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  • [Marseille] Le colloque national en Provence sur le 6 février 1934

    Pour les 80 ans de la journée du 6 février 1934, il n’était pas question pour l’Action Française-Provence de réaliser une commémoration nostalgique. Cet anniversaire était l’occasion de réfléchir sur la stratégie du royalisme, non pas pour prendre le pouvoir immédiatement mais pour faire l’analyse de la société française actuelle et éclairer la ligne que nous devons suivre.

    Une vieille bastide perdue dans la campagne aixoise a donc été le lieu choisi pour tenir un colloque d’importance nationale samedi 8 février 2014. Le succès a été au rendez-vous avec une bonne centaine de participants, jeunes en très grosse majorité. La préparation matérielle a été excellente (et il faut en féliciter les militants marseillais qui y ont durement travaillé) et l’ambiance à la fois très sympathique et travailleuse.

    On pouvait noter la présence, entre autres, de François BEL-KER, secrétaire général adjoint du CRAF (Centre Royaliste d’Action Française), d’Antoine DESONAY, responsable national étudiant, et de Jean GUGLIOTTA, président de la FRP.

    L’après-midi commença par un rappel historique de Michel FRANCESCHETTI, président de l’AF-Provence, qui décrivit les causes et le déroulement du 6 février 1934. Il rappela le rôle important tenu par l’AF dans la protestation contre le scandale Stavisky et insista sur la volonté du Comte de Paris d’en profiter alors que Charles MAURRAS et Maurice PUJO considéraient que les conditions n’étaient pas réunies pour une prise du pouvoir.

    Le jeune militant marseillais Jérémy présenta comment MALAPARTE explique la technique du coup d’Etat, ses diverses formes, ses conditions et ses étapes.

    La conception qu’avait Charles MAURRAS de la façon de renverser la république fut présentée par Philippe LALLEMENT, spécialiste de l’histoire du royalisme, qui montra ensuite comment ces idées furent actualisées par Pierre DEBRAY à la suite de la guerre d’Algérie (avec la revue "L’Ordre Français" et ses articles dans "Aspects de la France" et "JSF"), puis par Michel MICHEL dans la période post-soixante-huitarde (revue "Cohérences" et diverses brochures).

    La suite et d’autres photos sur le blog de l’Action française Provence

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Marseille-Le-colloque-national-en

  • Les gaz de schiste ne sauveront pas l’Europe

    Le gaz de schiste a eu peu d’impact sur l’économie américaine. Et l’Europe ne doit pas en attendre des miracles, avertit l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri) dans une étude.

    Les gaz de schiste n’ont pas révolutionné l’économie américaine et ne sauveront pas l’Europe : à contre pied de certaines idées reçues, les chercheurs de l’Iddri ont calculé que l’impact des hydrocarbures non conventionnels sur la reprise économique aux Etats-Unis est marginal – et qu’il le restera sur le long terme.
    Dans une étude de 60 pages (consultez l’abstract [...]), qui doit être présentée jeudi au Parlement européen, l’Institut du développement durable et des relations internationales, fondé par Laurence Tubiana (et partenaire de Sciences Po) montre que le boom du gaz de schiste n’a, jusqu’à présent, que peu pesé sur les prix de l’énergie, la compétitivité ou l’emploi américain.

    Les productions de gaz et de pétrole aux Etats-Unis ont certes augmenté respectivement de 33 % et de 52 % entre 2005 et 2013, provoquant un changement spectaculaire sur les marchés de l’énergie. Mais la forte baisse des prix du gaz dans le pays (de 8 à 4 dollars le million de BTU) a eu peu d’influence sur le coût de l’énergie : les prix de l’électricité résidentielle ont même augmenté en continu entre 2005 et 2012 (+ 25 %).

    « Le gaz ne représente que 27 % du mix électrique, et le prix de l’électricité dépend de bien d’autres facteurs : taxes, coût du réseau, etc. », explique Thomas Spencer, coordinateur de l’étude. Le gaz ne représente en outre que 13 % de la consommation des particuliers.

    La baisse du prix du gaz a, il est vrai, fortement amélioré la compétitivité de certaines industries très consommatrices de gaz : la pétrochimie, en premier lieu, certaines industries chimiques, l’aluminium, l’acier… « Mais ces secteurs ne représentent que 1,2 % du PIB américain », souligne l’Iddri, notant aussi que, si leurs exportations nettes sont passées de 10,5 à 27,2 milliards de dollars entre 2006 et 2012, la progression est loin de jouer sur le déficit commercial industriel américain (780 milliards en 2012).

