Le 11 novembre 1973, collégien de Sixième à Rennes, je fus chargé de porter le drapeau du « lycée de jeunes filles Jean-Macé », établissement qui n’était mixte que depuis la rentrée de 1969… C’était un grand honneur pour moi et c’était aussi la première fois que je participais directement à une commémoration de l’armistice de 1918, serrant la main de quelques octogénaires qui, plus d’un demi-siècle auparavant, avait connu la boue des tranchées et la mort de leurs camarades d’infortune et de gloire.
l'information nationaliste - Page 1152
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Ce 11 novembre qui nous oblige...
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Le Nouveau Passé-Présent avec Reynald Secher et Jacques Villemain - Vendée : pourquoi est-ce un génocide ?
Vendée, pourquoi est-ce un génocide ? Les réponses sont présentées par les spécialistes de la guerre de Vendée, les historiens Reynald Secher et Jacques Villemain. Mars 1793, la Vendée se soulève pour défendre ses "bons prêtres" et se bat pour le retour du roi. Au cours de cette guerre, un quart de la population vendéenne est exterminée. Pourquoi a-t-on tant de mal en France à regarder ces faits en face ? Pourquoi ne pas reconnaître la nature des crimes commis ? Eléments de réponse dans ce nouveau numéro de "Passé-Présent".
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La dictature du politiquement correct n’a pas de limites : au Parlement européen levée de l’immunité pour un ‘Like’ sur twitter
Levée de l’immunité parlementaire de quatre députés polonais pour un Like Le Parlement européen a levé l’immunité parlementaire de quatre députés polonais du PiS (groupe parlementaire Ecr). La raison est un “j’aime” sur la vidéo de sa publicité électorale, jugée comme un « discours de haine ».
Le Parlement européen a décidé de lever l’immunité des députés polonais du parti gouvernemental
La dictature du politiquement correct n’a plus de limites au Parlement européen. Jeudi 9 novembre, pour la première fois dans l’histoire, le Parlement européen a décidé de lever l’immunité des députés polonais du parti gouvernemental : . L’accusation est d’incitation à la haine parce qu’ils ont retweeté ou « aimé » la publicité électorale de leur parti.
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Qui peut encore nier que la Russie a déjà gagné ? Quelques précisions à l’attention des ... Sceptiques, pour rester poli
Mes derniers articles concernant la « victoire actée » de la Russie ont suscité des réactions épidermiques de la part des adversaires les plus acharnés de la Russie qui refusent d'admettre la défaite des forces occidentales en général et de l'Ukraine en particulier.
Ces réactions reflètent non seulement le désarroi dans lequel se trouvent les ennemis de la Russie, mais aussi leur incapacité à appréhender le réel, cela par aveuglement idéologique ou par atrophie cognitive.
Et quand la réalité entre en dissonance avec leurs croyances, ces pompomgirls tentent de remplacer le réel par un narratif qui préserve leurs illusions auxquelles ils s'arc-boutent, d'autant plus que la défaite des puissances occidentales est totale, et ce, aussi bien sur le terrain militaire qu'économique et diplomatique.
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Christian Baeckeroot : Justice pour le Front National
Christian Baeckeroot, ancien député.
Je ne suis mandaté par personne. Je ne suis expert en rien. Je suis un simple témoin.
J’ai 84 ans. Je suis ancien militaire qui s’est engagé en politique pour l’Algérie Française, avec nos compatriotes de souche européenne, juifs et musulmans. Tout au long de ma vie politique – 62 ans –, j’ai été ostracisé comme « extrême droite » et, dès les années, 70 taxés, sans aucune justification, d’antisémite pour le plus grand profit de l’extrême-gauche avec la complicité de la plupart des « grands médias » et d’une grande partie de la caste politicienne.
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Entretien avec Dénis Cieslik, Président de « Rassemblons Cagnes ! » et auteur du roman « Inclure »
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Le souverainisme au scalpel
Le paysage politique français présente depuis une dizaine d’années une originalité avec le souverainisme (1) bien que la France n’en ait pas l’exclusivité, la Grande-Bretagne, la Suède et le Danemark possédant eux aussi une mouvance souverainiste (2).
Le souverainisme apparaît dans le champ lexical entre le référendum sur le traité de Maastricht en 1992 et le succès électoral de Philippe de Villiers aux européennes de 1994. Le terme vient du Québec où il a été forgé à la fin des années 1960 au cours de la « Révolution tranquille ». À cette époque, la société québécoise, longtemps restée catholique, conservatrice et rurale, s’émancipe de ses cadres traditionnels. Les Québécois quittent les campagnes, cessent de fonder des familles nombreuses, s’entichent des modes soixante-huitardes venues de Californie et d’Europe occidentale, contestent l’autorité établie. Cette protestation socio-culturelle développe assez vite une expression politique indépendantiste. En 1967, le général de Gaulle crie depuis le balcon de la mairie de Montréal un vibrant « Vive le Québec libre ! ». Dans ce contexte effervescent, les indépendantistes québécois se regroupent pour fonder, un an plus tard, le Parti québécois (P.Q.). Le programme péquiste revendique un Québec indépendant qui serait néanmoins associé, en matières économique et stratégique, à un ensemble pancanadien anglophone. Au pouvoir dans la « Belle Province » à deux reprises, les péquistes ne parviennent cependant pas à obtenir l’indépendance après l’échec de deux référendums d’autodétermination en 1980 et en 1995 (3).
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L’ultra-droite lyonnaise, une sourde menace, selon Darmanin et… Mélenchon !
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Vinci autoroutes menace d’augmenter le prix de ses péages dès 2024 à cause d’une nouvelle taxe défendue par Bruno le Maire
Vinci, l'un des principaux propriétaires des concessions d'autoroute en France, est en désaccord avec une nouvelle taxe proposée par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, qui pourrait s'appliquer en 2024. Cette taxe, destinée à lutter contre la pollution et à financer la transition énergétique, serait de 4,6% sur les revenus d'exploitation supérieurs à 120 millions d'euros. Vinci, ainsi que d'autres sociétés d'autoroute comme Eiffage et Abertis, pourraient supporter les trois quarts des 600 millions d'euros de recettes attendues de cette taxe dès 2024.
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Ce n’est pas une «impasse» : L’effondrement de la ligne de front ukrainienne, revisité
Les preuves s’accumulent, par le biais de fuites, d’un effondrement généralisé des lignes de front ukrainiennes.
Des fuites font état d’un effondrement généralisé des lignes de front ukrainiennes.
Précédemment, nous nous sommes concentrés sur le front sud de Zaporijia. Aujourd’hui, nous nous concentrons sur Kharkov, dans le nord-est.