de fricadelles. Il s’agit de s’adapter au pays dans lequel on est venu. » 

    [

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le royalisme sans la nostalgie.

    Dans le cadre de la nouvelle enquête sur la Monarchie, il me semble important de répondre aux objections faites à la Monarchie, ne serait-ce que pour dissiper les malentendus sur la Monarchie elle-même et préciser ce que nous entendons par Monarchie « à la française », ce qui nous semble en faire une nécessité dans ce monde-ci et pour la nation française, si particulière et si diverse à la fois.

    Les objections, effectivement, ne manquent pas et cela sur tous les terrains : historique, politique ou social, moral parfois, etc. Mais il faut aussi une part d'humilité dans les réponses à celles-ci : être royaliste ne signifie pas avoir réponse à tout, mais chercher celles-ci quand des questions se posent ou nous sont posées ; cela signifie aussi actualiser certaines idées, les accommoder, non pour les amenuiser, mais pour les rendre plus efficaces en notre temps qui, qu'on le regrette ou non, n'est pas celui d'hier ou d'il y a deux siècles. Le royaliste que je suis refuse que la nostalgie prenne le pas sur les réalités, et c'est en politique qu'il faut aborder les défis contemporains : la Monarchie n'est pas et n'a jamais été figée dans le temps, car elle est un axe et non un carcan ! 

    Cela n'est donc pas cette attitude « de feuille morte » qui consiste à suivre sans réagir le cours du ruisseau et du temps. Au contraire, l'attitude royaliste « active » consiste à vouloir agir dans et sur ce monde ou, du moins, dans et sur celui qui nous est proche, qui est nôtre avant que d'être celui des autres, à l'échelle de la commune, de la profession, de la région et de la nation, ce « plus vaste et complet cercle communautaire existant réellement », pourrait-on dire en paraphrasant Maurras. Alors que la nostalgie est trop souvent la marque d'un renoncement politique, le royalisme politique se veut le moyen de relier Tradition et Actualité en des institutions « traditionnelles dans leurs principes, modernes dans leurs pratiques », tout simplement.

    Aussi, nous nous intéresserons à répondre aux objections d'abord politiques plus encore qu'historiques, sans négliger néanmoins le fait que l'histoire est le champ privilégié d'un « empirisme organisateur » qui se doit d'être réaliste sans pour autant céder à l'idéologie du « réalisme » vantée par certains et dénoncée par Bernanos comme la marque d'un conformisme fataliste : les réalités sont aussi le résultat de l'action des hommes et de leur politique, et elles ne sont pas condamnées à être absolument figées dans un « présentisme » insupportable et oublieux de la mémoire des peuples et des familles. « Toute vraie tradition est critique », affirmait l'écrivain de Martigues : il est important de ne pas confondre la transmission avec la seule conservation idéologique... Si je peux me définir comme traditionaliste (politiquement et civiquement parlant), je ne peux que me défier du conservatisme qui, aujourd'hui, est d'abord républicain, faute d'oser penser « autre chose que ce qui existe en ce moment-même »...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Défendre prioritairement la structure naturelle de la famille n'est pas une "incohérence d'ultras"

    Trouvée dans un long article d'Henri Hude consacré à Marion Maréchal Le Pen, cette phrase :

    "Les incohérences de certains catholiques ultras en politique.

    Peut-on d’abord les caractériser ? 

    Ils ont souci de la famille et de la vie, mais ils n’ont pas assez souci du travail, ni surtout conscience qu’il y a là un seul problème à deux dimensions : une de justice sociale / familiale et une de justice économique."

    Cette dialectique, que l'on peut retrouver dans un certain nombre de publications, révèle une méconnaissance profonde de la nature des principes non négociables, que le pape Benoît XVI avait pris soin de définir :

    • "la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;
    • la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille - comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage - et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent  à  sa  déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
    • la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants."