    A partir des projections de production de l’agence américaine de l’énergie (EIA), et en extrapolant ces tendances, l’Iddri a calculé qu’au final, l’impact global sur le PIB américain serait limité à 0,84 point de croissance entre 2012 et 2035. Soit, pour simplifier, moins de 0,04 % de croissance supplémentaire par an, sur vingt-trois ans. « Le gaz et le pétrole de schiste constituent donc un facteur très faible de croissance », relève Thomas Spencer.

    De même, le nombre d’emplois directs du secteur a augmenté de 200.000 entre 2005 et 2013, note l’Iddri : un chiffre en soi non négligeable, mais finalement très faible au regard d’une population active de 155 millions de travailleurs.

    « L’Europe ne peut donc pas espérer que le gaz de schiste résolve son problème d’approvisionnement énergétique ou de compétitivité », conclut Thomas Spencer. Et ce d’autant que, compte tenu des particularités européennes (urbanisation, matériel disponible, réglementation…), la montée en puissance de la production ne pourrait y être que très lente : le Vieux Continent ne produirait, au mieux, que 3 à 10 % de sa consommation à l’horizon 2035.

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com/329216-les-gaz-de-schiste-ne-sauveront-pas-leurope

  • L’action de Christiane Taubira est demeurée somptueusement verbale !

    Entretien avec Philippe Bilger

    L’indépendance de la justice est un terme devenu mantra. Jusqu’à quel point cette même justice peut-elle être indépendante vis-à-vis du pouvoir politique ?

     

    Vaste question. Je crois néanmoins qu’il est possible d’avoir des magistrats indépendants du pouvoir politique. Et la plus élémentaire des honnêtetés intellectuelles me conduit à affirmer que cette situation s’est considérablement améliorée depuis l’élection de François Hollande. En tant que magistrat honoraire et citoyen que j’espère éclairé, je confirme que le suivi des affaires politico-judiciaires se fait de manière plus indépendante que sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Les magistrats ont une plus grande liberté pour instruire les affaires sensibles. La magistrature est traitée également avec plus de courtoisie et de respect. C’est à mettre au crédit de Christiane Taubira. Après, reste l’éternel dilemme : faire la synthèse entre la loi de Créon et celle d’Antigone… Pour finir, je rappellerai juste que les juges ont à éviter ces deux écueils que sont la solitude arrogante et la soumission déplorable.

     

    Christiane Taubira exige que toutes les « affaires sensibles » remontent à la Chancellerie. Simple mesure administrative ou mise au pas des procureurs ?

    Cela signifie seulement que le garde des Sceaux s’intéresse aux affaires sensibles et tient à être informé des procédures en cours. Rien de neuf sous le soleil et rien qui n’ait été la règle sous les précédents gouvernements, de gauche comme de droite.

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  • Industrie des mères porteuses : Hervé Mariton secoue la Chancellerie

    Dans une question écrite publiée mardi au Journal officiel :

    "M. Hervé Mariton attire l'attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice, sur le développement de l'industrie de la gestation pour autrui (GPA) sur le sol français en violation totale de la loi. Une plainte a en effet été déposée par une association de défense des enfants contre les tournées de promotion de la GPA organisées en France par des sociétés américaines (comme la société Extraordinary conception). Ces sociétés organisent des réunions, proposant des catalogues de mères porteuses ainsi que des grilles tarifaires pour les GPA. Ces pratiques violent le droit français (notamment l'article 227-12, alinéa 3, du code pénal), ainsi que la convention internationale des droits de l'enfant (qui dispose que l'enfant a le droit de connaître son père et sa mère). Il demande une réaction rapide de la chancellerie pour mettre fin aux pratiques illégales qui contribuent à la marchandisation des corps."

    Louise Tudy

  • David Cameron inspire la nouvelle campagne du Vlaams Belang contre les immigrés illégaux

    affiche-VB-IllegaalGaNaarHuis-MPI

     

    ANVERS – Le Vlaams Belang (parti flamand de droite nationale) a présenté sa nouvelle campagne. Le parti affrétera dans les deux prochaines semaines des véhicules publicitaires appelant les personnes en situation irrégulière à « rentrer chez elles ou aller en prison » (« Illegaal? Ga naar huis of naar de gevangenis! »).

