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UNE AUTRE POLITIQUE POUR L'ENFANT ET LA FAMILLE !
Présentation publique des principes et propositions pour l’enfant et la famille
SAMEDI 8 MARS de 14h à 17h à la Maison de la Mutualité 24, rue Saint-Victor - 75005 Paris
Ensemble, maintenons la pression !
INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE
Cliquez ici pour vous inscrire
Avec la participation de :
Fabrice Hadjadj, philosophe
Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion à l’IFOP
Fabrice Madouas, journaliste
Anne-Marie Le Pourhiet, professeur agrégé de droit public
Jean-Marie Salamito, historienEt des porte-parole de La Manif Pour Tous :
Tugdual Derville, Alliance VITA
Jérôme Brunet, Appel des Professionnel de l’Enfance
Jean-Pierre Delaume-Myard, Auteur de Homosexuel contre le "mariage pour tous"
Lionel Lumbroso, La Gauche pour le mariage Homme-Femme
Ludovine de la Rochère, Présidente de La Manif Pour TousParce que le combat continue ailleurs que dans la rue
Parce que la famille est menacée et qu’il est urgent de la préserver
Parce que la société de demain est entre nos mains.On ne lâche rien ! Jamais !
La Manif Pour Tous vous attend samedi 8 mars à Paris
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Ukraine : la France serait-elle contaminée par le va-t-en-guerre américain ?
La politique étrangère tend à valider systématiquement les positions des Américains, au détriment de l'Europe souveraine, Russie incluse.
En droit international, on ne peut pas faire un référendum pour modifier des frontières. Imaginez un département de France qui demande son indépendance ! Et si cela se généralisait à d’autres États… Après, tout dépend de la question qui va être posée. S’il s’agit d’aller vers davantage de décentralisation, d’accord. Mais si, en revanche, c’est une manière de changer les frontières, cela pose problème.
Ces propos émanent du ministre des Affaires étrangères de la France, Laurent Fabius. Ce dernier s’est exprimé ainsi afin de condamner la demande du Parlement local de Crimée d’obtenir leur rattachement à la Russie. Un référendum devrait par ailleurs être proposé aux habitants, le 16 mars prochain, pour leur permettre de choisir entre un rattachement à la Fédération de Russie ou une autonomie nettement renforcée.
Les propos du ministre français ne sont pas faits pour arranger les relations, déjà très tendues depuis l’arrivée du Parti socialiste au pouvoir, entre la Russie et la France.
De surcroît, ils étonnent venant d’un pays (la France) qui a reconnu l’indépendance du Kosovo en 2008 (indépendance à laquelle Laurent Fabius était favorable), un Kosovo pourtant berceau historique de la Serbie -
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°353
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Pression contre des candidats pour qu'ils renoncent
Alors que le FN présente des listes dans 550 communes, Nicolas Bay, directeur de la campagne des élections municipales dénonce :
"Dans certaines communes de Seine-Maritime, comme cela a d’ailleurs été le cas aussi dans l’Essonne et dans les Hauts-de-Seine ces derniers jours, des maires sortants et leurs équipes organisent le démarchage systématique des candidats figurant sur les listes du Front national de leur commune dans le but de les faire renoncer à leur candidature.
Abusant de leur position, ils font pression sur des personnes de conditions souvent modeste. Il s’agit là d’une entrave extrêmement grave aux libertés politiques fondamentales. Compte tenu des témoignages nombreux et concordants de colistiers qui ont fait l’objet de ces démarches et peuvent le prouver, le Front National engagera des poursuites pénales contre ces agissements.
Dans les communes concernées, les listes municipales FN ont été déposées en préfecture mais n’ont pas été rendues public. Seuls les mairies en ont donc eu connaissance puisque les têtes de listes sont obligées de solliciter les services municipaux (qui interviennent, dans ce domaine, en tant qu’agent de l’État avec un devoir de réserve absolu) pour obtenir préalablement les attestations d’inscription sur les listes électorales de leurs colistiers. Ces manœuvres émanent donc de façon certaine des municipalités sortantes.
Ils incitent les colistiers du Front National à prétendre qu’ils n’avaient pas compris qu’ils signaient un engagement de candidature. Or, les têtes de liste FN ont toutes utilisé le formulaire CERFA imposé par le Ministère de l’intérieur pour éviter précisément ce genre de méprise. Ces formulaires CERFA sont intitulés « Déclaration de candidature aux élections municipales et communautaires» et les mentions du nom de la liste ainsi que l’étiquette politique « Front National » sont pré-imprimés (voir modèle ci-joint). Il ne peut y avoir la moindre ambiguïté ni donc la moindre contestation.
Sans surprise, ces méthodes inqualifiables et anti-démocratiques sont utilisées soit par des municipalités UMP que la présence d’une liste FN risque de fragiliser (Essonne et Hauts-de-Seine), soit dans des villes où la gauche était jusqu’à présent en position de monopole (Seine-Maritime)."
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L’Action française, féministe avant l’heure ?
L’Action française d’avant-guerre n’était pas fermée aux femmes. Bien au contraire, certaines la rejoignaient précisément pour combattre une République misogyne, comme l’explique le travail d’une étudiante en histoire à l’IEP de Paris.
