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  • BANQUET CAMELOT : Dimanche 22 septembre 2013 :

    Dans la grande tradition royaliste des Camelots du Roi et dans une ambiance festive et de chants...

    Vous êtes tous conviés, ainsi que vos familles et amis, à un Banquet des Camelots et Volontaires du Roi du Groupe d'Action Royaliste le Dimanche 22 Septembre 2013

    Présences annoncées : Guy Steinbach (Ancien du 7ème BCL, Président d'honneur du GAR, de Marius Plateau / doyen des Camelots du Roi), Jean Marie Keller (doyen des Camelots du Roi), Jean Philippe Chauvin (Vice-Président du GAR), Olivier Tournafond ( Professeur d'Université)

    Retenez la date et confirmez votre présence à contact@actionroyaliste.com pour l'organisation. Le lieu sera précisé ultérieurement...

  • Corsaires et flibustiers

    Le Figaro Magazine - 05/07/2013
    Leurs exploits, leurs forfaits, leurs navires : corsaires et pirates font toujours rêver.
          L'été donne des envies de grand large, de coups de vent et d'embruns. Ou de relire des aventures de corsaires et de pirates, comme quand on avait 12 ans et qu'on découvrait avec émerveillement L'Ile au trésor. Le sujet, pourtant, est parfaitement sérieux, et fournit matière à d'authentiques travaux d'historiens. Un corsaire était un marin que son gouvernement avait autorisé, à côté de ses missions officielles, à mener une guerre personnelle, consistant à prendre le contrôle de vaisseaux de pays ennemis et à s'attribuer la majeure partie de leur cargaison. Les pirates, eux, étaient d'incontrôlables bandits des mers qui s'attaquaient à tout ce qui naviguait.
         Cette distinction, toutefois, s'avère théorique, car la frontière entre la guerre de course et la piraterie était souvent ténue. C'est ce qui ressort de la lecture d'un dictionnaire qui comblera les amateurs d'histoire maritime (1). L'ouvrage étudie en effet, dans un mélange significatif, les plus grandes figures de corsaires ou de pirates, sous la signature des meilleurs spécialistes universitaires. En 600 entrées, voici donc Drake ou Barberousse, Surcouf ou ­Duguay-Trouin. Leurs exploits, leurs forfaits, leurs navires: tout est là.
         Patrick Villiers, auteur de la notice sur Jean Bart, publie simultanément une biographie de son héros (2). Né à Dunkerque alors que la ville n'appartient pas à la France, Jean Bart, d'abord marin chez les Hollandais, passe au service de Louis XIV. Premier corsaire de France, soutenu par Vauban, il prend 81 bâtiments ennemis pendant la guerre de Hollande, puis est capturé par les Anglais. S'étant enfui de Plymouth, il gagne Saint-Malo à la rame, devenant «l'évadé le plus célèbre de France». En 1694, à la bataille du Texel,il récupère une flotte de navires marchands français qui avaient été capturés par les Hollandais, exploit qui lui vaut d'être anobli. Quand il meurt, Jean Bart est chef d'escadre. Lui qui avait été un des plus pauvres marins de Dunkerque avait accumulé une immense fortune. L'Ancien Régime, à sa manière, connaissait ses mécanismes d'ascension sociale.
    Jean Sévillia http://www.jeansevillia.com/index.php?page=fiche_article&id=283
    1) Dictionnaire des corsaires et pirates, sous la direction de Gilbert Buti et Philippe Hrodej, CNRS Editions, 990 p., 39 €.
    2) Jean Bart. Corsaire du Roi-Soleil, de Patrick ­Villiers, Fayard, 540 p., 25 €.

  • Allo, Valls ? Des antifa agressent des jeunes portant des sweats de la Manif pour tous !

    Acte 1 : les soutiens d'Esteban Morillo - vous savez, celui qui est accusé d'avoir tué Clément Méric - prévoient de manifester aujourd'hui à Paris. La Préfecture de Paris le leur interdit. Du coup, la contre-manifestation des antifa parisiens présente moins d'intérêt.

