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  • Le Charivari de François Couteil dans Minute du 12 février

    Excellent comme toujours le Charivari de François Couteil, dans Minute.

    Mais encore "plus" excellent lorsque François Couteil dénonce une justice sous surveillance dont trois de nos militants viennent de faire les frais !

  • L'Ukraine : un enjeu géostratégique, au cœur de la Guerre tiède

    À travers le soutien occidental à une troublante « révolution » ukrainienne et sa volonté d'ingérence, c'est l'idée d'empêcher le retour de la Russie comme grande puissance, via son affaiblissement régional, qui revient sur le devant de la scène.
    Dans le cadre d'une stratégie de reflux (roll back) de la puissance russe, menée depuis la fin de la Guerre froide, les puissances occidentales affichent une méfiance endémique à l'égard d'un Etat désespérément perçu comme l'héritier de l'axe (communiste) du mal. Cette stratégie « anti-russe » est attestée par les tentatives régulières de cooptation des anciennes républiques de l'URSS, au moyen d'innovations politiquement orientées telles que le « Partenariat oriental » (via l'UE) ou le « Partenariat pour la paix » (via l'OTAN) et, plus récemment, « l'accord d'association » de l'UE avec l'Ukraine.
    De manière plus ou moins explicite, ces « innovations » politiques développent l'idée d'un « voisinage partagé » et de valeurs communes, exprimant un droit d'ingérence occidental en périphérie post-soviétique, y compris en Ukraine. A l'échelle de la CEI, ces prérogatives politiques ne relèveraient donc plus du seul monopole russe et, en ce sens, menaceraient sa zone d'intérêts historique. Ce que Moscou ne pourra jamais accepter.
    L'Ukraine, au cœur d'une lutte d'influence
    Dans une large mesure, cette configuration explique l'enjeu géopolitique sous-jacent à la crise ukrainienne, qui loin d’être une « révolution », se retrouve en réalité au cœur d’une lutte d’influence entre les deux grands ennemis historiques. Depuis la transition post-communiste, cette lutte se poursuit dans le cadre de la guerre « tiède »(1), forme actualisée et désidéologisée de la Guerre froide, recentrée sur le contrôle des espaces et des « noeuds » stratégiques.
    Dans ce contexte, tout rapprochement de l'Ukraine avec l'UE (via l'accord d'association) peut être considéré comme l'étape préalable et « naturelle » à sa future intégration à l'OTAN, comme cela a été confirmé par Washington – véritable gifle et provocation stratégique à l'égard de la Russie. Sur un plan structurel, ces deux objectifs restent des priorités implicites de la nouvelle diplomatie américaine, verrouillée par l'administration Obama. Or, tendanciellement, la puissance russe est désireuse de sanctuariser son Etranger proche, contre les velléités expansives occidentales. Dans cette optique, l'OTAN reste, pour elle, un levier offensif et injustifié de la vieille lutte contre le communisme. Incroyable acharnement.
    Tout en s'inscrivant dans la stratégie anti-russe préconisée sous la Guerre froide par l'ancien conseiller du président américain J. Carter, Z. Brzezinski (2), ce double objectif de la politique étrangère américaine justifie l'énorme investissement médiatique de l'Occident dans l'actualité ukrainienne en vue de déstabiliser le gouvernement pro-russe et obtenir la démission du président (pourtant) légitime, Viktor Ianoukovitch. Le plus inquiétant est que l'évolution ukrainienne s'inscrit dans le prolongement des « révolutions » libérales « de couleur » en Géorgie (2003), en Ukraine (2004) et au Kirghizstan (2005) encouragées et financées en partie par l'administration américaine, selon une technique éprouvée et politiquement correcte.
    Une « révolution » manipulée
    Cette configuration explique l’existence de manipulations occidentales via les ONG (au nom des « droits de l’homme ») et leur soutien à l'opposition ukrainienne, la désinformation et le conditionnement de l'opinion publique, ainsi que l’ingérence troublante de dirigeants étrangers, dont américains et européens – et, naturellement, l’accusation de la « main de Moscou ». Aujourd'hui, l'Europe brille par son absence en Afrique et au Moyen-Orient, mais par contre, n'hésite pas à s'ingérer dans les affaires politiques intérieures de la souveraine Ukraine, en place de Kiev, par l'intermédiaire de Catherine Ashton, soutenue par son mentor américain, John Kerry. On croit rêver...