    Ces principes sont les piliers sans lesquels toute société s'écroule. Et c'est pourquoi, avoir le souci de la famille, première cellule vitale de la société, c'est aussi avoir le souci de l'équilibre social. Car l'homme n'est pas un individu isolé, et les problèmes sociaux actuels, comme le mal-logement, la pauvreté, la violence des jeunes, la drogue, etc. ne se résoudront pas avec des pansements artificiels ou étatistes. Les familles monoparentales, dont les mères isolées constituent la très grande majorité représentent la plus grande part des ménages les plus vulnérables à la pauvreté extrême. Et ce n'est pas la nouvelle facilitation du divorce qui va arranger les choses. Les problèmes économiques que connait notre pays ne se réduisent pas à leur aspect matérialiste.

    Dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, Marie-Pauline Deswarte, commentant la devise républicaine et ses contradictions, écrit notamment :

    "Ainsi la destruction de la morale familiale qui est entreprise depuis des décennies et, actuellement réactivée, entraîne une série de maux catastrophiques pour l’ensemble du corps social. On dépense beaucoup d’argent pour venir en aide à des enfants, des étudiants isolés, démunis. Mais on ne recherchera pas à renforcer la structure familiale traditionnelle qui a fait ses preuves au long des siècles, à lui laisser les moyens d’entretenir elle-même ses enfants et ses anciens. La société se substitue à autrui et pratique l’assistance et la distribution des revenus. Substitué à la famille, l’État devient totalitaire."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 2016 : Echecs au Nouvel Ordre Mondial ! 2017 : Espoirs et espérance

    De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :

    6a00d83451619c69e201bb09669fb3970d-200wi.png"Rien, jamais n'est écrit !

    2016 devait être une année comme les autres. Une nouvelle étape vers une humanité, hédoniste et matérialiste, enfin apaisée et prospère car libérée de tous les déterminismes et toutes les superstitions. Il était une fois pour toutes acquis que les nations devaient disparaître et toutes les religions contribuer à l'animation spirituelle de la démocratie universelle.

    Des ratés imprévus.

    Mais la machine à nier l'identité des peuples a connu des défaillances. Le trublion Donald Trump a été élu président des États-Unis d'Amérique contre l'ensemble de la classe politico médiatique. Si avec lui le meilleur reste possible, avec Hillary Clinton le pire était certain !

    Les Britanniques ont fait le choix de sortir de l'Union Européenne et, incroyable, le nouveau gouvernement de Thérésa May s'est engagé à respecter la volonté populaire. Alors que comme un vulgaire Sarkozy à propos de la Constitution européenne, elle aurait pu faire approuver par les Chambres ce que le peuple avait rejeté.

    La Russie, la Hongrie, la Pologne renouent publiquement avec les racines chrétiennes de leur histoire. Le 19 novembre, dans un grand concours de peuple, les évêques de Pologne, le Président de la République, le Premier ministre, les présidents de la Diète et du Sénat ont solennellement reconnu le Christ comme « Roi et seigneur de la Pologne ». Le 21 octobre c'est le Dr Pedro Pablo Kuczynski, Président de la République du Pérou qui avait consacré son pays au Sacré-Cœur de Jésus par le Cœur Immaculé de Marie.

    La reprise d'Alep par l'armée syrienne est une victoire contre l'État Islamique. C'est un motif d'espérance pour les chrétiens de Syrie chassés de leurs terres ancestrales, dans le silence assourdissant des autorités morales auto proclamées.

    En France un certain nombre des principaux responsables de notre situation actuelle ont été virés manu populi (Alain Juppé, Nicolas Sarkozy) ou n'ont même pas eu le courage, ou l'inconscience, de défendre leur bilan, devant le peuple français (François Hollande). L'élection, nette, de François Fillon comme candidat des Républicains à la prochaine élection présidentielle repose sur une ambiguïté dont on ignore quand elle sera levée. C'est le notable provincial, conservateur, catholique affirmé et pourfendeur de l'Islam qui a été plébiscité. Il n'est pas certain que la réalité soit à la hauteur des attentes.

    Le combat continue

    Le système dévoile sa vraie nature, totalitaire. Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison mugit le gros rouquin soixante-huitard, à ce jour plutôt grisonnant. Plus pédagogue Martin Schulz, Président du Parlement européen, rappelle : Les Anglais ont violé les règles. Ce n'est pas la philosophie de l'Union Européenne que la populace décide de son destin.