    Acte 2 : Il faut se recycler. A 10h30, ce matin, les antifa se rendent donc aux abords du centre IVG de l'hôpital Tenon, dans le 20e, où doit se tenir la prière mensuelle de SOS Tout-Petits. Antifa, pro et anti avortement sont dispersés. Un cagoulé annonce la suite du programme :

    "Nous sommes ici pour défendre le centre IVG de Tenon régulièrement remis en cause par les anti-IVG. Ensuite, nous irons trouver les skinheads qui ont prévu de se réunir aujourd'hui"

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    Acte 3 : Pas de skinheads en vue pour l'instant. Mais une quinzaine de jeunes, dont certains portent des sweats de la Manif pour tous, attablés à la terrasse d'un café de la Motte-Picquet (15e arrondissement). Un photographe ayant assisté à la scène raconte :

    "Un groupe de jeunes avec pour certains des sweats La Manif Pour Tous prenaient un verre en terrasse lorsqu’une vingtaine d’antifas sont arrivés en les prenant pour cibles. Connus pour leur engagement au sein de l’extrême droite, deux jeunes sont particulièrement visés. Les agresseurs, visages masqués et gants de combat sortis, ont fait voler en éclat toute la partie terrasse de ce café situé à La Motte Picquet Grenelle. Durant trente secondes, les débris de verre et de porcelaine ont été expulsés dans un rayon de 15 mètres, touchant aussi des passants. Des tables ont été renversées, et des coups de chaises ont été échangés entre les agresseurs et les victimes. La police (présente cinq minutes avant) est arrivée cinq minutes après, trouvant sur place des jeunes sous le choc et une terrasse dévastée."

    Acte 4 : D'après cet article, six agresseurs auraient été arrêtés. Le gérant du café aurait déposé plainte.

    De leur côté, les antifa marseillais appelaient à manifester aujourd'hui contre l'université d'été du Front national. Appel relayé par le journal Le Monde. Qui regrettera ensuite d'éventuels incidents ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les 10 symptômes majeurs de l’impérialisme libéral

