19/05/2023
[…]Dans son jugement, le tribunal avait plutôt considéré que le patron de l’Institut Montaigne, qui ne pouvait « ignorer le caractère sexuellement désinhibant d’une telle drogue », ne pouvait « sérieusement invoquer le fait que l’administration de MDMA était destinée à discuter », alors qu’il n’y avait « aucune difficulté sur ce plan dans les relations entre les deux protagonistes ».