    La rentrée littéraire de l'automne a été dominée par des intellectuels qui remettent en cause la doxa droit de l'hommiste et multiculturaliste (P. de Villiers, P. Buisson, E. Zemmour, etc.) Les médias restent très massivement dominés par des idéologues cosmopolites mais une pensée enracinée et respectueuse de la réalité émerge et parvient à se faire, un peu, entendre. Malheureusement force est de constater que ce courant de pensée, qu'il est d'usage de qualifier de « droite hors les murs », n'a pas, à ce jour trouvé d'expression politique, le Front national ne souhaitant plus mettre en avant les enjeux de civilisation qui firent longtemps son originalité et expliquaient l'ostracisme dont il était l'objet.

    Tout au long de l'année 2016 les attentats terroristes, qu'il est peu correct de qualifier d'islamistes, se sont multipliés. A Paris, Nice, Bruxelles, Berlin, etc. A Rouen un prêtre a été égorgé alors qu'il offrait le saint sacrifice de la messe. D'autres attentats suivront. C'est une certitude. Les pays occidentaux mènent, contre le terrorisme islamiste, un combat de boxe les yeux bandés et un poing attaché dans le dos. Quasiment aucune mosquée salafiste n'a été fermée, les immigrés clandestins ne sont presque jamais reconduits à la frontière, François Hollande passe plus de temps avec les journalistes qu'avec ses généraux, aucune aide sociale n'a été supprimée aux terroristes identifiés ni à leurs familles, les zones de non droit, dont la célèbre ZAD de Notre-Dame des Landes, se multiplient dans la plus totale impunité, etc. Notre avenir semble être celui de la partition de notre territoire national, pas nécessairement dans la joie et la bonne humeur.

    Le 8 mars 1918 Georges Clémenceau, déclarait à l'Assemblée Nationale pour expliquer sa politique : Je fais la guerre. Je fais toujours la guerre. Et il la mena de manière impitoyable, jusqu'à la victoire. Le père Bruckberger (o.p.) rapporte dans ses mémoires, Tu finiras sur l'échafaud, que son père, sujet autrichien habitant en France avait passé les quatre années de la guerre en camp d'internement, son épouse se retrouvant seule avec à charge cinq enfants et aucune allocation d'aucune sorte. Clémenceau faisait la guerre !

    Il n'y a jamais de fatalité, il n'y a que des renoncements.

    La sainte Église de Dieu vit une période de grande confusion. L'exhortation apostolique post synodale Amoris Laetitia qui autorise, sous certaines conditions, l'accès des divorcés remariés à la sainte communion a suscité les réactions de plusieurs cardinaux faisant part de leurs interrogations –dubia- au successeur de Pierre. Un fait est désormais acquis et incontestable : le pape François a divisé l'Église. La prédiction de La Salette se réalise sous nos yeux : Il y aura cardinal contre cardinal, évêque contre évêque.

    Nos raisons d'espérer

    Ce qui est nouveau, et encourageant, c'est que face à l'auto démolition de l'Église des cardinaux se sont levés. Le temps de l'enfouissement est révolu du moins pour certains laïcs et clercs. La Manif Pour Tous continue de rassembler dans la rue des foules immenses de Français, au moins sociologiquement catholiques. Signe inquiétant pour les intellectuels de gauche, l'épiscopat se rue à leur secours dans un texte, porté aux nues par Le Monde et Libération, d'une terrifiante médiocrité humaine, intellectuelle et spirituelle : Dans un monde qui change retrouver le sens du politique. Croît chaque jour le nombre de ceux qu'interroge le constat de Michel De Jaeghere (p 350) dans son passionnant ouv rage La compagnie des ombres : « Nous sommes chez nous ! » scandent parfois des Français désespérés, dépossédés de leurs quartiers, de leur sécurité, de leurs coutumes. Mais pour être « chez nous » et prétendre en demeurer maîtres encore faudrait-il être « nous ». Former plus qu'un syndicat de locataires. Être liés par une communauté de foi, d'espérance ou de culture, par ce « souvenir de grandes choses faites ensemble », sans quoi ne peut apparaître la volonté d'en accomplir de nouvelles. Là est le véritable enjeu des polémiques sur l'installation de crèches dans des lieux publics.