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  • Dans Valeurs Actuelles : EXCLUSIF. Le rapport des RG qui dit la vérité sur les événements de Rennes

     

    Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher.

     

    Les faits

    Samedi dernier à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine.

    Le rapport de police commence : « le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements : « le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes ».

    Les militants de gauche attaquent un poste de Police et tentent d’y mettre le feu

    Le rapport se poursuit ainsi : « vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié ».

    La riposte des forces de l’ordre

    La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».

    La réponse judiciaire : les casseurs sont relâchés [...]

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  • Hollande ou l’art du bluff avec une paire de deux

    Le moins que l'on puisse dire, c'est que la séquence actuelle n'est pas porteuse pour François Hollande. Moqué dans la presse internationale pour son comportement volage, chahuté sur ses résultats plus que mitigés sur le terrain de la croissance. Et surtout désavoué pour l'instant sur le front de l'emploi, dont il a fait son cheval de bataille.
    Après la preuve patente de son échec à tenir une promesse de Gascon, le président, qui a bluffé pendant 21 mois, vient d'abattre son jeu. Et après avoir dévoilé une paire de deux, il décide de faire tapis avec son nouveau « pacte de responsabilité ».
    S'il y a bien une chose à laquelle les hommes politiques n'ont décidément pas renoncé, c'est leur inexpugnable arrogance quant aux capacités réelles du politique à piloter l'économie. Dans les économies développées, la complexité des structures et relations économiques rend hasardeuse tout interventionnisme de l’État qui fait souvent pire que mieux. La notion même d'un optimum économique, vers lequel la main visible de l’État guiderait les ménages et les entreprises, est problématique, tant son existence que son unicité est débattue par les économistes.
    Et François Hollande n'a pas fait d'écart à la technique principale de vente de l'entrepreneur politique, qui consiste à promettre des résultats différents avec les mêmes propositions économiques et sociales depuis 1983, lors de ses vœux adressés aux Français le soir du nouvel an. Même engagement indéfectible pour l'emploi (comme s'il pouvait en être autrement...) et mêmes incantations sans lendemain sur la réduction de la dépense publique, la simplification administrative. Les faits sont têtus et la publication fin janvier par Pôle Emploi des chiffres de l'emploi résonne comme un cruel rappel à la réalité : + 10 200 demandeurs de catégorie A supplémentaires et l'augmentation de 5 % du nombre de chômeurs à 3 303 200 demandeurs d'emploi.
    Si l’État dispose effectivement d'un levier pour stimuler la demande de travail, c'est au travers des emplois aidés, pris en charge, tout ou partie, avec de la dépense publique et qui solvabilise une demande adressée ensuite au secteur marchand. Leur effet économique est difficile à estimer mais il semblerait que le dispositif des emplois aidés (100 000 emplois d'avenir signés en 2013), quand il est déployé dans le secteur privé, permette une meilleure insertion dans l'emploi stable, des bénéficiaires (étude DARES, octobre 2012).
    L'autre volet de l'emploi aidé, au sein des administrations, consiste peu ou prou à faire creuser des trous pour les reboucher ensuite. Misère d'un keynésianisme mal compris.
    Inefficace artifice
    Cette astuce ne permet qu'un freinage comptable de la lente dégradation des conditions réelles sur le marché de l'emploi français, qui reste dépendant de la demande de travail des entreprises, et notamment des PME-PMI qui constituent le principal vivier de créations d'emploi. La tentative de promouvoir l'emploi individuel via la micro-entreprise se voit sanctionnée dans la surreprésentation de ces structures dans les 62 000 défaillances d'entreprises rapportées par la Banque de France pour le mois d'octobre. Or, les entreprises françaises connaissent leur plus faible taux de marge depuis 1985 selon l'INSEE ; la faute à une progression salariale qui excède les gains de productivité, fatalement plus faibles dans une économie de services, et d'une augmentation de la pression fiscale.
    C'est la faiblesse de l'investissement productif en France qui constitue le frein majeur à la création d'emploi. C'est donc à la création des conditions de l'investissement et à la restauration des marges des entreprises, au sens le plus large du terme, que doit s'attaquer le gouvernement. Investissement de capacité, d'abord ; les industries manufacturières, interrogées en octobre 2013 par l'INSEE prévoient une baisse de leurs investissements (- 7 %) en 2014. Sachant qu'un tiers de l'investissement prévu ne servirait qu'à remplacer l'existant, les perspectives de création d'emploi sont sombres. Investissement dans le capital humain puisque, à croissance limitée de la population et des bras pour travailler, ce sont bien les gains de productivité et l'innovation qui fourniront la production de demain.
    Effet d'annonce ?
    Le diagnostic est partagé par l'ensemble des observateurs ; les faiblesses ainsi que les atouts de l'économie française sont connus. Et si l'on veut bien passer sur l'emballage quelque peu grotesque du dispositif intitulé « pacte de responsabilité », il faut néanmoins se féliciter de ce type d'initiative qui peut être le début d'une réponse aux problèmes de marge des entreprises françaises, dont on ne peut pas attendre autre chose que ce pour quoi elles existent : elles ne sont ni « responsables » ni « irresponsables » : elles prospèrent quand l'environnement leur est favorable. Encore faudrait-il que les incitations auxquelles elles répondent ne soient pas contradictoires, entre alourdissement du poids (fiscal et réglementaire) de l’État dans leur vie quotidienne pour consolider les finances publiques et gesticulations ministérielles à chaque restructuration d'entreprise.
    Doit-on se féliciter de cet infléchissement de la stratégie présidentielle dans la lutte contre le chômage ? L'entêtement à sous-estimer la gravité de la situation et à surestimer ses forces n'est pas une preuve de sérieux et cette première partie du mandat de Hollande aura sans aucun doute fragilisé la parole présidentielle sur le terrain économique. Au-delà des paroles, le tournant social-démocrate, qui a permis à l'Allemagne de garder la tête haute au sein de l'Europe, non sans un tribut payé à la précarité de ses travail leurs les moins qualifiés, n'a pas encore annoncé la couleur en France.
    Antoine Michel monde & vie 4 février 2014

