
Programme bâclé par Bruxelles en 2015, en plein cœur de la crise migratoire, alors que plus d’un million de personnes débarquaient sur le continent et submergeaient les services grecs et italiens, 1,8 milliard d’euros avaient été débloqués pour développer les pays d’origine, d’où partaient en réalité des hommes jeunes amenés par des passeurs, selon des processus mafieux et avec la collaboration d’ONG aux financements opaques. Ce montant a depuis quasiment triplé pour atteindre environ 5 milliards d’euros aujourd’hui.