l'information nationaliste - Page 1154
-
Qui a eu la peau de la Wehrmacht ? avec Jean Lopez
-
Paris 10ème : nouvelle intrusion dans une école. Muni de deux couteaux à viande, un homme dangereux faisant l’objet d’une fiche de recherche s’introduit dans une maternelle en pleine nuit
(…)
En plus des deux couteaux, il porte un sac contenant un ordinateur portable ainsi que plusieurs tablettes. À l’intérieur de l’école, ils remarquent également que des portes ont été forcées et que le mis en cause se serait introduit dans plusieurs salles de classe. Selon nos informations, ce dernier — décrit comme dangereux en raison de troubles psychiatriques — faisait l’objet d’une fiche de recherche.
-
Liddell Hart et la calamiteuse Deuxième Guerre Mondiale
La prestigieuse histoire de la Seconde Guerre Mondiale (Editions Marabout) de sir Basil Liddell Hart est préfacée par le général Beaufre. Voici ce que cet ancien responsable de l’Otan écrivait :
« Dans le domaine militaire, la vérité, non pas celle du passé mais celle qui se vérifiera dans l’avenir, ne peut pas être généralement trouvée par les voies officielles de la hiérarchie, trop facilement conformiste. Il est donc capital qu’il existe des chercheurs privés, capables de donner libre cours à leur imagination et à leur initiative. »
Le bilan de la Seconde Guerre Mondiale est vénéré aujourd’hui, sous peine de prison. Or voici ce bilan selon Liddell Hart :
-
Maria Zakharova : Macron devrait cesser de «fantasmer» sur une menace russe de guerre contre l’Occident
par Burc Eruygur
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères estime que la rhétorique du président français conduit à «une aggravation du climat de méfiance et à une amplification des risques de conflit» en Europe.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a déclaré, mercredi, que le président français Emmanuel Macron devait cesser de «fantasmer» sur une menace russe de guerre contre l’Occident, réagissant aux propos tenus par Macron lors d’une visite officielle en Suède, à la fin du mois de janvier.
-
Biden, une fin pathétique pour un président affligeant
Le président américain n’est plus que l’ombre de lui-même. Totalement désorienté, sucrant les fraises et parlant aux morts, c’est lui-même un mort-vivant dont l’état de santé, bien évidemment dessert les Etats-Unis d’Amériques comme ses alliés.
Biden va mal.
Très mal.
Il parlait il y a quelques jours à François Mitterrand.
Aujourd’hui, il parlait avec Helmut Kohl l’ancien chancelier allemand contemporain de Mitterrand justement.
On peut ne pas aimer la politique de Trump et celle des Républicains, et préférer l’approche des Démocrates, telle n’est pas la question.
-
Hommage du 7 octobre : LFI a été conspuée. D’autres le méritaient aussi
À l’hommage aux victimes du 7 octobre, des députés de La France insoumise ont été accueillis par la foule attroupée par des huées et des sifflets. On la comprend. Certains, dans la presse, comparent leurs larmes de crocodile à celles de Jonathan Daval le jour de la marche blanche en l’honneur de son épouse Alexia qu’il venait de tuer. De fait, qui ne chasserait pas à coups de taloche de l’enterrement de son enfant assassiné un individu ayant qualifié le meurtrier de résistant ? Comment ne pas interpréter cette présence comme une cynique provocation ?
-
Les pirates barbaresques – Partie 3 : La Lingua Franca des esclaves et du Bourgeois Gentilhomme
La Lingua Franca (ou Langue Franque, ou Franco) est la langue véhiculaire utilisée jusqu’au XIX ème siècle dans les contacts entre le nord et le sud de la Méditerrannée, entre marchands chrétiens et marchands musulmans ou juifs, entre maîtres et esclaves.
La langue de personne, parlée par tout le monde
La Lingua Franca présente cette caractéristique étonnante : elle est très largement répandue, mais ce n’est la langue de personne. Dakhlia parle de “no man’s langue“, de “langue-sas“, de “langue de l’entre-deux“. C’est une pure langue de contact, et de contact contraint. Les maîtres musulmans n’acceptent pas que leurs esclaves parlent les langues européennes normales : ils veulent comprendre ce qui se dit. Ils n’acceptent pas non plus qu’ils parlent arabe, soit par refus que leur langue “sacrée” soit souillée par des infidèles impurs, soit pour des raisons plus pragmatiques, comme le souligne Dakhlia : “Thévenot explique qu’à Tunis, au XVII ème siècle, il faut cacher que l’on entend l’arabe. Sans doute voulait-on éviter les fuites d’esclaves ou de captifs si trop d’entre eux s’initiaient à la langue du pays. L’argument de la sacralité de l’arabe ne doit pas être trop systématiquement invoqué.”
-
Energie, immigration reprendre le contrôle I Charles-Henri Gallois
-
Le réalisateur de « Ma part de Gaulois » trouve “abjecte la préférence nationale” et tacle les “chaines d’opinions, du miel pour les fachos” (MàJ : 6.000 entrées en 1 semaine, scores désastreux aussi dans des banlieues)
08/02/2024
(…) Cédric Lépine, journaliste : Votre décision de vous consacrer pour le cinéma trouve-t-elle des similitudes dans l’histoire du protagoniste de votre film ?
Malik Chibane : Oui, la musique, le cinéma, être un artiste, avoir une démarche singulière et surtout avoir l’immense privilège de s’exprimer revêt pour moi un caractère vital. Maintenant j’aimerai faire des comédies ou des films déconnectés du climat politique de notre Douce France, mais faut croire que cela reste difficile pour ne pas dire impossible. M’exprimer est vital et faire ce film c’est aussi un peu d’oxygène dans une France médiatique souvent irrespirable où on crache sur la tombe de nos parents, souille de contre-vérités nos albums de famille. L’immigration maghrébine, de la première à la quatrième génération, n’a pas la place qu’elle mérite dans le fameux roman national (…)
-
Le ministre russe de l'économie Maxim Rechetnikov, annonce que le PIB de son pays enregistre sa plus forte croissance depuis dix ans, hors 2021, l’année post-Covid
Selon la première estimation de Rosstat, la croissance du PIB en 2023 était de 3,6%, ce qui est « au-dessus de la plupart des attentes », déclare le ministère de l’Économie, ajoutant que ce chiffre « s’est avéré être le plus élevé de la dernière décennie (la seule exception est la reprise post-Covid en 2021). Ainsi, les attentes du chef du ministère Maxim Rechetnikov, selon lesquelles l’estimation finale pourrait rapprocher le taux de croissance du PIB de 4% en 2023, se sont révélées tout à fait réalistes. (Stratpol)