  • Une rétrospective des actions du gouvernement en 19 mois :

    > Petite liste non exhaustive

    - Interdire aux gens de travailler le dimanche : fait

    - Interdire aux gens de regarder du streaming : fait

    - Interdire aux gens d’aller voir des prostituées : fait

    - Interdire aux gens de rouler à plus de 80 km/h : en cours.......FAIT

    - Surveiller  les  connexions  et  les  communications  des  gens  pour  détecter  les  « potentiels ennemis d’états » en dehors de toute action judiciaire : en cours

    - Interdire à la police d’effectuer des surveillances techniques lors de leurs enquêtes en utilisant des GPS : fait (Circulaire du 29 octobre)

    - Empêcher  toute  action  judiciaire  à  l’encontre  de  la  maitresse  du  président  : fait 

    - Mettre  de l’argent public à disposition de la maîtresse : fait

    - Augmenter la CSG, et mettre en place la TVA sociale : en cours

    - Supprimer l’exonération des heures supplémentaires et appauvrir les salariés : fait

    - Ne pas  tenir compte des  protestations  des gens quel que soit le  sujet,  être  président et  ne même pas en parler (écotaxe, hausse de TVA, adoption homoparentales, théorie du genre…) : fait et refait

    - Déclarer irrecevables 700 000 signatures et ne pas faire de référendum : fait

    - Dire que c’est Bruxelles qui décide et pas nous pour la hausse de la TVA, et donc admettre qu’ils n’ont aucune volonté de maintenir la souveraineté de la France, au profit de gens que l’on n’a pas élu : fait

    - Faire asperger de gaz lacrymogène des femmes, des personnes âgées et des enfants : fait

    - Ne pas le faire quand il s’agit de racailles qui attaquent un commissariat : fait

    - Autoriser les personnes condamnées à moins de 5 ans de prison à rester dehors pour faire une peine de probation : en cours

    - Enfermer  un  militant  anti  mariage  pour  tous  pendant  23  jours  pour  « refus  de  donner  son identité » : fait

    - S’appeler Christiane et se faire photographier dans un restaurant parisien avec le dessinateur de Minute, pour ensuite se faire passer pour une victime de racisme : fait

    - Atteindre  les 85% d’opinions  défavorables  et  ne  pas même remanier : fait 

    - Dire que l’on  va attaquer la Syrie puis dire qu’il faut demander au congrès américain … : fait

