Conscients que la guerre entre l’OTAN et la Russie risque de se terminer de manière défavorable, les États-Unis testent une offre de sortie. Mais pourquoi Moscou devrait-il prendre au sérieux les propositions indirectes, surtout à la veille de sa nouvelle avancée militaire et alors qu’il est dans le siège des vainqueurs ?
Ceux qui sont derrière le Trône ne sont jamais aussi dangereux que lorsqu’ils ont le dos au mur.
Leur pouvoir s’éloigne, rapidement : Militairement, via l’humiliation progressive de l’OTAN en Ukraine ; financièrement, tôt ou tard, la plupart des pays du Sud mondial ne voudront plus avoir affaire à la monnaie d’un géant voyou en faillite ; politiquement, la majorité mondiale prend des mesures décisives pour cesser d’obéir à une minorité de facto rapace et discréditée.
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