    Les 10 symptômes majeurs de l’impérialisme libéral Êtes-vous un impérialiste libéral ?
    Les impérialistes libéraux sont comme les néoconservateurs mais en plus gentils : comme les néocons, ils sont persuadés que l’Amérique a le devoir de redresser les maux du monde, qu’ils soient d’ordre politique ou humanitaire ; et ils se confortent dans l’idée que les États-Unis peuvent décider de qui dirigera tel État, comme la Libye, la Syrie ou l’Afghanistan. Au contraire des néocons, les impérialistes libéraux acceptent et soutiennent les institutions internationales (comme l’ONU), et se sentent davantage concernés par les droits de l’homme que par le nationalisme aveugle ou la protection de la relation spéciale entre les États-Unis et Israël.
    Et pourtant, tout comme les néocons, les impérialistes libéraux sont des promoteurs zélés de l’utilisation de la force de frappe américaine, y compris dans les situations où, de toute évidence, cela crée plus de mal que de bien. Cette étrange alliance entre leur idéalisme et l’idéologie néoconservatrice nous a valu une mauvaise politique étrangère au cours de la dernière décennie, en particulier les décisions d’intervenir militairement en Irak, ou dans la construction d’une nation en Afghanistan, et de continuer à vouloir donner le ton aujourd’hui en Syrie.
    Il ne s’agit pas de dire que les États-Unis ne devraient jamais intervenir à l’étranger ni que sa puissance militaire ne devrait jamais se mettre au service de missions humanitaires (comme en Indonésie à la suite de tsunami ou de Haïti après le séisme dévastateur). Cependant, ils devraient le faire uniquement quand des intérêts nationaux vitaux sont en jeu, ou quand il est absolument certain que l’envoi de troupes ou d’aide américaine va améliorer les choses. En bref, les décisions d’intervention ne devraient être prises qu’après avoir subi un très haut niveau d’évaluation stratégique et après une confrontation pointue à la réalité du terrain, permettant de savoir ce que l’usage de la force produira en réalité.
    Ainsi, alors que j’ai pu souvent adhérer à leurs arguments, je suis tenté d’envoyer à tous les impérialistes un proverbe brodé sur toile : “l’enfer est pavé de bonnes intentions”. Au moins, cet avertissement pourrait les aider à être un peu plus sceptiques sur la sagesse des conseils qu’ils professent. Mais je suis nul en couture, alors aujourd’hui j’offre plutôt mes “10 symptômes majeurs de la maladie de l’impérialisme libéral”.
    1° Vous vous faites souvent l’avocat des Etats-Unis pour l’envoi de troupes, de drones, d’armes, de forces spéciales ou de raid aérien sur des pays que vous n’avez jamais visité, dont vous ne parlez pas la langue, et auxquels vous ne vous êtes jamais intéressé avant que les choses commencent à mal se passer là-bas.
    2° Vous avez tendance à défendre l’obligation morale des Etats-Unis à “faire quelque chose” au lieu de rester à l’écart de querelles intestines dans des pays lointains. Dans la classe d’école mondiale qu’est devenue notre monde numérisé, vous pensez que rester spectateur – même à des dizaines de milliers de kilomètres – c’est être la brute de la classe. Alors il est rare que vous vous disiez “on devrait rester en dehors de ça”.
    3° Vous pensez globalisation et vous parlez hmmm… globalisation. Vous êtes prompt à condamner les violations des droits de l’homme par les autres gouvernements, mais celles commises par les États-Unis (ex : torture, extraditions, assassinats ciblés, Guantánamo etc.) ou leurs alliés trouvent gré à vos yeux. Vous vous inquiétez en privé (et à raison) de ce que critiquer ces violations pourraient vous coûter un prochain job.
    4° Vous êtes un promoteur zélé du droit international, sauf s’il se mêle de « Faire ce qu’il y a à Faire ». Ensuite vous insistez sur ses contraintes afin d’expliquer pourquoi les Etats-Unis n’ont pas à s’y soumettre “dans ce cas précis”.
    5° Vous appartenez à la respectable cohorte de ceux qui chantent les louanges de l’engagement dans l’armée américaine, mais vous retiendriez probablement votre propre progéniture de faire une carrière militaire.
    6° Bien que vous que vous ne connaissiez presque rien à l’histoire militaire, à la logistique, ni aux opérations militaires contemporaines, vous restez convaincu que la puissance militaire peut venir à bout d’objectifs politiques complexes à moindre coût.
    7° On peut porter à votre crédit que vous avez de fortes sympathies pour qui s’oppose à un tyran. Malheureusement, vous avez tendance à ne pas essayer de savoir si des rebelles, des exilés, et autres opposants à leur régime ne sollicitent pas votre soutien en vous racontant ce qu’ils pensent que vous voulez entendre (deux mots : Ahmed Chalabi).
    8° Vous êtes convaincu que le désir de liberté est bien ancré dans l’ADN humain et que la démocratie libérale à l’occidentale est la seule forme de gouvernement qui soit légitime. En conséquence, vous pensez que la démocratie peut triompher partout – y compris au sein de sociétés très divisées qui n’ont jamais été démocratiques – si des puissances étrangères lui fournissent suffisamment d’aide.
    9° Vous respectez les arguments de ceux qui sont sceptiques à propos des interventions, mais en fait vous pensez secrètement qu’ils n’en n’ont rien à faire de sauver des vies humaines.
    10° Vous pensez que, si les Etats Unis ne mettent pas fin à une crise humanitaire, leur crédibilité en tant qu’allié s’effondrera et leur autorité morale comme défenseur des droits de l’Homme sera ternie, même si aucun intérêt stratégique vital n’est en jeu.
    Si vous présentez certains, voire l’ensemble de ces symptômes, deux choix s’offrent à vous. Première option : prenez les armes (littéralement) et arborez fièrement votre gout pour l’intervention militaire. Seconde option : admettez que vous avez été pris dans les filets des interventionnistes et cherchez de l’aide. Si vous choisissez la seconde, je vous recommande de commencer par lire “Forced to be free : why foreign-imposed regime change really leads to democratization” d’Alexander Downes et Jonathan Monten, de poursuivre avec “Little America : the war within the war for Afghanistan” de Rajiv Chandrasekaran et “We meant well : how I helped lose the battle for the hearts and minds of iraki people” de Peter Van Buren. Et si ce remède ne suffit pas, vous avez probablement besoin d’une cure de désintoxication.