    - Empêcher les islamistes de prendre le pouvoir au Mali : fait  - Point positif

    - Mais aider les mêmes djiadhistes pour prendre le pouvoir en Syrie : fait

    - Continuer à culpabiliser la France en Algérie : fait

    - Accuser « l’extrême droite » qui n’a jamais été au pouvoir de tous les maux : fait

    - Recruter des banquiers de la banque Rothschild comme conseiller : fait

    - Mettre mon ex-femme à la tête de la banque publique d’investissement : fait

    - Prétendre ne pas être au courant de l’existence des comptes de Cahuzac : fait

    - Nommer ministre une personne ayant la double nationalité franco marocaine sans se soucier des conflits d’intérêts : fait

    - Nommer ministre une indépendantiste régionale : fait 

    - Nommer un ministre de l’éducation qui s’est mis tout le monde à dos : fait

    - Ne  pas  sanctionner  le  syndicat  de  la  magistrature  pour  le  mur  des  cons  (impossible  à sanctionner selon Taubira) : fait

    - Considérer  les  gens  qui  s’opposent  au  gouvernement  comme  des  « séditieux »  (cf.  Jean- Philippe Désir dit Harlem) : fait

    - Se servir de la libération des otages pour essayer de faire remonter sa popularité : fait

    - Diviser les Français à tous les niveaux (sauf les rassembler contre lui) : fait

    - Se laisser dépasser par une gamine expulsée : fait

    - Arrêter l’auteur du site hollande-démission.fr pour outrage au président alors que ce délit a été supprimé par moi-même : fait

    - Battre le record du nombre de chômeurs : fait

    - Augmenter le nombre des imposables, plus 1,7 M : fait

    - Augmenter la TVA sur les travaux et aides à domicile en faisant exploser le travail au noir : fait

    - Effacer la dette de 4 M. du journal l’Humanité aux dépens du contribuable : fait

    - Dire au CRIF que Valls est rentré d’Algérie « Sain et sauf, c’est déjà beaucoup » : fait (Même Marine Le Pen n’aurait pas osé le faire)

     

    A AJOUTER (BONUS) :

     

    – J’ai confondu Lakshmi Mittal avec son fils,

    – J’ai présenté mes condoléances au peuple chinois en conférence officielle chez les japonais,

    – J’incite  les  entreprises  françaises  à  aller  s’installer  à  l’étranger  (exemple  Essilor) 

    – J’ai fait coucou à une athlète malvoyante

    – Je me suis ridiculisé aux côtés d’Angela Merkel dès ma 1ère visite

    – J’ai raté l’intervention d’Obama à l’Otan car j’étais en retard

    - J’ai été hué lors des cérémonies du 11 Novembre

    - J’ai foutu les finances de la Corrèze à plat,

    - Je n’ai jamais été capable de me faire respecter par mes concubines,

    - Je n’ai jamais travaillé de mes mains,

    - J’ai fait des synthèses pendant des années à la tête du PS

    - Je manie un humour qui vous emmerde

     

    Et  ce  n’est  pas  fini,  si  j’arrive  à  tenir  jusqu’en  2017,  la  liste  va encore s’allonger,

    parole de «Moi PRÉSIDENT je …»

  • Et si on supprimait la Cour des comptes ?

    La Cour compte 735 magistrats et a un budget de fonctionnement de plus de 200 millions d'euros. On dénombre 26 chambres régionales avec 350 magistrats et agents.

     
     

    La Cour des comptes – ainsi que ses petites sœurs régionales — a une belle et noble mission : « S’assurer du bon emploi de l’argent public, en informer le citoyen. »

    Fichtre, ce n’est pas rien ! Année après année, les rapports émis par cette haute magistrature de la République répondent à la seconde mission, même si le citoyen lambda ne reçoit pas un rapport détaillé de l’emploi de ses propres et diverses contributions. Concernant la première, remplie avec zèle, pugnacité et impartialité, elle ne trouve que peu d’échos dans les palais ministériels et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, la ritournelle des gabegies et dépenses somptuaires et injustifiées ne fait le « buzz » que deux ou trois jours, illustré par un gros rapport présenté à la presse par un Didier Migaud de plus en plus exsangue…

    Cette année est symbolique, qui annonce une dette de 2.000 milliards d’euros en fin 2014. Chiffre bien clair, facile à retenir.

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