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L’enquête, ouverte pour tentative d’assassinat, a abouti ce matin à l’interpellation de sept personnes à La Roche-sur-Yon. « On est soulagé. C’est ce qu’on attendait », confie Clément, le grand frère de Lucas, l’une des deux victimes. Un dénouement attendu par les proches car l’enquête avait permis de réunir de nombreux indices grâce « aux caméras, aux témoignages, à la sacoche perdue… » Une sacoche retrouvée sur les lieux de l’agression qui aurait également été filmée par les caméras de la ville et celles de la discothèque Le Paradise.
Suite à l’invitation du rédacteur en chef de feu Morzhed hoc’h à continuer de m’exprimer sur Profession gendarme et les appels de pied de certains réfractaires en pantoufles bien chaudes, je me décide de sortir de mon petit confort de grand inutile de France pour satisfaire la requête générale.
Ceux qui ont déjà lu mon expression acrimonieuse savent que je ne fais pas dans la dentelle.
Je ne dirai jamais d’un abruti qu’il est en phase d’acquisition de matière grise. Ce serait lui prêter une velléité qu’il n’a pas. Je reste objectif, aussi je ne dirai jamais par convention dogmatique ou optimisme exacerbé que la soupe est bonne alors qu’elle est rance ou l’inverse. De ce fait, j’espère simplement que le comité de lecture de ce site ne s’offusquera pas de mes propos et qu’il publiera sans réticence mes billets d’humeur qui n’engagent par ailleurs que moi.
Pour analyser, il faut regarder les choses telles qu’elles doivent l’être. Que vous soyez pro-RN ou anti, cela ne changera rien aux constats que je vais poser ici et qui vont dans les semaines, les mois et peut-être les années à venir poser de gros problèmes à notre pays. Je partage donc avec vous tous un raisonnement en plusieurs étapes qui conduit à une conclusion.
Le régime électoral du scrutin d’arrondissement à deux tours, entre lesquels les grenouillages entre directions de partis peuvent s’opérer, n’est qu’une parodie.
C’est en cela que la Ve République est devenue une Ripoublique bananière, où l’argent étranger vient influencer l’expression des électeurs, grâce à une campagne médiatique de haine et de mensonges d’une ampleur considérable, rappelant la technique de base des orateurs marxistes : « Fais haïr tes adversaires ».
La campagne de l’entre-deux-tours n’a pas eu d’autre objet, pas d’autre projet que de dissuader le vote RN. Tous les regards ont été focalisés sur le parti, observé à la loupe. Simultanément, il a été dit et répété que le Nouveau Front populaire (NFP) n’avait aucune chance de gagner. Finalement convaincus que l’extrême gauche n’avait aucune chance de gagner tandis que l’extrême droite pouvait devenir majoritaire, de nombreux électeurs ont pensé que le barrage allait sanctionner les deux extrêmes, faisant surgir une majorité centrale, forcément centriste.
L’attaque a été réalisée en réponse aux tentatives visant à endommager les installations énergétiques et économiques russes, indique la Défense russe.
De plus, les déclarations de Kiev sur une prétendue frappe de missiles délibérée de la Russie sur des sites civils sont absolument fausses, déclare la Défense russe.
Le déploiement révolutionnaire par le Yémen du missile hypersonique Hatem-2 contre un navire israélien marque un changement radical dans la dynamique des pouvoirs régionaux, remet en question les stratégies des États-Unis et de leurs partenaires et met en évidence d’autres avancées militaires inattendues de Sanaa.
Au début de l’année, des informations ont fait surface, suggérant que le Yémen avait mené des essais de missiles hypersoniques. Si le gouvernement de Sanaa est resté silencieux à l’époque, les événements récents ont levé toute ambiguïté sur ce développement.
La situation en Ukraine semble atteindre un tournant critique, avec des implications majeures non seulement pour la région mais aussi pour l’équilibre géopolitique global. Alors que les tensions s’escaladent, les yeux du monde sont rivés sur l’OTAN et sa réponse face à une possible victoire russe. Cette analyse plonge dans les origines de la guerre en Ukraine, évaluant comment les événements actuels pourraient façonner l’avenir.
La gauche a gagné, le camp présidentiel également, le RN, oui aussi, allez tout le monde y va de sa satisfaction de soirée électorale, on a envie de dire, comme trop souvent. Il est certain, n’en déplaise à beaucoup que la gauche est victorieuse, pas assez pour obtenir la majorité absolue, tant s’en faut. La macronie peut se satisfaire d’avoir limité la casse et de garder une force qui fera jeu égal avec le RN qui ne parvient pas à concrétiser la large domination des urnes du premier tour, tout en restant majoritaire en nombre de voix. Les fameux républicains, pas ceux du parti du même nom qui eux s’en sortent honorablement, peuvent donc se soulager d’avoir évité ce qu’ils ont décrit pendant une semaine comme le pire, en écartant du pouvoir, le seul parti qui individuellement bat tous les autres et améliore son score du 30 juin. Cette satisfaction là est bien mince, sauf à tenter de se rassurer sur l’avenir. C’est là le jeu à la fois des désistements et du mode de scrutin. Personne ne peut gouverner, mieux, ceux qui même au second tour sont devant, se trouvent par le truchement des arrangements en troisième position. On appelle cela la démocratie parait-il, ou comment maquiller une défaite en victoire. En réalité, les partis perdants acoquinés se retrouvent gagnants au second tour, les Français héritant donc des perdants pour qui ils n’ont majoritairement pas voté : subtil.
Alors que l’hystérie politico-médiatique se déchaîne contre le Rassemblement national avec une virulence qu’on n’avait pas vue depuis 2002 (et pour cause !), les macronistes et même des membres des Républicains se retrouvent alliés avec le Nouveau Front Populaire et La France Insoumise… malgré le fait que plusieurs membres de ce parti aient tenu des propos ou publié des contenus bien plus antisémites que toutes les sorties de Jean-Marie Le Pen à l’époque. Pour Jean-Yves Le Gallou, c’est la preuve que l’antisémitisme n’est finalement qu’un prétexte à la diabolisation…