    Stephen Walt http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFZAkkFpEkNvNREJJA.shtml

    source : Foreign Policy :: lien

  • Merci à la Russie ! – Tribune de Michel Geoffroy

    Le Système médiatique occidental diabolise en permanence la Russie contemporaine. Quoi qu’il fasse, le président Poutine est systématiquement présenté dans les médias comme un dangereux autocrate, un mafieux ennemi des droits de l’homme et des Femen, ainsi qu’un fauteur de guerre froide. MG

    Par exemple, quand la Russie se trouve elle aussi aux prises avec le terrorisme islamique, on nous dit qu’elle terrorise les gentils Tchétchènes. Quand elle met au pas l’oligarchie économique et financière qui bradait les richesses nationales depuis la chute de l’URSS, on nous dit qu’elle menace les libertés. Quand elle encourage la natalité et la famille, on nous dit qu’elle est homophobe. Quand quelques isolés manifestent contre le gouvernement, on nous dit que la rue est contre Poutine et tout à l’avenant.

    La Russie ? Une résistance bénéfique à l’ordre mondial

    Pareil biais, alors que l’URSS ne subissait pas du tout le même traitement médiatique, ne peut signifier qu’une chose : que la Russie incarne une résistance bénéfique à l’ordre mondial que veulent imposer les Anglo-Saxons et les valets qu’ils recrutent dans l’oligarchie occidentale.

    A l’heure du renversement des valeurs, instrument de cette tentative, on peut sans se tromper affirmer que la Russie reste dans le vrai quand l’Occident sombre dans l’erreur et le déclin. C’est pourquoi l’Occident cultive la haine de la Russie.

    Mais cela veut dire aussi que la Russie redevient un modèle à suivre pour les vrais Européens.

    La Russie fière de son passé comme de son identité

    On a un peu vite oublié en Occident que le peuple russe a payé très cher – par des millions de morts – son entrée dans le XXe siècle, l’instauration du communisme et sa victoire dans la seconde guerre mondiale : un sacrifice qui dépasse de très loin celui supporté par les Occidentaux et notamment les Etats-Unis, bien à l’abri dans leur continent-île.

    Pourtant la Russie a su tourner la page et intégrer ce passé tragique dans son histoire comme dans ses monuments, à la différence d’un Occident déboussolé qui ne cesse de ressasser la repentance instrumentée des « heures-sombres-de notre-histoire » et de nous rejouer les drames de la seconde guerre mondiale.

    La Russie a aussi retrouvé son âme orthodoxe, c’est-à-dire chrétienne, alors qu’en Occident, soumis au culte de Mammon et du Veau d’homme, les églises sont vides et les mosquées se remplissent.

    Merci à la Russie de nous démontrer qu’on peut entrer dans le XXIe siècle en restant soi-même.

    Le cauchemar des Anglo-Saxons

    Les Anglo-Saxons ont un cauchemar : celui d’une Europe puissance, d’une « maison commune » de l’Atlantique à l’Oural à laquelle ont rêvé tant de grands Européens. Toute leur diplomatie depuis deux siècles vise à rendre ce rêve impossible.

    En Europe occidentale, l’instrument de cette diplomatie se nomme aujourd’hui Union européenne. C’est-à-dire une machine (un « machin », disait De Gaulle) destinée à détruire la souveraineté et la liberté des Etats, à détruire leur prospérité et à remplacer leur population ; un empire du néant, qui doit s’ouvrir à tous les vents à la condition de rester prisonnier des « liens transatlantiques », c’est-à-dire de rester vassal des Etats-Unis.

    A l’est, l’instrument de cette diplomatie se nomme diabolisation, affaiblissement et isolement de la Russie. Car la Russie a cher payé aussi l’implosion de l’URSS : un pays ruiné, mis en coupe réglée par les oligarques, entouré d’une ceinture d’Etats plus ou moins artificiels mais dans l’orbite occidentale, une armée détruite face à l’OTAN renforcé et agressif.

    A la chute de l’URSS, les Occidentaux sous la direction américaine se sont immédiatement engagés dans une stratégie d’isolement de la Russie, dont l’affaire du Kosovo a constitué le point d’orgue, après la désagrégation de la Yougoslavie. Sans parler de la tentative de s’approprier ses ressources naturelles et de lui injecter les « valeurs » – c’est-à-dire les vices décadents – des Occidentaux. En clair, les Occidentaux donneurs de leçons n’ont eu de cesse de profiter et d’amplifier la faiblesse de la Russie.

