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Qu’ils soient auteurs, historiens ou encore mémorialistes, beaucoup sont d’avis que la bataille de Stalingrad, sans pareille dans l’histoire mondiale tant par son envergure, son niveau de tension et le nombre de forces y participant, a été décisive dans le renversement de la guerre.
La bataille de Stalingrad a pris fin il y a 74 ans, le 2 février 1943.
Après avoir trié sur le volet les journalistes “amicaux” autorisés à poser des questions lors du discours de fin d’année du Premier ministre Pedro Sánchez, son parti socialiste au pouvoir, le Partido Socialista Obrero Español (PSOE), vient d’interdire aux journalistes de l’opposition l’accès à ses manifestations. Allant plus loin, le parti cherche à interdire l’accès aux parlements nationaux et régionaux à certains médias accrédités.
Dans son récent ouvrage, Petit traité de l'immigration irrégulière, le fonctionnaire au ministère de l’Intérieur, Maxime Guimard, spécialiste des questions migratoires, décrit avec précision l’ampleur de ce phénomène et bat en brèche l’idée selon laquelle l’Europe serait une « forteresse ».
12 janvier 1918 : Le fanion du 43e bataillon de tirailleurs sénégalais reçoit la fouragère
Dans la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France par les partisans du « grand remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constitue un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.
Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du « vivre ensemble » que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade, et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.
Amélie Oudéa-Castéra aurait sans doute rêvé d’une prise de fonction plus sereine. Cinq jours après sa nomination à la tête de l’Éducation nationale, la polémique sur son choix de scolariser ses enfants à Stanislas, un établissement privé catholique, et non dans une école publique, ne s’essouffle toujours pas. Au contraire, le ministre, acculé par une gauche faussement indignée, a même été contraint de se rendre, ce 16 janvier, dans l’ancienne école publique de quartier fréquentée par son fils aîné afin de présenter ses excuses. Dans ce brouhaha médiatique, quelques voix profitent de l’occasion pour vanter les mérites de l’enseignement privé sous contrat, remède miracle, selon eux, contre le naufrage de l’Éducation nationale. Mais qu’on ne se leurre pas. À l’exception de quelques rares écoles privées sous contrat - dont, notamment, l’école Stanislas -, la très grande majorité des établissements privés, contraints de suivre les programmes et méthodes de l’Éducation nationale, connaissent malheureusement la même dérive - certes en léger différé - que l’école publique.
En dernière nouvelle, le tueur froid et sans remords, Nordhal Lellandais vient d’être un heureux papa alors qu’il est incarcéré pour plusieurs crimes.
On pouvait croire que la prison était faite pour punir les malfrats et les amener à se remettre en question. Mais pas du tout ! Plus un individu est dangereux, plus il est soigné aux petits oignons.
Cette année, l'Occident va connaître une révolution.
Il y a deux Occident : l'Occident mondialiste et l'Occident... ordinaire. Les mondialistes représentent l'Occident 1. Ce faisant, ils refusent de reconnaître qu'il n'y a personne d'autre qu'eux dans le monde. Ils insistent donc sur le fait qu'il n'y a pas de "deuxième" Occident, d'Occident-2. Mais il y en a un.
Nous, le monde multipolaire, devons reconnaître aussi clairement que possible l'existence de cet Occident-2.
Son portrait fait froid dans le dos. Il n’a que 18 ans mais compte déjà plusieurs condamnations à son casier judiciaire. Hamadou, majeur depuis seulement quelques mois, comparaissait ce mardi 16 janvier devant le tribunal judiciaire de Versailles, pour avoir agressé, enlevé et séquestré une jeune femme enceinte de huit mois. Son procès a été renvoyé au 23 avril 2024 à sa demande, le temps de préparer sa défense. D’ici là, il est maintenu en détention.
Pour critiquer le gouvernement italien, la compagnie antifa a transformé la célébration de cette année à Acca Larentia (rue où le 7 janvier 1978, deux jeunes du MSI furent assassinés à la mitraillette par un commando rouge et un tiers fut abattu d’un coup de revolver par un officier de Carabinieri) en un événement national qui a été relayé par la presse internationale. Sans aucun doute, l’instrumentalisation est évidente, étant donné que les commémorations pour les victimes des années de plomb se répètent année après année, quelle que soit la mairie ou le gouvernement en place, y compris les plus à gauche.