    Désormais, comme le souligne fort justement J.M. Chauvier, on assiste à une dérive extrémiste de nature néo-nazi de manifestations surfant sur un nationalisme anti-russe et échappant, de plus en plus, au contrôle des leaders de l'opposition pourtant aiguillés par l'Occident. Là est sans doute la plus grave erreur et le plus grand danger pour une Europe maladroite, dont la politique inconsciente contribue à réveiller les « vieux démons » dans l'espace post-soviétique, notamment dans les pays baltes et l'Ukraine. Or cette information est totalement occultée par la pensée unique, allégrement relayée par nos médias.
    Un accord dangereux pour l'Ukraine
    Pour les dirigeants occidentaux il s'agit de faire pression sur le président Ianoukovitch pour l'obliger à faire le « choix de l'Europe et de la liberté », selon le slogan redondant de l'opposition sous influence occidentale et ainsi, protéger le « bon peuple ukrainien » d'un éventuel retour de l'impérialisme russe –, au risque de heurter les susceptibilités de l'administration Poutine. Dans ce contexte, on comprend mieux le recul du président ukrainien, désireux de défendre ses intérêts nationaux et dans ce but, adoucir les contraintes drastiques (et irresponsables) imposées par l'accord d'association et de libre-échange. Contrairement à la rumeur médiatique, il ne s'agit donc pas d'un rejet de l'Europe mais d'une demande de reformulation de cet accord, politiquement non neutre et économiquement suicidaire pour l'Ukraine. Un rappel, aujourd'hui nécessaire.
    Face à cette instrumentalisation politique, la Russie ne pouvait rester sans réactions. D'autant plus que l'intégration de l'Ukraine à l'espace économique européen (objectif déclaré de l'UE) transformera ce pays en plateforme de réexportation des produits occidentaux – via les firmes multinationales – vers la Russie, dont l'économie serait ainsi attaquée et déstabilisée. Très vite, V. Poutine a su trouver une réponse adéquate, correspondant aux intérêts économiques de l'Ukraine mais respectant les intérêts politiques de la Russie, encline à protéger sa zone d'influence contre les convoitises de plus en plus pressantes de l'UE. Moscou ne l'a jamais caché et montre même une certaine transparence dans ce domaine, contrairement au jeu obscur de l'Europe, guidée par la « main » de Washington et navigant dans les eaux troubles de « sa » prude démocratie – imposée au monde globalisé, comme une vérité suprême. Curieux messianisme.
    Le retour russe, malgré tout...
    De manière explicite, cet accord vise à imposer l'idéologie néolibérale du « libre-marché », à partir d'une dérégulation économique et financière exprimant une vision anti-étatique désastreuse et, sur le moyen terme, considérablement appauvrissante pour la société ukrainienne – avec le risque de fabriquer une « nouvelle Grèce ». Le « peuple » qui manifeste ne le sait, sans doute, pas. Et il ne sait plus vraiment pourquoi il manifeste, emporté par la vague enthousiaste et mobilisatrice d'une révolution manipulée, comme la précédente de 2004. Encouragé par la bienveillance occidentale, il n'hésite plus à investir les bâtiments officiels, par la force et à « casser du flic ». Inquiétante redondance.
    Contrairement à ses homologues occidentales, la Russie est respectueuse des règles de droit internationales, dont celles sur la souveraineté des Etats. Suite à sa double initiative d'assistance financière (prêt de 15 milliards de dollars) et de réduction (d'un tiers) du prix du gaz acheminé en Ukraine, ainsi qu'à sa volonté de développer une véritable coopération économique et technologique avec cette dernière, Moscou a fait preuve, une fois de plus, d'une redoutable efficacité en matière de diplomatie – inversement à l'UE. Alors que d'autres Etats, d'une manière insidieuse, n'hésitent pas à instrumentaliser les « révolutions ». Mais, à quel prix ?
    Indéniablement, la Russie post-communiste revient de loin et, peu à peu, elle rejoue dans la cours des « grands », pour y défendre une certaine éthique et, si nécessaire, s'opposer aux fausses révolutions.
    La partie d'échecs américano-russe continue donc, au cœur de l'Eurasie, en Ukraine.
    notes
    Jean Geronimo  Grenoble le 27 janvier 2014
    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFAkkyVplAjRQIZgwB.shtml
    Jean Geronimo est docteur, Expert de l'économie et de la géostratégie russes à l'Université Pierre Mendès France, Grenoble 2
    (1) Geronimo J. (2012) « La Pensée stratégique russe – Guerre tiède sur l’Échiquier eurasien : les révolutions arabes, et après ? », préface de J. Sapir, éd. Sigest.
    (2) Z. Brzezinski est connu pour avoir provoqué l'intervention de l'armée rouge en Afghanistan, fin décembre 1979, dans l'optique de l'enliser dans un conflit périphérique, économiquement épuisant et politiquement destructeur pour l'URSS. Cette initiative stratégique a précipité la chute du régime soviétique, fin décembre 1991. Décembre maudit

