
Berlin explique cette décision par « la forte pression migratoire actuelle vers l’Allemagne » ainsi que par « la suspension persistante des transferts de Dublin par certains États membres », dont l’Italie.
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Berlin explique cette décision par « la forte pression migratoire actuelle vers l’Allemagne » ainsi que par « la suspension persistante des transferts de Dublin par certains États membres », dont l’Italie.
Au programme ce soir, le point sur les aides à l’Ukraine.
L’Union européenne dépense désormais près de 132 milliards pour le pays de Volodymyr Zelensky, soit près du double de l’aide américaine.
par Hal Turner
Cinq avions russes «Doomsday» sont en vol au-dessus de la Russie ou ont atterri après avoir arrêté leurs transpondeurs près des monts de l’Oural, y compris l’avion PA-96024, ID RSD309, qui est l’avion présidentiel.
Alors que personne ne peut être sûr de savoir qui – si quelqu’un – est réellement à bord de ces avions d’évacuation du gouvernement qui ont décollé de Moscou, et après avoir fermé leurs transpondeurs, nous ne pouvons pas connaître le site d’atterrissage exact, il est très déconcertant de voir ce type d’activité d’avions militaires à l’intérieur de la Russie à cette heure indue (3h du matin).
En particulier, l’avion présidentiel a fermé son transpondeur après avoir traversé les montagnes de l’Oural.
Julia Cagé et Thomas Piketty sont sous le feux de la rampe. Avec la parution d’une ambitieuse Histoire du conflit politique, les deux économistes engagés à gauche ont tenté d’expliquer le succès du RN : « On essaye de faire croire dans ce pays que les électeurs anti-immigrés sont forcément de classes populaires. Mais pas du tout, les électeurs les plus anti-immigrés sont les électeurs bourgeois » a notamment déclaré Julia Cagé. Première analyse, première erreur soit dit en passant. Puisque la classe sociale qui a le moins voté pour Marine Le Pen est justement celle des cadres (12 %) d’après un sondage Ipsos. Si les critiques passent à côté, la volonté est là. Symptomatique d’une gauche égarée à tous les étages, le duo d’économistes essaye d’apporter une réponse de fond à la problématique qu’a enfin compris la gauche : comment faire revenir les ouvriers et les classes populaires à gauche ? Comment leur faire quitter le RN ?
L’Institut Montaigne est une sorte de think tank ultra libéral qui publie des notes, certes pas toutes inintéressantes, mais toutes sous focale libérale et peu ou prou droit de l’hommiste. C’est ainsi que l’Observatoire de l’immigration a tenu à répondre à l’une de ses notes concernant l’immigration. Et ce n’est pas un luxe.
En matière d’immigration, les choses vont toujours de mal en pis. Il y a là comme une loi de Murphy qui se vérifie à tous les coups : « Tout ce qui est susceptible d’aller mal ira mal. » Quand « Éléments » a consacré un numéro complet, en 1993, à l’immigration, le désastre n’était pas aussi complet.
La République française n'existe pas, l'État français n'existe pas ! Techniquement, la France n’existe plus, elle doit désormais s’écrire l’aFrance. Ce malheureux pays, l’une des premières cibles du globalisme financier, est devenu un simple relai d’influence des intérêts financiers supérieurs, lesquels rendent comptent aux maîtres globalistes qui opèrent historiquement à partir du centre financier de la City of London. Il existe des relais locaux d’organismes centraux qui gèrent des populations, mais il n’existe plus d’États au sens politique du terme depuis l’avènement du parlementarisme représentatif et du phénomène "banque centrale".