
MARION OSE DEMANDER QU’UN ENFANT AIT UNE MAMAN
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MARION OSE DEMANDER QU’UN ENFANT AIT UNE MAMAN

par Lucas Leiroz de Almeida
Contraint de poursuivre les combats, le régime de Kiev tente désespérément d’approvisionner ses troupes en première ligne avec de nouvelles recrues. Ayant déjà épuisé ses réserves, le gouvernement ukrainien mise désormais sur le recrutement d’enfants dans les écoles pour remplacer efficacement ses pertes sur le champ de bataille. D’un point de vue réaliste, cependant, une telle mesure ne fait qu’accroître l’impopularité du régime.
Le Parlement ukrainien examine actuellement un projet de loi visant à instaurer une formation militaire de base dans les écoles du pays. Les lycéens ukrainiens seraient tenus de suivre des cours de formation militaire dans les écoles, au cours desquels ils apprendraient les rudiments du combat, le maniement des armes, et recevraient une «éducation patriotique» – ce qui, en Ukraine, comme on le sait, signifie essentiellement un lavage de cerveau néo-nazi et anti-russe.

C’est une agression dont les conséquences auraient pu être bien plus terribles. Un homme a été violenté aux cris de « sale blanc ! » dans le métro parisien, a appris le JDD de sources policières, confirmant une information du Figaro. Ce jeudi, aux alentours de 12h45, un usager du métro passe par la station « Créteil Université », sur la ligne 8. À côté des guichets de distribution de tickets se trouvent plusieurs militants du parti de Jean-Luc Mélenchon, La France insoumise, qui sont alors en pleine opération de distribution de tracts politiques pour les élections européennes. (…)

Voilà Attal parti dans des délires martiaux, avec des idées dont on sait par avance qu’elles ne marcheront pas et qu’elles vont nous coûter cher. Le premier Ministre veut s’attaquer à des voyous de moins de 16 ans et les remettre dans le droit chemin. Et d’expliquer : « Nous devons disposer de sanctions adaptées pour les mineurs de moins de 16 ans. » Il a annoncé la création prochaine de « travaux d’intérêt éducatif » pour les mineurs de moins de 16 ans, pour lesquels « on ne peut pas aujourd’hui prononcer de peine de travaux d’intérêt général ». Le projet, énoncé en janvier dernier, lors de son discours de politique générale est aujourd’hui sous le feu des caméras, ce qui permet au jeune premier Ministre de plastronner déjà, sur un dispositif qui n’a pas encore apporté la moindre preuve de son efficacité.
Co-fondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou est essayiste et ancien haut fonctionnaire. Membre du GRECE en 1969, il co-fonde en 1974 le Club de l’horloge. Il est président du groupe FN puis du MNR au conseil régional d’Île-de-France de 1986 à 2004, et député européen de 1994 à 1999. En 2003, il crée Polémia et il anime également l’émission de critique des médias I-Media sur TV Libertés.
Son intervention au colloque de l'Iliade cliquez ici :
Je vais vous faire une confidence. Je vais vous raconter à quoi Romain et moi avons passé cette dernière semaine de préparation du colloque. Cette semaine, toutes les trois heures, nous sommes allés sur le site de la préfecture de police pour vérifier qu’il n’y figurait pas d’arrêté d’interdiction de notre colloque. Il n’y a pas eu d’interdiction de notre colloque et c’est heureux. Mais le simple fait que la question ait pu se poser, le simple fait qu’il ait pu être envisagé qu’un colloque intellectuel comme celui-ci soit interdit, montre l’ampleur des menaces qui pèsent sur les libertés françaises et les libertés européennes aujourd’hui. Cette interdiction potentielle est à mettre en perspective avec la vague d’interdictions bien réelle de manifestations, la vague de dissolutions, la vague de détentions arbitraires qui ont eu lieu au cours de la dernière année.

Un tribunal de Saint-Pétersbourg a ordonné mercredi le gel des fonds détenus par le géant bancaire américain JPMorgan Chase en Russie (l'un des principaux investisseurs du lobby des armes aux Etats-Unis). La décision a été rendue en faveur du deuxième prêteur du pays, VTB, qui a intenté une action en justice pour tenter de récupérer 439,5 millions de dollars bloqués à l’étranger en raison des sanctions imposées par les États-Unis.