Tous les domaines se prêtent aux "études de genre" – y compris l’histoire de l’Action française, susceptible d’illustrer le parcours de « femmes outsiders en politique », selon le titre d’un ouvrage paru l’été dernier (en 2013). Camille Cleret y consacre un article à « l’engagement féminin d’Action française ». Depuis toujours, souligne-t-elle, « la signification politique de l’engagement féminin d’Action française fut inévitablement contestée et caricaturée » : « qualifiées alternativement de "duchesses douairières", ou de "demoiselles à dot" », les militantes d’AF « étaient systématiquement jugées avec mépris par les adversaires de la ligue ». Or, « initialement et officiellement cantonnées dans la sphère des activités charitables, ces militantes surent se réapproprier le "politique d’abord", mot d’ordre de l’Action française, afin d’acquérir un rôle et, pour certaines d’entre elles, des responsabilités au sein de cette formation ».
LIGUE FÉMININE
Les femmes désireuses de s’engager à l’Action française étaient appelées à rejoindre une structure spécifique, l’Association des dames et des jeunes filles royalistes, héritière d’une ligue féminine indépendante, la Ligue royaliste des dames. « Née en 1904 de l’opposition aux mesures touchant alors les congrégations religieuses », celle-ci « se distinguait cependant d’autres formations féminines fondées dans le même contexte en raison de la priorité conférée, dès ses origines, au combat politique sur le combat religieux ». Cette préoccupation se traduisait dans l’orientation donnée aux "œuvres sociales royalistes", qui occupaient « une place prépondérante dans la vie de ces femmes ». « Ventes et fêtes de charité, arbres de Noël, distribution de layettes, de nourriture et de vêtements, colonies de vacances : ces activités de bienfaisance mentionnées dans les colonnes du quotidien s’inscrivent dans la lignée des œuvres de charité pratiquées depuis des siècles par les femmes chrétiennes mais impliquent toutefois une finalité politique clairement assumée. » Témoin, l’ouverture d’un "restaurant de charité", conçu, selon ses promoteurs, comme « un centre de propagande ouverte ».
La suite dans le Journal d’un eurosceptique désabusé
Article publié dans L’Action Française 2000
http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Action-francaise-feministe-avant
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Le Cercle Jean Bastien-Thiry communique
Manifestations organisées par le Cercle Jean Bastien-Thiry pour le cinquante et unième anniversaire de la mort de Jean Bastien-Thiry
Les activités du Cercle ici
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Hollande au CRIF : dîner de cons ?
Une fois l’an, le Président et une bonne partie de son gouvernement vont se faire engueuler au traditionnel pince-fesses du CRIF.
C’est une vieille antienne de la politique française : une fois l’an, le Président et une bonne partie de son gouvernement vont se faire engueuler au traditionnel pince-fesses du CRIF, « tribunal dînatoire », jolie formule d’Alain Finkielkraut, lâchée dans le dernier numéro de notre confrère Causeur, et relayée par Rony Brauman, qui en rajoute une couche : « Il est insupportable que le Premier ministre se justifie devant le CRIF de sa politique vis-à-vis de l’Iran ou du conflit israélo-palestinien. »
François Hollande, donc, s’est vu sommé par les instances en question de décréter « l’antisémitisme » « cause nationale ». Pourtant, les mauvaises nouvelles seraient plutôt bonnes : « Baisse de 31 % des actes antisémites », Cukierman, Garcimore du CRIF dixit. Bref, République en pleine forme, mais tout de même un peu en danger, démocratie en péril et tout le toutim allant avec. On est habitué au bidule ; mais, à la longue, ça devient un peu pesant…
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« Avec Valls c’est l’invasion » : une nouvelle campagne du Bloc identitaire
Nouvelle campagne du Bloc identitaire : + de régularisations, + de naturalisations, moins d'expulsions, avec Valls c'est l'invasion.
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Où en est l’enquête sur les protections maçonniques au sein de la police ?
On aimerait savoir où en est l’enquête concernant Jean-Yves Adam, ce contrôleur général à la Préfecture de police de Paris (la PP) mis en garde à vue le 5 février dernier par l’Inspection générale des services judiciaires (IGPN), puis entendu le 7 février par un juge d’instruction.
Il faut se souvenir que le Parquet de Paris a requis la mise en examen pour « corruption passive, violation du secret professionnel et banqueroute ».
Or, Jean-Yves Adam est franc-maçon, membre de la Grande Loge Nationale Française (GLNF) sous le matricule 59022 (une intégration après une initiation à la Grande Loge de France) .
Qui plus est, il occupe depuis décembre 2012 la fonction d’ « Assistant Grand Porte-Glaive » relative à la justice intra-maçonnique.
Voilà qui met du piment dans l’affaire . D’autant qu’un haut fonctionnaire de la PP de Paris avait confié au Point.fr que Jean-Yves Adam avait pu échapper aux poursuites judiciaires pendant plusieurs années grâce « à ses amitiés fraternelles » .
Mais depuis le 7 février, motus et bouche cousue. Pas un média du système ne semble avoir la moindre suite à divulguer. Le sujet serait-il trop explosif ?