    Toute l’action de la présidence Poutine vise au contraire à recouvrer la puissance et la souveraineté de la Russie. Voilà qui insupporte nos maîtres.

    Merci à la Russie de faire de la puissance une idée neuve en Europe.

    Un monde multipolaire grâce à la réapparition de la puissance russe

    La chute de l’Union soviétique fut, bien sûr, une bonne nouvelle, marquant la fin de la menace communiste en Europe. On ne la regrettera pas. Mais elle a fait aussi disparaître un contrepoids à l’unilatéralisme yankee et à sa prétention, ridicule mais dangereuse, d’imposer un modèle de société humaine indépassable.

    On a vu ce qu’a donné en quelques années un tel unilatéralisme libéré de tout contrepoids : les conflits et les agressions militaires à répétition, la déstabilisation du Moyen-Orient ou la mise en œuvre d’un libre-échangisme débridé aux effets destructeurs.

    Les vrais Européens ne peuvent donc que se réjouir de voir réapparaître la puissance russe. L’Europe manque désespérément de puissance, en effet, dans un monde de plus en plus dur et concurrentiel, face aux grands blocs de l’Asie, de l’Amérique et de l’Afrique.

    La réintroduction de la puissance russe dans le jeu diplomatique mondial aura nécessairement des effets positifs, comme le montre déjà l’affaire syrienne. La Russie a résisté clairement et patiemment en effet aux fauteurs de « frappes » en vue d’une solution politique en Syrie. C’est-à-dire qu’elle s’est prononcée en faveur de la stabilisation contre l’aventure.

    Il faut que le pouvoir arrête le pouvoir : merci à la Russie de nous rappeler cette antique loi européenne.

    À l’est la liberté

    Contrairement à ce que nous serinent nos médias, la démocratie – c’est-à-dire le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple – et la liberté sont moins menacées en Russie qu’en Europe occidentale.

    Comme il est curieux qu’un Snowden, qui a dévoilé au monde la réalité de l’espionnage des communications mondiales par les Etats-Unis et leurs alliés, ne puisse trouver refuge qu’en Russie ! Mais pas en Europe de l’Ouest qui se targue pourtant d’accueillir à bras ouverts les réfugiés du monde entier. Comme il est curieux qu’un acteur français célèbre, lassé du fiscalisme et de la médiocrité ambiantes, préfère rejoindre la Russie plutôt que la côte est des Etats-Unis !

    C’est que l’Occident ne vit plus en démocratie mais en post-démocratie : un régime de totalitarisme mou qui vide la nationalité et la citoyenneté de leur sens, un régime où l’Etat se dresse contre la nation et installe la loi de l’étranger. Car les vrais oligarques ne prospèrent qu’en Occident : en Russie ils sont sous contrôle ou ils vont en prison.

    Merci à la Russie de nous rappeler que le salut du peuple – et non celui des banques ou des lobbys – doit rester la loi suprême des Etats.

    Michel Geoffroy http://fr.novopress.info/141380/merci-a-la-russie-tribune-de-michel-geoffroy/#more-141380

  • Syrie : les Etats-Unis livrent des armes aux islamistes. Et la France va "renforcer son soutien"

    Les Etats-Unis d'abord

    "Est-ce parce que la perspective de frappes contre le régime Assad s'éloigne ? Les Etats-Unis ont commencé à fournir des armes et des équipements techniques aux rebelles syriens, affirme le Washington Post.

    Citant des sources américaines et syriennes, le quotidien américain a écrit que la CIA a commencé à livrer des cargaisons d'aide matérielle létale ces quinze derniers jours. Le journal rapporte sur son site que le département d'Etat a envoyé des véhicules et autres matériels, y compris des équipements de communication sophistiqués et des kits médicaux de combat".

    Et Hollande veut soutenir "l'opposition démocratique" (sic. Et si, il a osé) : 

    "Le président François Hollande et les chefs des diplomaties saoudienne, jordanienne et émiratie "sont convenus de la nécessité de renforcer le soutien international à l'opposition démocratique" en Syrie, "pour lui permettre de faire face aux attaques du régime", a annoncé aujourd'hui la présidence française". 

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • AL QUAIDA UNE FABRICATION DES ETATS UNIS Michel Collon Chauprade Bonnet Clark Chouard