Tribune libre d’Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :
« Je ne sais pas vous, mais moi, à chaque fois qu’un Français, ou même qu’un Occidental est tué quelque part dans le monde par une de ces pourritures de djihadiste, ça me fait mal au ventre, me donne des nausées, me retourne le cœur, me fait rêver de les voir tous passés au napalm une bonne fois pour toutes.
Mais il est vrai que je suis un de ces méchants homme de droite, un anthropophage à la limite de la civilisation.
Dans le cas précis de ces six jeunes humanitaires, ma haine est décuplée : Antonin, Charline, Léo, Nafissa, Stella et Myriam étaient jeunes, brillants, courageux, et avaient la charité chevillée au cœur.
Au point d’avoir laissé leur vie, dans la fleur de l’âge, pour cette Afrique que je sais par tradition si hospitalière, mais qui est désormais souillée par l’ignoble racaille islamiste.