    La montée en puissance de l'Islam radical rappelle l'erreur matérialiste faite sur la nature humaine et consistant à croire que : les biens matériels auraient raison de cette aspiration qui pour le meilleur ou le pire, n'a cessé de pousser l'homme à se donner à plus grand que lui (op. cit. p 355).

    Une internationale civilisationnelle commence à prendre forme. Elle est d'abord mue par la pietas, qui est la reconnaissance que chacun d'entre nous est un « débiteur insolvable » à l'égard de ses Anciens. Elle est le seul remède contre l'anarchie consumériste et le chaos social. C'est cette quête identitaire du peuple français, à la recherche de ses racines, qu'il nous revient d'accompagner dans les années qui viennent. Nous le ferons car l'année 2016 nous a démontré que l'espoir est la seule chose plus forte que la peur et la résignation. De plus dans la lumière de Fatima nous avons l'espérance qu'à la fin le Cœur Immaculé de Marie triomphera et que nous ne saurions imaginer que le triomphe de Notre-Dame se fasse sans la nation que le pape Urbain II au XIe siècle qualifia ainsi : Regnum Galliae, Regnum Mariae. Le Royaume de France qui est le Royaume de Marie."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Voici la carte regroupant tous les cars organisés pour la Marche pour la vie

    Michel Janva

  • Réservez votre emplacement à la 1ère Fête du Pays Réel

    116401733.jpg

    Aux éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs

    Réservez votre emplacement à la 1ère Fête du Pays Réel

    Madame, Monsieur,

    J’ai le plaisir de vous convier à participer à la 1ère Fête du Pays Réel qui se déroulera le 11 mars 2017 sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale. 

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées. 

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage. 

    Des délégations étrangères patriotes, pro-vie et pro-famille seront également présentes. 

    Réservez dès à présent votre emplacement, en prenant contact avec notre secrétariat pour connaître les conditions tarifaires

    Dès la semaine prochaine, nous commencerons à publier la liste des premiers inscrits. 

    Avec l’assurance de mon dévouement. 

    Alain Escada président de Civitas  en partenariat avec la Coalition pour la Vie et la Famille

  • Mum, Dad & Kids : Faites bouger l'Europe !

  • Pourquoi manifester pour la vie le 22 janvier ?

    Extrait d'une tribune de Cécile Edel dans le dernier numéro de La Nef :

    6a00d83451619c69e201bb0965f59e970d-800wi-1.jpg"[...] La Marche pour la Vie, dans ce contexte, veut donc être en premier lieu un acte de résistance, au sens où ceux qui manifestent « refusent d’accepter, de subir les contraintes jugées insupportables, qui sont exercées par une autorité (en l’occurrence ici l’État !) contre une personne, contre les libertés individuelles ou collectives ».

    Mais la Marche pour la Vie est aussi un acte de témoignage et d’espérance, car manifester chaque année depuis 11 ans avec une ténacité sans faille, c’est croire et avoir la conviction profonde que cet acte, bien plus qu’être utile, est nécessairement fécond parce qu’il vient d’un profond désir d’accomplir son devoir en témoignant de la valeur de toute vie humaine. Cette marche permet de redire que l’avortement reste un acte d’une extrême gravité et que même 40 ans après sa légalisation, de nombreux citoyens continuent de s’y opposer fermement !Combien de jeunes enfants venus à la marche il y a de cela plusieurs années, accompagnés de leurs parents, sont aujourd’hui très clairement engagés dans des associations et œuvrent au quotidien pour cette cause ! Notre devoir est aussi de transmettre la flamme afin que l’avortement ne soit jamais totalement banalisé.

    Marcher pour la Vie est enfin une manière d’interpeller les médias, les politiques, le grand public sur ce drame et oser exiger de notre gouvernement, non seulement le développement d’une véritable politique familiale encourageant la maternité et l’aide aux femmes enceintes en difficulté, mais également la reconnaissance de l’IVG comme un problème de santé publique nécessitant un véritable programme de prévention.