  • Hollande aux USA : pour comprendre qu’il avait tout faux

    Après l’angine rouge de Cécilia, l’épisode DSK, il devient difficile de faire prendre la France au sérieux aux USA.

     
     

    Pensez donc : une visite d’État en Amérique ! On n’avait pas vu ça depuis vingt ans. La « gauche » démocrate américaine, plus à « droite » sur le plan économique et social que la « droite » française devait bien cette récompense et cette bouée de sauvetage à celui qui sert si fidèlement les intérêts des États-Unis. On retrouve décidément avec M. Hollande tous les charmes de la IVe République : un pays discrédité et affaibli, un pouvoir qui perd son autorité, et un atlantisme sans réserve.

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  • Un procès pour les Femen ? Non, pour les vigiles de Notre-Dame !

    Un an, presque jour pour jour, après la profanation de Notre-Dame de Paris, les 9 Fem-Haine accusées d'avoir dégradé l'une des cloches, n'ont toujours pas été jugées. Leur procès, initialement prévu en septembre, a été reporté, le tribunal correctionnel de Paris estimant prioritaire d'enquêter sur les conditions de leur expulsion.

    Ce qui mène à l'aberration suivante : trois agents du service d'ordre de Notre-Dame de Paris ont appris aujourd'hui qu'ils allaient être poursuivis devant le tribunal pour violences. Avant donc que le tribunal ne se prononce sur les dégradations qui pouvaient justifier une expulsion un peu musclée - Inna et une comparse n'ont-elles pas admis elles-mêmes avoir volé un bout d'or de la cloche ?
    En attendant, les Fem-Haine sont toujours dans la nature, alors que l'on apprend par le Figaro que :

    "le témoignage d'une ex-Femen, Alice*, révélé mercredi par Le Figaro a provoqué «l'ébullition» au sein du mouvement féministe, atteste une source proche du groupe d'activistes qui évoque en coulisses «menaces» et «actions en représailles»."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/un-proc%C3%A8s-pour-les-femen-non-pour-les-vigiles-de-notre-dame-.html

  • La plate-forme Web de la police des polices a enregistré 1154 signalements

    En quatre mois d'existence, la plate-forme Internet de l'IGPN a été enregistré plus de mille signalements anonymes. 17 ont fait l'objet d'une enquête.
    Depuis quatre mois, on peut "se plaindre" en ligne des actions de la police.
    La plate-forme Internet de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a enregistré 1 154 signalements en 2013 et 17 d'entre eux ont donné matière à enquête, a affirmé le 12 février 2014 le directeur général de la police nationale Claude Baland.

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  • Méridien Zéro # 176 :"Charles Péguy"

    Ce vendredi, Méridien Zéro reçoit Rémy Soulié, critique littéraire au Figaro pour évoquer avec lui la figure de Charles Péguy, poète, écrivain et essayiste.

    A la barre, Olivier François assisté de Jean-Louis Roumégace.

