Dans la perspective des prochaines joutes dans le feuilleton des retraites, le parti présidentiel agite un argument nouveau. Il sera invoqué en Commission des finances le 31 mai, en Séance Plénière le 8 juin. Il menace d'enrayer la démarche de Charles de Courson et du groupe "LIOT" tendant à abroger la prétendue "réforme".
Une partie de l'opinion, on le mesure chaque jour, y compris au gré de manifestations incroyablement haineuses n'accepte pas, en effet, la promulgation de la loi de financement de la sécurité sociale signée par Emmanuel Macron le 14 avril.