    Cette 11e Marche pour la Vie revêt forcément cette année un aspect très particulier à quelques mois de l’élection présidentielle et nous devons lancer un message fort à nos politiques afin qu’ils comprennent que l’avortement reste une tragédie qui nous concerne tous et touche chacun personnellement ! « L’IVG : nous sommes tous concernés ! » Pouvons-nous en effet rester silencieux devant 220 000 enfants qui disparaissent chaque année, devant des femmes, des hommes, des familles entières qui souffrent ? Car il s’agit bien de cela : un drame aux conséquences réelles mais visiblement inavouables pour notre gouvernement ! Un tel drame ne peut être relégué au rang de choix personnel, de liberté de la femme. Il nous concerne tous. La proposition de loi sur l’extension du délit d’entrave présuppose et laisse encore une fois penser à tort que le discernement de la femme pour le choix ou non d’avorter se fait seul et que ce choix ne concerne qu’elle. Faire porter l’entière responsabilité d’un tel acte sur autrui est un peu facile, vous ne croyez pas ? De notre côté, nous souhaitons au contraire que ce slogan « IVG, tous concernés ! », axe mobilisateur principal de cette marche du 22 janvier, résonne comme un appel à prendre nos responsabilités et à nous engager !"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/01/pourquoi-manifester-pour-la-vie-le-22-janvier-.html

  • Marche pour la vie du 22 janvier : présence en fin de cortège de SOS Tout-Petits

    Capture d’écran 2016-12-30 à 15.17.32

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Moyen Âge : « Noël ! Noël ! » était le cri de joie poussé par le peuple à l’arrivée d’un événement heureux

    De « Oyé » à « Haro », en passant par « Noël », les cris, si multiples et sonores, sont au Moyen Âge régulateurs des liens sociaux. Nous l’avons peut-être oublié. [...]

    Le mot Noël est attesté de manière écrite dès 1112 sous la forme Noel. Le primitif Nouël selon l’ancienne prononciation latine, appartient à l’époque de formation de notre idiome national. Les uns y ont vu une abréviation d’Emma-nuel (Dieu avec nous), par suppression des deux premières syllabes, pour avoir un cri de joie populaire vif et dégagé.

    D’autres le font dériver de Natale, le jour natal ou la nativité du Christ ; le patois bourguignon l’avait corrompu en nau, nadau et naulet, expressions qui se retrouvent souvent dans les Noëls de La Monnoie ; les Bisontins disaient Nouë, les Picards noë ou simplement no, etc. Enfin il en est qui le prennent pour synonyme de nouvel, en latin novus, le nouveau-né par excellence, le nouvel Adam ; c’est ainsi que nos pères disaient encore le renouveau pour le printemps, et, dans la Bretagne, on continue à désigner le Christ au berceau sous le nom d’Enfant-Noël.

    Aucune de ces étymologies ne paraît improbable, et peut-être faut-il les voir toutes réunies dans une sorte de synthèse. Quoi qu’il en soit, le mot Noël fut affecté de bonne heure aux cantiques sur les mystères de la Crèche, et ces compositions naïves ont revêtu trois formes successives : les proses rimées, les farcis et les noëls proprement dits.

    [...] Abstraction faite du nom, qui n’apparaît que plus tard, le Noël existait au moins dès la fin du XIe siècle. Lambert, prieur de Saint-Wast d’Arras, en parle au siècle suivant comme d’une pratique universellement reçue, c’est-à-dire antérieure au temps où il vivait. D’après lui, « les fidèles se consolaient des ténèbres de la nuit de Noël par l’éclat d’un nombreux luminaire, et, d’une voix vibrante, ils chantaient des cantiques populaires selon l’usage des Gaulois : Lumine multiplici noctis solatia praestant, / Moreque Gallorum carmina nocte tonant ».

    [... ]À l’origine, il existait à cette date des festivités païennes marquant le solstice d’hiver, symbole de la renaissance du soleil. La fête chrétienne a été positionnée à la même date dans le but de remplacer ces fêtes et, symboliquement, pour associer la naissance du Christ à la notion de lumière croissante.

    Après Pâques, Noël est la deuxième fête la plus importante du calendrier liturgique chrétien. C’est pourquoi le jour de Noël est férié dans la plupart des pays de tradition chrétienne. [...]

    France-Pittoresque et La Sorbonne

    http://www.fdesouche.com/803307-moyen-age-noel-noel-etait-le-cri-de-joie-pousse-par-le-peuple-larrivee-dun-evenement-heureux