    A la technique JLR.

    charles péguy, poète, 1914, patrie

  • La Belgique légalise le meurtre des mineurs

    La Belgique est devenue ce soir le premier pays à permettre de tuer, les enfants atteints de maladie incurable, sans limite d'âge. Les Pays-Bas disposent d'une loi comparable, mais elle ne s'applique qu'aux mineurs de 12 ans et plus. Quel pays ringard.

    Seule une minorité de députés - chrétiens-démocrates, quelques libéraux et droite flamande du Vlaams Belang - ont voté contre le texte.

    L'euthanasie est légale depuis 2002 en Belgique. Il n'aura fallu que 12 ans de plus pour en arriver là. Si la France suivait le même chemin, sous la pression de l'ADMD, nul doute que les enfants y passeront un jour.

    Michel Janva

  • Urgent : pétition à signer avant le 27 février 2014

    C'est probablement un des plus terrifiants tueurs en série de France.
    Son ADN a été retrouvé sur le pantalon ensanglanté d'une de ses victimes.
    Tout le monde sait qui il est, où il habite. Un psychiatre l'a qualifié de « psychopathe violent et pervers ». Il pourrait récidiver à tout instant.
    Mais il reste en liberté. La Justice ne peut rien faire pour l'arrêter.
    A moins que vous ne signiez la pétition ci-jointe AVANT LE 27 février 2014 !!!
    Cher lecteur,

    Je suis Laurence Havel, Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice, la plus grande association française de défense des victimes.
    Cet appel est le plus important jamais envoyé par notre association. Nous avons besoin de vous, de votre signature, avant le 27 février 2014.
    Le multirécidiviste Jacques Maire, qui fut :

      placé en foyer à l'âge de 10 ans pour agression sexuelle sur sa propre sœur ;

      incarcéré une dizaine de fois pour coups et blessures, vols, outrages et conduite en état d'ivresse ;

      condamné en 2006 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir enlevé et séquestré Odile Busset et assassiné et dépecé Nelly Haderer...


    est aujourd'hui en liberté, et vit dans la commune de Charmes, près de Nancy.
    La greffière du tribunal avait en effet oublié de parapher des pages de son procès. La Cour de Cassation a donc annulé sa condamnation pour « vice de forme » !
    Non seulement ses condamnations ont été annulées, mais le tribunal, qui l'a rejugé et a décidé de l'acquitter au « bénéfice du doute, » lui a accordé une indemnité de 200 000 euros pour « détention injustifiée » !
    Oui, 200 000 euros. L'équivalent de plus de 10 ans de salaire pour la moyenne des Français.
    Aujourd'hui, des analyses montrent avec certitude que c'est bien l'ADN de Jacques Maire qui se trouve sur le pantalon de Nelly Haderer, assassinée et dépecée.
    Mais la Justice ne peut plus rien faire car la loi actuelle interdit de rejuger une personne qui a déjà été acquittée.
    Heureusement, des députés courageux ont décidé de changer ça. Une mission parlementaire a été montée à l'automne sur la révision des procès. Une proposition de loi va être débattue à l'Assemblée nationale le 27 février prochain.
    Le rapporteur de cette mission, le député et ancien magistrat Georges Fenech, soutient un amendement qui permettrait de rouvrir le procès et de renvoyer Jacques Maire derrière les barreaux.Il a d'ailleurs déclaré :
    " On ne peut pas dire aux familles de victimes : Circulez, il n'y a rien à voir ! Un innocent en prison, c'est une idée insupportable et un trouble à l'ordre public. Mais à l'inverse, qu'un coupable d'un viol ou d'un assassinat, dont on a la preuve de la culpabilité, soit en liberté, c'en est un aussi. J'ai donc l'intention de déposer un amendement pour réparer l'injustice envers les victimes que représente un coupable en liberté. " (Le JDD, le 2 février 2014).
    Christiane Taubira hésite. Elle n'a pas fermé la porte. Mais elle attend de voir si le public se mobilise en faveur de cette loi.
    C'est pourquoi je vous demande de toute urgence de signer et m'aider à faire massivement signer la pétition ci-dessous, pour l'amendement de Georges Fenech.
    Aujourd'hui, la loi ne permet de rouvrir un procès que s'il s'agit de libérer un condamné.
    Mais quand c'est le contraire, quand c'est un criminel injustement acquitté qui est en liberté, la loi française interdit de rouvrir le procès. Y compris lorsqu'on trouve les preuves les plus accablantes de sa culpabilité !
    Dans le cas de Jacques Maire, c'est son ADN qui a été retrouvé sur le pantalon de la victime. Mais comme la découverte a été faite après son acquittement, et après qu'il eut reçu 200 000 euros d'indemnité, il a la garantie de pouvoir rester définitivement en liberté et de garder ses 200 000 euros !!
    Comme l'a expliqué dans la presse Bruno Haderer, le frère de l'une des victimes :
    « Il pourrait même crier haut et fort que c'est lui qu'on ne pourrait plus rien faire. ». (Le Parisien, le 31 janvier 2014).
    Et c'est exact, dans l'état actuel de la loi française.
    Mais nous pouvons faire cesser cette odieuse injustice le 27 février 2014. Il nous suffit de déclencher une grande mobilisation populaire, comme nous l'avons si souvent fait par le passé.
    Confronté à la même absurdité, le Royaume-Uni ou les Pays-Bas ont échangé leur loi. Là-bas, tout le monde trouve normal de rejuger un criminel acquitté, si on trouve la preuve qu'il y a eu une erreur judiciaire.
    Chez nous, l'erreur judiciaire ne joue que dans un sens : pour libérer des condamnés, comme dans le cas par exemple de Patrick Dils, qui avait avoué avoir tué et violé deux enfants à Montigny-les-Metz. Condamné à perpétuité, son affaire a été rejugée parce qu'un tueur, Francis Heaulme, se trouvait dans les environs au moment des faits, ce qui a jeté un doute sur sa culpabilité.
    Il a donc été libéré, au bénéfice du doute lui aussi. Mais dans l'autre sens, quand il n'y a aucun doute sur l'identité d'un assassin, mais que l'acquittement a déjà été prononcé, on ne peut plus rien faire !
    Et on laisse en liberté un serial-killer en puissance, au nez et à la barbe des enfants et des parents de ses victimes, avec bien sûr le risque potentiel qu'il commette d'autres crimes.
    C'est un scandale absolu, aussi bien sur le plan juridique, sur le plan moral que sur le plan de la simple logique.
    Mais nous avons aujourd'hui une occasion concrète de faire changer cela.
    S'il vous plaît, signez dès maintenant cette pétition et transmettez notre appel à tous vos contacts, vos collègues, vos proches, vos amis et votre famille.
    Chaque voix supplémentaire augmente les chances de faire basculer Christiane Taubira et tous les députés du bon côté.
    Nelly Haderer était une femme de 22 ans, maman de deux enfants. On a retrouvé sa jambe à Dombasle-sur-Meurthe, plus des morceaux de son corps et un couteau de cuisine ensanglanté. Sa dépouille dépecée était un peu plus loin, les mains coupées.
    Aujourd'hui, l'ADN du tueur a été formellement identifié. « Il est acquis qu'un coupable a été acquitté dans le meurtre de Nelly Haderer », a déclaré l'ancien haut magistrat Philippe Bilger.
    Et nous laisserions un tueur en série en liberté ? Et nous laisserions passer la chance de changer enfin la loi, le 27 février 2014 ? Et nous garantirions la même tranquilité à tous les autres criminels injustement acquittés, qui continueraient à jouir d'une totale impunité ??
    Non, s'il vous plaît, ne laissez pas continuer en France cette injustice abominable. Il n'est pas si courant d'avoir une occasion de faire passer une loi qui va dans le bon sens.
    Je compte sur vous pour nous aider à la saisir. Cela ne vous coûtera rien, et, comme nous l'avons toujours fait, vous avez la garantie que vos données resteront strictement confidentielles et sécurisées.
    Signez et faites signer la pétition de l'Institut pour la Justice.
    Je vous remercie par avance.
    Laurence Havel
    Secrétaire nationale

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